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ENU - Services aux étudiants, la carte étudiante numérique (Roland Ducasse, Université de Bordeaux)
ENU - Services aux étudiants, la carte étudiante numérique (Roland Ducasse, Université de Bordeaux)
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Titre : Formation Médicale 2011 – La simulation pédagogique virtuelle est-elle l’apprentissage de demain ?Intervenants : Olivier LAPLANCHE (Nice).Résumé : Atelier : Partage d’expériences : La simulation pédagogique virtuelle – Conférence des Doyens des Facultés d’Odontologie.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors des Etats Généraux de la Formation Médicale (EGFM) : Enjeux, Parcours, Evaluation. Atelier : Partage d’expériences. Modérateur : Marc BOLLA (Nice), Jean VALCARCEL (Montpellier).Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine avec le partenariat de l’UNF3S Réalisation, production : Canal U3S - CERIMESMots clés : EGFM 2011, formation médicale, conférence des doyens, UNF3S, UMVF, efficience, études, enseignement, médical, EGFM, 2011, Bobigny
Titre : Formation Médicale 2011 – La simulation pédagogique virtuelle est-elle l’apprentissage de demain ?Intervenants : Olivier LAPLANCHE (Nice).Résumé : Atelier : Partage d’expériences : La simulation pédagogique virtuelle – Conférence des Doyens des Facultés d’Odontologie.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors des Etats Généraux de la Formation Médicale (EGFM) : Enjeux, Parcours, Evaluation. Atelier : Partage d’expériences. Modérateur : Marc BOLLA (Nice), Jean VALCARCEL (Montpellier).Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine avec le partenariat de l’UNF3S Réalisation, production : Canal U3S - CERIMESMots clés : EGFM 2011, formation médicale, conférence des doyens, UNF3S, UMVF, efficience, études, enseignement, médical, EGFM, 2011, Bobigny
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Titre : Formation Médicale 2011 – La simulation en imagerie 3D va-t-elle modifier l’apprentissage de l’anatomie : un exemple dans le domaine de l’anatomie dentaireIntervenants : Reza ARBAB-CHIRANI (Brest).Résumé : Atelier : Partage d’expériences : La simulation pédagogique virtuelle – Conférence des Doyens des Facultés d’Odontologie.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors des Etats Généraux de la Formation Médicale (EGFM) : Enjeux, Parcours, Evaluation. Atelier : Partage d’expériences. Modérateur : Marc BOLLA (Nice), Jean VALCARCEL (Montpellier).Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine avec le partenariat de l’UNF3S Réalisation, production : Canal U3S - CERIMESMots clés : EGFM 2011, formation médicale, conférence des doyens, UNF3S, UMVF, efficience, études, enseignement, médical, EGFM, 2011, Bobigny
Titre : Formation Médicale 2011 – La simulation en imagerie 3D va-t-elle modifier l’apprentissage de l’anatomie : un exemple dans le domaine de l’anatomie dentaireIntervenants : Reza ARBAB-CHIRANI (Brest).Résumé : Atelier : Partage d’expériences : La simulation pédagogique virtuelle – Conférence des Doyens des Facultés d’Odontologie.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors des Etats Généraux de la Formation Médicale (EGFM) : Enjeux, Parcours, Evaluation. Atelier : Partage d’expériences. Modérateur : Marc BOLLA (Nice), Jean VALCARCEL (Montpellier).Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine avec le partenariat de l’UNF3S Réalisation, production : Canal U3S - CERIMESMots clés : EGFM 2011, formation médicale, conférence des doyens, UNF3S, UMVF, efficience, études, enseignement, médical, EGFM, 2011, Bobigny
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Titre : Formation Médicale 2011 – Serious Games, un atout en tant que projet pédagogique et force de simulation.Intervenants : Guillaume REYS (Strasbourg).Résumé : Atelier : Partage d’expériences : La simulation pédagogique virtuelle – Conférence des Doyens des Facultés d’Odontologie.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors des Etats Généraux de la Formation Médicale (EGFM) : Enjeux, Parcours, Evaluation. Atelier : Partage d’expériences. Modérateur : Marc BOLLA (Nice), Jean VALCARCEL (Montpellier).Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine avec le partenariat de l’UNF3S Réalisation, production : Canal U3S - CERIMESMots clés : EGFM 2011, formation médicale, conférence des doyens, UNF3S, UMVF, efficience, études, enseignement, médical, EGFM, 2011, Bobigny
Titre : Formation Médicale 2011 – Serious Games, un atout en tant que projet pédagogique et force de simulation.Intervenants : Guillaume REYS (Strasbourg).Résumé : Atelier : Partage d’expériences : La simulation pédagogique virtuelle – Conférence des Doyens des Facultés d’Odontologie.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors des Etats Généraux de la Formation Médicale (EGFM) : Enjeux, Parcours, Evaluation. Atelier : Partage d’expériences. Modérateur : Marc BOLLA (Nice), Jean VALCARCEL (Montpellier).Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine avec le partenariat de l’UNF3S Réalisation, production : Canal U3S - CERIMESMots clés : EGFM 2011, formation médicale, conférence des doyens, UNF3S, UMVF, efficience, études, enseignement, médical, EGFM, 2011, Bobigny
