|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Qui êtes-vous Robert Aldrich ? Conférence de Jean-François Rauger
/ La Cinémathèque française
/ 03-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
Rauger Jean-François
Voir le résumé
Voir le résumé
Jean-François Rauger est directeur de la programmation à la Cinémathèque française, journaliste et critique au journal Le Monde. Mot(s) clés libre(s) : américain, cinéma, états-unis, robert aldrich
|
Accéder à la ressource
|
|
Economie du cinéma
/ UTLS - la suite
/ 10-07-2004
/ Canal-U - OAI Archive
NICOLAS Marc
Voir le résumé
Voir le résumé
Le cinéma n'est pas né seulement en France. Edison avant les Lumière lui a apporté des inventions majeures, même si ce sont eux qui ont parfait le dispositif en lui ajoutant notamment la part que l'on sait décisive de la projection. Mais la France est le pays de la cinéphilie. Intellectuels de renom, revues spécialisées, ciné-clubs, Cinémathèque, salles d'art et essai parisiennes ont forgé cette tradition, ici répandue plus que partout ailleurs au monde, en profondeur réflexive comme en surface sociale. Elle est aussi depuis de nombreuse années le pays qui défend une certaine idée du cinéma, art autant que loisir, celui qui accueille et soutient des cinéastes de tous les pays qui n'ont pas de cinématographie forte, celui où l'on chante l' « exception culturelle », celui où l'Etat organise et apporte un soutien financier important et constant. En résulte une économie atypique, en partie hors marché, faite de dispositifs de soutien très sophistiqués organisés par l'Etat en étroite liaison avec la profession elle même. Ce système s'est forgé tout au long des soixante dernières années, pas à pas, franchissant des étapes décisives sans parfois que celles ci soient repérées comme telles au moment où elles étaient produites. Peu à peu, le modèle a sédimenté l'adhésion de l'ensemble des professionnels du cinéma et des forces politiques nationales jusqu'à faire croire à son quasi « état de nature ». On voudrait ici au contraire, par un récit à base chronologique, restituer les moments forts de l'invention du modèle, ses tournants faits de nouveaux paradigmes parfois audacieux et en rappeler la naissance souvent conflictuelle, loin du consensus admis aujourd'hui. Ce faisant, le récit traitera autant d'action publique et collective que d'économie du cinéma au sens strict et débouchera sur quelques interrogations très contemporaines. Mot(s) clés libre(s) : cinéma, cinéma et état, économie de la culture, exception culturelle, financements, france, industrie cinématographique, politique culturelle, production et réalisation, subventions
|
Accéder à la ressource
|
|
Philosophie et vie quotidienne
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 07-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
LAUGIER Sandra
Voir le résumé
Voir le résumé
Eminent philosophe et auteur du Tractatus logico-philosophicus (1921), Ludwig Wittgenstein joue un rôle considérable dans le développement et la diffusion de « la philosophie du langage ordinaire », un courant de la philosophie analytique.Prenant le contrepoint de la philosophie « traditionnelle » qui développe des grandes théories sur le monde, Wittgenstein trouve dans la philosophie un principe apte à aider l’homme à clarifier ses propres pensées. Il ramène la philosophie à une pensée du quotidien et du langage ordinaire car c’est par le langage que l’homme peut comprendre l’ordinaire.La question fondamentale de la philosophie se déplace ainsi, avec l’avènement de « la philosophie de l’ordinaire » d’une recherche transcendantale à un fondement strictement pragmatique. Le philosophe américain Stanley Cavell se réapproprie quelques années plus tard les fondements de cette philosophie de l’ordinaire et en réinterprète les principes dans son ouvrage The Claim of Reason (1979).Spécialiste de Cavell et de la « philosophie de l’ordinaire », Sandra Laugier nous explique le développement de cette pensée outre-Atlantique.La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2008-2009 sur le thème "Actualités". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : cinéma, Etats-unis, langage ordinaire, Ludwig Wittgenstein, philosophie, philosophie analytique, philosophie du langage, philosophie linguistique, Stanley Cavell
|
Accéder à la ressource
|
|
Dialogue avec Spike Lee
/ La Cinémathèque française
/ 12-09-2008
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française, Lee Spike
Voir le résumé
Voir le résumé
A l'occasion de la rétrospective Spike Lee à la Cinémathèque française, le réalisateur dialogue avec Jean-François Rauger. Mot(s) clés libre(s) : cinéma, états-unis, miracle à Santa Anna, réalisateurs de cinéma, spike lee (1957-....)
