|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Mobilité des populations en situation de guerre et structures de santé au Congo / Martin Yaba Mambou
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 16-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
YABA MAMBOU Martin
Voir le résumé
Voir le résumé
« Mobilité des populations en situation de guerre et conséquences des conflits armés sur les infrastructures de santé, les recours thérapeutiques et la santé des populations : cas du Congo Brazzaville », Martin YABA (Union Pour l’étude et la Recherche sur la Population et le Développement (UERPOD, Congo Brazzaville). Colloque international "Santé et mobilités au Nord et au Sud : circulations des acteurs, évolutions des pratiques". Toulouse : 'Université de Toulouse II-Le Mirail, Institut d'Etudes Politiques (IEP), AMADES : 16-18 septembre 2009. [Intervention suivie d'un échange avec l'auditoire].Session A : Ajustements des systèmes, des politiques de santé et des pratiques de soins aux migrants malades et/ou vulnérables. Atelier A1 : Dynamiques des systèmes de santé face aux mobilités.La plupart des pays qui sortent des conflits armés sont confrontés à des nombreux défis, parmi lesquels, l’assistance humanitaire, la sécurisation, la consolidation de la paix, la reconstruction, la prise en charge médicale (en termes d'offre et de demande), la relance duprocessus du développement socio-économique, l’assistance aux groupes vulnérables et la prise en charge des populations victimes de guerre. Au Congo Brazzaville, alors que les guerres de 1993 et 1997 n’ont touché principalement que les quartiers de Brazzaville, celle de 1998-1999 s’est étendue dans les quatre régions sud-ouest du pays : Pool, Bouenza, Niari et Lékoumou. De plus, le Congo a été particulièrement meurtri par un conflit socio-politique à plusieurs rebondissements, d’abord en 1993, ensuite en 1997 et enfin en 1998/1999. Ce conflit socio-politique a non seulement généré des combats militaires, mais également conduit à la destruction du tissu socio-économiquenational. Ont été affectés, aussi bien les rapports communautaires et sociaux, que les services de bases (éducation et santé) avec pour conséquence la détérioration des conditions sociales et l’émergence des pathologies au sein des populations déjà meurtries par les effets de la crise socioéconomique que traversait le pays depuis la deuxième moitié des années 80.La présente communication s’appuie sur les résultats de l’étude sur le bilan social au Congo réalisée dans les quatre régions du 29 mars au 30 avril 2001. Cette étude porte sur l’Etude du bilan social au Congo réalisée par l’UERPOD à la demande du gouvernement, appuyée financièrement par la Banque Mondiale et l’Agence Française de Développement. L’objectif assigné à cette communication vise à « fournir une base d’informations sur la mobilité des populations en situation de conflits armés, d’évaluer les conséquences sociales des conflits armés sur la santé des populations. Cette communication doit permettre de : (i) décrire les infrastructures sanitaires ; (ii) les recours thérapeutiques utilisés par ces dernières ; (iii) les types de pathologies ; (ix) les causes de morbidité des populations victimes de conflits socio politiques, les attentes de ces dernières et les stratégies adaptées au contexte de conflits ».Combinant des techniques de la recherche documentaire (registres médicaux, fiches de soins), d’entretien semi-directif avec l’aide d’un questionnaire et de l’observation directe, l’étude s’est focalisée sur les structures de santé, les responsables ou gestionnaires desdites structures, les populations victimes de conflits armés, les femmes, les hommes adultes, des chefs de ménage et des chefs de quartier ou de village. Au total, vingt (20) localités reparties dans les quatre régions ont été couvertes. Le choix de ces localités a été fait de façon raisonnée en tenant compte des critères d’accessibilité géographique et de sécurité. Mot(s) clés libre(s) : anthropologie de la santé, Congo (République), guerre (aspect médical), personnel médical, politique sanitaire, services de santé