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Titre : Formation médicale 2011 - DIUI de Mécanique et Techniques ObstétricalesAuteurs : Pascale Hoffmann (Grenoble), Daniel Pagonis (Grenoble), Jean-Paul Romanet (Grenoble)Résumé : IntroductionLe DIUI de Mécanique et Techniques Obstétricales est un Diplôme International dont l'objectif est d’apporter les connaissances théoriques et pratiques de la prise en charge de la physiologie et de la pathologie du travail. Les pathologies de l’accouchement sont dans les Pays du Sud une cause majeure de morbidité et de mortalité pour la femme et son enfant. Ce DIUI existe en France depuis 20 ans et a été entièrement adapté et numérisé pour les Pays du Sud.Ce diplôme est ouvert aux cliniciens et sages-femmes.MéthodeLe programme du DIUI a été réalisé en coopération avec les Pays du Sud, en 2 parties :Partie 1- Expulsion- Dystocie des épaules- Examen de la patiente à l’entrée en salle de naissance- Dystocies- Engagement, descente et rotation- Incisions et déchirures des voies génitales basses- Episiotomie- Accueil du nouveau-né normal- Réanimation du nouveau-né en salle de naissance- Enregistrement cardiotocographique pendant le travail- Techniques de césarienne- Version par manœuvres externes- Manœuvres sur siègePartie 2- Urgences- Statique pelvienne pendant la grossesse et l'accouchement- Dystocies- Siège- Maturation cervicale, déclenchement- Obstétrique en « 3D »- Filière pelvienne et mobile fœtal avec pelvimétrie- Forceps- Ventouse obstétricale- Délivrance- Hémorragies de la délivrance- Accouchement des grossesses multiples- Implications juridiques en France et dans les autres pays- Surveillance fœtale- Spatules- Césarienne : épidémiologie, indications- Présentations céphaliques défléchies et positions transversesLes modalités pédagogiques sont les suivantes :La formation est organisée à partir d’un support de type DVD sur lequel les enseignants français et des pays du Sud ont enregistré les cours. L’enseignement sur DVD représente 30 cours, soit 60 heures d’enregistrement.Dans chaque faculté du Sud, un ou plusieurs correspondants pédagogiques locaux participent à l’enseignement, à l’organisation sur place du DIUI et à sa validation.L’enseignement de ce DIUI s’organise au cours d’une année universitaire.Les modalités de validationUn examen écrit de deux heures comprenant QCMs, questions à réponses courtes et petits cas cliniques est organisé par la faculté du pays du Sud.Il sera noté sur 100. La validation du DIUI est obtenue si la note est supérieure ou égale à 50. En cas d’échec, une deuxième session sera organisée par la faculté du Sud avec les coordinateurs locaux et généraux. la durée de la formation est de 12 mois.Résultat et analyseUne première formation vient de débuter à Marrakech sous la coordination du Professeur Abderraouf SOUMMANI et du Professeur Pascal Hoffman. 19 étudiants sont inscrits à cette première session qui se terminera à la fin du 1er semestre 2012. Cette première formation permettra d'adapter le programme, d'enregistrer de nouveaux cours si besoin et de valider les modalités pédagogiques.Une deuxième formation va démarrer à Dakar début 2012ConclusionCette réalisation a été faite dans le cadre du projet FSP Mère Enfant de l'UMVF. L'UMVF a apporté son savoir-faire technique et pédagogique pour la réalisation d'un référentiel adapté. Ce DIUI est une véritable attente des professionnels des Pays du Sud.Site Web : http://www.mere-enfant.org/L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors des Etats Généraux de la Formation Médicale (EGFM) : Enjeux, Parcours, Evaluation. Session : Divers. Modérateurs : Modérateurs : Philippe DELAVAL (Rennes), Jacques MOTTE (Reims)Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine.Réalisation, production : Canal U3S - CERIMES avec le partenariat de l’UNF3S.Mots clés : EGFM 2011, formation médicale, conférence des doyens, UNF3S, UMVF, efficience, études, enseignement, médical, EGFM, 2011, Bobigny
Titre : Formation médicale 2011 - DIUI de Mécanique et Techniques ObstétricalesAuteurs : Pascale Hoffmann (Grenoble), Daniel Pagonis (Grenoble), Jean-Paul Romanet (Grenoble)Résumé : IntroductionLe DIUI de Mécanique et Techniques Obstétricales est un Diplôme International dont l'objectif est d’apporter les connaissances théoriques et pratiques de la prise en charge de la physiologie et de la pathologie du travail. Les pathologies de l’accouchement sont dans les Pays du Sud une cause majeure de morbidité et de mortalité pour la femme et son enfant. Ce DIUI existe en France depuis 20 ans et a été entièrement adapté et numérisé pour les Pays du Sud.Ce diplôme est ouvert aux cliniciens et sages-femmes.MéthodeLe programme du DIUI a été réalisé en coopération avec les Pays du Sud, en 2 parties :Partie 1- Expulsion- Dystocie des épaules- Examen de la patiente à l’entrée en salle de naissance- Dystocies- Engagement, descente et rotation- Incisions et déchirures des voies génitales basses- Episiotomie- Accueil du nouveau-né normal- Réanimation du nouveau-né en salle de naissance- Enregistrement cardiotocographique pendant le travail- Techniques de césarienne- Version par manœuvres externes- Manœuvres sur siègePartie 2- Urgences- Statique pelvienne pendant la grossesse et l'accouchement- Dystocies- Siège- Maturation cervicale, déclenchement- Obstétrique en « 3D »- Filière pelvienne et mobile fœtal avec pelvimétrie- Forceps- Ventouse obstétricale- Délivrance- Hémorragies de la délivrance- Accouchement des grossesses multiples- Implications juridiques en France et dans les autres pays- Surveillance fœtale- Spatules- Césarienne : épidémiologie, indications- Présentations céphaliques défléchies et positions transversesLes modalités