|
Accéder à la ressource
|
|
Le cinéma Hollywoodien
/ UTLS - la suite
/ 14-07-2004
/ Canal-U - OAI Archive
BRION Patrick
Voir le résumé
Voir le résumé
Durant des décennies, le cinéma hollywoodien a été l'une des cinématographies les plus prestigieuses, réussissant, de Rome à Rio de Janeiro, de Stockholm à Dallas à imposer ses productions. Ce qui n'aurait pu être qu'une stérile dictature économique sans aucune contrepartie artistique a au contraire été à l'origine d'une succession d'oeuvres prestigieuses. Comment et pourquoi? Comment d'authentiques auteurs tels que Alfred Hitchcock, Howard Hawks, Joseph L. Mankiewicz, John Ford ou Josef von Sternberg ont-ils pu travailler avec ces "despotes éclairés" qu'étaient les grands producteurs des "major companies"? Par quelle mystérieuse alchimie certains des plus grands succès de la production hollywoodienne d'antan ont également été d'authentiques oeuvres d'art? Alors que le cinéma européen privilégie non sans raison la notion d'auteur, le cinéma américain qui la nie est paradoxalement parvenu à faire d'oeuvres collectives, régies par de multiples contraintes, des films tout aussi libres et inventifs - sinon parfois plus que leurs homologues européens, abordant non sans courage certains thèmes (la guerre, le racisme, l'antisémitisme) souvent tabous ailleurs. Pouquoi? C'est ce que nous tenterons d'expliquer et d'analyser en réfléchissant justement à l'étonnante spécificité du cinéma américain d'autrefois. Mot(s) clés libre(s) : cinéma, états-unis, hollywood (Californie), industrie cinématographique, producteurs de cinéma, production et réalisation
|
Accéder à la ressource
|
|
Le cinéma à l'épreuve de la mondialisation
/ Mission 2000 en France
/ 24-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
BONNELL René
Voir le résumé
Voir le résumé
La politique cinématographique n'a jamais été objet de consensus international. Traité comme une marchandise ordinaire par une majorité d'Etats adeptes du libre échange, le film est considéré par une poignée d'autres, sous la pression d'une partie de leurs opinions, comme une oeuvre d'art dont il faut protéger l'élaboration et la circulation. La France, championne de l'exception culturelle, a convaincu ses partenaires de mettre le cinéma et l'audiovisuel à l'abri de la libre concurrence. En même temps, au nom du principe de non discrimination, elle a dû étendre les bénéfices de son système d'aide aux ressortissants de l'Union européenne tout en valorisant les oeuvres d'expression originale française. Ces réformes ont accru la complexité du dispositif de soutien et le rendent inexportable. Cantonné dans une ligne défensive, les tenants de l'exception culturelle n'ont pas réussi à imaginer une politique qui garantit à terme la sauvegarde, voire le rayonnement de la création cinématographique européenne. Le développement technologique fragilise le droit des auteurs et facilite une pénétration déjà écrasante des produits américains. Les Européens, animés sur le sujet de convictions très variables, mènent la bataille en ordre dispersé. On parle déjà d'abandonner la règle de l'unanimité pour traiter de ces questions. L'Europe et la France sont à la croisée des chemins pour tenter de définir une stratégie qui protège l'autonomie culturelle de l'Europe c'est à dire son identité. Mot(s) clés libre(s) : cinéma et état, culture (droit européen), culture et mondialisation, droit d'auteur, économie de la culture, europe, exception culturelle, france, identité culturelle, industrie cinématographique, politique culturelle, subventions
|
Accéder à la ressource
|
|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
|