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Cogito - Droit international
/ Serge BONIN, ÆLIÉS Chaire publique de l’Université Laval
/ Canal-u.fr
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Sous la loupe des
chercheurs de l’Université Laval (Québec)
ÉMISSION 3 – DROIT INTERNATIONAL
Nous nous penchons sur les lois régissant le secours des migrants clandestins en eaux internationales. Nous comparons les pays en matière de bien-être animal. Nous voyons comment la protection des dénominations géographiques sur les produits peut influencer le commerce international.
Participants :
Tohouindji Christian Hessou, étudiant au doctorat en droit international
Sabine Brels, étudiante au doctorat en droit international
Zakaria Sorgho, étudiant au doctorat en études internationales Mot(s) clés libre(s) : droit, commerce, animal, bien-être, migrant, international
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Qu'est-ce que l'avantage comparatif ?
/ Pedago SYDO
/ Canal-u.fr
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En quoi consiste la théorie de l'avantage comparatif ? Quand a-t-elle été mise en place et par qui ? Quel est l'objectif d'un tel système économique ? Réponse en 3 minutes avec Dessine-moi l'éco. Mot(s) clés libre(s) : économie, commerce, avantage comparatif
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La diversité biologique comme objet social et objet légal
/ UTLS - la suite
/ 23-07-2002
/ Canal-U - OAI Archive
VIVIEN Franck-Dominique
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Les années 80 ont été le témoin de la reconnaissance de la diminution de la diversité biologique en tant que problème global d'environnement. Il s'agit là d'une problématique appartenant à la classe des « univers controversés », en ce qu'il y a débat, au sein même de la communauté des chercheurs des sciences de la vie, sur la gravité du phénomène, ses causes et ses conséquences, les responsabilités à invoquer, les intérêts concernés, etc. Cet état de controverse n'a pas empêché que cette problématique soit versée dans le débat public et s'inscrive sur l'agenda politique. Une Convention internationale a ainsi été signée lors du Sommet de la Terre qui s'est tenu à Rio de Janeiro en 1992. Cette Convention sur la diversité biologique, ratifiée en 2002 par plus de 180 pays, a deux objectifs : d'une part, définir et appliquer des mesures incitatives pour la conservation et l'utilisation durable de la biodiversité et, d'autre part, mettre en place des mécanismes et des instruments permettant l'accès aux ressources génétiques et le partage « juste et équitable » des avantages qui en sont retirés. Pour ce faire, la Convention sur la diversité constitue un précédent dans le domaine du droit international de l'environnement puisqu'elle entend vouloir faire des droits de propriété des instruments de valorisation et de protection de la biodiversité. Elle fait ainsi une place toute particulière aux droits de propriété portant sur les « ressources biologiques » proprement dites, mais aussi sur les techniques, savoirs et savoir-faire permettant leur exploitation. Abandonnant le statut de patrimoine commun de l'humanité qui était conféré jusqu'à lors à la biodiversité, la Convention de Rio reconnaît prioritairement la souveraineté nationale sur les ressources biologiques (art. 3) tout en faisant une place aux droits commerciaux (art. 16.5) et aux droits des communautés autochtones et locales (art. 8j). Cette focalisation de la Convention de Rio sur les droits de propriété marque une inclinaison de plus en plus marquée des négociations internationales vers la nécessité d'organiser et de stimuler une nouvelle activité - la bioprospection - et un nouveau type de commerce international, celui des gènes. Outre qu'elle oblige à s'interroger sur l'efficacité environnementale et l'équité sociale d'une politique que certains chercheurs n'hésitent pas à assimiler à celle qui concerne le pétrole, cette évolution fait que le conflit potentiel entre la Convention sur la diversité biologique et d'autres instances - en premier lieu, l'Organisation mondiale du commerce - est devenu aujourd'hui un des enjeux majeurs de la politique internationale de la protection de la diversité biologique. Mot(s) clés libre(s) : biodiversité, commerce des gènes, Convention de Rio, développement durable, diversité biologique, économie de l'environnement, éthique, propriété du vivant, ressource biologique
