Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Journées Giordano Bruno : allocutions d'ouverture
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Journées Giordano Bruno : allocutions d'ouverture par Anne Maumont, Catherine Gadon, Philippe Solal, in "Journées Giordano Bruno" organisées par l'Université de Toulouse, le Muséum de Toulouse, de Il Laboratorio de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, sous l'égide du Consulat Général d'Italie et avec le soutien de l'Institut culturel italien de Marseille, Muséum de Toulouse, 9-11 octobre 2014.Giordano Bruno naît en
janvier 1548, à San Giovanni del Cesco, près de Naples. Le 15 Juin 1565, il entre chez les Frères prêcheurs de San Domenico Maggiore, et il est ordonné prêtre en 1573.Trois ans plus tard, il est accusé d’hérésie et doit quitter l’environnement menaçant de Naples pour entamer une
longue période d’errance qui l’amena à parcourir l’Europe quinze ans durant. Il fréquenta les villes universitaires, et dut souvent changer de lieu pour éviter une arrestation. Il se rend ainsi à Genève, Paris, Toulouse, Londres, Prague, en Allemagne. Au carrefour de la religion, de la
philosophie et de la science, son œuvre, mais aussi sa vie, illustrent le caractère subversif de toute recherche libre, exempte des préjugés qui peuvent brider la construction du savoir. Il paya pourtant de sa vie cette liberté, puisqu’il fut brûlé vif sur le « Campo dei Fiori » de Rome, le 17 février 1600. À travers l’hommage rendu à la vie et à l’œuvre de Giordano Bruno, ces Journées ont pour objectif de présenter la façon dont se
construisent aujourd’hui les connaissances, par comparaison avec celle
de l’humanisme de la Renaissance. Cet humanisme, qui s’est développé dès
le XVe siècle, a placé en son centre le souci de la dignité de l’homme
et de la communication entre les savoirs. Des chercheurs d’horizons
différents, cosmologistes, biologistes, artistes, philosophes,
historiens, psychologues, spécialistes en littérature, tenteront eux
aussi de renouer les liens qui étaient ceux de la science humaniste pour
mieux interroger notre présent. Mot(s) clés libre(s) : cosmologie, philosophie des sciences, humanisme de la Renaissance, philosophie de la Renaissance, philosophie et religion, Bruno Giordano (1548-1600), infini (philosophie)
|
Accéder à la ressource
|
|
The Chronicle of Light: Translating 18th Century Sindhi Islamic luminary cosmology through printed in Urdu and Gujarati
/ Serge BLERALD
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Iqbal Akhtar, Florida International University Mot(s) clés libre(s) : cosmologie, traduction, édition, hindou, Littérature vernaculaire
|
Accéder à la ressource
|
|
La cosmologie moderne : les nouveaux outils d'observation de l'univers
/ Mission 2000 en France
/ 02-07-2000
/ Canal-U - OAI Archive
VIGROUX Laurent
Voir le résumé
Voir le résumé
La nuit semble être noire. Il n'en est rien. L'univers baigne dans un rayonnement aux multiples origines. Dès le 17e siècle, le physicien Olberg montre tout le parti pouvant être tiré de la brillance du ciel. Si l'univers était uniforme et infini, la brillance du ciel due à la superposition de l'émission de toutes les sources qui le composent, devrait être infinie. Le fait qu'elle ne le soit pas, montre que l'univers n'est ni uniforme, ni infini. Il faut attendre le début du XXe siècle pour comprendre les implications profondes du paradoxe de Olberg. Grâce aux observatoires spatiaux, les astrophysiciens modernes élargissent leur champ d'investigation à tout le domaine du rayonnement électromagnétique. Les satellites américains permettent d'achever la mesure complète du spectre du rayonnement présent dans l'univers. Ces observatoires permettent également d'identifier les origines de ce rayonnement. Le recensement de l'univers est en passe d'être achevé. C'est en soi un résultat spectaculaire, qui marque la fin d'une recherche qui a commencé il y a plus de deux mille ans. Les résultats obtenus montrent que comme l'a supposé Olberg, l'univers n'est ni uniforme, ni infini, mais qu'en plus lui et ses constituants ont évolué très fortement depuis leur origine. La prochaine génération de télescopes, au sol, et dans l'espace va s'attaquer à la compréhension de cette évolution. Mais l'univers n'est pas fait que de rayonnement. Il contient aussi des particules. Depuis