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L’assimilation du tour-pivot en danse classique “Pirouette en dehors” par la danse coréenne “Han Bal Dolgi”
/ Estelle COLL
/ Canal-u.fr
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une analyse comparative basée sur la
méthode Laban
A partir des échanges culturels entre l’Occident et l’Asie depuis le début de XXème siècle, la danse
coréenne a intégré tout en les transformant des figures de la danse classique. C’est à cette
transformation que nous nous intéressons. Nous avons retenu une figure centrale de la danse classique, « la pirouette en dehors », qui dans la danse coréenne est connue sous le nom de « Han Bal Dolgi ».
Notre recherche vise donc à saisir comment un mouvement dansé qui relève de contraintes
mécaniques similaires (créer des forces de rotation) est exprimé dans ces deux cultures (France,
Corée).
SHIM Kyung-eun est titulaire d’un Master 2 en Esthétique de l’Université de Paris 1 (2007), du
diplôme de perfectionnement en Notation Laban au CNSMDP (2008), du DFS en Danse
contemporaine du CNR (2003, Nancy) et de la Licence en Danse de l’Université Sang–Myung (2002,
Corée). Elle a travaillé en tant que danseuse traditionnelle coréenne, danse-thérapeute ainsi que
notatrice.
COLLOQUE INTERNATIONAL
La recherche en danse entre France et Italie : approches, méthodes et objets
Nice, 2-4 avril 2014 Torino, 5-6 aprile 2014 Mot(s) clés libre(s) : danse, Corée, pivot, Laban, pirouette
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La céramique coréenne : Un art traditionnel
/ Aline Dikmedjian, Tina DIAFERIA
/ Canal-u.fr
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La céramique coréenne
existe depuis la préhistoire. Les plus anciennes poteries dateraient
de 6000 à 5000 avant JC. La céramique s'est développée depuis,
sous l'influence des voisins (Chine, Japon). L'influence idéologique
a également eu un impact sur l'aspect de la céramique coréenne. De
ce fait, il existe plusieurs types de céramique, dont le céladon
(청자-
cheongja),
d'influence bouddhiste, et
le Baekja (백자),
d'influence
confucéenne. La
céramique que nous allons vous présenter est le céladon. Provenant
de Chine, elle s'est développée en Corée pendant la période
Koryeo (918-1392).
Le
céladon est cette couleur verte, bleue-gris translucide, présenté
sous forme de glaçure. Plus que sa couleur jade déjà prisée, le
céladon coréen est connue en Asie pour sa technique d'incrustation,
le « Sanggam »,
propre
aux artisans coréens. Mot(s) clés libre(s) : céramique, céramiste, artisan, Icheon, Koryeo, céladon, Corée du Sud, culture traditionnelle, interview, art
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Évolution du confucianisme coréen
/ ENS-LSH / UOH / CERIMES / CANAL PHILO / SCAM, UOH - Université Ouverte des Humanités
/ 05-06-2007
/ Canal-U - OAI Archive
THIEBAULT Philippe
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La Corée est habituellement présentée comme un pays qui a été presque uniquement imprégné d'un néo-confucianisme orthodoxe de l’école de Zhu Xi (Chu Hsi 1130-1200). Cependant elle est moins connue pour sa créativité de pensée qui n'en est pas moins réelle. La Corée n'a introduit les caractères chinois, et avec eux la culture philosophique, que dans les premiers siècles de l'ère chrétienne. Ainsi les Coréens ont-ils été confrontés à la tâche redoutable d'assimiler des idées et une sagesse qui s'étaient développées pendant presque mille ans. Cette présentation souhaite remonter à la période antique coréenne pour mieux saisir comment se sont faites la naissance et l'évolution des idées confucéennes au cours de l'histoire. On observera d'abord la période pré-philosophique puis le temps des Trois Royaumes lorsque le confucianisme était dans une relation ouverte avec le bouddhisme et le taoïsme. On prendra en considération l'évolution des idées sous la période de Koryô avant que ne se fasse au 13e siècle l'introduction du néo-confucianisme qui fleurit durant la dynastie Yi fondée en 1392. Sur cette base on présentera les grandes figures néo-confucéennes coréennes jusqu’à la formation du courant des Lumières appellé sirhak, c'est-à-dire l’étude du réel qui débuta à partir de la fin du 17e siècle. Equipe technique : Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat, Montage: Mathias Chassagneux, Diffusion Web: Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : confucianisme, Corée, néo-confucianisme, T’oegye, Yulgok, Zhu Xi
