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Ezio Ornato - Les méthodes quantitatives au service de l'histoire du livre : principes, parcours, exemples
/ Franck Guillemain
/ Canal-u.fr
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Conférence inaugurale de
la journée d'initiation
Le livre médiéval
au regard des méthodes quantitatives
du 28 mai 2015 organisée dans le cadre du
séminaire
Codicologie quantitative et sociologie du livre médiéval du LAMOP
(campus de Villejuif)
Autre intervenant :
Denis Muzerelle Mot(s) clés libre(s) : UPS2259, LAMOP, Codicologie, Ezio Ornato, Les méthodes quantitatives au service de l'histoire du livre : principe, parcours, exemples., Codification quantitative, Le livre médiéval, au regard des méthodes quantitative, Denis Muzerelle
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La coutume : formes, représentation et enjeux. Présentation du colloque / Olivier Guerrier
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 26-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
GUERRIER Olivier
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Présentation par Olivier Guerrier du colloque "La coutume : formes, représentations et enjeux " organisé dans le cadre des 4e Rencontres internationales La Boétie de Sarlat par la Société des amis de La Boétie au Centre culturel de Sarlat, du 26 au 28 novembre 2008.Il s’agira de considérer le "Discours de la servitude volontaire" (et, s’il se peut, les autres œuvres de La Boétie, ou que l’on a coutume d’attribuer à La Boétie) comme mettant en cause des notions centrales dans la culture de la Renaissance, de les re-situer dans les périodes antérieures au XVIe siècle, mais également d’en voir les prolongements jusqu’au XVIIIe siècle.Dans un passage marqué par l’influence d’Hérodote et son regard sur les civilisations orientales, le début du Discours fait de la coutume le premier principe explicatif de la « volonté de servir ». On pourra d’abord étudier la présence du thème, de l’historien grec à Montesquieu et au-delà, en précisant ses enjeux philosophiques (son inscription dans l’opposition entre nature et convention notamment), en mettant l’accent sur la manière dont il est exposé, tout autant que sur le travail de réflexion qu’il suscite - prise de conscience relativiste, analyse des processus d’accoutumance et de désaccoutumance…Sous une perspective moins critique mais pas nécessairement coupée de la précédente, il y aura également lieu de considérer la coutume comme fondement social et notion juridique, en reliant en particulier le Discours aux mutations que connaît le droit à partir du XVe siècle. « Coutumiers », recueils de coutume ou commentaires pourront ainsi être les supports d’analyses sur le statut des coutumes, sur leurs rapports avec le droit romain, sur le mouvement de « rédaction » et de « réforme » dont elles sont l’objet, et plus largement sur les rapports problématiques qu’elles entretiennent avec la Loi tout au long de l’Ancien Régime.Il sera loisible enfin, et dans la continuité, de traquer la coutume, ses formules et ses modalités dans des cadres autres que ceux du droit. Par exemple, sa présence dans la langue, dans les proverbes ou autres tours idiomatiques, pourra donner lieu à des considérations sur les « parlers », leur rôle et leur sort dans les œuvres et les pratiques savantes.Au croisement de la philosophie, de la littérature, du droit et de l’histoire, ces journées se veulent un espace d’échanges entre les disciplines et leurs usages, comme de confrontation entre les différents textes qui traitent de la « coutume ». Mot(s) clés libre(s) : codification du droit, droit (sources), droit coutumier, droit et littérature, droit romain, Étienne de la Boétie (1530-1563), humanisme de la Renaissance, linguistique, littérature française, Michel de Montaigne (1533-1592), usages et coutumes (droit)
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La coutume : formes, représentation et enjeux. Présentation du colloque / Olivier Guerrier
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 26-11-2008
/ Canal-u.fr
GUERRIER Olivier
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La coutume : formes, représentations et enjeux. Présentation / Olivier Guerrier. Colloque organisé dans le cadre des 4e Rencontres internationales La Boétie de Sarlat par la Société des amis de La Boétie, Centre culturel de Sarlat, 26-28 novembre 2008.Il s’agira de considérer le "Discours de la servitude volontaire" (et, s’il se peut, les autres œuvres de La Boétie, ou que l’on a coutume d’attribuer à La Boétie) comme mettant en cause des notions centrales dans la culture de la Renaissance, de les re-situer dans les périodes antérieures au XVIe siècle, mais également d’en voir les prolongements jusqu’au XVIIIe siècle.Dans un passage marqué par l’influence d’Hérodote et son regard sur les civilisations orientales, le début du Discours fait de la coutume le premier principe explicatif de la « volonté de servir ». On pourra d’abord étudier la présence du thème, de l’historien grec à Montesquieu et au-delà, en précisant ses enjeux philosophiques (son inscription dans l’opposition entre nature et convention notamment), en mettant l’accent sur la manière dont il est exposé, tout autant que sur le travail de réflexion qu’il suscite - prise de conscience relativiste, analyse des processus d’accoutumance et de désaccoutumance…Sous une perspective moins critique mais pas nécessairement coupée de la précédente, il y aura également lieu de considérer la coutume comme fondement social et notion juridique, en reliant en particulier le Discours aux mutations que connaît le droit à partir du XVe siècle. « Coutumiers », recueils de coutume ou commentaires pourront ainsi être les supports