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Les sciences humaines et sociales et leur place dans la lutte contre le cancer : table ronde
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 21-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
POULAIN Jean-Pierre, CAZAUX Christophe, FOUCAULT Didier
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Les sciences humaines et sociales et leur place dans la lutte contre le cancer : table ronde. Présentée par Pierre C. Lile et avec Jean-Pierre Poulain, Christophe Cazaux, Didier Foucault. Dans "Histoire du cancer (1750-1950)", colloque international organisé par le laboratoire FRAMESPA (université Toulouse II-Le Mirail), l'Institut Claudius Regaud et le Centre d'Études d'Histoire de la Médecine. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, Institut Claudius Regaud, 20-22 janvier 2011. Parenthèse dans ce colloque entièrement dédié à l'histoire, cette table ronde a pour but d'ouvrir un dialogue sur la place, dans la lutte contre le cancer, des disciplines rattachées aux domaines des Lettres et sciences humaines et sociales (SHS).Jean-Pierre POULAIN, sociologue, présente le rapport qu'il a rédigé à la demande du Conseil régional Midi-Pyrénées sur ce thème. Situant son enquête sur le terrain du grand Sud-Ouest, il met en évidence la place relativement faible de ces domaines dans les programmes engagés ces dernières années sur la thématique du cancer. Il montre quels sont les freins à une plus large coopération interdisciplinaire, tant du côté des sciences biomédicales et de la médecine que du côté des SHS. Les multiples interférences du cancer dans nos sociétés rendent pourtant ces coopérations nécessaires : non seulement au niveau de la recherche appliquée, mais à moyen terme, au stade de la recherche et du développement ainsi que, à plus longue échéance, pour une meilleure compréhension entre la société civile -malades, famille, entourage- et l'ensemble des acteurs médicaux, industriels, associatifs et politiques qui participent à la lutte contre le cancer. La communauté d'agglomération du Grand Toulouse a conscience que la réussite de l'Oncopôle de Langlade, en cours d'édification, ne doit pas être seulement le rassemblement sur un même site d'une clinique hospitalo-universitaire du cancer, de laboratoires de l'INERM et du CNRS et d'établissements de l'industrie pharmaceutique en pointe de l'innovation scientifique et thérapeutique.Yves CAZAUX expose le projet "Toulouse Biodyssée". Cet équipement, tourné vers le grand public, s'intègre dans "l'Espace 31" destiné à accueillir les sièges sociaux d'associations (Ligue contre le cancer), du pôle de compétitivité Cancer Bio-Santé,, un centre de remise en forme des convalescents (mais ouvert à tous) ainsi qu'un complexe d'hôtellerie et de restauration... "Toulouse Biodyssée" aura une vocation pédagogique. Il aura pour mission de sensibiliser le public, souvent mal informé de tout ce qui touche au cancer, en surmontant les tabous et peurs irrationnelles qui pèsent sur ce mal : depuis les avancées de la science biomédicale jusqu'aux implications sociales de cette maladie. Lieu de rencontre, la structure comportera des salles d'exposition, un amphithéâtre, des ateliers interactifs, un jardin de plantes médicinales... Didier FOUCAULT intervient en qualité de responsable de la diffusion des savoirs au sein de l'Université Toulouse 2-Le Mirail. Il insiste sur l'importance pour les Lettres et SHS de ne pas rester repliées sur elles-mêmes. Il en va de leur reconnaissance sociale. Un colloque comme celui-ci est un exemple de ce qu'elles peuvent apporter tant aux chercheurs qui traquent le cancer dans leurs laboratoires qu'à l'ensemble de nos concitoyens. Ces communications sont suivies d'un débat auquel ont participé de nombreux acteurs de la lutte contre le cancer présents dans l'assistance. Mot(s) clés libre(s) : cancer (prévention), cancer (soin), centres de lutte contre le cancer, coopération scientifique et technique, équipements sanitaires et sociaux (Toulouse), médecine et sciences humaines, oncopôle (Toulouse-Midi-Pyrénées), transdisciplinarité (lutte contre
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Les sciences humaines et sociales et leur place dans la lutte contre le cancer : table ronde
