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Coteaux du Quercy : naissance d'un vignoble / Jean-Christian Tulet
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 01-01-2001
/ Canal-U - OAI Archive
TULET Jean-Christian
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Ce film retrace les étapes de la construction d’un nouveau vignoble qui couvre plus de 400 hectares et compte 120 producteurs. L’objectif initial a été de renforcer ce que l’on pourrait appeler une "polyproduction spécialisé" afin de mieux résister aux aléas conjoncturels. Très vite, ce nouveau vin, doté de règles très strictes de production, s’est révélé de grande qualité et a conquis une notoriété régionale incontestable. Le succès a fait boule de neige en attirant de nouveaux producteurs, intéressés par une bonne rémunération et un débouché presque assuré. Une coopérative a été installée à Montpezat de Quercy (Tarn-et-Garonne) pour ceux qui n’avaient pas les moyens de vinifier leur production.Vignerons indépendants et coopérateurs sont réunis dans une association très dynamique pour la promotion de leur vin. Tous ces résultats ont permis aux « Vins des coteaux du Quercy » d’obtenir, en 2000, l’appellation VDQS (vin de qualité supérieure) "Coteaux du Quercy". L’objectif des responsables de cette nouvelle appellation est de parvenir à la consécration suprême : accéder à l’appellation AOC. Mot(s) clés libre(s) : appellations d'origine (vin), coopérative viticole, produit agricole (commercialisation), Quercy (France), terroir (viticulture), vin de pays (Quercy), viticulture (aspect économique)
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Colombie, la fédération nationale des caféiculteurs : un empire menacé / Jean-Christian Tulet
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 01-02-2004
/ Canal-U - OAI Archive
TULET Jean-Christian
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C'est au XXe siècle seulement que la Colombie a rejoint les grands pays producteurs de café. Cette montée en puissance provient de la mise en place d'un très important front de colonisation intérieure, principalement à partir de la région de Medellin, qui occupe progressivement les vastes et nombreux versants montagnards situés plus au sud. Fondamentalement animée par de petits producteurs, cette colonisation à créé une identité nouvelle qui perdure encore très fortement aujourd'hui, celle du "païsa", le petit caféiculteur indépendant. L'autre élément favorable au développement et à la permanence de cette puissante caféiculture tient sans nul doute à l'existence de la Fédération Nationale des Caféiculteurs Colombiens (Federación Nacional de Cafeteros de Colombia).Le fonctionnement de cet organisme privé à fonctions publiques, né en 1927, a souvent été critiqué mais son existence et ses fonctions n'ont jamais été véritablement été discutées. La Fédération conserve un rôle majeur dans l'économie colombienne. Elle contrôle toujours l'essentiel de la filière nationale et assure la promotion des régions productrices. Toutefois la grave crise actuelle [la baisse des cours du café entre 1990 et 2004] remet en cause une partie des garanties qu'elle apportait aux caféiculteurs, alors que l'importance de celles-ci lui conférait une originalité certaine dans le monde des organisations nationales de producteurs. Face à la diminution de leurs revenus tirés de la production de café, les petits producteurs ont accru et diversifié la culture vivrière (banane, manioc, haricots, guanabana, etc).[Documentaire en version française avec entretiens en espagnol sous-titrés en français.]- Visionner aussi : "La caféiculture en Amérique Latine" (entretien filmé avec Jean-Christian Tulet, diffusé sur Canal-Géo). Mot(s) clés libre(s) : caféiculteurs (Colombie), caféiculture (aspect économique), colonisation intérieure (Colombie), commercialisation (produits agricoles), politique agricole (Colombie)
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Caféicultures. Colombie, la fédération nationale des caféiculteurs : un empire menacé / Jean-Christian Tulet
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 01-02-2004
/ Canal-u.fr
TULET Jean-Christian
