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"Bakary Diallo, mémoires peules", de Mélanie Bourlet et Franck Guillemain
/ Franck Guillemain, Mélanie Bourlet
/ Canal-u.fr
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Ce film nous conduit sur les traces de Bakary Diallo, berger peul connu pour être un des premiers tirailleurs sénégalais à avoir relaté en français son expérience de la Première Guerre Mondiale dans son roman “Force-Bonté".
De retour parmi les siens en 1928, il compose en peul, sa langue maternelle, de longs poèmes chantant la beauté et la luxuriance des paysages de son enfance.
Aujourd'hui disparus, la redécouverte de ses poèmes permettrait de rendre sa place à Bakary Diallo dans l'histoire de la littérature africaine.
Mélanie Bourlet, spécialiste de Langue et Littérature peule au sein du laboratoire Langage, Langues et Cultures d'Afrique Noire (LLACAN), nous emmène dans un long voyage au cœur de la région du Foûta Tôro, à la recherche de ces écrits perdus. L’objet principal de sa quête est un manuscrit intitulé “Mbalam” du nom du village d’enfance du poète.
A la faveur d'une mémoire orale encore vive chez les proches de l'auteur, la chercheuse parvient peu à peu à dresser les contours de l’œuvre poétique de Bakary Diallo.
Producteur : Langage, Langues et Cultures d'Afrique Noire, CNRS Images, CNRS-Cultures, langues, textes
Participation : ANR
Réalisateur : BOURLET Mélanie (LLACAN, UMR CNRS et INALCO, Villejuif)GUILLEMAIN Franck (CLT, UPS CNRS, Villejuif)
Conseiller scientifique : BOURLET Mélanie (LLACAN, UMR CNRS et INALCO, Villejuif) Mot(s) clés libre(s) : langage, ecrivain, langue, linguistique, Colonialisme français, relation artiste pays-natal, mémoire, pulaar, franck guillemain, ELLAF, Mélanie Bourlet, bakary diallo, paysage, poésie, poète, littérature orale, Peul, oralité, LLACAN, UPS2259, Fouta Toro
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Entre ombre et lumière, la prostitution dans la ville de Hanoï à l'époque coloniale (1885-1954) / Isabelle Tracol-Huynh
/ Franck DELPECH, SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 19-11-2014
/ Canal-u.fr
TRACOL-HUYNH Isabelle
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Entre ombre et lumière, la prostitution dans la ville de Hanoï ) l'époque coloniale (1885-1954) / Isabelle Tracol-Huynh. In "La prostitution urbaine en Europe du Moyen Age à nos jours", journée d'étude organisée par le laboratoire France Méridionale et Espagne (FRAMESPA) à l'Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, 19 novembre 2014.Dans cette communication, Isabelle Tracol-Huynh étudie la place de prostitution de rue dans la ville de Hanoï durant la période sous administration française. Elle s'intéresse plus particulièrement à l'emplacement, à la visibilité, à la circulation et au déploiement des multiples lieux de prostitution ainsi qu'à la volonté des autorités administratives de limiter, voire d'extirper, les activités prostitutionnelles du centre urbain et de les circonscrire dans des quartiers réservés. Mot(s) clés libre(s) : histoire coloniale française, prostitution urbaine, Viet-Nam (19e-20e siècles), législation coloniale, Hanoï (Viet-Nam), Indochine française
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L'arachide au Sénégal
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, Musée du quai Branly
/ 08-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
MICHEL Marc
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Conférence de Marc Michel donnée le 8 octobre 2009 dans le cadre de l'Université populaire du quai Branly. Histoire mondiale de la colonisation : les matières premières L'arachide au Sénégal, par Marc Michel. Mot(s) clés libre(s) : Afrique occidentale, arachide, colonialisme, colonisation, commerce des arachides, esclavage, gomme, histoire coloniale, matière première, Sénégal, traite de l'arachide, traite des esclaves
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Colonisation, décolonisation, postcolonialisme
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 03-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
M'BOKOLO Elikia
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A trois mots, trois concepts et toute une série de pratiques qu'ils désignent, approuvées bruyamment par les uns, rejetées avec force par les autres. A eux trois, ces mots pourraient à première vue résumer toute l'histoire de l'Afrique au XXème siècle, en même temps qu'ils semblent vouloir baliser les voies du devenir africain pour les temps à venir. A y regarder de plus près, découper le XXème siècle africain en ces trois séquences ne va pas sans problèmes. Si cette succession semble aller de soi, c'est parce qu'on sait, par expérience et par définition, que tout empire périra. Mais, quel contenu donner à la colonisation, en termes de durée et de processus mis en oeuvre ? Jusqu'à quel point peut-on souscrire à l'idée d'innovation radicale et positive sur laquelle elle a prétendu se fonder ? Et la décolonisation, comment procède-t-elle de la colonisation ? Comment les stratégies et les tactiques élaborées " en haut " par les pouvoirs locaux et métropolitains s'articulent-elles avec les diverses luttes menées à la fois " en haut " et " en bas ", dans ce qui constitue le centre et la périphérie de formations géopolitiques complexes ? Il apparaîtra alors que la notion commode de postcolonialisme ne se réduit pas à un après-colonisation. Plus qu'une mise en ordre de faits, dont beaucoup restent controversés, on propose ici des interrogations et des réflexions sur l'un des grands malentendus du XXème siècle. Mot(s) clés libre(s) : afrique, christianisme, civilisation, colonialisme, colonisation, décolonisation, esclavage, europe, postcolonialisme
