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Turquie 2015 : un bilan post-électoral
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 10-06-2015
/ Canal-u.fr
YÜCEL Hakan, UYSAL Aysén, BOZARSLAN Hamit, AKGÖNÜL Samim
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Turquie 2015 : un bilan post-électoral
Cycle de conférences organisé par le LabEx Tepsis Les Agendas du PolitiqueAprès 13 années passées au pouvoir, l’AKP est le grand favori des
élections législatives organisées en Turquie le 7 juin 2015. La
conférence débat sera l’occasion d’esquisser un premier bilan du
scrutin. Quel est l’état des forces politiques en présence ? Où en est
l’opposition ? Quelles grandes réformes attendent la Turquie pendant
cette nouvelle législature ?
Intervenants
Samim Akgönül (Université de
Strasbourg, DRES), « Davantage de centralisation ou les débuts de la
décentralisation ? Premier bilan et prospective après les élections du 7
juin 2015 »
Ayşen Uysal (Université 9 Eylül, Izmir), « De la sélection des candidats aux résultats électoraux : le cas du CHP »
Hakan Yücel (Université de Galatasaray), « Les impacts du Mouvement Gezi de 2013 sur les élections générales de 2015 »
Présidence et discussion : Hamit Bozarslan (CETOBAC, EHESS)
Conférence organisée par Işıl Erdinç (Paris I,
CESSP), Benjamin Gourisse (Paris-Dauphine, IRISSO) et Sümbül Kaya
(CETOBAC, ehess) dans le cadre du groupe de recherche « Pouvoirs et
société en Turquie contemporaine ». Mot(s) clés libre(s) : élections, Turquie, AKP, Erdogan
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L'EHESS se mobilise en soutien aux universitaires turcs
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 13-04-2016
/ Canal-u.fr
DUCLERT Vincent, BOZARSLAN Hamit, BALIBAR Etienne, CALAME Claude, ESKIIZMIRLILER Sélim, FASSIN Eric, SAINT-SAENS Isabelle, TAYLAN Ferhat, ESCADAFAL Alain, ZARAKOLU Ragıp, ÖZKORAY Erol
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L’EHESS s’est mobilisée en organisant une réunion d’information le 18
janvier 2016 et une conférence, le 13 avril 2016 sur la répression des
universitaires de Turquie dans leur action pour la paix.
Depuis plusieurs années, la Turquie lutte pour la liberté de
recherche et d’enseignement, un combat qui s’est accentué depuis 2010.
La répression s’est traduite par l’emploi de la loi « anti-terreur »
débouchant sur des procès et des mises en détention pour « terrorisme »
ou pour « complicité de terrorisme ». C’est à la suite de ces événements
que le Groupe International de travail « Liberté de recherche et d’enseignement en Turquie » a été créé.
Les intervenants, enseignants-chercheurs ou militants des droits de
l’homme, ont donné des informations détaillées permettant de juger de
l’ampleur de la répression du gouvernement turc, invitant à créer un
Comité international de soutien aux Universitaires pour la paix.
Parmi les actions citées, certaines relèvent du domaine judiciaire.
Des enseignants ont par exemple été envoyés en prison durant dix jours ;
des signataires de pétition et organisateurs d’une conférence de presse
ont été arrêtés suite à l’accusation de « propagande pour une
organisation terroriste ». D’autres actions s’apparentent à une forme de
harcèlement institutionnel : licenciements, exclusions de jury et de
direction des départements, annulations de bourses pour les étrangers,
procédures disciplinaires pour « propagande terroriste » ou « insulte
aux institutions et à la République turque ». A celles-ci s’ajoutent des
actions d’intimidation, telles que les menaces adressées aux proches,
le marquage des portes par une croix (parfois accompagnée d’un message
de menace dans certaines universités comme celle de Gazi) et une
pression pour quitter la ville d’enseignement.