pédagogiques sont les suivantes :La formation est organisée à partir d’un support de type DVD sur lequel les enseignants français et des pays du Sud ont enregistré les cours. L’enseignement sur DVD représente 30 cours, soit 60 heures d’enregistrement.Dans chaque faculté du Sud, un ou plusieurs correspondants pédagogiques locaux participent à l’enseignement, à l’organisation sur place du DIUI et à sa validation.L’enseignement de ce DIUI s’organise au cours d’une année universitaire.Les modalités de validationUn examen écrit de deux heures comprenant QCMs, questions à réponses courtes et petits cas cliniques est organisé par la faculté du pays du Sud.Il sera noté sur 100. La validation du DIUI est obtenue si la note est supérieure ou égale à 50. En cas d’échec, une deuxième session sera organisée par la faculté du Sud avec les coordinateurs locaux et généraux. la durée de la formation est de 12 mois.Résultat et analyseUne première formation vient de débuter à Marrakech sous la coordination du Professeur Abderraouf SOUMMANI et du Professeur Pascal Hoffman. 19 étudiants sont inscrits à cette première session qui se terminera à la fin du 1er semestre 2012. Cette première formation permettra d'adapter le programme, d'enregistrer de nouveaux cours si besoin et de valider les modalités pédagogiques.Une deuxième formation va démarrer à Dakar début 2012ConclusionCette réalisation a été faite dans le cadre du projet FSP Mère Enfant de l'UMVF. L'UMVF a apporté son savoir-faire technique et pédagogique pour la réalisation d'un référentiel adapté. Ce DIUI est une véritable attente des professionnels des Pays du Sud.Site Web : http://www.mere-enfant.org/L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors des Etats Généraux de la Formation Médicale (EGFM) : Enjeux, Parcours, Evaluation. Session : Divers. Modérateurs : Modérateurs : Philippe DELAVAL (Rennes), Jacques MOTTE (Reims)Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine.Réalisation, production : Canal U3S - CERIMES avec le partenariat de l’UNF3S.Mots clés : EGFM 2011, formation médicale, conférence des doyens, UNF3S, UMVF, efficience, études, enseignement, médical, EGFM, 2011, Bobigny
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Titre : Formation médicale 2011 - Apprentissage de l’anglais scientifique en DCEM2 : double bénéfice !Auteurs : Alexis Descatha (Guyancourt), Erika Sabath (Boston), Thierry Lebret (Guyancourt), Marcel Goldberg (Guyancourt), Lisa Berkman (Boston), Marie Zins (Guyancourt)Résumé : IntroductionL’apprentissage de l’anglais scientifique aux étudiants en médecine est devenu nécessaire, même s’il n’est pas à l’examen classant national. Il n’est pas possible pour autant de réaliser cet enseignement tôt, les étudiants n’ayant ni les bases d’anglais minimales nécessaires, ni les connaissances méthodologiques suffisantes pour en profiter.ObjectifL’objectif était de développer un enseignement autour de l’anglais scientifique en DCEM2 afin de permettre aux étudiants de leur donner les bases de la lecture d’articles en anglais.MéthodeA la suite de l’enseignement général (PCEM2-L2) et médical (DCEM1), un enseignement d’anglais dit scientifique a été proposé. L’objectif pédagogique était de savoir lire et comprendre des articles scientifiques en anglais. Différents critères ont été choisis pour le développer : motiver les étudiants à le suivre, ne pas surcharger les plannings, garantir un enseignement d’une qualité élevée.RésultatUn enseignement de lecture critique d’article (LCA) à distance en collaboration avec une équipe américaine a été proposé. Après un cours théorique présentiel, des «monthly papers » sont postés, avec des questions et un résumé à réaliser tout en anglais. Les articles sont choisis et corrigés par des enseignants participant à l’enseignement de LCA. La correction est améliorée concernant l’anglais par des enseignants d’Harvard School of Public Health. Les étudiants s’autocorrigent. Un forum et un enseignement dirigé permettent de répondre aux questions. Un examen écrit valide l’enseignement.Discussion – ConclusionCet enseignement récemment organisé à l’objectif de favoriser la LCA en anglais tout en motivant les étudiants (en plus de l’examen) en leur proposant des articles supplémentaires, et ce malgré en enseignement à distance et l’autocorrection. Cela permet aussi d’élargir des collaborations, du domaine recherche vers la pédagogie.En développant un enseignement à distance et international, dont les étudiants peuvent avoir un bénéfice double (anglais et LCA), il semble que l’objectif peut être atteint, même si une évaluation sera nécessaire.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors des Etats Généraux de la Formation Médicale (EGFM) : Enjeux, Parcours, Evaluation. Session : Echanges internationaux. Modérateurs : Modérateurs : Philippe DELAVAL (Rennes), Jacques MOTTE (Reims)Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine.Réalisation, production : Canal U3S - CERIMES avec le partenariat de l’UNF3S.Mots clés : EGFM 2011, formation médicale, conférence des doyens, UNF3S, UMVF, efficience, études, enseignement, médical, EGFM, 2011, Bobigny
