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Les matériaux moléculaires
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 27-08-2000
/ Canal-U - OAI Archive
VERDAGUER Michel
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L' histoire de l'humanité est scandée par la nature des matériaux que l'homme est capable d'élaborer et d'utiliser pour répondre à ses besoins. Notre époque est marquée par une explosion de la création de nouveaux matériaux, de plus en plus conçus pour répondre à un besoin très précis. Dans ce contexte, les matériaux réalisés à partir de molécules peuvent faire valoir de nombreux avantages : ils sont le plus souvent de faible densité, transparents ou colorés à la demande, solubles, biocompatibles, faciles à mettre en forme, etc. La flexibilité de la chimie moléculaire permet de produire pratiquement " à la carte " de nouvelles molécules et de nouveaux édifices moléculaires en variant de manière de plus en plus subtile structures, structures électroniques et propriétés. Les synthèses sont guidées par les besoins en nouveaux matériaux de structure ou en matériaux fonctionnels. Notre vie quotidienne est ainsi entourée de matériaux moléculaires familiers qu'ils soient d'origine naturelle ou industrielle, créations de l'homme. L'exposé les identifie, illustre et commente quelques unes de leurs propriétés et leurs multiples domaines d'application. Dans le même temps, une recherche pluridisciplinaire se poursuit pour obtenir des matériaux présentant des propriétés inédites, voire des propriétés multiples au niveau macroscopique (grands ensembles de molécules) ou au niveau d'une seule molécule (électronique moléculaire, machines moléculaires
). Quelques aspects de ces recherches sont présentés, en mettant en évidence les principes fondamentaux sur lesquels repose la synthèse des molécules et des édifices moléculaires présentant des propriétés données, les techniques récentes qui permettent un progrès plus rapide en matière de matériaux moléculaires, les contraintes qui s'exercent sur la production de ces matériaux et les perspectives qui s'ouvrent dans un domaine où la riche complexité des matériaux biologiques constitue une matière première et un exemple, une source de réflexion et d'espoir permanents. Mot(s) clés libre(s) : biomatériau, chimie moléculaire, conductivité, électronique moléculaire, interaction intermoléculaire, liaison chimique covalente, ligand, magnétisme, matériau composite, matériau moléculaire, science des matériaux, spin, structure moléculaire
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De la chimie de synthèse à la biologie de synthèse (11)
/ groupe ouest audiovisuel, CERIMES, COLLEGE DE FRANCE
/ 05-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
LEHN Jean-Marie
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De la chimie de synthèse à la biologie de synthèseFrom Synthetic Chemistry to Synthetic BiologyConférence internationalemardi 5 mai 2009amphithéâtre Maurice HalbwachsCollège de France11 place Marcelin-Berthelot - 75005 Paris16h10 Jean-Marie LEHN (Collège de France)Par-delà la synthèse : l’auto-organisation Mot(s) clés libre(s) : auto-organisation, Big-Bang, biologie synthétique, chimie de synthèse, chimie moléculaire, évolution vivante, matière vivante, nanotechnologies, reconnaissance moléculaire
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Chimie et création. Du moléculaire au supramoléculaire.