les années 1930 on sait que plus de 90% de cette matière échappe à la détection. Des recherches sont activement poursuivies par les astrophysiciens et les physiciens des particules pour élucider ce problème. Par contre des progrès spectaculaires ont été très récemment obtenus sur la répartition de cette matière dans l'univers, en utilisant la propriété de déflexion de la lumière par une masse gravitationnelle prédite par la relativité générale d'Einstein. L'univers lointain nous apparaît déformé car la lumière émise par les galaxies lointaines ne se propage pas en ligne droite. Son parcours s'infléchit en passant à proximité de masses importantes. Les astrophysiciens ont mis au point des techniques permettant de calculer ces déformations, et donc de calculer la distribution de la matière noire responsable de ces déformations. C'est un domaine en plein développement. Mot(s) clés libre(s) : astronomie extragalactique, astrophysique, Big Bang, cosmologie, fond diffus cosmologique, galaxie, infrarouge, observation du ciel, radioastronomie, rayon cosmique, rayonnement électromagnétique, rayonnement fossile, télescope, univers
|
Accéder à la ressource
|
|
Les neutrinos dans l'Univers
/ UTLS - la suite
/ 24-06-2005
/ Canal-U - OAI Archive
VIGNAUD Daniel
Voir le résumé
Voir le résumé
Notre corps humain contient environ 20 millions de neutrinos issus du big bang, émet quelques milliers de neutrinos liés à sa radioactivité naturelle. Traversé en permanence par 65 milliards de neutrinos par cm2 par seconde venus du Soleil, il a été irradié le 23 février 1987 par quelques milliards de neutrinos émis il y a 150000 ans par l'explosion d'une supernova dans le Grand Nuage de Magellan. Les neutrinos sont également produits dans l'interaction des rayons cosmiques dans l'atmosphère ou dans les noyaux actifs de galaxies
Quelle est donc cette particule présente en abondance dans tout l'Univers où elle joue un rôle-clé ? Inventé par W.Pauli en 1930 pour résoudre le problème du spectre en énergie des électrons dans la désintégration b, le neutrino fut découvert par F.Reines et C.Cowan en 1956, auprès du réacteur nucléaire de Savannah River (Caroline du Sud). Il n'a plus depuis quitté le devant de la scène, que ce soit chez les physiciens des particules, les astrophysiciens ou les cosmologistes. Cette particule élémentaire, sans charge électrique, n'est soumise qu'à l'interaction faible, ce qui lui permet de traverser des quantités de matière importantes sans interagir. En 1938, H.Bethe imaginait que des réactions nucléaires de fusion étaient au coeur de la production d'énergie des étoiles, en premier lieu le Soleil. Dans les années 60, les astrophysiciens se lancent dans la construction de modèles solaires et des expérimentateurs dans la construction de détecteurs pour les piéger. Il a fallu attendre 2002 pour comprendre que le déficit de neutrinos solaires observé (le célèbre "problème des neutrinos solaires") était dû à un phénomène lié à la mécanique quantique, appelé l'oscillation des neutrinos. La mise en évidence de cette oscillation a apporté la preuve décisive que les neutrinos avaient une masse non nulle. Nous ferons le point sur cette particule fascinante après les découvertes récentes. Mot(s) clés libre(s) : astrophysique, Big Bang, cosmologie, fermion, interaction électromagnétique, lepton, mécanique quantique, modèle standard, neutrino, oscillation, particule élémentaire, Pauli, physique des particules, univers
|
Accéder à la ressource
|
|
Les planètes extrasolaires
/ Mission 2000 en France
/ 12-07-2000
/ Canal-U - OAI Archive
VIDAL-MADJAR Alfred
Voir le résumé
Voir le résumé
Depuis quelques années de nouvelles planètes ont été découvertes autour d'étoiles proches du système solaire. Elles présentent de nombreuses surprises et en particulier, elles ne sont pas du tout à l'endroit où nous les attendions. La conférence fera le point sur ces découvertes, et donnera quelques conséquences éventuelles sur la possibilité de trouver la vie ailleurs dans l'univers. Le rôle du temps sera tout particulièrement souligné. Mot(s) clés libre(s) : astrophysique, Big Bang, cosmologie, étoile, galaxie, observation astronomique, physique stellaire, planète, planétologie, soleil, système planétaire, système solaire, Terre, univers, vie extraterrestre
|
Accéder à la ressource
|
|
Qu'est-ce qu'une étoile ?