|
Accéder à la ressource
|
|
Mobilité des populations en situation de guerre et structures de santé au Congo / Martin Yaba Mambou
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 16-09-2009
/ Canal-u.fr
YABA MAMBOU Martin
Voir le résumé
Voir le résumé
« Mobilité des populations en situation de guerre et conséquences des conflits armés sur les infrastructures de santé, les recours thérapeutiques et la santé des populations : cas du Congo Brazzaville », Martin YABA (Union Pour l’étude et la Recherche sur la Population et le Développement (UERPOD, Congo Brazzaville). Colloque international "Santé et mobilités au Nord et au Sud : circulations des acteurs, évolutions des pratiques". Toulouse : 'Université de Toulouse II-Le Mirail, Institut d'Etudes Politiques (IEP), AMADES : 16-18 septembre 2009. [Intervention suivie d'un échange avec l'auditoire].Session A : Ajustements des systèmes, des politiques de santé et des pratiques de soins aux migrants malades et/ou vulnérables. Atelier A1 : Dynamiques des systèmes de santé face aux mobilités.La plupart des pays qui sortent des conflits armés sont confrontés à des nombreux défis, parmi lesquels, l’assistance humanitaire, la sécurisation, la consolidation de la paix, la reconstruction, la prise en charge médicale (en termes d'offre et de demande), la relance duprocessus du développement socio-économique, l’assistance aux groupes vulnérables et la prise en charge des populations victimes de guerre. Au Congo Brazzaville, alors que les guerres de 1993 et 1997 n’ont touché principalement que les quartiers de Brazzaville, celle de 1998-1999 s’est étendue dans les quatre régions sud-ouest du pays : Pool, Bouenza, Niari et Lékoumou. De plus, le Congo a été particulièrement meurtri par un conflit socio-politique à plusieurs rebondissements, d’abord en 1993, ensuite en 1997 et enfin en 1998/1999. Ce conflit socio-politique a non seulement généré des combats militaires, mais également conduit à la destruction du tissu socio-économiquenational. Ont été affectés, aussi bien les rapports communautaires et sociaux, que les services de bases (éducation et santé) avec pour conséquence la détérioration des conditions sociales et l’émergence des pathologies au sein des populations déjà meurtries par les effets de la crise socioéconomique que traversait le pays depuis la deuxième moitié des années 80.La présente communication s’appuie sur les résultats de l’étude sur le bilan social au Congo réalisée dans les quatre régions du 29 mars au 30 avril 2001. Cette étude porte sur l’Etude du bilan social au Congo réalisée par l’UERPOD à la demande du gouvernement, appuyée financièrement par la Banque Mondiale et l’Agence Française de Développement. L’objectif assigné à cette communication vise à « fournir une base d’informations sur la mobilité des populations en situation de conflits armés, d’évaluer les conséquences sociales des conflits armés sur la santé des populations. Cette communication doit permettre de : (i) décrire les infrastructures sanitaires ; (ii) les recours thérapeutiques utilisés par ces dernières ; (iii) les types de pathologies ; (ix) les causes de morbidité des populations victimes de conflits socio politiques, les attentes de ces dernières et les stratégies adaptées au contexte de conflits ».Combinant des techniques de la recherche documentaire (registres médicaux, fiches de soins), d’entretien semi-directif avec l’aide d’un questionnaire et de l’observation directe, l’étude s’est focalisée sur les structures de santé, les responsables ou gestionnaires desdites structures, les populations victimes de conflits armés, les femmes, les hommes adultes, des chefs de ménage et des chefs de quartier ou de village. Au total, vingt (20) localités reparties dans les quatre régions ont été couvertes. Le choix de ces localités a été fait de façon raisonnée en tenant compte des critères d’accessibilité géographique et de sécurité. Mot(s) clés libre(s) : politique sanitaire, services de santé, anthropologie de la santé, personnel médical, Congo (République), guerre (aspect médical)
