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Cinéma et littérature, qui influence qui ? Table ronde
/ La Cinémathèque française
/ 06-07-2008
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française, Tabucchi Antonio, Vecchio Sergio, Delay Florence
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La parole sera ainsi donnée à plusieurs auteurs, autour d'Antonio Tabucchi, pour discuter des liens qui se tissent sans cesse entre l'écriture de leur œuvre et le cinéma. Une rencontre animée par Bernard Comment (écrivain et éditeur).Intervenants :- Antonio Tabucchi (écrivain)- Sergio Vecchio (écrivain)- Florence Delay (écrivain) Mot(s) clés libre(s) : cinéma, cinéma et littérature, langage cinématographique, littérature (histoire et critique), roman moderne
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L'adaptation, une trahison ? Table ronde
/ La Cinémathèque française
/ 04-07-2008
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française
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Table ronde sur le thème de l'adaptation littéraire au cinémaQui ne sait pas que L'Arroseur arrosé, ou plus précisément Le Jardinier et le petit espiègle, fait partie du programme de la première séance du cinématographe des frères Lumière au Grand Café, à Paris, le 28 décembre 1895 ? Mais on sait moins qu'il s'agit là de la première adaptation littéraire de l'histoire mondiale du cinéma. Intervenants :- Claude Miller (cinéaste)- Gilles Taurand (scénariste)- Patrice Hoffmann (directeur littéraire et des droits audiovisuels aux éditions Flammarion)- François Samuelson (agent littéraire)- Philippe Grimbert (psychanalyste, écrivain)- Alain Absire (président de la Société des gens de lettres, écrivain) Mot(s) clés libre(s) : adaptations cinématographiques, cinéma et littérature, littérature (adaptations)
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Jorge Semprun et le deuil de la République / Sylvain Dreyer
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 07-04-2014
/ Canal-u.fr
DREYER Sylvain
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Jorge Semprun et le deuil de la République / Sylvain Dreyer. In séminaire "Image et mémoire / Imagen y memoria. 3. La reconstruction de la vérité par l'image : l'exhumation du passé" organisé par le laboratoire France Méridionale et Espagne (FRAMESPA) et le Réseau interdisciplinaire sur les vérités de l'image hispanique contemporaines (RIVIC). Université Toulouse II-Le Mirail, 7 avril 2014. « Les anciens combattants m’emmerdent » : cette phrase apparaît dans deux films de Jorge Semprún, La Guerre est finie d’Alain Resnais (1966, scénario de Jorge Semprun) et Les deux mémoires (1972-1974). L’écrivain attend la mort de Franco en 1975 pour évoquer son expérience d’exilé et d’opposant dans un premier texte qui oscille entre roman et autobiographie (Autobiografía de Federico Sánchez (1977). D’autres suivront, en particulier Adieu, vive clarté… (1998), Veinte años y un día (2003) et De l’exil à l’oubli : Camps de réfugiés espagnols en France 1936-1939 (2006). Cependant, dès 1966, en tant que scénariste de fiction puis en tant que documentariste, Semprún s’empare de la mémoire de la guerre civile et de la lutte contre le régime franquiste. Si les deux films "La Guerre est finie" et "Les deux mémoires" partagent la même interrogation historique, le choix de la fiction pour le premier et du documentaire pour le second permet d’examiner la stratégie tant testimoniale qu’esthétique de Semprún. A travers cet examen, nous entendons interroger les choix médiatiques (cinéma et littérature) et linguistiques de l’auteur (présence de l’espagnol et du français), ainsi que ses choix génériques (fiction et documentaire mais aussi régime autobiographique permettant l’énoncé d’une vérité subjective) et les principes historico-politiques qui transparaissent dans ces œuvres et qui, paradoxalement, oscillent entre impératif de la mémoire et nécessité de l’oubli. A travers ces films et ces textes, Semprun semble tenter de dépasser la déploration des « anciens combattants » en jetant un regard neuf sur la dictature, un regard qui permette de penser l’après-Franco. Mot(s) clés libre(s) : mémoire collective, roman autobiographique, cinéma et littérature, Espagne (20e siècle), Jorge Semprún (1923-2011), Guerre civile espagnole (1936-1939), cinéma et histoire, franquisme
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