d’analyses sur le statut des coutumes, sur leurs rapports avec le droit romain, sur le mouvement de « rédaction » et de « réforme » dont elles sont l’objet, et plus largement sur les rapports problématiques qu’elles entretiennent avec la Loi tout au long de l’Ancien Régime.Il sera loisible enfin, et dans la continuité, de traquer la coutume, ses formules et ses modalités dans des cadres autres que ceux du droit. Par exemple, sa présence dans la langue, dans les proverbes ou autres tours idiomatiques, pourra donner lieu à des considérations sur les « parlers », leur rôle et leur sort dans les œuvres et les pratiques savantes.Au croisement de la philosophie, de la littérature, du droit et de l’histoire, ces journées se veulent un espace d’échanges entre les disciplines et leurs usages, comme de confrontation entre les différents textes qui traitent de la « coutume ». Mot(s) clés libre(s) : Droit et littérature, littérature française (16e siècle), Pierre Charron (1541-1603), usages et coutumes (droit), Michel de Montaigne (1533-1592), littérature française, humanisme de la Renaissance, droit romain, droit coutumier, droit (sources), codification du droit, Étienne de la Boétie (1530-1563), linguistique, René Descartes (1596-1650)
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Coutume, temporalités et territoires: regards sur la littérature juridique (16e-17e)/ M. Grinberg
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 27-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
GRINBERG Martine
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Un des fondements de la coutume est son rapport au temps : quel changement, quels effets apporte la mise en écrit ordonné par le roi fin XVe et au XVIe siècle, commençant avec l'ordonnance de Montils-Lès-Tours édictée par le roi Charles VII en avril 1454 ? Cette question ne peut être envisagée qu'en parallèle avec une autre, celle de la place de la coutume dans le territoire du droit. C'est autour de ces deux axes de réflexion que les commentateurs de coutumes ont élaboré des théories, des constructions intellectuelles pour rendre compte des paradoxes de la coutume, des ambiguïtés de son statut. Un débat sans fin, passionné qui traverse toute l'époque moderne.La coutume : temporalités et territoires. Regards sur la littérature juridique (XVIe-XVIIIe). Martine Grinberg. Communication donnée dans le cadre des 4e Rencontres internationales La Boétie de Sarlat organisées par la Société des amis de La Boétie au Centre culturel de Sarlat, du 26 au 28 novembre 2008, colloque "La coutume : formes, représentations et enjeux ".Voir les autres vidéos du colloque Mot(s) clés libre(s) : changement social, codification du droit (15e siècle), coutume (droit), droit coutumier, humanisme de la Renaissance
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Je compare la loy au Roy, & la coustume au tyran... / Stephan Geonget
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 27-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
GEONGET Stéphan
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Stephan Geonget examine la question de la coutume en la resituant au cœur des débats entre juristes qui avaient lieu alors. De fait, la question du statut juridique de la coutume est d’une actualité brûlante à la fin de la Renaissance et les opinions divergent à son propos. Forme abâtardie du droit pour les uns ou au contraire vrai fondement d’un droit civil français (encore à venir) pour les autres, la coutume suscite un débat virulent. Des juristes aussi éminents que Guy Coquille, Jean Papon, Étienne Pasquier ou Louis le Caron ne disent pas du tout d’elle la même chose. Cette mise en contexte devrait nous permettre d’examiner sur nouveaux frais la singularité de la position de Montaigne. Ses célèbres textes ne se comprennent, ne nous semble-t-il, qu’à partir de cet éclairage et répondent, d’une manière bien particulière, aux questions qui se posaient alors.Communication donnée dans le cadre des 4e Rencontres internationales La Boétie de Sarlat organisées par la Société des amis de La Boétie au Centre culturel de Sarlat, du 26 au 28 novembre 2008, colloque "La coutume : formes, représentations et enjeux ".Voir les autres vidéos du colloque Mot(s) clés libre(s) : codification du droit, coutume (droit), droit (sources), droit civil, droit coutumier (Renaissance), droit et littérature, Michel de Montaigne (1533-1592)
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EEMIS 2007 : De l'étude clinique à l'autorisation de mise sur le marché : les systèmes d'information
/ 17-03-2007
/ Canal-U - OAI Archive
Chevalaz M.
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Le médicament est un produit de consommation particulier ; il a une vocation de santé publique, il a un mode de financement spécifique, c'est un produit actif nécéssaire à la santé, c'est un bien industriel. Une notice obligatoire accompagne le médicament. Les recherches sont longues et couteuses : sur 10000 molécules qui sont screenées, les laboratoires identifient seulement une quinzaine de molécules candidates : ensuite seules une ou deux arrivent à l'ultime étape. Entre la conception et la mise sur le marché, il faut compter sept à 12 ans. Différentes méthodes sont utilisées : le screening, la pharmacologie expérimentale, la toxicologie et la pharmacocinétique. Il est interdit en France de faire de la publicité pour les médicaments remboursables. Le brevet est limité à vingt ans. La DCI est réglementée par l'OMS. la France est le second marché pharmaceutique européen. Mot(s) clés libre(s) : AMM, CEPS, codification, commission transparence, CORTE, DCI, EEMIS, l'AFSAPS, médicament, molécule, pharmacovigilance, screening
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