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 18-08-2000
/ Canal-U - OAI Archive
LEHN Jean-Marie
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Structure, propriétés et transformation de la matière inanimée et animée sont les résultats d'interactions entre particules élémentaires formant les atomes, entre atomes édifiant les molécules, entre molécules enfin, conduisant à des architectures supramoléculaires. La chimie moléculaire a pour objet la découverte et la maîtrise des règles qui gouvernent les structures, les propriétés et les transformations des molécules. La chimie supramoléculaire peut être définie comme la chimie " par-delà la molécule ", portant sur les entités organisées, d'une complexité supérieure, qui résultent de l'association de deux ou plusieurs espèces chimiques maintenues ensembles par des forces intermoléculaires. Elles présentent en particulier des phénomènes de reconnaissance moléculaire et sont à la base du traitement de l'information au niveau supramoléculaire. En effet, la formation dirigée d'architectures organisées requiert la mise en oeuvre d'information, en une sorte de programmation moléculaire, établissant ainsi un lien entre la chimie et la science de l'information. Par sa capacité de sans cesse recréer le réel, de s'inventer et se réinventer au fur et à mesure qu'elle se développe, par son pouvoir sur la nature des espèces matérielles et sur les transformations qui permettent de les produire et de les mettre en réaction, la chimie exprime sa faculté créatrice. Le champ de la chimie est l'univers de toutes les espèces moléculaires et supramoléculaires possibles, et celles effectivement présentes dans la nature forment juste un monde parmi tous les mondes possibles en attente d'être créés. Mot(s) clés libre(s) : big bang, catalyse, chimie de synthèse, chimie moléculaire, matière, molécule, nanochimie, semiochimie, transporteur chimique
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Laser et molécules : de la spectroscopie à la femtochimie
/ Physique au Printemps 2010, ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 10-03-2010
/ Unisciel
Jouvet Christophe
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Une conférence de Christophe Jouvet, chercheur au CNRS et directeur du Centre Laser de l'Université Paris Sud 11,
présentée dans le cadre de "Physique au Printemps" 2010. En s'appuyant sur de nombreux exemples,
Christophe Jouvet explique comment les lasers sont utilisés actuellement en chimie moléculaire.
Il présente plus particulièrement la spectroscopie à haute résolution et la femtochimie utilisant des lasers pulsés. Mot(s) clés libre(s) : laser, laser pulsé, spectroscopie, spectre, molécule, femtochimie, chimie moléculaire, fluorescence
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De la chimie de synthèse à la biologie de synthèse (1)
/ groupe ouest audiovisuel, COLLEGE DE FRANCE, CERIMES
/ 05-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
FAGOT-LARGEAULT Anne, LIVAGE Jacques, GALPERIN Charles
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De la chimie de synthèse à la biologie de synthèseFrom Synthetic Chemistry to Synthetic BiologyConférence internationalemardi 5 mai 2009amphithéâtre Maurice HalbwachsCollège de France11 place Marcelin-Berthelot - 75005 Paris Mot(s) clés libre(s) : biologie synthétique, catalyse, chimie de synthèse, chimie moléculaire, ingénierie biologique, organisme vivant, système biologique
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Localiser et identifier une molécule
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 22-08-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CHAQUIN Patrick
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Au début du siècle, la caractérisation des molécules consistait essentiellement en tests chimiques donnant naissance à des précipités, des couleurs, voire des odeurs. Ces techniques ont été supplantées par des méthodes physiques, dans lesquelles les molécules, soumises à certaines stimulations fournissent, sous forme de diagramme, une réponse ou spectre. Plusieurs méthodes spectroscopiques étudient l'interaction avec la matière des ondes électromagnétiques dans divers domaines de longueur d'onde. Le domaine de l'infrarouge (IR) permet de reconnaître la présence de certaines liaisons ou groupements d'atomes et fournit une " empreinte digitale " caractéristique. Dans le domaine des ondes radio, la résonance magnétique nucléaire (RMN) s'applique en premier lieu au carbone et à l'hydrogène mais également à de nombreux autres éléments. Cette méthode a connu depuis 1960 d'extraordinaires développements. L'un des plus récents, la RMN à deux dimensions, met en évidence des connexions entre atomes d'où une véritable cartographie moléculaire. Dans le domaine de la lumière visible ou ultaviolette, les renseignements