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1 - Rendez-vous de crise : banqueroute : qui doit payer ?
/ Philippe KERGRAISSE, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 14-11-2011
/ Canal-u.fr
PROCHASSON Christophe, HAUTCOEUR Pierre-Cyrille
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Banqueroute : qui doit payer ?
Rendez-vous de crise
Enregistré le lundi 14 novembre 2011, Amphithéâtre EHESS
À l’heure où les dettes souveraines et la faillite annoncée de certaines banques semblent promettre une faillite générale de plusieurs pays européens au point de menacer l’existence même de l’Europe, chacun s’interroge sur les responsabilités qui ont conduit à une telle situation. Ce premier rendez-vous de crise propose une approche à la fois historique et économique de ces questions qui touchent chacun d’entre nous. Il existe en effet des précédents fameux au cours desquels l’opinion publique a mis en cause à la fois l’emballement de la dette, les intermédiaires financiers, et jusqu’aux outils de gestion adoptés.
1- Présentation: Christophe Prochasson,directeur d’études et des Éditions de l’EHESS
Séance présidée par Pierre-Cyrille Hautcœur, économiste (EHESS)
Avec:
2- Marie-Laure Legay, historienne (Université Lille 3), La banqueroute de l’État royal, Éditions de l’EHESS
3- Gérard Beaur, historien (EHESS), « Revisiter les crises », Histoire & mesure, Éditions de l’EHESS
4- Benoît Coeuré, économiste (Sciences Po), directeur-adjoint de la Direction générale du Trésor
5- Questions de la salle Mot(s) clés libre(s) : crise financière, crise économique, dette publique
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La globalisation financière
/ Mission 2000 en France
/ 29-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MARTIN Philippe
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Le phénomène auquel nous assistons aujourd'hui n'est pas un simple retour à l'age d'or de la globalisation de la fin du XIXème siècle. En obligeant les gouvernements à renoncer soit à la stabilisation interne (qui leur permettrait par exemple de diminuer le chômage en période de récession) soit à la stabilisation externe, la globalisation financière remet en cause les données des politiques économiques au niveau national. La libéralisation des mouvements de capitaux, qui voue les marchés de change à une extrême volatilité, est aussi à l'origine de la multiplication et de la contagion des crises financières: la croyance qu'une crise puisse survenir peut aujourd'hui suffire à produire cette crise elle-même. Peut-on conjuguer les gains de la globalisation financière et réduire la fragilité qu'elle a engendrée ? Les débats actuels les plus vifs portent sur l'intérêt et la faisabilité d'une taxe sur les transactions financières internationales ainsi que sur une réforme de l'architecture financière internationale. Mot(s) clés libre(s) : crise financière, économie, finance, marché financier
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La globalisation financière
/ Mission 2000 en France
/ 29-04-2000
/ Canal-u.fr
MARTIN Philippe
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Le phénomène auquel nous assistons aujourd'hui n'est pas un simple retour à l'age d'or de la globalisation de la fin du XIXème siècle. En obligeant les gouvernements à renoncer soit à la stabilisation interne (qui leur permettrait par exemple de diminuer le chômage en période de récession) soit à la stabilisation externe, la globalisation financière remet en cause les données des politiques économiques au niveau national. La libéralisation des mouvements de capitaux, qui voue les marchés de change à une extrême volatilité, est aussi à l'origine de la multiplication et de la contagion des crises financières: la croyance qu'une crise puisse survenir peut aujourd'hui suffire à produire cette crise elle-même. Peut-on conjuguer les gains de la globalisation financière et réduire la fragilité qu'elle a engendrée ? Les débats actuels les plus vifs portent sur l'intérêt et la faisabilité d'une taxe sur les transactions financières internationales ainsi que sur une réforme de l'architecture financière internationale. Mot(s) clés libre(s) : économie, crise financière, finance, marché financier
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5 - Rendez-vous de crise : banqueroute : qui doit payer ?
Questions de la salle
/ Philippe KERGRAISSE
/ 14-11-2011
/ Canal-u.fr
LEGAY Marie-Laure, HAUTCOEUR Pierre-Cyrille, BEAUR Gérard, CŒURÉ Benoît
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Banqueroute : qui doit payer ?