Titre : Formation médicale 2011 - Apprentissage de l’anglais scientifique en DCEM2 : double bénéfice !Auteurs : Alexis Descatha (Guyancourt), Erika Sabath (Boston), Thierry Lebret (Guyancourt), Marcel Goldberg (Guyancourt), Lisa Berkman (Boston), Marie Zins (Guyancourt)Résumé : IntroductionL’apprentissage de l’anglais scientifique aux étudiants en médecine est devenu nécessaire, même s’il n’est pas à l’examen classant national. Il n’est pas possible pour autant de réaliser cet enseignement tôt, les étudiants n’ayant ni les bases d’anglais minimales nécessaires, ni les connaissances méthodologiques suffisantes pour en profiter.ObjectifL’objectif était de développer un enseignement autour de l’anglais scientifique en DCEM2 afin de permettre aux étudiants de leur donner les bases de la lecture d’articles en anglais.MéthodeA la suite de l’enseignement général (PCEM2-L2) et médical (DCEM1), un enseignement d’anglais dit scientifique a été proposé. L’objectif pédagogique était de savoir lire et comprendre des articles scientifiques en anglais. Différents critères ont été choisis pour le développer : motiver les étudiants à le suivre, ne pas surcharger les plannings, garantir un enseignement d’une qualité élevée.RésultatUn enseignement de lecture critique d’article (LCA) à distance en collaboration avec une équipe américaine a été proposé. Après un cours théorique présentiel, des «monthly papers » sont postés, avec des questions et un résumé à réaliser tout en anglais. Les articles sont choisis et corrigés par des enseignants participant à l’enseignement de LCA. La correction est améliorée concernant l’anglais par des enseignants d’Harvard School of Public Health. Les étudiants s’autocorrigent. Un forum et un enseignement dirigé permettent de répondre aux questions. Un examen écrit valide l’enseignement.Discussion – ConclusionCet enseignement récemment organisé à l’objectif de favoriser la LCA en anglais tout en motivant les étudiants (en plus de l’examen) en leur proposant des articles supplémentaires, et ce malgré en enseignement à distance et l’autocorrection. Cela permet aussi d’élargir des collaborations, du domaine recherche vers la pédagogie.En développant un enseignement à distance et international, dont les étudiants peuvent avoir un bénéfice double (anglais et LCA), il semble que l’objectif peut être atteint, même si une évaluation sera nécessaire.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors des Etats Généraux de la Formation Médicale (EGFM) : Enjeux, Parcours, Evaluation. Session : Echanges internationaux. Modérateurs : Modérateurs : Philippe DELAVAL (Rennes), Jacques MOTTE (Reims)Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine.Réalisation, production : Canal U3S - CERIMES avec le partenariat de l’UNF3S.Mots clés : EGFM 2011, formation médicale, conférence des doyens, UNF3S, UMVF, efficience, études, enseignement, médical, EGFM, 2011, Bobigny
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Titre : Formation médicale 2011 - L’EU3M : première composante universitaire française au service de la maïeutiqueAuteurs : Anne DEMEESTER (MARSEILE)Résumé : La maïeutique est définie comme champ disciplinaire propre à l’exercice médical des sages-femmes. L’intégration universitaire des études de maïeutique a commencé en 2002, par le recrutement des étudiants à l’issue du concours de fin de première année des études médicales. En 2009, la loi HPST permet aux universités françaises d’organiser la formation des sages-femmes et maïeuticiens. La première année commune aux études de santé (PACES) permet en 2010 une meilleure concordance entre le choix de l’étudiant et sa réussite au concours spécifique par filière. Enfin, l’arrêté du 19 juillet 2011 fixe les modalités de mise en œuvre du 1er cycle des études de maïeutique et de l’obtention du diplôme d’études générales en sciences maïeutiques, poursuite du processus LMD. Dans ce contexte, le 1er septembre 2010, l’Ecole Universitaire de Maïeutique Marseille Méditerranée(EU3M), première école universitaire de maïeutique et 13ème composante interne de l’université de la Méditerranée, a vu le jour. Ses missions, assurées dans trois départements distincts, concernent la formation initiale des sages-femmes, leur développement professionnel continu et la recherche, propres à ce champ disciplinaire. A douze mois de son intégration, l’équipe pédagogique et administrative de l’EU3M dresse le bilan de son intégration universitaire. Quels sont les bénéfices liés à l’organisation et au fonctionnement de l’école en tant que composante interne de l’université ? La petite dimension de la composante est-elle un frein pour son évolution au sein de l’université ? La mise en œuvre du nouveau programme est-elle facilitée ? Le coût global de formation est-il modifié ? Les relations avec le CHU sont-elles différentes ? Quelles sont les perspectives d’évolution de la composante ?La communication s’attachera à présenter les résultats d’une pleine année d’intégration. A l’échelle locale, le bilan global de l’EU3M s’avère très positif. Cependant, le caractère isolé de ce modèle pose question notamment quant à la généralisation de l’intégration universitaire des autres écoles de maïeutique françaises et à l’évolution statutaire des sages-femmes enseignantes.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors des Etats Généraux de la Formation Médicale (EGFM) : Enjeux, Parcours, Evaluation. Session : Maïeutique. Modérateurs : Modérateurs : Philippe DELAVAL (Rennes), Jacques MOTTE (Reims)Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine.Réalisation, production : Canal U3S - CERIMES avec le partenariat de l’UNF3S.Mots clés : EGFM 2011, formation médicale, conférence des doyens, UNF3S, UMVF, efficience, études, enseignement, médical, EGFM, 2011, Bobigny