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 21-01-2011
/ Canal-u.fr
POULAIN Jean-Pierre, CAZAUX Christophe, FOUCAULT Didier
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Les sciences humaines et sociales et leur place dans la lutte contre le cancer : table ronde. Présentée par Pierre C. Lile et avec Jean-Pierre Poulain, Christophe Cazaux, Didier Foucault. Dans "Histoire du cancer (1750-1950)", colloque international organisé par le laboratoire FRAMESPA (université Toulouse II-Le Mirail), l'Institut Claudius Regaud et le Centre d'Études d'Histoire de la Médecine. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, Institut Claudius Regaud, 20-22 janvier 2011. Parenthèse dans ce colloque entièrement dédié à l'histoire, cette table ronde a pour but d'ouvrir un dialogue sur la place, dans la lutte contre le cancer, des disciplines rattachées aux domaines des Lettres et sciences humaines et sociales (SHS).Jean-Pierre POULAIN, sociologue, présente le rapport qu'il a rédigé à la demande du Conseil régional Midi-Pyrénées sur ce thème. Situant son enquête sur le terrain du grand Sud-Ouest, il met en évidence la place relativement faible de ces domaines dans les programmes engagés ces dernières années sur la thématique du cancer. Il montre quels sont les freins à une plus large coopération interdisciplinaire, tant du côté des sciences biomédicales et de la médecine que du côté des SHS. Les multiples interférences du cancer dans nos sociétés rendent pourtant ces coopérations nécessaires : non seulement au niveau de la recherche appliquée, mais à moyen terme, au stade de la recherche et du développement ainsi que, à plus longue échéance, pour une meilleure compréhension entre la société civile -malades, famille, entourage- et l'ensemble des acteurs médicaux, industriels, associatifs et politiques qui participent à la lutte contre le cancer. La communauté d'agglomération du Grand Toulouse a conscience que la réussite de l'Oncopôle de Langlade, en cours d'édification, ne doit pas être seulement le rassemblement sur un même site d'une clinique hospitalo-universitaire du cancer, de laboratoires de l'INERM et du CNRS et d'établissements de l'industrie pharmaceutique en pointe de l'innovation scientifique et thérapeutique.Christophe CAZAUX expose le projet "Toulouse Biodyssée". Cet équipement, tourné vers le grand public, s'intègre dans "l'Espace 31" destiné à accueillir les sièges sociaux d'associations (Ligue contre le cancer), du pôle de compétitivité Cancer Bio-Santé, un centre de remise en forme des convalescents (mais ouvert à tous) ainsi qu'un complexe d'hôtellerie et de restauration... "Toulouse Biodyssée" aura une vocation pédagogique. Il aura pour mission de sensibiliser le public, souvent mal informé de tout ce qui touche au cancer, en surmontant les tabous et peurs irrationnelles qui pèsent sur ce mal : depuis les avancées de la science biomédicale jusqu'aux implications sociales de cette maladie. Lieu de rencontre, la structure comportera des salles d'exposition, un amphithéâtre, des ateliers interactifs, un jardin de plantes médicinales... Didier FOUCAULT intervient en qualité de responsable de la diffusion des savoirs au sein de l'Université Toulouse 2-Le Mirail. Il insiste sur l'importance pour les Lettres et SHS de ne pas rester repliées sur elles-mêmes. Il en va de leur reconnaissance sociale. Un colloque comme celui-ci est un exemple de ce qu'elles peuvent apporter tant aux chercheurs qui traquent le cancer dans leurs laboratoires qu'à l'ensemble de nos concitoyens. Ces communications sont suivies d'un débat auquel ont participé de nombreux acteurs de la lutte contre le cancer présents dans l'assistance. Mot(s) clés libre(s) : cancer (prévention), centres de lutte contre le cancer, cancer (soin), coopération scientifique et technique, équipements sanitaires et sociaux (Toulouse), médecine et sciences humaines, oncopôle (Toulouse-Midi-Pyrénées), transdisciplinarité (lutte contre le cancer)
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La lutte contre le cancer en 1950 / Patrice Pinell
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
PINELL Patrice