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C'est au XXe siècle seulement que la Colombie a rejoint les grands pays producteurs de café. Cette montée en puissance provient de la mise en place d'un très important front de colonisation intérieure, principalement à partir de la région de Medellin, qui occupe progressivement les vastes et nombreux versants montagnards situés plus au sud. Fondamentalement animée par de petits producteurs, cette colonisation à créé une identité nouvelle qui perdure encore très fortement aujourd'hui, celle du "païsa", le petit caféiculteur indépendant. L'autre élément favorable au développement et à la permanence de cette puissante caféiculture tient sans nul doute à l'existence de la Fédération Nationale des Caféiculteurs Colombiens (Federación Nacional de Cafeteros de Colombia).Le fonctionnement de cet organisme privé à fonctions publiques, né en 1927, a souvent été critiqué mais son existence et ses fonctions n'ont jamais été véritablement été discutées. La Fédération conserve un rôle majeur dans l'économie colombienne. Elle contrôle toujours l'essentiel de la filière nationale et assure la promotion des régions productrices. Toutefois la grave crise actuelle [la baisse des cours du café entre 1990 et 2004] remet en cause une partie des garanties qu'elle apportait aux caféiculteurs, alors que l'importance de celles-ci lui conférait une originalité certaine dans le monde des organisations nationales de producteurs. Face à la diminution de leurs revenus tirés de la production de café, les petits producteurs ont accru et diversifié la culture vivrière (banane, manioc, haricots, guanabana, etc).[Documentaire en version française avec entretiens en espagnol sous-titrés en français.]- Visionner aussi : "La caféiculture en Amérique Latine" (entretien filmé avec Jean-Christian Tulet, diffusé sur Canal-Géo). Mot(s) clés libre(s) : caféiculteurs (Colombie), caféiculture (aspect économique), colonisation intérieure (Colombie), commercialisation (produits agricoles), politique agricole (Colombie)
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Vignobles et vins du Chili : un nouveau monde viti-vinicole révolutionnant la promotion et la valorisation du vin ? / Raphaêl Schirmer
/ Jean JIMENEZ, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 19-04-2013
/ Canal-u.fr
SCHIRMER Raphaêl
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Vignobles et vins du Chili : un nouveau monde viti-vinicole révolutionnant la promotion et la valorisation du vin ? / Raphaêl Schirmer, in colloque « Les arts et les métiers de la vigne et
du vin : révolution des savoirs et des savoir-faire » organisé dans le cadre du projet "Vins, Vignes et vignerons : passages, messages et métissages" par le groupe de recherche "In Vino Varietas" du Centre d’Etude et de Recherche Travail, Organisation, Pouvoir (CERTOP) et par le Département de Géographie de l'Université de Toulouse II-Le Mirail, Albi, 19-21 avril 2013. Mot(s) clés libre(s) : terroir (viticulture), Chili, commercialisation (vins)
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Priorat, renaissance d’un terroir et récupération d’un territoire
/ Jean JIMENEZ, Université Virtuelle Environnement et Développement durable, SCPAM / DTICE - Université de Toulouse II-Le Mirail
/ 01-02-2014
/ Canal-u.fr
JIMENEZ Jean, TULET Jean-Christian
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Situé à une trentaine de kilomètres de la mer, dans la province espagnole de Tarragone, le Priorat est un tout petit territoire, au sein d’une nature sauvage, dans des paysages très marqués par l’orographie et la nature du terrain. L’appellation Priorat voit le jour en 1973, soit 800 ans après la plantation des premières vignes de la région par les moines chartreux à l’origine du monastère de Scala Dei. Pourquoi une reconnaisance si tardive ? À cause de la puissance des vins du Priorat et donc de leur succès commercial en vrac, particulièrement au XIXe siècle, quand d’autres régions de d’Espagne et de France ont besoin de renforcer la notoriété de leur vins locaux. La surface cultivée a beaucoup diminué et de nombreuses vignes furent abandonnées au profit d’autres cultures comme la noisette, l’amande ou l’olive, surtout sur les terrains les plus pentus et difficiles à labourer.
Aujourd’hui, le Priorat est en pleine renaissance, résurrection même pourrait-on dire. On cherche à élaborer des vins, rouges pour la grande majorité, de la plus grande qualité possible, avec des prix si possible à la hauteur de cette qualité et de ce travail. La D.O.Ca Priorat est formée par 85 caves qui élaborent leurs vins et par 567 viticulteurs. Mot(s) clés libre(s) : territoire, viticulture bio, commercialisation, coopératives, Tarragone, D.O.Ca Priorato, durabilité, écosystèmes, terroir, paysans
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