Titre : Formation médicale 2011 - L’EU3M : première composante universitaire française au service de la maïeutiqueAuteurs : Anne DEMEESTER (MARSEILE)Résumé : La maïeutique est définie comme champ disciplinaire propre à l’exercice médical des sages-femmes. L’intégration universitaire des études de maïeutique a commencé en 2002, par le recrutement des étudiants à l’issue du concours de fin de première année des études médicales. En 2009, la loi HPST permet aux universités françaises d’organiser la formation des sages-femmes et maïeuticiens. La première année commune aux études de santé (PACES) permet en 2010 une meilleure concordance entre le choix de l’étudiant et sa réussite au concours spécifique par filière. Enfin, l’arrêté du 19 juillet 2011 fixe les modalités de mise en œuvre du 1er cycle des études de maïeutique et de l’obtention du diplôme d’études générales en sciences maïeutiques, poursuite du processus LMD. Dans ce contexte, le 1er septembre 2010, l’Ecole Universitaire de Maïeutique Marseille Méditerranée(EU3M), première école universitaire de maïeutique et 13ème composante interne de l’université de la Méditerranée, a vu le jour. Ses missions, assurées dans trois départements distincts, concernent la formation initiale des sages-femmes, leur développement professionnel continu et la recherche, propres à ce champ disciplinaire. A douze mois de son intégration, l’équipe pédagogique et administrative de l’EU3M dresse le bilan de son intégration universitaire. Quels sont les bénéfices liés à l’organisation et au fonctionnement de l’école en tant que composante interne de l’université ? La petite dimension de la composante est-elle un frein pour son évolution au sein de l’université ? La mise en œuvre du nouveau programme est-elle facilitée ? Le coût global de formation est-il modifié ? Les relations avec le CHU sont-elles différentes ? Quelles sont les perspectives d’évolution de la composante ?La communication s’attachera à présenter les résultats d’une pleine année d’intégration. A l’échelle locale, le bilan global de l’EU3M s’avère très positif. Cependant, le caractère isolé de ce modèle pose question notamment quant à la généralisation de l’intégration universitaire des autres écoles de maïeutique françaises et à l’évolution statutaire des sages-femmes enseignantes.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors des Etats Généraux de la Formation Médicale (EGFM) : Enjeux, Parcours, Evaluation. Session : Maïeutique. Modérateurs : Modérateurs : Philippe DELAVAL (Rennes), Jacques MOTTE (Reims)Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine.Réalisation, production : Canal U3S - CERIMES avec le partenariat de l’UNF3S.Mots clés : EGFM 2011, formation médicale, conférence des doyens, UNF3S, UMVF, efficience, études, enseignement, médical, EGFM, 2011, Bobigny
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L'héritage de l'Espagne des trois cultures : musulmans, juifs et chrétiens. 2 / Juan Goytidolo. Rencontre-débat organisée par l'Université Toulouse II-Le Mirail, l'Institut Cervantes de Toulouse, en partenariat avec les Presses Universitaires du Mirail et le Centre d'Initiatives Artistiques du Mirail (CIAM) Toulouse : Institut Cervantès, 8 avril 2010. Cette journée fête le 25ème anniversaire de la revue Horizons maghrébins, Le droit à la mémoire avec la sortie de son numéro 61 consacré à cette Espagne des trois cultures. Parallèlement, la bibliothèque universitaire du Mirail présentait une exposition intitulée "L'héritage de l'Espagne des trois cultures, un regard contemporain sur un temps passé" rassemblant des œuvres de l'artiste Cyril Torres créées spécialement pour l'occasion.Juan Goytisolo explore trois sujets exclus de l'analyse officielle de la littérature espagnole -analyse forgée à l'aune des canons culturels du national-catholicisme- et qui font pourtant l'originalité d'une culture espagnole enrichie dès le XIVe siècle par des influences réciproques entre maures, juifs et chrétiens. Premièrement, il affirme le caractère mudejar de la littérature espagnole au travers, notamment, du "Cantar de Mio Cid" et de "El Conde Lucanor" de Ramon Lull, des récits de "Calila et Dimna" et des "Mille et une nuits". Deuxièmement, le tabou de la "pureté du sang", de la conversion des juifs, des nouveaux et des anciens chrétiens, qui est une question fondamentale pour la compréhension des œuvres de Juan Luis Vivès (ami d'Erasme de Rotterdam), de Fray Luis de León, de Mateo Alemán, d'Antón Montaro de Ropero, du "Lazarillo de Tormes", de la "Celestina" de Fernando de Rojas, etc. Le troisième tabou est l'exclusion de l'érotisme pourtant très présent dans la littérature espagnole médiévale, par exemple dans le "Cancionero de Burgos". Pour Goytisolo, l'Espagne, dont la langue castillane est marquée par plus de quatre mille mots d'origine arabe et qui peut s'enorgueillir d'être dans la trajectoire d'un courant rationaliste qui part des traductions juives des écrits d'Averroes jusqu'à Spinoza en passant par Uriel da Costa, est certes un pays occidental, mais d'une "occidentalité nuancée".« En repensant la force critique et créatrice des grandes œuvres du passé, Goytisolo remet en cause les schémas de pensée préétablis ; il éclaire les zones d’ombre et les non-dits présents dans les discours idéologiques qui fixent des rapports déterminés à l’identité collective, à la mémoire historique et autres cultures » (source : Yannick Llored sur Babelmed).** Illustration du générique : peinture-collage de Cyril Torres.
