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Colloque Dire, taire, masquer les origines dans la Péninsule ibérique : 15e-17e siècle / ouverture
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
Université Toulouse II-Le Mirail
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Dire, taire, masquer les origines dans la péninsule ibérique du Moyen Age au Siècle d'or : ouverture. Colloque international organisé par l'Équipe de recherche "Littérature Espagnole Médiévale et du Siècle d'Or" (LEMSO) du laboratoire France méridionale et Espagne : histoire des sociétés du moyen age à l'époque contemporaine (FRAMESPA) en collaboration avec le département d'études hispaniques et hispano-américaines. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail (UTM), Médiathèque José Cabanis, 22-24 mars 2010.Intervenants : Daniel Filâtre (président de l'Université Toulouse II-Le Mirail), Michel Bertrand (directeur adjoint du laboratoire FRAMESPA, UTM), Alain Cozic (directeur de l'UFR Lettres, Langues et Civilisations étrangères, UTM), Enrique Fraga (directeur du département Études Hispaniques et Hispano-américaines, UTM). Mot(s) clés libre(s) : civilisation ibérique (17e siècle), civilisation ibérique (Moyen Age), conscience historique (péninsule ibérique), histoire des idées (péninsule ibérique), littérature ibérique (15e-17e siècle), mythe et littérature (Espagne), Siècle d'or espagnol
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Antiquité, modernité, psychanalyse / Henri Sztulman
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 27-05-2010
/ Canal-U - OAI Archive
SZTULMAN Henri
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Antiquité, modernité, psychanalyse. Henri SZTULMAN. In "Les Humanités pour quoi faire : enjeux et propositions", colloque international organisé par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) en collaboration avec le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA). Université Toulouse II-Le Mirail, IUFM Midi-Pyrénées, 27-29 mai 2010. Thème II : Humanités et identités socio-culturelle, 27 mai 2010. Mot(s) clés libre(s) : civilisation antique, conscience historique, identité collective, origine (psychanalyse), psychanalyse et culture
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Séminaire Image et vérité. 3. Image et mémoire. La reconstruction de la vérité par l'image : ouverture de la journée / Pascale Peyraga, Marion Gautreau
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 07-04-2014
/ Canal-u.fr
GAUTREAU Marion, PEYRAGA Pascale
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Séminaire Image et vérité. 3. Image et mémoire. La reconstruction de la vérité par l'image : ouverture de la journée / Pascale Peyraga, Marion Gautreau. Séminaire organisé par le laboratoire France Méridionale et Espagne (FRAMESPA) et le Réseau interdisciplinaire sur les vérités de l'image hispanique contemporaines (RIVIC). Université Toulouse II-Le Mirail, 7 avril 2014.Tanto la dictadura franquista como las dictaduras latinoamericanas de los años 1960 a 1980 dieron lugar a una abundante
producción fílmica y fotográfica -documental y de ficción- que vuelven sobre estos periodos traumáticos desde diferentes puntos de vista. Comienzan a realizarse pe- lículas en los años 1980, todavía bajo la Ley de amnistía española (15 de octubre de 1977) o las Leyes de impunidad argentinas (finales de los años 1980) y siguen saliendo en pantalla hasta hoy en día, en un clima totalmente distinto. En efecto, la Ley de Memoria histórica del 31 de octubre de 2007 en
España o la declaración de inconstitucionalidad por la Corte Suprema de Argentina de los « indultos de Menem » en 2010 abre vías nuevas a la representación fílmica de estos episodios de la historia reciente. La idea de este seminario es observar cómo se reconstruye la memoria
histórica de las dictaduras a través de las imá- genes y el diálogo que entretiene estas producciones artísticas con una real o supuesta « verdad histórica ». Considerando cada una de estas obras como un « lugar de memoria », a la manera de Pierre Nora, sería interesante analizar los recursos utilizados por los artistas para ofrecer su propia memoria