/ Mission 2000 en France
/ 11-07-2000
/ Canal-U - OAI Archive
VAUCLAIR Sylvie
Voir le résumé
Voir le résumé
"Depuis l'aube des temps les hommes regardent le ciel et étudient le mouvement de ces points brillants que sont les étoiles sur la "" sphère céleste "" : ils les ont regroupées en constellations et ils ont projeté vers elles leurs mythes terrestres. Ce n'est qu'au cours du XXe siècle cependant que la structure, la composition et l'évolution des étoiles ont pu être intimement dévoilées et comprises. Il fallait auparavant découvrir l'énergie nucléaire, qui les nourrit et leur permet de survivre pendant des milliards d'années, ainsi que tous les outils de la physique contemporaine. L'avènement des premiers ordinateurs était nécessaire pour permettre la résolution des équations qui gouvernent leur structure interne. Au delà de leur intimité, les étoiles nous ont révélé leur importance fondamentale dans l'Univers : moteurs de l'évolution du monde, nous leur devons la formation de presque tous les éléments qui composent la matière qui nous entourent et dont nous-mêmes sommes constitués. En cette fin de siècle, la connaissance de ces fascinants objets célestes atteint une apothéose, grâce à la découverte et à l'étude de leur vibrations : une nouvelle science est née, appelée "" heliosismologie "" pour le Soleil et "" astérosismologie "" pour les autres étoiles. Le XXIe siècle s'annonce prometteur dans cette nouvelle approche de nos origines ! " Mot(s) clés libre(s) : astérosismologie, astre, astrophysique, cosmologie, équilibre hydrostatique, étoile, héliosismologie, objet céleste, observation du ciel, oscillation stellaire, physique stellaire, planète, rayonnement, soleil, structure d’une étoile, système solaire, ter
|
Accéder à la ressource
|
|
Giordano Bruno, de la pluralité des mondes à l'exobiologie / Sylvie Vauclair
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail
/ 11-10-2014
/ Canal-u.fr
VAUCLAIR Sylvie
Voir le résumé
Voir le résumé
Giordano Bruno, de la pluralité des mondes à l'exobiologie / Sylvie Vauclair. In "Journées Giordano Bruno", organisées par l'Université de Toulouse en partenariat avec le Muséum de Toulouse, l’Institut Universitaire de France et Il Laboratorio
de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, sous l'égide du Consulat Général d'Italie et avec le soutien de l'Institut culturel italien de Marseille. Toulouse, 9-11 octobre 2014. Session III : Giordano Bruno et la science, 10 octobre 2014.L'évolution des connaissances
scientifiques se fait depuis toujours grâce aux penseurs hors normes qui sortent du dogme établi, du paradigme contemporain, pour passer dans une autre dimension. Ils le paient parfois très cher, et leur apport n'est souvent reconnu que bien longtemps après leur disparition.