Rendez-vous de crise
Enregistré le lundi 14 novembre, Amphithéâtre EHESS
À l’heure où les dettes souveraines et la faillite annoncée de certaines banques semblent promettre une faillite générale de plusieurs pays européens au point de menacer l’existence même de l’Europe, chacun s’interroge sur les responsabilités qui ont conduit à une telle situation. Ce premier rendez-vous de crise propose une approche à la fois historique et économique de ces questions qui touchent chacun d’entre nous. Il existe en effet des précédents fameux au cours desquels l’opinion publique a mis en cause à la fois l’emballement de la dette, les intermédiaires financiers, et jusqu’aux outils de gestion adoptés.
1- Présentation: Christophe Prochasson,directeur d’études et des Éditions de l’EHESS
Séance présidée par Pierre-Cyrille Hautcœur, économiste (EHESS)
Avec:
2- Marie-Laure Legay, historienne (Université Lille 3), La banqueroute de l’État royal, Éditions de l’EHESS
3- Gérard Beaur, historien (EHESS), « Revisiter les crises », Histoire & mesure, Éditions de l’EHESS
4- Benoît Coeuré, économiste (Sciences Po), directeur-adjoint de la Direction générale du Trésor
5- Questions de la salle Mot(s) clés libre(s) : crise économique, banqueroute, dette publique, crise financière
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2 - Rendez-vous de crise : banqueroute : qui doit payer ?
/ Philippe KERGRAISSE, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 14-11-2011
/ Canal-u.fr
LEGAY Marie-Laure
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Banqueroute : qui doit payer ?
Rendez-vous de crise
Enregistré le undi 14 novembre 2011, Amphithéâtre EHESS
À l’heure où les dettes souveraines et la faillite annoncée de certaines banques semblent promettre une faillite générale de plusieurs pays européens au point de menacer l’existence même de l’Europe, chacun s’interroge sur les responsabilités qui ont conduit à une telle situation. Ce premier rendez-vous de crise propose une approche à la fois historique et économique de ces questions qui touchent chacun d’entre nous. Il existe en effet des précédents fameux au cours desquels l’opinion publique a mis en cause à la fois l’emballement de la dette, les intermédiaires financiers, et jusqu’aux outils de gestion adoptés.
1- Présentation: Christophe Prochasson,directeur d’études et des Éditions de l’EHESS
Séance présidée par Pierre-Cyrille Hautcœur, économiste (EHESS)
Avec:
2- Marie-Laure Legay, historienne (Université Lille 3), La banqueroute de l’État royal, Éditions de l’EHESS
3- Gérard Beaur, historien (EHESS), « Revisiter les crises », Histoire & mesure, Éditions de l’EHESS
4- Benoît Coeuré, économiste (Sciences Po), directeur-adjoint de la Direction générale du Trésor
5- Questions de la salle Mot(s) clés libre(s) : crise financière, crise économique, banqueroute, dette publique
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L'économie de fonctionnalité pour résoudre la crise
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 11-03-2014
/ Canal-u.fr
FROMANT Eric
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Eric Fromant revient sur les crises économiques et financières que nous traversons et met en évidence toutes les limites des stratégies d'obsolescence programmée. Il montre qu'au contraire, l'économie de fonctionnalité - au travers de ses caractéristiques - est un modèle fécond pour résoudre les problématiques actuelles. Mot(s) clés libre(s) : crise financière, crise économique, économie de fonctionnalité, obsolescence programmée
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4 - Rendez-vous de crise : banqueroute : qui doit payer ?
/ Philippe KERGRAISSE, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 14-11-2011
/ Canal-u.fr
CŒURÉ Benoît
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Banqueroute : qui doit payer ?
Rendez-vous de crise
Enregistré le lundi 14 novembre 2011, Amphithéâtre EHESS
À l’heure où les dettes souveraines et la faillite annoncée de certaines banques semblent promettre une faillite générale de plusieurs pays européens au point de menacer l’existence même de l’Europe, chacun s’interroge sur les responsabilités qui ont conduit à une telle situation. Ce premier rendez-vous de crise propose une approche à la fois historique et économique de ces questions qui touchent chacun d’entre nous. Il existe en effet des précédents fameux au cours desquels l’opinion publique a mis en cause à la fois l’emballement de la dette, les intermédiaires financiers, et jusqu’aux outils de gestion adoptés.
1- Présentation: Christophe Prochasson,directeur d’études et des Éditions de l’EHESS
Séance présidée par Pierre-Cyrille Hautcœur, économiste (EHESS)
Avec:
2- Marie-Laure Legay, historienne (Université Lille 3), La banqueroute de l’État royal, Éditions de l’EHESS
3- Gérard Beaur, historien (EHESS), « Revisiter les crises », Histoire & mesure, Éditions de l’EHESS
4- Benoît Coeuré, économiste (Sciences Po), directeur-adjoint de la Direction générale du Trésor
5- Questions de la salle Mot(s) clés libre(s) : Communauté Européeene, crise économique, dette publique, crise financière
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07. Religion, Competition and Liability: Dutch Cooperative Banking in Crisis, 1919-1927
/ Serge BLERALD, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 30-08-2012
/ Canal-u.fr
COLVIN Christopher L.