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La reine Victoria et le victorianisme
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne
/ 18-05-2015
/ Canal-u.fr
KALIFA Dominique
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Cette vidéo s'intéresse au cas anglais, et, par la mise en évidence des différences nationales, prolonge la réflexion sur l'arbitraire des découpes du temps. Pour les Anglais, le découpage selon les règnes prévaut : l'ère victorienne est donc plus significative que l'étiquette « 19ème siècle ». D. Kalifa détaille les caractéristiques et les différentes phases du victorianisme, pour finir sur une réflexion étendue à d'autres Etats, qui n'acquièrent leur unité nationale ou leur indépendance – ruptures majeures dans l'histoire d'un Etat – qu'au cours du 19ème siècle, remettant en question le caractère profondément révolutionnaire qu'on pourrait lui attribuer en France.Cette vidéo est issue du MOOC "Découper le temps : les périodes de l'histoire". Mot(s) clés libre(s) : victorianisme, empire colonial, Great Exhibition
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072 - Une histoire idéologique ? Existe-t-il une vision pied noir de l'histoire franco-algérienne ?
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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par Yann Scioldo-Zurcher (Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales)Migrations, cultures et représentations : la pérennité des liensUne histoire idéologique : session thématique (prés. Anne-Marie Granet-Abisset)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Nous savons aujourd’hui que les pieds-noirs ne forment pas une communauté, ni même un groupe homogène, et que plusieurs mémoires, parfois concurrentes, les caractérisent. Pourtant, derrière la multitude, se dégage non seulement une mémoire collective, au sens ou Maurice Halbwachs l’entend, mais aussi une « vision pied-noir de l’histoire franco-algérienne ». Faite de mythologies coloniales, de sophismes politiques, de justifications a posteriori, de rejets et de victimisation, cette vision est souvent l’unique point de rencontre des associations, voire des rapatriés...Il s’agira donc dans un premier temps de définir cette vision historique, mais au-delà d’une approche convenue, nous proposerons une définition par la négative, et tenterons d’analyser les dénis de mémoire et les refus d’histoire, qui paradoxalement forment cette vision historique particulière. Il s’agira d’historiciser cette vision à partir d’un corpus original d’archives, et de montrer combien elle existait déjà du temps de la colonisation. Plus encore, nous regarderons comment, après l’indépendance de l’Algérie, cette vision fut réintroduite en métropole et confortée par les pouvoirs publics, et notamment le ministère de l’Information, au point de redonner une vie active à des stéréotypes coloniaux qui ont survécu sans difficulté à la colonisation.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), conscience historique, historiographie, mémoire collective, pieds-noirs, stéréotypes coloniaux
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019 - Villes coloniales du Maghreb, entre histoire urbaine et histoire sociale
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
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par Anna Bozzo (Université de Rome)Sociétés : scènes et acteurs : session thématique (prés. Jean-Pierre Frey)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Constantine est une ville unique, en raison de son site, de son histoire et de la tradition millénaire de son centre historique, qui en a fait de tout temps un pôle d’attraction pour son hinterland, et une capitale régionale. De surcroît, cette ville a connu un destin à part pendant la période coloniale, en raison des circonstances de sa conquête d’abord et des stratégies de domination qu’ont exercées, de manière concurrentielle, et souvent conflictuelle, les autorités coloniales civiles et militaires. Mais c’est à travers la définition de sa spécificité que l’on parviendra à jeter des éclairages sur l’impact qu’a eu en général la colonisation sur d’autres villes d’Algérie et du Maghreb. Ce qui fera l’objet de cette communication est moins la consistance de ce patrimoine urbain, marqué profondément et de manière irréversible par