Giordano Bruno fut de ceux-là. Il développait en particulier l'idée de la pluralité des mondes, à une époque où les étoiles étaient encore dessinées sur une sphère entourant le Soleil comme un monde clos. Les observations récentes montrent que le système solaire n'est qu'un exemple de système planétaire parmi un très grand nombre de « mondes » semblables et différents. Un quart des étoiles du ciel ont probablement des planètes en orbite autour d'elles. La pluralité des mondes est devenue une réalité scientifique. Mot(s) clés libre(s) : cosmologie, Bruno Giordano (1548-1600), astrobiologie, astronomie antique, pluralité des mondes
|
Accéder à la ressource
|
|
Giordano Bruno et la science. Table ronde
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail
/ 11-10-2014
/ Canal-u.fr
SOLAL Philippe, VAUCLAIR Sylvie, BLANCHARD Alain
Voir le résumé
Voir le résumé
Giordano Bruno et la science. Table ronde. In "Journées Giordano Bruno", organisées par l'Université de Toulouse en partenariat avec le Muséum de Toulouse, l’Institut Universitaire de France et Il Laboratorio
de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, sous l'égide du
Consulat Général d'Italie et avec le soutien de l'Institut culturel
italien de Marseille. Toulouse, 9-11 octobre 2014. Session III : Giordano Bruno et la science, 11 octobre 2014. Table ronde avec Philippe Solal, Sylvie Vauclair et Alain Blanchard autour des thèmes suivants : héliocentrisme et puissance divine au XVIe, l'influence sur Giordano Bruno des savoirs grecs antiques via les traductions arabes, l'univers infini et la cosmologie moderne (après Epicure et Lucrèce), les relations entre théologie et philosophie, l'humilité chez Giordano Bruno, la position du scientifique, l'observation et l'expérimentation versus la position du philosophe (différence entre Galilée et Giordano Bruno), la science-fiction, l'imaginaire et les sciences, le concept d'univers pour Giordano Bruno, l'influence de Giordano Bruno sur la pensée moderne et contemporaine, etc. Mot(s) clés libre(s) : cosmologie, philosophie de la Renaissance, Bruno Giordano (1548-1600)
|
Accéder à la ressource
|
|
Giordano Bruno (1548-1600) : clôture / Alain Blanchard, Philippe Solal
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail
/ 11-10-2014
/ Canal-u.fr
SOLAL Philippe, BLANCHARD Alain
Voir le résumé
Voir le résumé
Giordano Bruno (1548-1600) : clôture / Alain Blanchard, Philippe Solal. In "Journées Giordano Bruno", organisées par l'Université de Toulouse en partenariat avec le Muséum de Toulouse, l’Institut Universitaire de France et Il Laboratorio
de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, sous l'égide du Consulat Général d'Italie et avec le soutien de l'Institut culturel italien de Marseille. Toulouse, 9-11 octobre 2014. Session III : Giordano Bruno et la science, 11 octobre 2014. Mot(s) clés libre(s) : cosmologie, humanisme de la Renaissance, Bruno Giordano (1548-1600)
|
Accéder à la ressource
|
|
D'ici à l'infini ! (IAP)
/ Jean MOUETTE, Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, Institut d'Astrophysique de Paris
/ 26-06-2013
/ Canal-u.fr
SILK Joseph (Joe)
Voir le résumé
Voir le résumé
Conférence exceptionnelle à l'occasion du 29e colloque de l'Institut d'Astrophysique de Paris, présentée par Joe Silk (professeur à l'Université d'Oxford et chercheur à l'IAP), le 26 juin 2013.
Les astronomes scrutent notre passé cosmique avec les plus grands
télescopes du monde. Ils y trouvent des milliards de galaxies, et des
indications sur l'évolution et la jeunesse du cosmos. Avant ces
premières galaxies, c'était l'âge des ténèbres. Et encore avant, le Big
Bang.
Mais une fraction importante de l'Univers ne peut être sondée par les
astronomes. Je décrirai l'Univers que nous voyons, et je spéculerai sur
l'Univers que nous ne pouvons pas voir. Je décrirai son passé et
tracerai son avenir, dans l'hypothèse où l'humanité survit pour récolter
les promesses d'un Univers infini, ou au moins d'un Univers
incroyablement grand. Mot(s) clés libre(s) : cosmologie
|
Accéder à la ressource
|
|