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Plenary : Dissertations Session
(Amphithéâtre François Furet)
- Chair: Ludovic Cailluet, Université du Littoral
Foreign Direct Investment and the Creation of Local Organizational Capabilities: An Assessment of the Impact of the United States on the Spanish Enterprise (1918-1975)
- Adoración Álvaro-Moya, Complutense University
Religion, Competition and Liability: Dutch Cooperative Banking in Crisis, 1919-1927 -
-Christopher L. Colvin, London School of Economics
Out of Norway Falls Aluminum: The Norwegian Aluminium Industry in the International Economy, 1908-1940
- Espen Storli, Norwegian University of Science and Technology Mot(s) clés libre(s) : crise financière, banques, Pays-Bas, London School of Economics
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Cycles et fluctuations économiques
/ Mission 2000 en France
/ 28-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
ABRAHAM-FROIS Gilbert
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Après un bref historique de l'apparition, puis de la disparition (provisoire) de l'analyse et de la théorie des cycles, cette contribution sera centrée sur les développements contemporains. L'originalité de la théorie sans doute dominante depuis un quart de siècle est que les cycles ne sont plus une manifestation de déséquilibre, mais de réactions optimales des agents optimisateurs aux chocs de nature diverse qui frappent le système économique ; si au départ l'accent a été mis, à la suite des travaux de R. Lucas (prix Nobel 1995) sur les chocs ""monétaires"", c'est aux chocs ""réels"" que s'attachent les analyses plus récentes : chocs de productivité, chocs budgétaires, éventuellement chocs sur les préférences. L'approche qui a des fondements micro-économiques puissants fait appel largement aux techniques de simulation et arrive à reproduire de façon assez étonnante une partie au moins des mouvements de l'activité. Une deuxième approche a des fondements plus traditionnels ; dans le prolongement des analyses keynésiennes, il s'agit de tenter de rendre compte des fluctuations dans des systèmes où se manifestent des déséquilibres. Des possibilités de fluctuations auto-entretenues peuvent être mises en évidence en utilisant certains outils mathématiques sophistiqués (bifurcations, dynamiques complexes...). Des fluctuations auto-entretenues pouvant apparaître à partir du moment où des non-linéarités se manifestent, l'approche a été étendue des systèmes en déséquilibre aux systèmes en équilibre. Mot(s) clés libre(s) : crise financière, croissance, économie, finance
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Cycles et fluctuations économiques
/ Mission 2000 en France
/ 28-04-2000
/ Canal-u.fr
ABRAHAM-FROIS Gilbert
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Après un bref historique de l'apparition, puis de la disparition (provisoire) de l'analyse et de la théorie des cycles, cette contribution sera centrée sur les développements contemporains. L'originalité de la théorie sans doute dominante depuis un quart de siècle est que les cycles ne sont plus une manifestation de déséquilibre, mais de réactions optimales des agents optimisateurs aux chocs de nature diverse qui frappent le système économique ; si au départ l'accent a été mis, à la suite des travaux de R. Lucas (prix Nobel 1995) sur les chocs ""monétaires"", c'est aux chocs ""réels"" que s'attachent les analyses plus récentes : chocs de productivité, chocs budgétaires, éventuellement chocs sur les préférences. L'approche qui a des fondements micro-économiques puissants fait appel largement aux techniques de simulation et arrive à reproduire de façon assez étonnante une partie au moins des mouvements de l'activité. Une deuxième approche a des fondements plus traditionnels ; dans le prolongement des analyses keynésiennes, il s'agit de tenter de rendre compte des fluctuations dans des systèmes où se manifestent des déséquilibres. Des possibilités de fluctuations auto-entretenues peuvent être mises en évidence en utilisant certains outils mathématiques sophistiqués (bifurcations, dynamiques complexes...). Des fluctuations auto-entretenues pouvant apparaître à partir du moment où des non-linéarités se manifestent, l'approche a été étendue des systèmes en déséquilibre aux systèmes en équilibre. Mot(s) clés libre(s) : économie, crise financière, croissance, finance, cycles économiques, Keynes
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