obtenus sont d'une moindre richesse, mais cette spectroscopie, avec d'ailleurs l'IR, permet l'étude de molécules hors de notre atteinte comme celles des atmosphères planétaires ou de l'espace interstellaire. Enfin la spectrométrie de masse (SM) étudie les fragmentations des molécules sous l'effet, par exemple, d'un bombardement d'électrons. Des masses de ces fragments on peut déduire leur formule chimique qui permet de reconstituer la molécule originelle. Par ailleurs, ces spectres fournissent une signature qui, traitée numériquement, permet une identification automatique si la molécule a déjà été répertoriée dans une bibliothèque. Cette technique, couplée avec une méthode de séparation telle que la chromatographie en phase gazeuse est d'une puissance inégalée pour l'analyse de mélanges complexes. Mot(s) clés libre(s) : chimie moléculaire, chromatographie, conformation, infra-rouge, IRM, micro-onde, modélisation, molécule, résonance magnétique nucléaire, spectrométrie de masse, spectroscopie, ultra-violet
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VDW / Marie-Hélène Bouju et Christophe Ruetch
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 10-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
BOUJU Marie-Hélène, RUETSCH Christophe
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VDW / Marie-Hélène Bouju et Christophe Ruetch. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 5 : Transpositions et interprétations. Du macro au nano et inversement : quelles transpositions et interprétations pour le scientifique, l'artiste et le public ?, 10 décembre 2010.Présentation de deux créations présentées dans le cadre du colloque : la danse des Ferro-Fluides (musique pour une matière "réactive") et VDW, performance danse/musique élaborée avec la danseuse Marie-Hélène Bouju à partir de la théorie des forces de Van Der Waals. Pour cette performance, le travail chorégraphique fondamental s'appuie sur la mobilité du poids dans un contexte où les repères essentiels sont absents.> Communications suivies d'un débat avec le public ainsi que du film de la performance VDW présentée à la Fabrique culturelle de l'université du Mirail, le 8 décembre 2011 à l'occasion du colloque. Mot(s) clés libre(s) : arts et sciences, chimie moléculaire (réception et influence), création artistique (21e siècle), danse contemporaine (21e siècle), musique électro-acoustique, nanosciences (influence)
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Forum Nîmois - Charles GIDE - Philippe KOURILSKY - 19 novembre 2015
/ Canal-u.fr
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charle GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 19 novembrel 2015, à la maison du protestantisme à Nîmes Philippe Kourilsky.
Philippe
Kourilsky, nous sommes très heureux de vous accueillir au Forum pour nous
éclairer sur des problèmes auxquels les chercheurs, et les médecins qui les
accompagnent, sont confrontés constamment, dont le grand public n’est que
vaguement au courant, alors même qu’il attend de la recherche biologique, la
santé, la survie et, pour les plus transhumanistes, la vie presque éternelle.
On peut
presque dire que votre route était tracée
dès votre premier souffle puisque vous êtes fils d’un professeur de
médecine et d’un médecin. An départ, vous avez fait un écart, mais un écart
brillant, car vous êtes entré à Polytechnique, ce qui pouvait vous mener aux
sciences dites dures. Mais vous avez ensuite fait retour à la biologie avec une
thèse sous la direction de François Gros.
Vous avez
effectué la majeure partie de votre carrière au CNRS ou vous avez terminé
évidemment a-t-on envie de dire, Directeur de recherche. Vous êtes membre de l’Académie
des sciences depuis 1997 et vous avez été nommé au Collège de France en 1998,
pour la chaire d’immunologie moléculaire que vous avez occupée jusqu’en 2012. Cette
chaire succédait à celle de biochimie cellulaire de votre maitre de thèse.
L’importance prise par l’immunologie, montre qu’étudiant ses mécanismes au
niveau moléculaire, vous avez ouvert des voies qui s’avèrent essentielle
aujourd’hui. En 2000 vous êtes entré à l’Institut Pasteur dont vous fûtes
directeur général jusqu’en 2005. Vous avez fondé une association Resolis, dont
vous êtes président, qui se donne pour objet de ‘évaluer les solutions
innovantes et sociales. Vous pourrez nous en dire un mot car au-delà de la
présentation de membres très respectables, avec, je l’ai constaté avec plaisir,
autant de femmes su d’hommes, le site de cette association n’est pas très
explicatif.
Vous avez
écrit cinq livres importants, notamment sur le principe de précaution, mais
aussi sur l’altruisme, et sur les essais cliniques dans les populations des
pays pauvres. Le dernier de ces livres « Le jeu du hasard et de la
complexité » (Odile Jacob 2014) est présenté ici par notre libraire Siloe.