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La lutte contre le cancer en 1950 / Patrice Pinell. Dans "Histoire du cancer (1750-1950)", colloque international organisé par le laboratoire FRAMESPA (Université Toulouse II-Le Mirail), l'Institut Claudius Regaud et le Centre d'Études d'Histoire de la Médecine. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, Institut Claudius Regaud, 20-22 janvier 2011. Thématique 4 : Histoire du cancer (1750-1950) : Perceptions et représentations, 22 janvier 2011. Cette présentation analyse les changements affectant les institutions, les traitements et l’organisation de la lutte contre le cancer entre 1945 et 1960. La recherche entend traiter trois problèmes sociologiques. Le premier est celui de l’interdépendance entre les changements propres à cet espace et ceux qui, plus globalement concernent l’ensemble des institutions du champ médical. Le deuxième est celui relatif à l’importation d’innovations scientifiques et techniques produites aux États-Unis dans l’espace cancer français, à savoir les applications médicales de l’énergie nucléaire (isotopes radioactifs, Bêtatron, Bombe au Cobalt) et la chimiothérapie. Le troisième problème concerne l’analyse des relations qui peuvent être établies entre les transformations d’un espace et le renouvellement générationnel des agents investis dans cet espace.La communication de Patrice Pinell s’attache à montrer que la dynamique des changements est déterminée par l’interpénétration des stratégies conservatrices de ceux qui occupent les positions de pouvoirs institutionnels et des stratégies novatrices de deux groupes d’outsiders qui se différencient des médecins dominants sur deux plans, leur investissement dans la recherche médicale et leur engagement pendant la guerre dans la résistance. Mot(s) clés libre(s) : cancer (recherche), cancer (thérapeutique), centres de lutte contre le cancer, histoire de la médecine (20e siècle), innovations médicales (cancérologie), lutte contre le cancer (aspect sociologique), politique sanitaire (France)
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Théodore Marie et Joseph Ducuing: approches de la lutte contre le cancer à Toulouse / Olivier Munoz
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
MUNOZ Olivier
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Théodore Marie et Joseph Ducuing : deux approches de la lutte contre le cancer à Toulouse dans l’entre-deux-guerres / Olivier Munoz. Dans "Histoire du cancer (1750-1950)", colloque international organisé par le laboratoire FRAMESPA (université Toulouse II-Le Mirail), l'Institut Claudius Regaud et le Centre d'Études d'Histoire de la Médecine. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, Institut Claudius Regaud, 20-22 janvier 2011. Thématique 3 : Institutionnalisation de la lutte contre le cancer (1914-1950), 22 janvier 2011.Dans un contexte où les recherches historiques sur les grands programmes nationaux de lutte contre le cancer mis en place durant le XXe siècle foisonnent, il convient de s’intéresser à des exemples plus resserrés, selon des échelles régionale et locale. Le cas de Toulouse permet d’appréhender comment une ville de province s’aligne sur le plan de lutte établi par le consortium entre le ministère de l’Hygiène et de la Prévoyance sociale et la Ligue contre le cancer. Cette communication expose les distorsions qui se dessinent entre le projet national et son application au sein de la médecine et de la société toulousaines à travers l’initiative de deux figures locales : les professeurs Théodore Marie et Joseph Ducuing. Ces deux directeurs emblématiques du Centre régional anticancéreux de Toulouse, construit dans les années vingt, s’opposent en tous points, de leur spécialité médicale jusqu’à leur conception même de la lutte sur le plan social. Ce sont ces différences qui nous permettent d’appréhender la spécificité du cas de Toulouse. Mot(s) clés libre(s) : centres de lutte contre le cancer (Toulouse), histoire de la médecine (20e siècle), Joseph Ducuing (1885-1963), Théodore Marie, Toulouse (entre-deux-guerres)
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"Le pavillon des cancéreux" d'Alexandre Soljenitsyne / Pierre C. Lile
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LILE Pierre C.