L'héritage de l'Espagne des trois cultures : musulmans, juifs et chrétiens. 2 / Juan Goytidolo. Rencontre-débat organisée par l'Université Toulouse II-Le Mirail, l'Institut Cervantes de Toulouse, en partenariat avec les Presses Universitaires du Mirail et le Centre d'Initiatives Artistiques du Mirail (CIAM) Toulouse : Institut Cervantès, 8 avril 2010. Cette journée fête le 25ème anniversaire de la revue Horizons maghrébins, Le droit à la mémoire avec la sortie de son numéro 61 consacré à cette Espagne des trois cultures. Parallèlement, la bibliothèque universitaire du Mirail présentait une exposition intitulée "L'héritage de l'Espagne des trois cultures, un regard contemporain sur un temps passé" rassemblant des œuvres de l'artiste Cyril Torres créées spécialement pour l'occasion.Juan Goytisolo explore trois sujets exclus de l'analyse officielle de la littérature espagnole -analyse forgée à l'aune des canons culturels du national-catholicisme- et qui font pourtant l'originalité d'une culture espagnole enrichie dès le XIVe siècle par des influences réciproques entre maures, juifs et chrétiens. Premièrement, il affirme le caractère mudejar de la littérature espagnole au travers, notamment, du "Cantar de Mio Cid" et de "El Conde Lucanor" de Ramon Lull, des récits de "Calila et Dimna" et des "Mille et une nuits". Deuxièmement, le tabou de la "pureté du sang", de la conversion des juifs, des nouveaux et des anciens chrétiens, qui est une question fondamentale pour la compréhension des œuvres de Juan Luis Vivès (ami d'Erasme de Rotterdam), de Fray Luis de León, de Mateo Alemán, d'Antón Montaro de Ropero, du "Lazarillo de Tormes", de la "Celestina" de Fernando de Rojas, etc. Le troisième tabou est l'exclusion de l'érotisme pourtant très présent dans la littérature espagnole médiévale, par exemple dans le "Cancionero de Burgos". Pour Goytisolo, l'Espagne, dont la langue castillane est marquée par plus de quatre mille mots d'origine arabe et qui peut s'enorgueillir d'être dans la trajectoire d'un courant rationaliste qui part des traductions juives des écrits d'Averroes jusqu'à Spinoza en passant par Uriel da Costa, est certes un pays occidental, mais d'une "occidentalité nuancée".« En repensant la force critique et créatrice des grandes œuvres du passé, Goytisolo remet en cause les schémas de pensée préétablis ; il éclaire les zones d’ombre et les non-dits présents dans les discours idéologiques qui fixent des rapports déterminés à l’identité collective, à la mémoire historique et autres cultures » (source : Yannick Llored sur Babelmed).** Illustration du générique : peinture-collage de Cyril Torres.
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Le rôle historique des institutions dans le progrès des sciences / Jacques Émile Blamont. Conférence donnée dans le cadre de l'Institut des Études Doctorales (IED) et présentée par Michel Eliard, directeur de l'UFR de Sociologie de l'université du Mirail. Université Toulouse II-Le Mirail, 3 mai 1999.Jacques Blamont présente l'historique d'un mode particulier de la recherche scientifique, l'agence d'objectifs. Après en avoir donné une définition et les principales caractéristiques, il date la naissance des agences d'objectifs contemporaines -marquant le passage d'une recherche scientifique universitaire à une recherche gouvernementale- par la mise en œuvre de la recherche spatiale avec la création de la Direction des armements de la Wehrmacht en 1932, la création d'une agence américaine à la demande d'Einstein et sur l'initiative de Roosevelt en 1942, la création, la même année, du NKVD en Union soviétique. Sur le modèle américain, la France créera le Centre National des Études Spatiales et le Commissariat à l'Énergie Atomique.Pour Jacques Blamont, l'histoire des agences d'objectifs s'enracine dans l'histoire lointaine des institutions portées par les politiques scientifiques stratégiques des gouvernements ou des "princes", dès le VIIIe siècle avant JC à Babylone et son collège des Mages, ensuite à Alexandrie avec le Musée et sa grande bibliothèque fondés par Ptolémée Sôter dont la dynastie mènera pendant plus de cent ans une politique d'investissements dans le domaine astronomique (mesures de positions stellaires) pour contribuer à la suprématie navale puis dans le domaine de la médecine.Jacques Blamont démontre ensuite comment, du XIIIe siècle et jusqu'au XVIIe siècle, des institutions scientifiques comme les universités européennes créées à l'initiative d'Innocent III, l'observatoire danois Uraniborg (fondé par Tycho Brahé avec les subsides de Frédéric II), le Collège romain institué par le jésuite Ignace de Loyola et le Pape Grégoire XIII, la Royal Society en Angleterre et l'Académie des sciences en France, etc. ont œuvré selon les principes d'agences d'objectifs caractérisées.