|
Accéder à la ressource
|
|
Au bord de l'Oubangui (1988)
/ CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique, La Cathode Video
/ 01-01-1988
/ Canal-U - OAI Archive
GAULIER François
Voir le résumé
Voir le résumé
Scènes de la vie quotidienne d'enfants pygmées qui vivent au bord de l'Oubangui, en République centrafricaine. Sur les rives du fleuve, femmes et enfants s'adonnent à leurs activités : bain, toilette, travaux domestiques, jeux. Dans une bananeraie aka, à proximité du cours d'eau appelé Gouga, la caméra observe le comportement d'une petite fille pygmée prépubère au sein de sa famille : partage d'une papaye, absorption d'eau et de comprimés contre les maux de ventre, toilette, chants et danses polyphoniques, consommation de tabac. A l'école de Sakabo, la rentrée des classes donne l'occasion aux enfants pygmées et villageois de se rassembler, de faire de la gymnastique et de chanter l'hymne national.GénériqueAuteurs - Réalisateurs : EPELBOIN Alain (LACITO, UPR CNRS, Paris) et GAULIER François Conseillers scientifiques : AROM S., BAHUCHET S. et THOMAS J.M.C. (LACITO, UPR CNRS, Paris) Production : CNRS AV, CNRS-LACITO, La Cathode Vidéo Mot(s) clés libre(s) : Congo, Oubangui (cours d'eau), pygmées
|
Accéder à la ressource
|
|
L'ACTUALITÉ DÉCRYPTÉE PAR LES CHERCHEURS DU GROUPE SOCIÉTÉS, RELIGIONS, LAÏCITÉS
/ Sabrina PASTORELLI, Thomas GUIFFARD
/ 21-10-2015
/ Canal-u.fr
FATH Sébastien
Voir le résumé
Voir le résumé
Rencontres avec les chercheurs du GSRL sur des thèmes liés à l'actualité.
3ème vidéo : Sébastien Fath, Historien français, chercheur au CNRS, membre du Groupe Sociétés Religions Laïcités (UMR 8582), intervient sur la francophonie protestante suite à sa mission en République Démocratique du Congo. Mot(s) clés libre(s) : francophonie, protestantisme, République démocratique du Congo, evangélisme
|
Accéder à la ressource
|
|
Ebola en 2012, R.D. du Congo, Province orientale, Haut Uélé : entre compréhensif et coercitif, réponse adaptée à des menaces
/ 29-09-2012
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
Voir le résumé
Voir le résumé
Acteurs- Maurice Tongolo, membre de la commission mobilisation sociale du Comité international de lutte contre la fièvre hémorragique Ebola (CILE).- Eugénie Baganda, infirmière graduée en santé publique, membre de la commission surveillance du CILE- Jacques Akonangana, infirmier superviseu, membre de la commission surveillance du CILE- Lobia Maximilien, ingénieur, locuteur yogo, médiateur de crises du CILECaméra/réalisation : Alain Epelboin CNRS-MNHN Paris et OMSMontage : Alain Epelboin & Mireille GruskaMaquette du 26 octobre 2012, version sous-titrée en françaisRésumé :Malgré les efforts d'humanisation (hospitalité des structures d'isolement, enterrements sécurisés confiés à la famille, sensibilisation, mobilisation et communication sociale multimédias, présence active d’épidémiologistes,de psychologues et d'anthropologues...), le déni du virus persiste et les recherches de coupables réels et métaphoriques des morts se multiplient, sur un fond de misère et d'intérêts politico-économiques antagonistes.Des boucs-émissaires sont nommés (belle-famille, équipes et les malades survivants sont stigmatisés.Les équipes sont aussi régulièrement l'objet de menaces, amplifiées par les dysfonctionnements institutionnels.Description :Le film débute sur une séance de mobilisation sociale nocturne dans un quartier d’Isiro, basée sur la projection de vidéos enregistrées lors d’épidémies précédentes, commentées par un membre de la commission mobilisation sociale.0 mn 44. Une femme et un homme, infirmiers congolais d’Isiro, chargés du suivi quotidien des « contacts » et du repérage de malades, racontent le dénis du virus, les accusations d’enrichissement