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Histoire du confucianisme : vue panoramique
/ ENS-LSH / UOH / CERIMES / CANAL PHILO / SCAM, ENS-LSH / Canal Philo / Service Commun Audiovisuel et Multimédia, UOH - Université Ouverte des Humanités
/ 29-05-2007
/ Canal-U - OAI Archive
WANG Frederick
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Dès ses origines, la pensée chinoise a fait appel aussi bien à l’intuition qu’aux formes abstraites de raisonnement. Même si le confucianisme qui devient une doctrine étatique à partir du IIe siècle av. J.-C. sous les Han constitue le soubassement de la culture des lettrés, il ne cesse d’être confronté aux autres modes de pensée de la même époque, comme le taoïsme, l’école nominaliste, le légisme et plus tard au bouddhisme qui est introduit en Chine à partir du Ie siècle après J.-C. Ces confrontations non sans heurts contribuent sous les Song (960-1279) à un renouveau de pensée sans précédent : le néo-confucianisme, courant confucéen qui s’inspire de l’apport du taoïsme et du bouddhisme tout en les critiquant. Cette présentation panoramique trace, du point de vue philosophique et historique, quelques grandes lignes du confucianisme pré-impérial et du néo-confucianisme ainsi que les contextes intellectuels et politiques qui ont favorisé leur formation.Equipe technique : Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat, Montage: Mathias Chassagneux, Diffusion Web: Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : confucianisme, néo-confucianisme
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Évolution du confucianisme coréen
/ ENS-LSH / UOH / CERIMES / CANAL PHILO / SCAM, UOH - Université Ouverte des Humanités
/ 05-06-2007
/ Canal-U - OAI Archive
THIEBAULT Philippe
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La Corée est habituellement présentée comme un pays qui a été presque uniquement imprégné d'un néo-confucianisme orthodoxe de l’école de Zhu Xi (Chu Hsi 1130-1200). Cependant elle est moins connue pour sa créativité de pensée qui n'en est pas moins réelle. La Corée n'a introduit les caractères chinois, et avec eux la culture philosophique, que dans les premiers siècles de l'ère chrétienne. Ainsi les Coréens ont-ils été confrontés à la tâche redoutable d'assimiler des idées et une sagesse qui s'étaient développées pendant presque mille ans. Cette présentation souhaite remonter à la période antique coréenne pour mieux saisir comment se sont faites la naissance et l'évolution des idées confucéennes au cours de l'histoire. On observera d'abord la période pré-philosophique puis le temps des Trois Royaumes lorsque le confucianisme était dans une relation ouverte avec le bouddhisme et le taoïsme. On prendra en considération l'évolution des idées sous la période de Koryô avant que ne se fasse au 13e siècle l'introduction du néo-confucianisme qui fleurit durant la dynastie Yi fondée en 1392. Sur cette base on présentera les grandes figures néo-confucéennes coréennes jusqu’à la formation du courant des Lumières appellé sirhak, c'est-à-dire l’étude du réel qui débuta à partir de la fin du 17e siècle. Equipe technique : Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat, Montage: Mathias Chassagneux, Diffusion Web: Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : confucianisme, Corée, néo-confucianisme, T’oegye, Yulgok, Zhu Xi
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Le Sage et le peuple de Sébastien Billioud et Joël Thoraval
/ Boris SVARTZMAN, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 13-02-2015
/ Canal-u.fr
OBRINGER Frédéric, THORAVAL Joël, GODELIER Maurice, CHENG Anne, BILLIOUD Sébastien
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Conférence débat autour de l’ouvrage Le Sage et le peuple
Conférence
débat organisée par le Centre d’Études sur la Chine Moderne et
Contemporaine autour de la publication de l’ouvrage de Sébastien
Billioud, Professeur à l‘université Paris-Diderot et de Joël Thoraval, Maître de conférences EHESS, « Le Sage et le peuple. Le renouveau confucéen en Chine », Bibliothèque de l’Anthropologie, Paris, CNRS éditions 2014
Le débat est ouvert par
Anne Cheng, professeur au Collège de France. Chaire d’Histoire intellectuelle de la Chine.
Maurice Godelier, Directeur d’études à l’EHESS, Centre de Recherche et de Documentation sur l’Océanie (UMR 7308)
Billioud, Sébastien et Joël Thoraval. Le Sage et le peuple : le renouveau confucéen en Chine. Paris : CNRS éditions, 2014. 436 p. (Coll. “Bibliothèque de l’Anthropologie”). ISBN : 978-2-271-08154-4.
Que
signifie le « retour du confucianisme » dans une Chine redevenue
puissance mondiale ? Alors que les études existantes privilégient les
discours idéologiques et les débats intellectuels, ce livre prend
pour la première fois comme point de départ l’émergence, dans les années
2000, d’un « confucianisme populaire » qui se distingue des initiatives
officielles. À partir d’enquêtes de terrain menées sur près d’une
décennie, il étudie le développement de nouvelles pratiques –
réappropriation des textes classiques, culture du corps, création d’un
néoritualisme… –, dans des contextes aussi variés que les écoles et les
universités, les temples et les mouvements religieux, les entreprises et
les administrations. En les analysant dans la perspective plus vaste
d’une remise en cause en Chine des grands récits modernisateurs
ayant dominé le xxe siècle, Le Sage et le peuple jette une
lumière nouvelle sur l’articulation du politique et du religieux dans la
Chine contemporaine. À travers l’observation des cultes d’État mis en
place sur le continent et à Taïwan, c’est aussi la question du destin
contemporain de la tradition cosmologique chinoise qui se trouve posée.
