Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Cogito - Éducation
/ Serge BONIN, ÆLIÉS Chaire publique de l’Université Laval
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Sous la loupe des
chercheurs de l’Université Laval (Québec)
ÉMISSION 1 – ÉDUCATION
Nous découvrons la dyscalculie, équivalent de la dyslexie, mais par rapport aux nombres. Nous nous interrogeons sur la profession des conseillers en orientation. Enfin, nous étudions le parcours de jeunes enseignants québécois.
Participants :
Anne Lafay, étudiante au doctorat en médecine expérimentale
Simon Viviers, étudiant au doctorat en sciences de l'orientation
Caroline Jeanson, étudiante à la maîtrise en sociologie Mot(s) clés libre(s) : enseignement, école, éducation, conseiller d'orientation, dyscalculie
|
Accéder à la ressource
|
|
SORNEST 2010 n19 - rôle et attente du médecin conseil
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 26-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
SCHMITT Bruno, PIERRE Charles
Voir le résumé
Voir le résumé
XXXVIII° journées d'étude de la So.R.N.Est (Société de Réadaptation du Nord-Est) Nancy, les 25 et 26 mars 2010 La Médecine Physique et de Réadaptation face à ses partenaires : Quelles informations? Quelle communication? Quelles responsabilités ?Session : Expériences spécifiques de l’échange d’information dans le champ médico-social.Titre : So.R.N.Est 2010 Nancy – Insertion professionnelle : rôle et attente du médecin conseil.Auteur : Bruno SCHMITT (médecin conseil - Service Médical du Nord-Est), Charles PIERRE (médecin conseil - Service Médical du Nord-Est)Résumé : Les maladies professionnelles désignées dans les tableaux sont définies par le législateur à l’article L. 461-1 et 2ème § du code de SS : «Est présumée d’origine professionnelle toute maladie désignée dans un tableau de MP et contractée dans les conditions mentionnées dans ce tableau».Un décret en conseil d’état définit ces tableaux (98 au régime général 57 au régime agricole) Art. L. 461-2 CSS et R. 461-3SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : invalidité, maladie professionnelle, médecin conseil, médecine physique, réadaptation, So.R.N.Est 2010 Nancy
|
Accéder à la ressource
|
|
Cafés des Sciences Nancy 2010 - Peut-on échapper à la publicité?
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 12-01-2010
/ Canal-U - OAI Archive
SALTIEL François, BOULANGER Hélène, MARIE Romain
Voir le résumé
Voir le résumé
Organisés par les universités de Lorraine en collaboration avec l’INSERM, le CNRS, l’INRIA et l’INRAElle fait rire, elle fait réagir, elle choque, elle fait consommer, elle fait prendre conscience, elle informe, la publicité remplit bien des fonctions, jusqu'à envahir notre quotidien. Entre bonne publicité et mauvaise publicité, le débat reste entier. Certains n’ont pourtant pas attendu pour réagir à cette omniprésence publicitaire qui entache parfois notre libre arbitre. Détournement et mouvement anti-pub redoublent de créativité pour surpasser leurs modèles. Un monde sans publicité est-il utopique ? Pour aller plus loin, vous pouvez consulter la bibliographie sur http://www.uhp-nancy.fr/cst/les_cafes_des_sciences/archives(Source : http://www.uhp-nancy.fr/cst)Intervenants : BOULANGER Hélène, MARIE Romain, SALTIEL François, SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : Cafés des Sciences Nancy Université, communication, Conseil Supérieur de l'Audiovisuel, CSA, Culture Pub, loi Evin, médias, publicité subliminale, télévision
|
Accéder à la ressource
|
|
EEMIS Corte 2009 - Systèmes d'information et évaluation de la loi de santé publique
/ Canal-U Médecine, CERIMES
/ 21-07-2009
/ Canal-U - OAI Archive
SALAMON Roger, AVILLACH Paul, Goldberg M.
Voir le résumé
Voir le résumé
EEMIS Corte 2009 - Systèmes d'information et évaluation de la loi de santé publique.R. Salamon, P. Avillach, M. Goldberg.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : Conseil de Santé Publique, CSP, DMP, EEMIS Corte 2009, indicateur, information, informatique médicale, loi, PMSI, santé publique
|
Accéder à la ressource
|
|
SIFEM 2006 - L'éducation médicale vue par un institutionnel
/ 02-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ROLAND Jacques
Voir le résumé
Voir le résumé
Le monde change autour de nous ; il faut modifier notre regard sur les jeunes. L'ancienne société était basée sur de vieux principes : la volonté de faire le bien et de toucher les corps. Aujourd'hui, on ne palpe plus les corps, on a perdu la confiance et le contact immédiat avec le patient. La société est devenue hédoniste. Il ya deux défis aujourd'hui : le défi de la vie avec les nouvelles maladies, le défi de l'éphémère. Il faut rompre avec le cours magistral et les sélections anonymes. De Bologne il faut prendre le meilleur. Il y a un malaise enfin chez les enseignants de médecine ; il faudrait inventer un autre type d'enseignants . ce qu'exige l'éducation, c'est de l'ouverture.