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The Life and Work of Nakayama Shigeru (1928-2014)
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 06-07-2015
/ Canal-u.fr
SUN Xiaochun, MORRIS-SUZUKI Tessa, HONG Sungook, TRAWEEK Sharon, LOW Morris
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Organisers: Morris LOW & TSUKAHARA Togo
Chair: Morris LOW
YOSHIOKA Hitoshi, The Nakayama Project on the Social History of Science and Technology in Contemporary Japan
Tessa MORRIS-SUZUKI, The Vision of Service Science in Japan: Nakayama Shigeru and the Japanese Experience of Citizen Science
SUN Xiaochun, On Nakayama’s Contribution to the History of Astronomy
HONG Sungook, The Influence of Nakayama Shigeru’s “The Modern History of Science and Society” in Korea (read by YI Doogab)
Sharon TRAWEEK, Nakayama Shigeru in Los Angeles Mot(s) clés libre(s) : Chine, Japon, Corée, astronomie
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/ Thierry GONTAN, EFEO Ecole Française d'Extrême Orient, Musée GUIMET
/ 13-02-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Rhi Juhyung
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Mot(s) clés libre(s) : Corée, Seokguram, temples bouddhiques
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Tangun : personnage historique ou mythique?
/ 16-04-2015
/ Canal-u.fr
Maurus Patrick, CHOE Jeong-U
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« Dans les temps anciens vivait Hwanin, connu comme le roi de l'empire céleste. Hwanin avait beaucoup de fils (princes), dont Hwanung, qui était différent de ses frères. Hwanung, bien que vivant par lui-même dans l'empire céleste, n'avait pas particulièrement d'intérêt pour celui ci, mais uniquement pour le monde des hommes, qui se trouvait sous le ciel.
Le monde des hommes, comme l'empire céleste, ne paraissait pas paisible. Dans le monde des hommes, les gens plus faibles (sans force) étaient assaillis par les gens puissants (avec de la force), et les personnes soit se querellaient entre elles, soit commettaient des mauvaises actions. En observant cela, Hwanung trouva la situation pitoyable.
Alors, le roi de l'empire céleste donna à Hwanung un objet aux vertus magiques et lui dit de descendre sur le monde des hommes pour les gouverner. Ces objets magiques, les « trésors du ciel », étaient actuellement un miroir, un couteau et une clochette. Hwanung se fit accompagné par le dieu (chargé) du vent et le dieu (chargé) de la pluie, ainsi que le dieu (chargé) des nuages et 3000 suivants, et il descendit sur la terre du monde des hommes.
À peine était il descendu sur terre qu'il créa un autel dans un lieu élevé, pour rendre hommage à l'empire céleste. De plus, il créa un village ci-bas. Les gens l'appelèrent « Hwanung le Roi divin ». Hwanung le Roi divin leur fit cultiver la terre. En outre, il leur montra comment guérir la maladie. Il donna des récompenses aux personnes effectuant un bon travail, et il infligea des pénitences aux personnes effectuant un mauvais travail.
Dans le lieu que Hwanung dirigeait existait une certaine grotte, où à l'intérieur vivaient un ours et un tigre. Cet ours et ce tigre étaient envieux des personnes se tenant sur deux jambes et se promenant. De plus, les animaux ordinaires ne pouvaient pas se comparer avec les humains, à tel point qu'ils étaient envieux des choses intelligentes. Ainsi, quand Hwanung les trouva, ils le supplièrent de les transformer en personne.
Alors que Hwanung leur donna de l'armoise et de l'ail aux vertus magiques, il leur dit : « Durant 100 jours, vous ne verrez pas la lumière du soleil, et vous devrez manger cette armoise et cet ail à l'intérieur de la grotte, en attendant. Alors seulement votre vœu de devenir humain pourra être exaucé ».
L'ours et le tigre, après avoir répondu avec confiance qu'ils feraient ainsi, prirent avec eux l'armoise et l'ail et se rendirent à l'intérieur de la grotte. Au bout de quelques jours passés dans la grotte, ce genre de quotidien rendit le tigre fou. L'ours le consola en lui disant qu'il ne devait patienter qu'encore un peu. Cependant, le tigre voulait manger de la viande et courir dans la montagne et les champs à volonté. À la fin, il craqua, et sortit de la grotte.