Complexité,
précaution éthique. Tels sont les trois termes de votre propos ce soir
Pour la
complexité, nous sommes bien contraints d’aller vers Edgar Morin dont le livre
de 1982 Science et conscience formule la première définition de la pensé
complexe. Je le cite : « Le
but de la recherche n’est pas de trouver un principe unitaire de toute
connaissance, mais d’indiquer les émergences d’une pensée complexe, qui ne se
réduit ni à la science, ni à la philosophie, mais qui permet leur
intercommunication opérant des boucles dialogiques ».
Il y a,
évidemment, l’extrême complexité interne à la biologie elle-même. La complexité
de l’organisme humain, qui est aussi notre capacité à nous maintenir en vie, et
à corriger de nous-mêmes nos déséquilibres. Mais il y a la complexité
inter-disciplinaires, tant la physiologie de l’homme est liée à son milieu, son
comportement. Tout le monde comprend,
plus ou moins vaguement aujourd’hui, que la santé et la thérapie, par exemple,
ne sont pas liées qu’à la biologie, mais aussi à la psychologie, à
l’anthropologie, à la sociologie. Je
voudrais énoncer un fait statistique indiscutable, qui vient d’être révélé pour
Londres, mais l’est aussi pour Paris : l’espérance de vie, et l’espérance
de vie en bonne santé, sont bien plus basses à l’est des capitales, l’East end
de Londres, même s’il se boboïse actuellement, comme l’est de Paris, ce qui recoupe
évidemment la distribution géographiques des revenus.
Bien plus
que les chercheurs en sciences dures, sauf si l’on va au fin fond de la matière
et de l’histoire de l’Univers, les chercheurs en sciences biologiques font face à une énorme
complexité, que, je pense, vous allez exposer mieux que moi.
Précaution !
Vous avez donc, dans un ouvrage fait une critique, au sens philosophique du
mot, du principe de précaution que Jacques Chirac a eu l’imprudence – mais il
n’y a pas eu alors de mouvements populaires contre lui pour cela- d’inscrire
dans la Constitution. L’origine latine du mot, c’est « precavere »
prendre garde. Je pense que tous les médecins prennent spontanément garde
depuis toujours à ne pas tuer le patient pour le guérir. Mais imposé à la biologie,
qui est en amont des soins, avant, bien
avant l’autorisation de pratiquer une thérapie ou de mettre un
médicament sur le marché, elle doit effectivement être très entravant. Vous
allez, je pense, nous le dire.
Enfin,
éthique ! Là nous sommes en pleine « actu » comme disent les
journalistes. Quand commence la vie à laquelle il est interdit de mettre fin ? Comment tester des
thérapies sur l’homme, quand elles ne l’ont été que sur l’animal ? Si
l »’on est certain de l’efficacité d’un traitement mais pas de tous ses
effets secondaires, est-il légitime de pratiquer l’expérience en double
aveugle, bloquant temporairement c’est vrai,l’accès à la guérison pour la
moitié des cobayes ? Ou doit s’arrêter l’« augmentation» de l’homme
que souhaitent les transhumanistes, et au bord de laquelle nous sommes ?
Enfin bien sûr, est-ce encore une vie que l’état d’un patient en coma sans
chances objectives de recouvrer la conscience ? Un patient n’a-t-il pas le
droit quand l’issue est certains à court terme, de mettre lui-même finaux jours
de souffrances ou de dépendance totale qui s’annoncent ?
Vous n’allez
pas ce soir, Philippe Kourilsky, répondre à ces questions remplaçant les
comités divers de bioéthique qui ont déjà bien du mal à proposer des avis.
Mais vous
allez nous décrire, comme vous me l’avez excellemment suggéré, l’écartèlement
de la recherche médicale entre ces réalités et ces impératifs Mot(s) clés libre(s) : biochimie, immunologie, chimie moléculaire
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