l’urbanisme colonial, tel qu’on l’a hérité à l’heure actuelle, avec tous les problèmes que pose son impérative sauvegarde et réhabilitation, que l’épaisseur historique du vécu millénaire de cette ville, avec ses populations, ses notabilités traditionnelles, une histoire sociale strictement dépendante de ce cadre urbain tout à fait extraordinaire. Cette dimension sociale et humaine, comme partie constitutive et incontournable de la condition urbaine, est au cœur de notre regard sociohistorique sur Constantine comme phénomène urbain que ses derniers conquérants ont marqué et violé en profondeur, sans le détruire pour autant. Quoi qu’il en soit, le Rocher, en tant que cœur battant de la ville, n’a pas connu la décadence d’autres médinas, que le colonisateur a marginalisées, tout en les gardant sous contrôle policier, les vidant de leurs prérogatives économiques administratives et directionnelles pour transférer ces dernières dans des nouveaux quartiers modernes destinés aux Européens (les villeneuves) ; au contraire, le Rocher a gardé sa position centrale, confirmée par son développement radial ; quant à ses populations autochtones, elles ont été entraînées dans une progressive modernisation du tissu urbain. Celle-ci n’a pas été le fruit du hasard, mais l’effet de mesures adoptées par les autorités civiles, souvent contrecarrées par les militaires, pour répondre aux exigences d’installation des nouveaux occupants, qui se sont rajoutés, ce qui a favorisé l’émergence de l’individu-citoyen, et l’apprentissage d’une nouvelle sociabilité ; la société dans son ensemble a connu des transformations profondes, mais moins traumatiques qu’ailleurs, et s’est organisée par le bas, en empruntant de manière surprenante la vie associative dans le cadre de l’espace public refaçonné par le colonisateur, pour faire revivre l’ancienne tradition citadine. Et ce n’est pas un hasard si Constantine a été le centre d’un renouveau culturel et religieux qui a jeté les bases de l’élaboration d’une nouvelle identité algérienne s’inscrivant dans la modernité, mais n’ayant pas la France comme référent majeur. Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : colonies (administration), colonisation, constantine (algérie), histoire sociale, maghreb, politique urbaine, urbanisme, villes coloniales
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010 - Les militaires nord-africains dans l'armée française pendant la seconde guerre mondiale
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
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par Belkacem Recham (Université de Strasbourg 2)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne La participation de soldats venus de l’empire colonial français à la Seconde Guerre mondiale est aujourd’hui un véritable enjeu de mémoire. Divers mouvements et associations initiés par les petits-enfants des anciens tirailleurs demandent à la France plus de reconnaissance.Troupes destinées initialement aux conquêtes coloniales et à leur protection, la France les utilisa, non sans hésitation, pour la défense de la métropole, d’abord lors de la guerre franco-allemande de 1870 puis lors de la Grande Guerre et enfin lors de la Seconde Guerre mondiale. Pour cette dernière, présentée aux populations du Maghreb comme le combat de la justice contre la barbarie, la France mobilisa plus 350 000 Nord-Africains en 1939-1940 dont plus de deux tiers de musulmans qui se retrouvèrent en partie prisonniers dans les Fronstalags de France.La défaite de la France eut pour conséquence la démobilisation et la remise à la vie civile de la majorité des militaires nord-africains dans un contexte social très difficile. Ceux de confession juive furent chassés de l’armée et déchus de la nationalité française après l’abrogation du décret Crémieux qui la leur avait accordée en 1870. Après le débarquement allié en Afrique du Nord en novembre 1942, les trois colonies du Maghreb furent de nouveau mises fortement à contribution pour reconstituer l’armée française et participer aux combats pour la libération de la métropole. Les Européens fortement mobilisés fournirent la majorité des cadres et les musulmans la majorité des fantassins des 500 000 hommes et femmes que comptait cette armée régulière reconstituée.Écrasés et méprisés par le régime colonial, les musulmans se retrouvèrent dans cette armée, à l’occasion de cette guerre, choyés et entourés de toutes les sollicitations. Encadrés en permanence par des Français une véritable fraternité d’arme s’établit entre soldats de toute confession. Cependant, l’encadrement paternaliste, poussé parfois au ridicule, masquait mal les discriminations dont les musulmans souffraient au sein de l’armée, et la méfiance du commandement à l’égard des cadres d’entre eux est à l’origine d’un malaise grandissant parmi les officiers et sous officiers musulmans.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie, armée française, forces armées coloniales, france, guerre mondiale (1939-1945), histoire, militaires nord-africains, participation coloniale