Même si l'ours se sentait seul sans le tigre à l'intérieur de la grotte, son espoir de devenir une personne le fit patienter encore et encore. Le centième jour arriva et l'ours sorti à l'extérieur. Cependant, de son apparence d'ours, elle s'était déjà transformée en femme humaine. Cette femme s'appela Ungnyeo.
Ungnyeo, pareillement aux femmes normales, voulait se marier et avoir un enfant. Ainsi, elle se rendit tous les jours à l'autel et elle pria avec la plus grande dévotion pour pouvoir donner naissance à un enfant. En la voyant prier chaque jour sans exception, Hwanung fut ému. Hwanung pris la forme d'un homme et épousa Ungnyeo.
Ungnyeo, comme elle le souhaitait, tomba enceinte, et donna naissance à un garçon en bonne santé. Cet enfant, au fur et à mesure qu'il grandissait, et pareillement à Hwanung, devint intelligent et courageux. Après que des années se soient écoulées, cet enfant pris la succession de Hwanung et gouverna le monde des hommes. Il fut nommé Tangun Wanggeom. Tangun fixa la capitale au château de Pyongyang et édifia un pays. Ce pays, qui fut en premier lieu bâti par les Coréens, se nomma Kojoseon. »Voici l'histoire de Tangun, le père fondateur de la Corée.Bien que cette histoire semble être une simple légende, du moins à nos yeux d'étudiantes françaises, Tangun est un personnage important, autant en Corée du Nord que du Sud.Cette particularité, accompagnée de la présence de véritables croyants en ce mythe, nous a amené à choisir ce thème comme objet d'étude. À travers cette vidéo, et ses différents entretiens, nous avons souhaité démontrer l'ampleur de l'influence de Tangun dans la société coréenne. Mot(s) clés libre(s) : société, histoire, mythe, religion, Corée, tangun, littérature, philosophie
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Les onomatopées coréennes : une richesse linguistique
/ Cynthia Utuka, Mylène Oury, Émilie Moyaert
/ 10-03-2015
/ Canal-u.fr
Maurus Patrick
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Les onomatopées coréennes : une richesse linguistiqueLes onomatopées tiennent un rôle important dans la communication orale. Présentes dans un nombre infini de langues, elles remplissent plusieurs fonctions :imiter les sonsdécrire les chosesexprimer les sentimentsenseigner la langue Cependant, la langue coréenne se démarque par sa capacité de production d'onomatopées. En effet, les onomatopées coréennes sont très utilisées dans le discours ordinaire et dans la littérature.Les onomatopées coréennes sont à l'image de la société, elles évoluent avec le temps. Par ailleurs, elles participent à la réflexion qui porte sur les pratiques langagières ainsi que sur la traduction. Il convient de les analyser pour mieux comprendre ce concept propre à la langue coréenne. À ce titre, Patrick Maurus, coréanologue et traducteur nous donne son avis éclairé sur le fonctionnement des onomatopées coréennes. Mot(s) clés libre(s) : Corée, apprentissage de la langue, pratique de la traduction, Onomatopées, Littérature coréenne
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A la découverte de la danse traditionnelle coréenne ( 한국무용)
/ LEA CALONE
/ 15-04-2016
/ Canal-u.fr
KIM Hui Yeon, CHAE-DUPORGE Ok Yang, Cho Seong Jin, AN Jae Hyun
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La danse traditionnelle coréenne remonte à la préhistoire lors des rites religieux, organisés par le peuple en l'honneur des dieux et des ancêtres. Ces pratiques religieuses étaient animées par une ambiance festive et dansante. Peu à peu cette danse de développe et commence à se structurer pendant la période des 3 royaumes (Goguryo, Baekcha, Silla).
Ce n'est cependant que durant la dynastie de Choson que 2 Styles commenceront à se distinguer:
La danse de la cour royale ou danse de banquet
La danse folklorique ou danse du peuple
De nos jours nous comptons près de huit styles de danses différentes:
Geommu, Talchum, Seungmu, Taepyungmu, Hannyangmu, Salpurichum, Jangguchum, Buraechum et Barachum.