illicite des équipes de réponse à l’épidémie, de détournement du sang et de consommation des cadavres à des fins de sorcellerie et de recherche de pouvoir.Deux situations de menaces contre les équipes sont rapportées, ainsi que la médiation appropriée qui eul lieu pour apaiser la situation : 2 mn 27. Une a été provoquée par un taximan moto, "contact" d'une personne décédée, de fait au chomage en raison de la stigmatisation dont il était devenu l’objet. Lui et sa mère ont menacé avec une machette les membres des équipes de surveillance venus le visiter, en leur enjoignant de ne plus mettre les pieds chez lui. Puis, il excita ses voisins, ce qui fait qu’au retour d’une ambulance transportant un enfant fièvreux et son oncle, garde malade en TPI, la route fut barrée et le véhicule immobilisé. Des violences furent exercées sur le chauffeur et l’oncle par une foule armée de machettes, d’arcs et de flêches jusqu’à la médiation compréhensive et autoritaire de l’ingénieur Obia, médiateur appartenant à la même ethnie, mandaté par le CILE (4 mn 42).5 mn 17. L’autre situation de crise rapportée avec menaces sur les équipes est celle provoquée par un autre jeune homme, absent lors de la levée de corps de sa sœur à l’hôpital et à qui on avait refusé d’ouvrir de nouveau le cercueil et le sac mortuaire au moment de l’enterrement afin qu’il puisse voir une dernière fois son visage. Il écrivit une lettre de menace au CILE, enjoignant aux équipes de ne plus passer devant chez lui, ce qui était innaceptable et impossible puisque sa maison est installée sur le bord du seul axe menant à Bédé, le lieu d’émergence d’une chaîne épidémiologique en provenance d’Isiro. L’ingénieur Obia raconte comment, de façon empathique, humble et autoritaire, une équipe de notables et de membres du Comité se déplaça sur place, négocia avec le protestataire et le retourna en le transformant en agent sensibilisateur. Mot(s) clés libre(s) : afrique, compréhensif, réactions de la population, fièvres hémorragiques virales, Ébola, boucs-émissaires, enterrement, mobilisation sociale, Isiro, République démocratique du Congo, stigmatisation, film ethnographique, éducation sanitaire, vidéo, mort, violence, coercitif
|
Accéder à la ressource
|
|
Ebola au Congo en décembre 2003 à Mbomo : virus, braconnier et fétiche
/ 23-12-2003
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
Voir le résumé
Voir le résumé
Ce troisième film de la série "Ebola au Congo", "virus, braconnier et fétiche, Mbomo décembre 2003" décrit l'épidémie de Mbandza et Mbomo des mois de novembre et décembre 2003. Il souligne la stigmatisation dont sont victimes les individus convalescents et les individus ex-contacts. This third film of the series “Ebola in Congo”, “virus, poacher and fetish, Mbomo December 2003”describes the epidemic in Mbanza and Mbomo in November and December 2003. It underlines the stigmatisation towards convalescents and former- contact subjects.Ces films à caractère ethnographique ont été réalisés dans le cadre de missions de réponse de l'OMS aux épidémies de fièvre hémorragiques à virus Ebola au Congo en 2003 (février, juin et décembre), en collaboration avec Pierre Formenty, virologue, épidémiologiste (OMS/CDS/CSR/ARO)Certains acteurs ne suivent pas les protocoles recommandés par l'OMS pour les précautions et la prise en charge des patients. Mot(s) clés libre(s) : afrique, Cuvette Ouest, enterrement sécurisé, Ébola, tenues individuelles de protection, boucs-émissaires, fièvre hémorragique virale, Mbomo, mobilisation sociale, épidémie, stigmatisation, film ethnographique, Congo (République), éducation sanitaire, vidéo, mort, hôpital, pavillon d'isolement
|
Accéder à la ressource
|
|
TIC et mobilisation : le cas du Congo