Après avoir exposé la situation, des enseignants-chercheurs de
Suisse, d’Istanbul, d’Allemagne et des Etats-Unis ont pu témoigner par
visioconférence des faits dénoncés et montrer leur soutien à la Turquie.
Une chercheuse a par exemple lancé le hashtag #Raiseyourpenforfreedom,
qui invite les internautes à se prendre en photo avec un stylo levé à la
main et de le « poster » sur Twitter en signe de solidarité, afin de ne
pas laisser cette répression inconnue du grand public.
Dans l’ensemble, cette conférence a permis de dresser le constat,
terrible, de l’ampleur des injustices subies par les universitaires
turcs et de susciter l’espoir d’une mobilisation durable par la création
du Comité international de soutien aux Universitaires pour la paix.
Intervenants : Cagla Aykac, Etienne Balibar, Hamit Bozarslan,
Claude Calame, Yves Deloye, Vincent Duclert, Selim Eskiizmirliler, Eric
Fassin, Elise Massicard, Isabelle Saint-Saens, Engin Sustam. Mot(s) clés libre(s) : démocratie, Turquie, libertés publiques, activités d'enseignement et de recherche, Erdogan
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L’enjeu des sciences sociales et de leur publication dans la Turquie d’aujourd’hui
/ Serge BLERALD, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 12-12-2012
/ Canal-u.fr
BOZARSLAN Hamit, DUCLERT Vincent, ZARAKOLU Ragıp, ÖZKORAY Erol
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Dans le cadre de l’atelier du Groupe international de travail (GIT) « Liberté de recherche et d’enseignement en Turquie », le GIT France organise une Conférence à l'EHESS:
L’enjeu des sciences sociales et de leur publication
dans la Turquie d’aujourd’hui
A Committment to the Freedom of Publishing in the social sciences
(en anglais)
par
Ragıp Zarakolu, fondateur et directeur des éditions Belge
Suivi de
D'Idea Politika à Idea Politika, 1998-2012
(en français)
par
Erol Özkoray, éditeur en science politique
Ouverture par Vincent Duclert, professeur agrégé à l’EHESS ; Ara Toranian, co-président du CCAF ; Hamit Bozarslan, directeur d'études à l'EHESS
Conclusion et modération du débat par Hamit Bozarslan et Vincent Duclert
Conférence organisée en association avec les Editions de l'Ecole des hautes études en sciences sociales et le Conseil de Coordination des Organisations Arméniennes de France (CCAF). Mot(s) clés libre(s) : sciences sociales, Turquie, édition
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L'islamisme aujourd'hui - Hamit Bozarslan
/ UTLS - la suite
/ 05-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
BOZARSLAN Hamit
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Au tournant des années 1999-2000, un certain nombre d’ouvrages sont parus qui annonçaient la fin de l’islamisme. En France, l’un des plus marquants est celui de Gilles Kepel :
Jihad, expansion et déclin de l’islamisme (2000). La thèse de l’impasse, voire de l’échec de l’Islam politique, avancée d’abord par Olivier Roy au début des années 1990, semble trouver alors sa confirmation. En effet, on assiste à ce moment précis à un essoufflement de l’islamisme qui s’était imposé comme la syntaxe politique hégémonique au Moyen-Orient depuis la Révolution iranienne de 1979.
Cette période s’achève brutalement en 2001 avec l’entrée en scène, à l’échelle mondiale, de l’organisation Al Qaida. Se met alors en place un mode d’action qui est aujourd’hui le trait distinctif d’un nouveau radicalisme islamiste : la violence auto-sacrificielle des attentats-suicides. Les transformations survenues durant les 6 dernières années ont pu surprendre les chercheurs par leur radicalité et par leur ampleur. Je voudrais ici évoquer la façon dont elles se sont opérées, ainsi que les raisons qui peuvent expliquer ces changements. Mot(s) clés libre(s) : islam, islamisme, religion
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