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Commerce équitable et TIC, l’exemple de Coocafé au Costa Rica
/ UVED
/ 01-02-2010
/ Canal-U - OAI Archive
UVED
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Ce documentaire propose, après une introduction au commerce équitable (historique, mécanismes,…), de découvrir la filière café à partir de l’exemple de la coopérative costaricienne Coocafé. Pionnière du commerce équitable et d’une éthique environnementale, celle-ci a intégré très rapidement les TIC dans son développement.Nous partirons donc au Costa Rica pour rencontrer les responsables et les petits producteurs de cette structure et comprendre ainsi les enjeux sociaux, environnementaux et économiques du commerce équitable. Nous découvrirons d’une part la réponse de Coocafé à ces problématiques, et d’autre part l’usage qu’ils font des TIC pour leur développement. Mot(s) clés libre(s) : commerce équitable, développement durable, TIC
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Tourisme et culture surgelée
/ UTLS - la suite
/ 14-01-2006
/ Canal-U - OAI Archive
TILROE Anna
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L'art et la culture deviennent de plus en plus des produits comme les autres, et les stratégies de marketing commencent à égaler celles du commerce. Le monde de l'art, par exemple, se manifeste aujourd'hui comme festival permanent avec, à tous moments, des biennales partout sur le globe. En même temps le rôle de l'artiste change rapidement en celui d'un amuseur. Pourtant il y a conscience générale de la qualité de l'art et la culture, en tant qu'expression d'expériences, de sentiments et de manières de pensée individuelles et collectives, ainsi que de leur capacité de former une mémoire commune. Cela se voit en particulier quand une nation, une ville ou une communauté s'en servent pour se construire une identité. A l'industrie de tourisme une telle construction d'identité culturelle au niveau locale ou nationale, est fortement favorable. Elle la pousse même jusqu'à un cliché aisément reconnu par les masses: le cliché d'un monde paradisiaque. Par conséquent la mémoire collective est aplatie, l'expérience personnelle nivelée et les développements culturels et artistiques dérobés de leurs acuités et ambiguïtés. Mais cette culture surgelée, est-elle bien capable de chasser le Grand Ennui ? Mot(s) clés libre(s) : commerce de l'art, culture et mondialisation, économie de la culture, histoire de l'art, industrie culturelle, instrumentalisation de la culture, marketing de la culture, sociologie de la culture, sociologie des loisirs, tourisme culturel
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La mondialisation en perspective historique : L'Amérique hyperpuissance
/ Mission 2000 en France
/ 28-10-2000
/ Canal-U - OAI Archive
ROTHSCHILD Emma
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" Que reste-t-il, lorsqu'on y songe, d'Athènes et de Rome ? Uniquement des ruines comme vous le savez ". Cette phrase fut prononcée par Richard Nixon, en 1971, alors qu'il méditait sur le période de déclin qu'il pressentait imminente pour les États-Unis. Trente ans plus tard, la donne a considérablement changé. L'hyperpuissance américaine est à présent considérée comme éminemment consolidée. A l'époque où la mondialisation ne semble pas connaître de limite, l'empire américain paraît devoir perdurer lui aussi. Cette conférence portera sur les États-Unis et sur l'histoire de la mondialisation. L'indépendance des États-Unis fut le produit d'une période durant laquelle la politique s'intéressait avec ferveur à l'idée de mondialisation. On s'intéressait pour la première fois au " monde ", au rôle des compagnies et sociétés privées et au changement de goûts en matière de consommation, en particulier alimentaire. Les événements qui précipitèrent la Révolution Américaine sont étroitement reliés aux idées de commerce et d'échanges internationaux. A l'époque du premier boom de la mondialisation, entre 1760 et 1820, l'Angleterre, était considérée comme l'empire des matières premières. La France, elle, comme l'empire des idées. Les États-Unis, pour leur part, étaient voués à devenir un tout nouvel et pur empire commercial : un modèle dans le monde. L'idée selon laquelle l'influence des États-Unis est prééminente perdure : on peut en voir une illustration dans l'histoire des efforts conjugués pour diffuser le régime alimentaire américain dans le reste du monde. Au XXIe siècle, le succès de la mondialisation invite à se demander si la suprématie commerciale des États-Unis ne va pas être fragilisée. Mot(s) clés libre(s) : Amérique, commerce, libre échange, mondialisation, puissance