Le projet final est un court métrage de 10 - 15 minutes couvrant des sections de tounage filmées en France et en Corée, comprenant également des vidéos de danses, complétées par des interviews. Mot(s) clés libre(s) : danse, Langue coréenne, cours de danse, danse traditionnelle, Corée / France, 한국무용, tradition, dynamisme, élégence, raffinement, culture, art, Corée du Sud, couleurs, musique, royauté, société, histoire, passion, représentation, patrimoine, peuple, Corée, chorégraphie, valeurs, folklore
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Le kimchi : le plat incontournable des coréens
/ Mathilde LE PAGE, Marie OLIVET
/ 03-04-2015
/ Canal-u.fr
CHOE Jeong-U, LE PAGE Mathilde
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Cet entretien a été réalisé dans le cadre de la fomation, communication interculturelle de l'Inalco, Institut National des Langues et Civilisations Orientales à Paris, plus particulièrement pour le cours Patrimoine Immateriel et Médiation Culturelle avec notre professeur Mme LEGRAND.La Corée du Sud, en forme longue, République de Corée et en hangeul (coréen), 대한민국 est un pays de l'Asie de l'Est qui couvre la moitié de la péninsule coréenne avec au Nord, la Corée du Nord. La Corée du Sud se trouve entre la Chine et le Japon avec non loin la Russie. Elle regroupe un peu moins de 49 millions d'habitants avec 10,5 millions d'habitants à Séoul, sa capitale.A travers notre entretien nous mettons en avant le kimchi, le plat incontournable de la culture coréenne. Le kimchi fait partie de l'identité culturelle de la Corée du Sud. Le kimchi étant du chou fermenté et épicé dont les coréens raffolent. Ces derniers en mangent à tous les repas depuis toujours. On compte aujourd'hui plus de 160 sortes de kimchi dont le Baechu kimchi, qui est actuellement le plus répandu à travers le monde. Bien que le kimchi ne soit pas encore très connu en dehors de l'Asie, ce plat fait parler de lui en occident, notamment pour ses bienfaits sur notre santé. Nous souhaitons que le plus de gens, coréens comme non coréens apprennent à connaître la recette du kimchi, l'histoire et la tradition qui se cache autour de ce chou fermenté. C'est ainsi que Mr CHOE JEONG-U, coréen et professeur de coréen à INALCO (Institut National des Langues et Civilisations Orientales) nous parle du kimchi avec passion et nous montre la recette de celui-ci. La culture du "kimjang" (lien vers le site de l'UNESCO), où les familles se réunissent afin de préparer de grandes quantités de kimchi pour l'hiver, a été enregistrée sur la liste du patrimoine culturel de l'UNESCO en décembre 2013. Mot(s) clés libre(s) : cuisine, recettes, Corée du Sud, Kimchi, chou fermenté, cuisine coréenne, santé, art culinaire
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Le p'ansori, chant traditionnel coréen
/ 12-05-2015
/ Canal-u.fr
Cho Joo-seon, WINCKLER Sophie
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A la suite d'un concert au Centre Culturel Coréen de Paris le 3 mars 2015, j'ai eu l'opportunité de filmer un entretien avec Cho Joo-seon, chanteuse de p'ansori et professeur de musique traditionnelle à l'université d'Hanyang à Séoul. Le p'ansori, genre apparu au 17è siècle dans le sud de la Corée, repose généralement sur la performance d'un chanteur ou d'une chanteuse, et d'un batteur. Il s'agit au départ de compter une histoire sur de nombreuses heures, exercice pénible physiquement et émotionnellement intense. Le p'ansori a beaucoup évolué, mais a perdu de son attrait auprès des coréens, puisque malgré des tentatives de remise au goût du jour, le public reste réduit.Cho Joo-seon nous décrit cet art, son intérêt pour celui-ci mais aussi son parcours. Mon but personnel est de vous faire découvrir le p'ansori, et j'espère que cette vidéo saura y parvenir. Je ne saurais que conseiller le film La Chanteuse de P'ansori de Im Kwon-taek pour une plongée au coeur de la tradition musicale coréenne. Mot(s) clés libre(s) : chant, entretien, pansori, musique, tradition, chanteuse, corée, coréen, centre culturel coréen
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