de los gobiernos militares. En documentales como La maleta mexicana (Trisha Ziff, 2011, México/España/EEUU) o Los caminos de los memoria (José Luis Peñafuerte, 2009, España) se insiste en la problemática de las exhumaciones y del dilema verdad/olvido, mientras que en películas como Infancia clandestina (Benjamín Ávila, 2012, Argentina) o O ano en que meus pais saíram de férias (Cao Hamburger, 2006, Brasil) se intenta dar a ver la vida cotidiana de los niños que vivieron en tiempos de dictadura. Por otra parte, no podemos sino pensar en las producciones fotográficas de los últimos años, que no se refieren tanto a la revelación del pasado histórico (en las dictaduras o en tiempos de guerra) como a la comprobación de la ausencia de imágenes o una verdad para siempre velada (La misma Imagen a través de los días Socius II, Adrián Alemán). A través del tiempo y de la variedad de temas desarrollados en estos medios icónicos se va reconstruyendo poco a poco la memoria de las dictaduras. Nuestro propósito es confrontar los puntos de vista expuestos y los recursos iconográficos utilizados para defenderlos, con el fin de delinear los contornos de estas memorias española y latinoamericanas. Mot(s) clés libre(s) : conscience historique, cinéma et histoire, Mexique (20e siècle), Basilio Martín Patiño (1930-....), cinéma espagnol, Jorge Semprún (1923-2011), Espagne (20e siècle), film documentaire, mémoire collective, franquisme
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072 - Une histoire idéologique ? Existe-t-il une vision pied noir de l'histoire franco-algérienne ?
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
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par Yann Scioldo-Zurcher (Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales)Migrations, cultures et représentations : la pérennité des liensUne histoire idéologique : session thématique (prés. Anne-Marie Granet-Abisset)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Nous savons aujourd’hui que les pieds-noirs ne forment pas une communauté, ni même un groupe homogène, et que plusieurs mémoires, parfois concurrentes, les caractérisent. Pourtant, derrière la multitude, se dégage non seulement une mémoire collective, au sens ou Maurice Halbwachs l’entend, mais aussi une « vision pied-noir de l’histoire franco-algérienne ». Faite de mythologies coloniales, de sophismes politiques, de justifications a posteriori, de rejets et de victimisation, cette vision est souvent l’unique point de rencontre des associations, voire des rapatriés...Il s’agira donc dans un premier temps de définir cette vision historique, mais au-delà d’une approche convenue, nous proposerons une définition par la négative, et tenterons d’analyser les dénis de mémoire et les refus d’histoire, qui paradoxalement forment cette vision historique particulière. Il s’agira d’historiciser cette vision à partir d’un corpus original d’archives, et de montrer combien elle existait déjà du temps de la colonisation. Plus encore, nous regarderons comment, après l’indépendance de l’Algérie, cette vision fut réintroduite en métropole et confortée par les pouvoirs publics, et notamment le ministère de l’Information, au point de redonner une vie active à des stéréotypes coloniaux qui ont survécu sans difficulté à la colonisation.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), conscience historique, historiographie, mémoire collective, pieds-noirs, stéréotypes coloniaux
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L'histoire dans les subjectivités individuelles
/ Mission 2000 en France
/ 23-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CORBIN Alain
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Le simple énoncé de l'objet qui m'a été proposé suffit à désigner son ampleur. La manière dont l'individu reçoit, interprète, se rappelle, oublie ce qui constitue à ses yeux le cours de l'histoire résulte de sa trajectoire et de sa position sociales, de son habitus, de ses représentations du monde, de l'autre et de soi - qu'elles forment ou non système - de ses croyances et de ses convictions, de sa culture sensible, de sa structure affective et des événements qui ont rythmé son existence. Les cinquante minutes imparties imposent donc de délimiter plus étroitement cet objet. Aussi m'en tiendrai-je, aujourd'hui, à la manière dont la conscience de l'identité, les représentations et la mémoire de soi contribuent à déterminer la façon dont le sujet interprète l'apport extérieur et au retentissement de ce qu'il nous faut résumer par le terme "histoire", ici conçu comme somme de savoirs et d'expériences. Mot(s) clés libre(s) : biographies, conscience historique, identité individuelle, individu et histoire, représentation de soi
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Patrimonialisation et mémoires de l'esclavage : la difficile rencontre / Christine Chivallon
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
CHIVALLON Christine
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Patrimonialisation et mémoires de l'esclavage : la difficile rencontre / Christine Chivallon, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014.
