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Quand la République romaine prend-elle fin?
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne
/ 18-05-2015
/ Canal-u.fr
PITTIA Sylvie
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A quelle date la République romaine prend-elle fin ? Les tensions s'accumulent dans les dernières décennies : de l'assassinat de César à l'avènement d'Auguste en 27, la République romaine vit ses dernières années.Cette vidéo est issue du MOOC "Découper le temps : les périodes de l'histoire". Mot(s) clés libre(s) : Mondes anciens, Assassinat de César, Octave, Marc-Antoine, Auguste, Triumvirat
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Comment les anciens pensaient-ils les grandes dates de leur histoire?
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne
/ 18-05-2015
/ Canal-u.fr
PITTIA Sylvie
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Pour les mondes grecs ou romains, les divisions générales en périodes ont des frontières pour parties artificielles. Cependant, les Anciens étaient attentifs à la façon de compter les années et de façon générale au calendrier. Quels sont les outils mobilisés pour calculer le temps et quelles sont les évolutions ?Cette vidéo est issue du MOOC "Découper le temps : les périodes de l'histoire". Mot(s) clés libre(s) : calendrier, Mondes anciens, César, Temps, Fastes
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Coutume et sentiments moraux chez Beccaria / Philippe Audegean
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 28-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
AUDEGEAN Philippe
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Dans "Des délits et des peines" (1764-1766), Beccaria lutte contre le règne des coutumes dans la vie du droit : sa bataille juridique contre les droits coutumiers s’accompagne d’une bataille philosophique contre la doctrine aristotélicienne de la prudence et de l’équité. Le droit ne doit pas, sous prétexte de sa complexité, être livré à la fausse sagesse coutumière des juristes mais se soumettre aux calculs éclairés de la raison : l’esprit philosophique doit se substituer à l’esprit juridique.Beccaria ne demande pourtant pas aux citoyens d’exercer leur raison toutes les fois qu’ils doivent obéir à la loi : il s’agit bien entendu de fonder de nouvelles habitudes morales, soit une nouvelle coutume. Au projet juridique de codification du droit se trouve ainsi associée l’anthropologie philosophique de l’empirisme : association des idées, mécanismes de l’esprit, pédagogie de la répétition. Il y a donc, dans "Des délits et des peines", deux concepts de coutume ou d’habitude. Le premier est négatif et s’inscrit dans un vaste projet des Lumières : substituer les éclairages de la raison aux aveuglements de la coutume. Mais l’autre est positif et associé par Beccaria aux « sentiments moraux », aussi lents à se former que rapides à se détruire, indispensables à la cohésion civile et aux valeurs collectives, fondés sur l’exercice empiriste de la répétition et de l’association. Y a-t-il tension ou équilibre entre ces deux concepts ? Les sentiments moraux doivent prendre la relève des droits coutumiers : que gagne-t-on exactement au change ?Communication donnée dans le cadre des 4e Rencontres internationales La Boétie de Sarlat organisées par la Société des amis de La Boétie au Centre culturel de Sarlat, du 26 au 28 novembre 2008, colloque "La coutume : formes, représentations et enjeux ".Voir les autres vidéos du colloque Mot(s) clés libre(s) : anthropologie philosophique, Cesare Beccaria (1738-1794), coutume (droit), droit coutumier, droit et morale, épistémologie, pensée politique et sociale, philosophie (18e siècle), philosophie du droit
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"Des délits et des peines - Traduction" - (Philippe Audegean)
/ ENS-LSH/SCAM, ENS-LSH / Canal Philo / Service Commun Audiovisuel et Multimédia
/ 21-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
AUDEGEAN Philippe
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C’est à un jeune Milanais de 26 ans que l’on doit une œuvre majeure des Lumières européennes. Dans Des délits et des peines, Cesare Beccaria dénonce la torture, les supplices, les aberrations de la justice de son temps. En condamnant la peine de mort comme injuste et inutile, il devient, en 1764, le tout premier abolitionniste de l’histoire. Le livre a aussitôt déclenché un vaste débat qui, aujourd’hui encore, est loin d’être clos.De cette actualité de Beccaria témoigne la parution d’une nouvelle traduction française (Lyon, ENS Éditions, 2009), accompagnée d’une longue introduction et d’un important appareil critique. Philippe Audegean, auteur de cette nouvelle traduction, s’entretient ici avec Pierre Girard. Il revient sur la participation politique de Beccaria au contexte milanais de son temps, sur certaines thèses majeures des Délits et des peines (la critique de l’arbitraire et la douceur des peines), mais aussi sur la réception française du livre à l’époque de Voltaire, ainsi que sur l’actualité philosophique des thèses de Beccaria contre la peine de mort. Directeur de la production: Christophe PorlierRéalisation: Francis OuedraogoLumière: Sébastien BoudinCadre Mathias ChassagneuxSon: Xavier ComméatMontage-Encodage-Diffusion Web Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Cesare Beccaria, Des délits et des peines, droit pénal
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