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004 - Justice et mémoire : continuités de l'antagonisme entre Etat et peuple en Algérie
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
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Résumé de la communication par Walter Ruf, Professeur émérite (Université de Kassel)Sans mémoire il ne peut y avoir légitimité. C’est ainsi que la mémoire, c’est-à-dire la construction de l’histoire, est continuellement sujette à des luttes politiques [1]. Ce débat continuel, s’il peut avoir lieu, a besoin d’un système démocratique ouvert et pluraliste. Dans ce cas il y a concurrence, voire lutte autour de cette construction du « nous » qui est le résultat de la construction de mémoire.En Algérie indépendante, la prise « réelle » du pouvoir par l’armée des frontières et la mise en place d’un système de parti unique, dominé de fait par l’Armée de libération nationale - ALN -, a eu pour conséquence la création partisane d’une histoire qui ne tenait pas compte notamment : - de l’histoire complexe de l’Algérie, - du multiculturalisme de l’Algérie, - des contradictions du colonialisme français, - des forces et courants différents qui ont formé le Front de libération nationale (FLN). Cela a eu pour conséquence qu’il fut impossible de « rendre justice » aux courants non-officiels qui font partie de la société algérienne.L’argumentation de la communication traitera le terme « justice » dans sa double sémantique : 1) justice dans le sens moral de rendre justice à tous les acteurs sociaux et politiques de la société algérienne depuis le début de la colonisation ; 2) justice dans le sens juridique du terme. Seul un système démocratique qui connaît et respecte la division des pouvoirs est capable d’assurer que le droit soit appliqué de façon égale à tous les citoyens et citoyennes, et qu’une culture politique se développe dans laquelle la justice soit acceptée comme institution morale de la société.C’est sous ces prémisses que les déficits du système algérien actuel seront analysés, notamment : -la construction d’une histoire unidimensionelle, -la construction de la « révolution algérienne » au détriment de la lutte pour l’indépendance, -la construction d’un « islam national » comme élément de cohésion de la société et ses contradictions, -le pluralisme de façade du système actuel, -le rôle de la justice comme instrument de répression et de reproduction du système actuel.Ainsi, l’antagonisme qui - entre autres - existe entre l’État et le peuple provient du fait que ce n’est pas du peuple que provient, dans un débat libre, la production identitaire de la nation algérienne, mais d’un régime autoritaire qui non seulement occupe le pouvoir, mais aussi la production d’une mémoire qui est en flagrante contradiction avec la réalité - et le passé - vécusEquipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie, colonialisme (idée politique), FLN, front de libération nationale (algérie), histoire, justice, politique et gouvernement, république, révolution algérienne
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Le café
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN
/ 07-01-2010
/ Canal-U - OAI Archive
DAVIRON Benoît
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Histoire mondiale de la colonisation : les matières premières Le café, par Benoît Daviron Depuis ses débuts en 2006, l’Université populaire étudie l’histoire mondiale de la colonisation. Cette longue séquence d’au moins cinq siècles a déjà été traitée de manière chronologique à partir des premiers navigateurs portugais, puis en étudiant les dates cruciales de la colonisation depuis la Renaissance ; et enfin à travers l’histoire des métissages. Pour sa quatrième année,l’histoire de la colonisation sera traitée successivement sous deux angles: les matières premières,avec 11 conférences entre septembre 2009 et février 2010, puis les archétypes, clichés issus de la colonisation, dont la série commencera en avril 2010. Au programme de l’automne et de l’hiver, le cycle de l’histoire mondiale de la colonisation vous entraîne donc dans un voyage au long cours sur les chemins des matières premières. La découverte et le commerce de ces ressources ont en effet modelé les relations entre pays colonisateurs et colonisés, longtemps après la décolonisation et encore aujourd’hui. Historiens, économistes et ethnologues explorent les parcours du poivre (par Philippe Chalmin), de l’arachide au Sénégal (par Marc Michel), du cacao (par François Ruf), du coton (par Erik Orsenna), de la bauxite à l’aluminium (par Francis Gutmann), du nickel en Nouvelle-Calédonie (par Alban Bensa), du café (par Benoît Daviron), du sucre (par Philippe Chalmin), de l’opium (par Xavier Paulès), du riz (par Mamadou Fall), ou encore du pétrole (par Jean-Marie Chevalier). Mot(s) clés libre(s) : café, caféiculture, caféier, colonialisme, colonisation, esclavagisme, histoire coloniale française, histoire du café, matière première, plantation
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