Le rôle historique des institutions dans le progrès des sciences / Jacques Émile Blamont. Conférence donnée dans le cadre de L'Institut des Études Doctorales (IED) et présentée par Michel Eliard, directeur de l'URF de Sociologie de l'université du Mirail. Université Toulouse II-Le Mirail, 3 mai 1999.
Le rôle historique des institutions dans le progrès des sciences / Jacques Émile Blamont. Conférence donnée dans le cadre de l'Institut des Études Doctorales (IED) et présentée par Michel Eliard, directeur de l'UFR de Sociologie de l'université du Mirail. Université Toulouse II-Le Mirail, 3 mai 1999.Jacques Blamont présente l'historique d'un mode particulier de la recherche scientifique, l'agence d'objectifs. Après en avoir donné une définition et les principales caractéristiques, il date la naissance des agences d'objectifs contemporaines -marquant le passage d'une recherche scientifique universitaire à une recherche gouvernementale- par la mise en œuvre de la recherche spatiale avec la création de la Direction des armements de la Wehrmacht en 1932, la création d'une agence américaine à la demande d'Einstein et sur l'initiative de Roosevelt en 1942, la création, la même année, du NKVD en Union soviétique. Sur le modèle américain, la France créera le Centre National des Études Spatiales et le Commissariat à l'Énergie Atomique.Pour Jacques Blamont, l'histoire des agences d'objectifs s'enracine dans l'histoire lointaine des institutions portées par les politiques scientifiques stratégiques des gouvernements ou des "princes", dès le VIIIe siècle avant JC à Babylone et son collège des Mages, ensuite à Alexandrie avec le Musée et sa grande bibliothèque fondés par Ptolémée Sôter dont la dynastie mènera pendant plus de cent ans une politique d'investissements dans le domaine astronomique (mesures de positions stellaires) pour contribuer à la suprématie navale puis dans le domaine de la médecine.Jacques Blamont démontre ensuite comment, du XIIIe siècle et jusqu'au XVIIe siècle, des institutions scientifiques comme les universités européennes créées à l'initiative d'Innocent III, l'observatoire danois Uraniborg (fondé par Tycho Brahé avec les subsides de Frédéric II), le Collège romain institué par le jésuite Ignace de Loyola et le Pape Grégoire XIII, la Royal Society en Angleterre et l'Académie des sciences en France, etc. ont œuvré selon les principes d'agences d'objectifs caractérisées. Le rôle historique des institutions dans le progrès des sciences / Jacques Émile Blamont. Conférence donnée dans le cadre de L'Institut des Études Doctorales (IED) et présentée par Michel Eliard, directeur de l'URF de Sociologie de l'université du Mirail. Université Toulouse II-Le Mirail, 3 mai 1999.