Origine
Canal U/Médecine
Générique
Réalisation : CERIMES et SPI-EAO SCD médecine Mot(s) clés libre(s) : Conseil de l'ordre, éducation médicale, études médicales, pédagogie, pratique professionnelle, SIFEM
|
Accéder à la ressource
|
|
Histoire politique et administrative de Paris au XXème et XXIème siècle
/ UTLS - la suite
/ 27-10-2003
/ Canal-U - OAI Archive
NIVET Philippe
Voir le résumé
Voir le résumé
L'objectif de la conférence sera de mettre en relation l'histoire politique et l'histoire administrative de Paris, le comportement des Parisiens et le statut de la capitale. Le débat lancé au cours de l'été 2003 par les élus UMP de Paris sur la possibilité d'une réforme du statut administratif de la capitale n'est qu'un nouvel avatar des liens entre l'histoire politique et l'histoire administrative de Paris que l'on observe tout au long du XXe siècle. Lorsque sont organisées à Paris les élections municipales de 1900, l'administration de la capitale est régie par la loi du 14 avril 1871. Celle-ci, prise par l'Assemblée à majorité monarchiste élue le 8 février 1871, traduit la défiance à l'égard de la ville rebelle, renforcée par l'épisode de la Commune. Les 80 conseillers municipaux sont élus dans le cadre des quartiers (un par arrondissement), le Conseil municipal ne désigne pas un maire, mais un président, renouvelable théoriquement à chaque session. Le pouvoir exécutif revient aux deux préfets, préfet de la Seine et préfet de police. Le découpage de la ville en 80 quartiers et le préfet de la Seine ont une égale raison d'être : enlever à la capitale toute fonction politique et faire du quartier le garant d'un apolitisme municipal. Les partisans d'une évolution du statut de Paris, les « municipalistes parisiens », fort actifs lorsque l'on passe de la « République des ducs » à la « République des républicains », connaissent un échec dans les années 1880. La grande loi municipale de 1884 ne concerne pas Paris. Le passage à droite de la majorité du Conseil municipal, en deux étapes, 1900 et 1909, conforte les dirigeants de la IIIe République, où les radicaux jouent désormais un rôle essentiel, dans leur défiance à l'égard de la capitale, qui sera renforcée par la participation des conseillers municipaux nationalistes aux manifestations du 6 février 1934. Aucune libéralisation du statut de la capitale n'est acquise entre les deux guerres. Bien au contraire, des décrets-lois pris en 1939 limitent les prérogatives du Conseil municipal. La loi du 16 octobre 1941, qui dote la Ville de Paris d'une nouvelle organisation administrative, limite encore les pouvoirs du Conseil municipal, désormais nommé. A la Libération, les représentants du Paris qui « s'est libéré par lui-même, libéré par son peuple avec le concours des armées de la France » (de Gaulle) espèrent une évolution du statut administratif de la capitale. Mais, déjà soucieux, pendant la clandestinité, de nommer des préfets qui pourraient contrer un Comité Parisien de la Libération où les « révolutionnaires » sont prépondérants, le pouvoir gaulliste ne veut pas risquer de donner des libertés municipales complètes à Paris et de se retrouver ensuite avec un pouvoir municipal dominé par les communistes, puissants également dans les comités locaux de libération. C'est pourquoi, à quelques ajustements près, le statut administratif de la capitale ne connaît pas d'évolution en 1944-1945. L'opposition frontale entre les gaullistes, qui obtiennent la majorité absolue au Conseil municipal en 1947, et les gouvernements de la IVe République ne favorise ensuite nullement une évolution, alors que se développe un discours antiparisien dont témoigne le livre de Jean-François Gravier Paris et le désert français. C'est donc la Ve République qui, finalement, va permettre à la capitale de retrouver de plus grandes prérogatives municipales. Les majorités municipale et nationale coïncident globalement et l'écrasante victoire des gaullistes parisiens aux élections législatives de 1962 renforce la majorité nationale. Le rapporteur général du budget, le gaulliste Christian de la Malène après 1965, devient un personnage puissant auprès du préfet. L'initiative d'une loi modifiant en profondeur le statut de la capitale ne revient pourtant pas aux gaullistes, assez réticents, à l'image du Premier ministre Jacques Chirac, mais aux giscardiens, dont le leader parisien, Jacques Dominati, mène une ardente campagne en ce sens. Elle aboutit au vote de la loi du 31 décembre 1975, rendant le droit à la capitale de désigner un maire. Sans doute Valéry Giscard d'Estaing espérait-il que l'un des siens puisse accéder à cette fonction. Cette ambition est déçue. A l'issue du vif affrontement entre Michel d'Ornano et Jacques Chirac aux municipales de 1977, c'est le président du nouveau RPR qui s'installe à l'Hôtel de Ville. Après la victoire de la gauche en 1981, le maire de Paris apparaît comme le chef de file de l'opposition. Ce n'est donc pas sans arrière-pensées politiques que le pouvoir socialiste fait voter la loi « PLM » créant des mairies