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"Le pavillon des cancéreux" d'Alexandre Soljenitsyne / Pierre C. Lile. Dans "Histoire du cancer (1750-1950)", colloque international organisé par le laboratoire FRAMESPA (université Toulouse II-Le Mirail), l'Institut Claudius Regaud et le Centre d'Études d'Histoire de la Médecine. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, Institut Claudius Regaud, 20-22 janvier 2011. Thématique 4 : Histoire du cancer (1750-1950) : Perceptions et représentations, 22 janvier 2011. Malgré son titre et son sujet, cet ouvrage, paru dans sa traduction française en 1968, s’inscrit bien dans l'œuvre de l’écrivain, car l’ombre géante et sinistre du goulag stalinien et de la relégation à vie plane sur tous les personnages (médecins et malades) de l’Hôpital. Roman récit très autobiographique (écrit dix ans après la propre hospitalisation de Soljenitsyne dans le même service) le livre contient, à la fois, un précieux témoignage sur le fonctionnement d’un « hôpital du Cancer » dans les années 1950 dans l’ex-empire soviétique -très proche, nous le savons, de ce qui se passait en France à la même époque- et l’immense diversité des destins humains confrontés à la maladie, à la souffrance et à la mort.Privilégiant l’aspect médical et anthropologique, cette communication étudie, dans une sorte de dialectique de la dualité, le rapport entre l’extérieur (la vie avant) et l’intérieur (le lieu clos de la salle commune) ; celui entre malades (les hommes) et médecins (les femmes) entre radiothérapeutes et chirurgiens, entre thérapeutique orthodoxe et médecine parallèle…Au centre du livre, le cancer, miroir de la destinée, est ici assimilé au « Mal » philosophique ou religieux. Mot(s) clés libre(s) : Alexandre Soljenytsine (1918-2008), cancer (dans la littérature), cancer (thérapeutique), centres de lutte contre le cancer (URSS), relations patient-médecin, URSS (20e siècle)
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Jean Bergonié à l'origine des centres de lutte contre le cancer / Bernard Hœrni
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 20-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
HŒRNI Bernard
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Jean Bergonié à l'origine des centres de lutte contre le cancer / Bernard Hœrni. Dans "Histoire du cancer (1750-1950)", colloque international organisé par le laboratoire FRAMESPA (université Toulouse II-Le Mirail), l'Institut Claudius Regaud et le Centre d'Études d'Histoire de la Médecine. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, Institut Claudius Regaud, 20-22 janvier 2011. Thématique 1 : Interrogations et incertitudes (1750-1890), 21 janvier 2011. D'origine très modeste, Jean Bergonié a déployé "des prodiges de travail, de patience, de ténacité, de diplomatie". Médecin et physicien à Bordeaux, en contacts suivis avec la médecine allemande, enseignant universitaire appliqué, chef de service hospitalier consciencieux, directeur des Archives d'électricité médicale, adoptant immédiatement les rayons X pour le diagnostic et le traitement, exerçant dans un cabinet privé, cancérologue, auteur d'oeuvre scientifique, dirigeant un hôpital militaire pendant la Grande Guerre, en relation avec ses collègues parisiens et des personnalités influentes au sein de la Commission des cancers, il a toutes les qualités requises pour être chargé du rapport sur la création des centres de lutte contre le cancer. Il réussit une synthèse qui recueille un consensus et le premier centre sera créé à Bordeaux en février 1923. Mot(s) clés libre(s) : cancer (prévention), cancérologie, centres de lutte contre le cancer, Jean Bergonié (1857-1925)
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L'organisation de la lutte contre le cancer au Canada (1914-1950) / Charles Hayter
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
HAYTER Charles
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D'une médecine privée à un problème de santé publique : l'organisation de la lutte contre le cancer au Canada (1914-1950) - From Private Practice to Public Problem: the Organization of Cancer Control in Canada (1900-1950) / Charles Hayter. Dans "Histoire du cancer (1750-1950)", colloque international organisé par le laboratoire FRAMESPA (université Toulouse II-Le Mirail), l'Institut Claudius Regaud et le Centre d'Études d'Histoire de la Médecine. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, Institut Claudius Regaud, 20-22 janvier 2011. Thématique 3 : Institutionnalisation de la lutte contre le cancer (1914-1950), 22 janvier 2011.In Canada, as in other western countries, cancer treatment was increasingly institutionalized in the early decades of the twentieth century. A disease formerly treated close to patients’ homes became a condition necessitating admission to a specialized treatment facility -a “cancer clinic". The factors that led to institutionalization included the emergence of radiotherapy, the increasing authority of medical specialists, and the idea of cancer as a public health problem. By the late 1930s, nearly all provinces had some form of cancer control program which varied from radium departments in general hospitals to full-fledged programs such as Saskatchewan’s Cancer Commission. Despite these ventures, statistics consistently showed that the new cancer clinics claimed authority over less than 50% of incident cases. This paper will explore the factors which led to this inadequacy: chiefly, an over-emphasis on geographic centralization, and the resistance of a fiercely independent medical profession. Although their voices were seldom heard, it is likely as well that patients themselves were fearful of these new and less personal venues for care.> [La communication en anglais de M. Charles Hayter est traduite en simultané en français par Madame Solange Hibbs, directrice du Centre de Traduction, d'Interprétation et de Médiation linguistique (CETIM) de l'Université Toulouse II-Le Mirail]. Mot(s) clés libre(s) : cancer (thérapeutique), centres de lutte contre le cancer (Canada), lutte contre le cancer (1930-1940), politique sanitaire (centralisation), services de cancérologie (Canada)
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Les médecins de la Grande Guerre : utopie et progrès dans le traitement du cancer / Alain Denax
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 21-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
DENAX Alain
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Les médecins de la Grande Guerre : utopie et progrès dans le traitement du cancer / Alain Denax. Dans "Histoire du cancer (1750-1950)", colloque international organisé par le laboratoire FRAMESPA (université Toulouse II-Le Mirail), l'Institut Claudius Regaud et le Centre d'Études d'Histoire de la Médecine. Toulouse : Institut Claudius Regaud, 20-22 janvier 2011. Thématique 2 : Pour une meilleure prise en charge thérapeutique (1890-1914), 21 janvier 2011. A la veille du premier conflit mondial, les chirurgiens pensent encore venir à bout du cancer par le seul exercice de leur art. La chirurgie, libérée de ses limites, grâce à l’anesthésie et à l’asepsie, exprime des ambitions légitimes. La radiothérapie dont on mesure les effets antitumoraux intéresse alors pourtant peu les chirurgiens. Les nécessités de la guerre vont obliger les chirurgiens à travailler en équipe, avec des radiologues, des bactériologistes, des histologistes, des physiciens, des rééducateurs et même des radiothérapeutes (on croit alors au pouvoir cicatrisant des rayons). Des centres, parfois à vocation universitaire, vont s’organiser autour d’une prise en charge pluridisciplinaire du blessé. En même temps, les premiers services de soins pour soldats cancéreux apparaissent. Cette organisation, motivée par une lutte patriotique, préfigure ce que seront plus tard, les centres de lutte contre le cancer.>> [Avertissement : certaines diapositives ou images du diaporama de M. Alain Denax issues du fonds de l'Établissement de Communication et de Production Audiovisuelle de la Défense (ECPAD) ont été volontairement "noircies" afin de respecter les droits de propriété littéraire et artistique]. Mot(s) clés libre(s) : armées (services médicaux et sanitaires), cancer (chirurgie), cancer (radiothérapie), cancer (thérapeutique), centres de lutte contre le cancer, France (1914-1918), médecine militaire
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Institut National du Cancer aux Etats-Unis et soutien fédéral au début du XXe siècle / David Cantor
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
CANTOR David
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L'Institut National du Cancer aux Etats-Unis et le soutien fédéral au début du XXe siècle - The National Cancer Institute and the Problems of Federal Sopport for Cancer in the Early Twentieth Century United States / David Cantor. Dans "Histoire du cancer (1750-1950)", colloque international organisé par le laboratoire FRAMESPA (université Toulouse II-Le Mirail), l'Institut Claudius Regaud et le Centre d'Études d'Histoire de la Médecine. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, Institut Claudius Regaud, 20-22 janvier 2011. Thématique 3 : Institutionnalisation de la lutte contre le cancer (1914-1950), 22 janvier 2011. On Sunday 8 August 1937 the Washington Post announced the creation of the National Cancer Institute (NCI) with the headline « ‘Conquer Cancer’ Adopted as Battle Cry of the Public Health Service. » Most of the funds of the new Federally-financed Institute initially went to purchase radium for the routine treatment of poor patients. But, the organization had ambitions beyond care for the poor. It also aimed to transform public and medical attitudes, behaviors and knowledge about cancer. To this end it started major programs of public education, and sought to encourage the development of state and local cancer control programs, specialist training programs for cancer practitioners, and research into the cause, cure and control of this group of diseases. Many of these initiatives raised old concerns about the appropriate role of the Federal government in health care and research. This paper explores how anxieties about Federal involvement in cancer shaped the work of the new institute.