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Ressource documentaire
Ressource pédagogique
Ressource documentaire Ressource pédagogique
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Titre : Formation médicale 2011 - Évolution pédagogique de la formation en maïeutique à GrenobleAuteurs : Lionel DI MARCO (Grenoble), Chantal SEGUIN (GRENOBLE), Sylviane HENNEBICQ (GRENOBLE), Jean-Philippe VUILEZ (GRENOBLE), Jean-Paul ROMANET (GRENOBLE).Résumé : IntroductionAvec la parution de la loi HPST en juillet 2009 qui autorise l’universitarisation des études de sages-femmes, le choix de la structure universitaire à adopter pour notre école s’est posé. Nous présentons dans ce travail l’option retenue d’un département de Maïeutique dans l’UFR de Médecine et en corollaire de ce choix, l’évolution des enseignements vers une mutualisation et une dématérialisation de certains cours magistraux.Matériel et MéthodeLa réflexion institutionnelle a été menée dans des groupes de travail associant l’équipe pédagogique et les représentants étudiants de l’Ecole avec, chaque fois que nécessaire un élargissement aux enseignants de médecine fortement impliqués dans la maïeutique. Les décisions ont été présentées et validées par le conseil technique de l’Ecole puis présentées et validées en Conseil d’UFR de médecine. Pour la dématérialisation des cours, les moyens techniques de la plateforme TICE /UFR deMédecine ont été ouverts à la maïeutique avec intégration à la cellule de la sage-femme enseignant chargé du projet.Résultat et analyseLe Département est effectif depuis le 1er septembre 2011. Outre les missions classiques de celui-ci, étaient attendues des modifications dans l’enseignement grâce au soutien de l’UFR de Médecine dans la mise en place de nouveaux moyens pédagogiques tels que la mutualisation de certains cours avec les étudiants en médecine et la dématérialisation de l’enseignement magistral. En ce qui concerne la mutualisation des cours, tout l’enseignement de la génétique-reproduction-développement ainsi que celui du C2i a été mutualisé entre les étudiants de 2ème année de médecine et ceux de maïeutique. Les étudiants de dernière année de maïeutique suivent l’enseignement de gynécologie dispensé aux étudiants en médecine en Formation Intégrée Hospitalo- Universitaire. La dématérialisation de 238 heures de cours est prévue. La priorité a été donnée aux cours de 2ème année du programme de maïeutique mis en place en 2010-2011. Le projet est réalisé aux 2/3. Le travail se poursuit pour les autres années d’études.ConclusionA environ un an de la décision de constituer un département d’UFR comme structure universitaire pour les études de maïeutique, l’objectif est atteint. Pour la dématérialisation des cours, l’objectif est atteint aux 2/3 et une réflexion sur l’extension du projet est en cours. Enfin, l’accession des étudiants de maïeutique à un parcours de recherche s’organise en utilisant les masters existant au sein du site universitaire santé.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors des Etats Généraux de la Formation Médicale (EGFM) : Enjeux, Parcours, Evaluation. Session : Maïeutique. Modérateurs : Modérateurs : Philippe DELAVAL (Rennes), Jacques MOTTE (Reims)Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine.Réalisation, production : Canal U3S - CERIMES avec le partenariat de l’UNF3S.Mots clés : EGFM 2011, formation médicale, conférence des doyens, UNF3S, UMVF, efficience, études, enseignement, médical, EGFM, 2011, Bobigny
Titre : Formation médicale 2011 - Évolution pédagogique de la formation en maïeutique à GrenobleAuteurs : Lionel DI MARCO (Grenoble), Chantal SEGUIN (GRENOBLE), Sylviane HENNEBICQ (GRENOBLE), Jean-Philippe VUILEZ (GRENOBLE), Jean-Paul ROMANET (GRENOBLE).Résumé : IntroductionAvec la parution de la loi HPST en juillet 2009 qui autorise l’universitarisation des études de sages-femmes, le choix de la structure universitaire à adopter pour notre école s’est posé. Nous présentons dans ce travail l’option retenue d’un département de Maïeutique dans l’UFR de Médecine et en corollaire de ce choix, l’évolution des enseignements vers une mutualisation et une dématérialisation de certains cours magistraux.Matériel et MéthodeLa réflexion institutionnelle a été menée dans des groupes de travail associant l’équipe pédagogique et les représentants étudiants de l’Ecole avec, chaque fois que nécessaire un élargissement aux enseignants de médecine fortement impliqués dans la maïeutique. Les décisions ont été présentées et validées par le conseil technique de l’Ecole puis présentées et validées en Conseil d’UFR de médecine. Pour la dématérialisation des cours, les moyens techniques de la plateforme TICE /UFR deMédecine ont été ouverts à la maïeutique avec intégration à la cellule de la sage-femme enseignant chargé du projet.Résultat et analyseLe Département est effectif depuis le 1er septembre 2011. Outre les missions classiques de celui-ci, étaient attendues des modifications dans l’enseignement grâce au soutien de l’UFR de Médecine dans la mise en place de nouveaux moyens pédagogiques tels que la mutualisation de certains cours avec les étudiants en médecine et la dématérialisation de l’enseignement magistral. En ce qui concerne la mutualisation des cours, tout l’enseignement de la génétique-reproduction-développement ainsi que celui du C2i a été mutualisé entre les étudiants de 2ème année de médecine et ceux de maïeutique. Les étudiants de dernière année de maïeutique suivent l’enseignement de gynécologie dispensé aux étudiants en médecine en Formation Intégrée Hospitalo- Universitaire. La dématérialisation de 238 heures de cours est prévue. La priorité a été donnée aux cours de 2ème année du programme de maïeutique mis en place en 2010-2011. Le projet est réalisé aux 2/3. Le travail se poursuit pour les autres années d’études.ConclusionA environ un an de la décision de constituer un département d’UFR comme structure universitaire pour les études de maïeutique, l’objectif est atteint. Pour la dématérialisation des cours, l’objectif est atteint aux 2/3 et une réflexion sur l’extension du projet est en cours. Enfin, l’accession des étudiants de maïeutique à un parcours de recherche s’organise en utilisant les masters existant au sein du site universitaire santé.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors des Etats Généraux de la Formation Médicale (EGFM) : Enjeux, Parcours, Evaluation. Session : Maïeutique. Modérateurs : Modérateurs : Philippe DELAVAL (Rennes), Jacques MOTTE (Reims)Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine.Réalisation, production : Canal U3S - CERIMES avec le partenariat de l’UNF3S.Mots clés : EGFM 2011, formation médicale, conférence des doyens, UNF3S, UMVF, efficience, études, enseignement, médical, EGFM, 2011, Bobigny
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