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La mondialisation en perspective historique : L'Amérique hyperpuissance
/ Mission 2000 en France
/ 28-10-2000
/ Canal-u.fr
ROTHSCHILD Emma
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Que reste-t-il, lorsqu'on y songe, d'Athènes et de Rome ? Uniquement des ruines comme vous le savez ". Cette phrase fut prononcée par Richard Nixon, en 1971, alors qu'il méditait sur le période de déclin qu'il pressentait imminente pour les États-Unis. Trente ans plus tard, la donne a considérablement changé. L'hyperpuissance américaine est à présent considérée comme éminemment consolidée. A l'époque où la mondialisation ne semble pas connaître de limite, l'empire américain paraît devoir perdurer lui aussi. Cette conférence portera sur les États-Unis et sur l'histoire de la mondialisation. L'indépendance des États-Unis fut le produit d'une période durant laquelle la politique s'intéressait avec ferveur à l'idée de mondialisation. On s'intéressait pour la première fois au " monde ", au rôle des compagnies et sociétés privées et au changement de goûts en matière de consommation, en particulier alimentaire. Les événements qui précipitèrent la Révolution Américaine sont étroitement reliés aux idées de commerce et d'échanges internationaux. A l'époque du premier boom de la mondialisation, entre 1760 et 1820, l'Angleterre, était considérée comme l'empire des matières premières. La France, elle, comme l'empire des idées. Les États-Unis, pour leur part, étaient voués à devenir un tout nouvel et pur empire commercial : un modèle dans le monde. L'idée selon laquelle l'influence des États-Unis est prééminente perdure : on peut en voir une illustration dans l'histoire des efforts conjugués pour diffuser le régime alimentaire américain dans le reste du monde. Au XXIe siècle, le succès de la mondialisation invite à se demander si la suprématie commerciale des États-Unis ne va pas être fragilisée. Mot(s) clés libre(s) : mondialisation, commerce, Amérique, libre échange, puissance
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La globalisation - Patrick Picouet
/ UTLS au lycée
/ 04-04-2011
/ Canal-U - OAI Archive
PICOUET Patrick
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Une conférence de l'UTLS au LycéeLa globalisation par Patrick Picouet (géographe)Lycée Vauban (62 Aire sur la Lys) Mot(s) clés libre(s) : commerce, échange, économie, frontière
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La globalisation
/ UTLS au lycée
/ 04-04-2011
/ Canal-u.fr
PICOUET Patrick
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Une conférence de l'UTLS au Lycée
La globalisation par Patrick Picouet (géographe)
Lycée Vauban (62 Aire sur la Lys) Mot(s) clés libre(s) : économie, commerce, frontière, échange
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Commerce équitable et TIC : l’exemple de Coocafé au Costa Rica.
/ 01-02-2010
/ Canal-u.fr
MONTAGUT-LOBJOIT Myriam, LOBJOIT Laura
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Ce documentaire propose, après une introduction au commerce équitable (historique, mécanismes,…), de découvrir la filière café à partir de l’exemple de la coopérative costaricienne Coocafé. Pionnière du commerce équitable et d’une éthique environnementale, celle-ci a intégré très rapidement les TIC dans son développement.
Nous partirons donc au Costa Rica pour rencontrer les responsables et les petits producteurs de cette structure et comprendre ainsi les enjeux sociaux, environnementaux et économiques du commerce équitable. Nous découvrirons d’une part la réponse de Coocafé à ces problématiques, et d’autre part l’usage qu’ils font des TIC pour leur développement. Mot(s) clés libre(s) : TIC, développement durable, commerce équitable
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