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Intervention de Théodora MIERE : Maître de Conférences en Sciences de l’Information et de la Communication. Université de Versailles Saint-Quentin en Yvelines. Chercheur au Larequoi - IUT de Mantes en Yvelines. Le 4 mai 2015 à l'Institut de la Communication et des Médias (Université Stendhal Grenoble 3). Communication au colloque international "La communication numérique au cœur des sociétés : dispositifs, logiques de développement et pratiques". Mot(s) clés libre(s) : Numérique - Communication - TIC - Congo - Afrique
|
Accéder à la ressource
|
|
Ebola en 2012, R.D. du Congo, Province orientale, Haut Uélé : visite de l'hôpital sécurisé d'Isiro
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Film ethnographique tourné le 25 et le 26 septembre 2012 à l'hôpital sécurisé par MSF Espagne au sein de l'hôpital général de référence d'Isiro (République démocratique du Congo, Province orientale, Haut Uélé).Il montre l’organisation des lieux et de la gestion de l’hygiène, en suivant l’accompagnement de la visite médicale et de la distribution de nourriture et de médicaments aux personnes hospitalisées, dont certaines sont décédées depuis, en respectant leur anonymat.Il a été réalisé grâce à la collaboration des personnels congolais de MSF Espagne, des malades hospitalisés et de leurs familles et du Comité international de coordination de la lutte contre la fièvre hémorragique à virus Ebola à Isiro (CILE).La musique originale Stop Ebola (lingala, yogo, zandé, français...) est l'oeuvre de l'Orchestre St Dominique d'Isiro reprenant les recommandations en vigueur au moment de sa réalisation début septembre 2012.Ce film a été projeté durant l'épidémie pour montrer à la population et aux personnels engagés dans la réponse à l'épidémie la qualité de la prise en charge au sein de l'hôpital sécurisé.La caméra est tenue par un opérateur en tenue de protection individuelle, identique à celles du personnel médical, se tenant à distance des malades et des objets et meubles potentiellement contaminés. Non soumise à une contamination virologique, elle est ressortie immédiatement, poursuivant son travail, après que l'opérateur se soit soumis au protocole en vigueur de déshabillage et de désinfection.Description : Entrée dans l’hôptal général de référence d’Isiro1 mn 47. Entrée dans l’hôpital sécurisé, marquée par une ablution obligatoire à l’eau chlorée 0,05% des mains et des semelles des visiteurs. Arrivée par taxi moto du pain et du thé chaud qui sont partagés entre les familles garde-malades et les personnes hospitalisées, suspectes, contaminées ou guéries du virus Ebola Bundibugyo.3 mn 20. Description de l’espace médical, constitué d’un bureau, de vestiaires et d’un espace d’habillage des tenues de protection individuelle (TPI). On suit le médecin et les deux infirmières congolais de MSF Espagne qui revêtent leur TPI, avant d’effectuer la première viste médicale avec distributiuon de nourriture. 8 mn 25 Entrée dans l’espace à haut risque, marqué par une barrière et un pédiluve.Visite des deux salles de personnes suspectes, occupées par une seule femme dont la température est redevenue normale. 11 mn 46. Visite de la salle de traitement de quatre femmes contaminées : distribution de remèdes et d’aliments et désinfection des zones souillées par les malades.Visite des WC et douche réservées aux malades.17 mn 25. Visite de la salle de traitement des hommes contaminés, occupée par un malade.18 mn 21. Entrée dans le sas de sortie de la zone à haut risque, décontamination à l’eau chlorée et déshabillage de la TPI.22 mn 27 Présentation de l’espace de lavage des tenues de protection à usage multiple, préalablemnt désinfectées.22 mn 46. Présentation de la gestion de l'eau, de la pompe au stockage, jusqu’à la préparation des différentes eaux chlorées. Mot(s) clés libre(s) : éthique, épidémiologie, tenues de protection individuelle, fièvre hémorragique Ebola, épidémie, hôpital sécurisé, Isiro, Bas-Uelle, République démocratique du Congo, Afrique centrale, médecine traditionnelle, anthropologie médicale, film ethnographique, contamination, vidéo, hygiène, hospitalité
|
Accéder à la ressource
|
|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
|