Thématique 1 : Esclavage et mémoire.
Cette communication s'intéresse aux nouvelles pratiques patrimoniales et muséographiques relatives à l'esclavage trasatlantique dans la France contemporaine et ses lointains "Départements d'outre-mer" de la Caraïbe. Elle envisage de manière critique les discours que proposent ces nouveaux dispositifs patrimoniaux au vu de l'ambition qu'ils visent de représenter l'esclavage. A partir d'expériences concrètes de scénographies de l'esclavage, plutôt muséographiques, il s'agit de faire émerger les questions que pose la mise en visibilité de l'esclavage par le langage patrimonial dans un contexte politico-mémoriel saturé de signes. La visée stratégique de la prise en compte du passé esclavagiste fait en effet massivement appel aux « machines du souvenir », outils de la modernité occidentale, pour tenter de convaincre de la prise en compte des histoires douloureuses des peuples noirs. A partir de quelques exemples, Christine Chivallon veut ainsi montrer que ce langage muséographique et monumental, fortement mobilisé dans le contexte de frénésie mémorielle, n'est pas adapté pour traduire les expériences sociales issues de la matrice esclavagiste. Celles-ci semblent comme leur échapper ou être de nouveau rendues silencieuses par des dispositifs qui oblitèrent des pans de réalités sociales encore vives ou qui viennent à produire des régimes de représentations encore étroitement liées aux spécificités de sociétés restées clivées par les héritages coloniaux. Cette commuication envisage successivement quatre stratégies discursives : celle de la périodisation historique, celle du récit national, celle du lieu-témoin, celle enfin de la monumentalité du Mémorial. Ces stratégies ne sont pas exclusives l'une de l'autre mais expriment plutôt des dominantes où les discours, par leurs procédures de sélection et d'exclusion, installent certaines visions de l'esclavage qui brouillent les manières d'atteindre le sens de l'expérience humaine formée dans le creuset esclavagiste. Mot(s) clés libre(s) : conscience historique, lieux de mémoire, politique culturelle (protection du patrimoine), esclavage (mémoire collective), scénographie d'exposition (muséologie)
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/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 10-06-2010
/ Canal-U - OAI Archive
ARON Stephen
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Mot(s) clés libre(s) : conscience historique (Etats-Unis), histoire de l'Ouest américain, identité collective (Etats-Unis), identité culturelle (Etats-Unis), identité nationale (Etats-Unis)
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The West and the construction of American Identity / Stephen Aron
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 10-06-2010
/ Canal-u.fr
ARON Stephen
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Stephen Aron explore les évolutions que l'on observe dans les études historiques et diverses formes d'expressions culturelles, y compris les arts visuels, les Wild West Shows, le cinéma et les expositions des musées. Il explique ainsi comment les Américains ont trouvé dans l'expansion vers l'ouest une clé pour comprendre le développement de la nation et une base sur laquelle ils ont construit et reconstruit leur identité nationale. Il suggère que ces expressions qui servaient à conforter les Américains dans leur vision positive de l'histoire et d'eux mêmes ont été remplacées par une version de l'histoire de l'ouest destinée à induire en eux un sentiment de culpabilité. Tout récemment, il voit émerger une version révisée du mythe de la frontière et de l'ouest qui a pour but de réconforter les Américains et qui repose sur une version alternative de l'histoire qu'il nomme le "colonialisme Kumbaya" ( référence à un chant scout qui célèbre l'unité entre les hommes) dont l'émergence révèle l'état de l'opinion culturelle au moment de l'élection du président Obama.The West and the construction of American Identity. Stephen ARON. In colloque "Identités américaines : relations et interactions - American Identities in relation and interaction" organisé par le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 10-11 juin 2010. Mot(s) clés libre(s) : identité collective (Etats-Unis), conscience historique (Etats-Unis), histoire de l'Ouest américain, identité culturelle (Etats-Unis), identité nationale (Etats-Unis)
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