Plus d’informations sur le site de CNRS éditions
Page personnelle de Joël Thoraval
Page personnelle de Sébastien Billioud Mot(s) clés libre(s) : Chine, mondialisation, confucianisme contemporain
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La pensée de Xun zi
/ ENS-LSH / UOH / CERIMES / CANAL PHILO / SCAM, UOH - Université Ouverte des Humanités, ENS-LSH
/ 11-05-2007
/ Canal-U - OAI Archive
MATHIEU Rémi
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À défaut d’être le plus célèbre, Xun zi (~298-~235 ?) est le plus profond et le plus fécond des héritiers de Confucius. Rude polémiste, il batailla contre les lettrés de tous poils pour préserver la pureté d’une doctrine qu’il n’imaginait qu’exigeante. Pour lui, les rites constituent la colonne vertébrale des individus comme des groupes sociaux. Avec les devoirs moraux, ils forment une sûre barrière à la méchanceté native de la nature humaine. Car on ne naît pas bon, on le devient. C’est ce qui l’opposa à d’autres penseurs et principalement à Mencius, le fils prodigue de Confucius. Son œuvre touche à bien des aspects de la connaissance de son temps, préfigurant les savoirs encyclopédiques du début de l’Empire. Il élabora une doctrine socio-politique, composa des poésies, forgea un art de la guerre, imagina le premier traité de linguistique, s’interrogea sur le Ciel et la divination, les rites, la musique ou la physiognomonie… Equipe technique : Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat, Montage: Mathias Chassagneux, Diffusion Web: Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : anthropologie philosophique, Chine, confucianisme, philosophie, Xun zi
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Sagesse ou philosophie
/ Mission 2000 en France
/ 29-12-2000
/ Canal-U - OAI Archive
JULLIEN François
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Selon leur notion initiale, la sagesse demeurerait l'idéal - elle est pour les dieux, reconnaît ostensiblement Platon -, tandis que nous autres hommes ne pouvons qu'y aspirer, ne pouvons que l' " aimer ", aussi serons nous " philosophes ". Mais on sait aussi que la philosophie naissante a relégué, et déjà chez Platon, la sagesse dans l'inconsistance de tout ce qui n'est pas un savoir démontré (ou révélé) ; et ce dédain est allé croissant avec le développement de la philosophie. Car la philosophie grandit, elle peut se targuer d'avoir une histoire, et l'autre non. En conséquence, la sagesse s'est vu traiter à l'envers, non plus en sur mais en sousphilosophie : elle serait une pensée qui n'oserait pas se risquer (pour atteindre l'absolu, la vérité), ou plutôt qui aurait renoncé - pensée molle, sans arête, émoussée, tempérée. Pensée plate, pour tout dire, et purement résiduelle (le lieu commun), stagnant si loin de l'essor fascinant des idées. En passant par la pensée chinoise, mais aussi par Montaigne, notre propos sera de tenter de redonner consistance à la notion de sagesse -, en revenant à l'infraphilosophique à partir duquel a prospéré la philosophie, et sans verser dans ce sous de ce qui n'en serait qu'un sousproduit. Mot(s) clés libre(s) : Chine, confucianisme, pensée, philosophie, sagesse
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Confucianisme, post-modernisme et valeurs asiatiques
/ Mission 2000 en France
/ 30-10-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CHENG Anne
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Même si elle apparaît à bien des égards comme accessoire dans les tourmentes révolutionnaires qui ont secoué la Chine tout au long du XXe siècle, la question de la survie du confucianisme dans une société qui se veut moderne, voire post-moderne, ne manque pas de provoquer une certaine perplexité. Comme chacun sait, le confucianisme a fourni pendant deux mille ans un soubassement idéologique et institutionnel à un régime impérial qui n'a définitivement disparu qu'en 1912. À ce titre, l'héritage confucéen, rendu responsable de l'arriération de la Chine et perçu comme la source de tous ses maux, a été la cible privilégiée du mouvement iconoclaste du 4 mai 1919, avant de faire l'objet, entre 1966 et 1976, de destructions systématiques au cours de la Révolution Culturelle. Comment expliquer alors que ce même confucianisme, à partir de la fin des années 1970, soit apparu au contraire comme le moteur de l'essor économique du Japon et des " quatre petits dragons ", jusqu'à devenir, dans la bouche de certains dirigeants connus pour leur autoritarisme, un atout central du discours sur les " valeurs asiatiques " ? Parallèlement à cette instrumentation de toute évidence idéologique s'est développée depuis le début du siècle une réflexion sur la réappropriation de la tradition et des valeurs confucéennes émanant d'intellectuels en Chine d'abord, puis, après la prise du pouvoir par les Communistes en 1949, à Hong Kong et Taiwan, avec un retour actuel en Chine Populaire accompagné d'une diffusion dans la diaspora de culture chinoise, notamment aux États-Unis. En fin de compte, le confucianisme a-t-il perdu définitivement toute assise dans les sociétés chinoises ou sinisées, et a-t-il encore une chance de compter dans les débats de notre " monde global et éclaté " ?. Mot(s) clés libre(s) : Asie, Chine, confucianisme, confucianisme contemporain, religion
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