d'arrondissement pour tenter d'affaiblir la mairie centrale. L'opération échoue, les élections municipales de 1983 et de 1989 permettant à Jacques Chirac de réaliser « le grand chelem ». L'Hôtel de Ville est la base de la reconquête de l'Elysée, réussie en 1995, mais cette date marque le début d'une nouvelle phase dans l'histoire politique de la capitale. La perte de six arrondissements, la contestation dans les rangs de sa propre majorité du nouveau maire, Jean Tiberi, sont le prémices de l'affaiblissement de la droite parisienne. Aux premières élections du XXIe siècle, Paris bascule à gauche et le sénateur socialiste Bertrand Delanoë en devient le nouveau maire. La capitale est à nouveau en opposition politique avec la majorité nationale, d'où peut-être les propositions de l'été 2003
Mot(s) clés libre(s) : capitale, conseil municipal, histoire politique, paris, statut administratif, villes (administration)
|
Accéder à la ressource
|
|
Ecole Européenne d'été 2009 VF - Le handicap post-traumatique
/ CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 03-07-2009
/ Canal-U - OAI Archive
MARTRE Patrick-H
Voir le résumé
Voir le résumé
Titre : Le handicap post-traumatiqueRésumé : Chaque année, les accidents de la circulation font 186 000 blessés. Les handicaps plus ou moins importants et l'absence d'aide peut aboutir à de l'angoisse, de la dépression, voir de la régression psychologique.Mais comment évaluer un handicap ? Une des réponse est la mise en place d'une grille d'évaluation des dommages par la Confédération Européenne d'Experts en Evaluation et en Réparation du Dommage Corporel (CEREDOC). Plus d'informations sur http://www.ceredoc.eu/Les pouvoirs publics ont pris également conscience du problème avec la loi pour l'égalité des chances et la participation et la citoyenneté des personnes handicapées.Des associations naissent, notamment l'association européenne des Médecins experts.Intervenant : MARTRE Patrick-HSCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : Conseil National d'Aide aux Victimes, dépendance, droit de la santé, Ecole Européenne d'Eté, éthique biomédicale, handicap, loi, résolution 75-2 du Conseil de l'Euope, traumatisme
|
Accéder à la ressource
|
|
Escales aux urgences
/ 14-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
JEANNOT C.
Voir le résumé
Voir le résumé
les urgences sont une situation qui nécessite l'intervention médicale ou chirurgicale dans des délais brefs. 110 personnes sont accueillies par jour à Bonsecours. soit en salle de déchocage, en médecine ou en chirurgie. En médecine, les pathologies sont surtout les douleurs, les malaises ,ou les problèmes neurologiques. L'attente est plus ou moins longue car tous les médecins sont polyvalents et donc amenés à servir dans tous les services ; parfois l'urgence peut-être psychologique, une assistante sociale et un psychiatre sont là pour écouter, orienter, conseiller, soutenir certains patients. l 'attente peut s'élever à 3 ou 4 heures et parfois le patient est orienté dans un autre hôpital.
Origine
FILMED 2004 - 104 4802 022
Générique
Auteur : Jeannot C. FILMED : 104 4802 022 SCD M2DECINE Mot(s) clés libre(s) : accueil, conseil, écoute, FILMED, lit, patient, salle de déchocage, urgences
|
Accéder à la ressource
|
|
Emois Nancy 2009 : Session valorisation et contrôle de qualité - questions 2
/ Canal U/Tice Médecine Santé, CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 05-03-2009
/ Canal-U - OAI Archive
GARRIGUE R., GOMEZ S
Voir le résumé
Voir le résumé
Emois Nancy 2009 : Session valorisation et contrôle de qualité. Questions 2Présidents de session : B. GARRIGUES, S. GOMEZ.Intervenants : Sabar, D. Blanc, S. Regout, C. Le Bihan-Benjamin, A.Kempf, P. CasezSCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : assurance maladie, codage, contrôle judiciaire, DIM, dossier patient, Emois Nancy 2009, médecin conseil, sanctions financières
|
Accéder à la ressource
|
|
Faut-il limiter la rémunération des grands patrons ? Les réponses de la théorie de la gouvernance
/ AUNEGE, CERIMES
/ 24-01-2014
/ Canal-u.fr
DENIS Jean-Philippe
Voir le résumé
Voir le résumé
La question de la rémunération des grands patrons a fait la une de la campagne présidentielle française en 2012. Alors faut-il limiter la rémunération des grands patrons ? La question est délicate puisque si l'on répond oui, immédiatement est pointé le risque de perte de compétivité au niveau mondial, le marché fixant la juste rémunération des P-DG selon les principes de la théorie de la gouvernance juridico-financière. Si l'on répond non, alors est immédiatement pointé le caractère illégitime de l'explosion des inégalités, qui comporte les germes de possibles implosions sociales… D'où cette idée : et si au fond, on envisageait plutôt de demander des remboursements des rémunérations indûment perçues lorsque celles-ci se sont avérées, sur la longue durée, illégitimes ? Mot(s) clés libre(s) : gouvernance, stock-options, conseil d'administration, rémunérations, P-DG, parachutes dorés
|
Accéder à la ressource
|
|