> [La communication en anglais de M. Charles Hayter est traduite en simultané en français par Madame Solange Hibbs, directrice du Centre de Traduction, d'Interprétation et de Médiation linguistique (CETIM) de l'Université Toulouse II-Le Mirail]. Mot(s) clés libre(s) : cancer (politique sanitaire), cancer (thérapeutique), centres de lutte contre le cancer (Etats-Unis), Etats-Unis (1930-1950), Institut National du Cancer (Etats-Unis), poltique de santé publique (Etats-Unis), programmes de recherche (cancer), Thomas Parra
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Histoire du cancer (1750-1950) : ouverture du colloque / J.-P. Armand, J.-M. Olivier, P. Cohen
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 20-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
ARMAND Jean-Pierre, OLIVIER Jean-Marc, COHEN Pierre
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Histoire du cancer (1750-1950) : ouverture du colloque / Jean-Pierre Armand, Jean-Marc Olivier, Pierre Cohen. Colloque international organisé par le laboratoire FRAMESPA (université Toulouse II-Le Mirail), l'Institut Claudius Regaud et le Centre d'Études d'Histoire de la Médecine. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, Institut Claudius Regaud, 20-22 janvier 2011.Alors que la lutte contre le cancer demeure un combat de santé publique de premier plan, on constate un regain d'intérêt pour les problématiques relatives à cette maladie, notamment parmi les acteurs des sciences humaines. Certains ont fait le pari d'ériger le cancer en objet d'histoire. On observe ainsi, en France comme à l'étranger, que de plus en plus d'universitaires et de chercheurs se penchent sur l'histoire des prises en charge, des préventions et de la lutte contre cette maladie. C’est à une confrontation de ces réflexions qu’invite ce colloque qui s'est tenu à Toulouse, ville qui s’affirme comme un des centres internationaux les plus dynamiques en matière de lutte contre le cancer. L’édification, sur le site de Langlade, d’un complexe hospitalier, scientifique et industriel, centré sur le cancer, en est l’illustration la plus visible. Les laboratoires de recherche œuvrant dans le cadre du « Cancéropôle Grand Sud-Ouest » et du pôle de compétitivité « Cancer-bio-santé », les entreprises pharmaceutiques et les équipes soignantes s’y trouvent étroitement associés pour développer, dans une synergie féconde, recherche fondamentale, applications industrielles et traitements de pointe.En favorisant une approche historique de la question du cancer depuis le milieu du XVIIIe siècle aux années 1950, cette rencontre apporte une contribution originale à cet effort collectif. La période choisie a pour objectif de dégager les continuités et les mutations dans les représentations de la maladie dans la prise en charge des patients, comme dans les politiques de lutte contre le cancer depuis la médecine des Lumières jusqu’aux balbutiements de la chimiothérapie. Ce colloque invite à rendre compte de la diversité des approches, à présenter des études régionales comme nationales, et à proposer des perspectives comparatistes internationales. Les communications sont organisées autour de quatre axes. Le premier est consacré aux interrogations et aux incertitudes, entre le milieu du XVIe et la fin du XIXe siècle, période marquée par un intérêt croissant de la médecine pour la maladie qui se traduit par des tâtonnements dans la thérapeutique en cancérogenèse. Le deuxième axe abordera l'évolution des traitements entre 1890 et 1914 où la chirurgie devient alors plus audacieuse et de nouveaux espoirs apparaissent avec la découverte des propriétés curatives des rayons X et du radium. Le troisième portera sur l'institutionnalisation de la lutte contre le cancer, avec la mise en place de centres anticancéreux et de programmes de prévention, depuis la Première Guerre mondiale jusqu'à l'immédiate après-Seconde Guerre. La dernière séance de travail portera sur l'image de la maladie, selon les différentes perceptions et représentations du cancer depuis le XVIIe siècle.Interventions inaugurales de : - Jean-Pierre Armand, docteur, directeur général de l'Institut Claudius Regaud, - Jean-Marc Olivier, directeur du laboratoire FRAMESPA de l'Université Toulouse II-Le Mirail.- Pierre Cohen, député-maire de Toulouse. Mot(s) clés libre(s) : cancer (aspects sociologiques), cancer (prévention), cancer (radiothérapie), cancer (thérapeutique), centres de lutte contre le cancer (France), histoire de la médecine, lutte contre le cancer (Canada), lutte contre le cancer (Espagne), National cancer in
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