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Importance du témoignage et de l'identification dans l'enquête criminelle
/ Université Rennes 2
/ 04-12-2006
/ Canal-u.fr
SOMAT Alain
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Conférence d’Alain Somat, professeur de psychologie expérimentale, Université Rennes 2.
Pour en savoir plus retrouver cette vidéo sur l'aire d'U, la plateforme de diffusion multimédia de l'Université Rennes 2.
http://www.lairedu.fr/importance-du-temoignage-et-de-lidentification-dans-lenquete-criminelle/ Mot(s) clés libre(s) : délinquance, sciences humaines, justice, criminologie
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La lutte contre les violences sexuelles en milieu sportif (Session 2)
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 05-06-2009
/ Canal-U - OAI Archive
SIMON Victor, BOUYSSY Marie, CANO Jean, GROSLERON-GROS Nathalie
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Sport Intensif et Maltraitance3e journées de Psychopathologie du sport4 & 5 juin 2009 - CAPS / CHU de Bordeaux / Université Victor Segalen Bordeaux 2 * La lutte contre les violences sexuelles en milieu sportif (Session 2)- Intervenants : * Victor Simon (Psychiatre, Directeur de l’Institut de Médecine Psychosomatique et de l’enseignement de l’hypnose, Université Paris V Necker)« Détection et prise en charge spécifique des victimes d’abus sexuel »* Marie Bouyssy (Psychiatre, Médecin légiste au CHU de Tours), Jean Cano (Psychiatre au CHU de Tours)« Prise en charge des agresseurs »* Nathalie Grosleron-Gros (Médecin légiste au CAUVA, CHU de Bordeaux)« Prise en charge médico-légale : exemple du CAUVA » - Président / Modérateur : Chantal Delcroix (Coordinatrice de l’Observatoire Départemental de la Protection de l’Enfance (ODPE) – Direction Enfance Famille) Marie-Luce Petraud (Travailleur social, Bureau de l’Enfance en Danger – Direction Enfance Famille) Le viol, les attouchements sexuels, le harcèlement sont des pratiques avérées dans le milieu sportif et les cas sont nombreux. Toutefois, les victimes de ces violences sont encore très souvent difficiles à identifier car elles refoulent les abus subis tant par peur d’être exclues du système sportif que par déni (PTSD, syndrome secondaire à un abus sexuel). Par ailleurs, le lien qui souvent unit la victime à son agresseur (entraîneur, autre sportif…), à la fois soutien, ami, « parent » rend la dénonciation difficile et culpabilisante. Comment déceler les signes d’un abus ? les lieux à risque ? et les agresseurs sexuels, quelle prise en charge pénale, thérapeutique proposer?Psychiatres et médecins légistes répondent. Mot(s) clés libre(s) : abus sexuels, adolescents, crimes sexuels, délinquants sexuels, harcèlement sexuel, maltraitance, protection et assitance, psychopathologie, rééducation sociale, relations sportifs-entraîneurs, souffrance, sportifs de haut niveau, sports, traumatisme, vio
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Croix Rouge - Nancy 2011 : Actualités sur la protection de l’enfance
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 27-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
QUIRIAU Fabienne
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Maltraitance et protection de l’enfance en danger. De multiples contraintes font que la protection de l'enfance évolue peu en dépit des ambitions de la loi du 5 mars 2007 :- les réponses restent très judiciaires ;- les actions de prévention sont ponctuelles, pas de volonté forte de miser sur des actions en amont des décisions de protection ;- l'éventail des réponses reste étroit ; peu d'alternatives au maintien à domicile ou à l'accueil de l'enfant. Des mutations marquent aujourd'hui la protection de l'enfance. La protection de l'enfance ne se réduit plus à prendre des décisions de protection suite à des situations de danger, mais aussi à prévenir les situations qui seraient préjudiciables à l'enfant, et à prendre soin de lui.Conférence enregistrée lors du congrès international de la Croix Rouge Française à Nancy sur le thème de la fragilité de l’enfant et de l’adolescent dans une société en mutation. Atelier n°4.1 Maltraitance et protection de l’enfance en danger. Modérateur : Emmanuelle SOUBLIN – (Directrice adjointe à la Direction de l’action sociale, Croix-Rouge française).SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : adolescence, bientraitance, Croix Rouge Nancy 2011, délinquance, enfance, loi, prévention
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RMJCA 2010 – Reims : Rôle du juge des enfants
/ CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 21-05-2010
/ Canal-U - OAI Archive
POZZO DI BORGO Anne
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Rencontres Médico-Judiciaires de Champagne-Ardenne 2010.Thème : L’enfant et la Justice – Mineur victime et Mineur violent.Titre : RMJCA 2010 – Reims : Rôle du juge des enfantsIntervenant : Anne POZZO DI BORGO (Vice-présidente chargée des enfants au Tribunal de Grande Instance (TGI) de Chalons en Champagne).Résumé : L’exposé définit le champ d’action du juge des enfants. Le juge pour enfants est un juge spécialisé créé par une ordonnance de 1945. La législation permet de garantir un équilibre entre l’intervention judiciaire et le travail éducatif.La fonction première du juge des enfants est de protéger les mineurs. Il intervient après la mise en place des mesures de protection administratives et surtout en cas de danger pour l’enfant.Mais le juge peut également ordonner des mesures d’investigation (enquête sociale), ou d’accompagnement à domicile (mesures d’assistance éducatives) qui peut déboucher sur un placement de l’enfant.Enfin le Juge des Enfants a des fonctions pénales qui peuvent l’amener à prendre des sanctions dans certains cas.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : défaillance parentale, délinquant, enfant, justice, loi, maltraitance, mineur, parents, pédiatrie, psychiatrie, RMJCA 2010 Reims
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Les besoins de protection
/ Mission 2000 en France
/ 05-06-2000
/ Canal-U - OAI Archive
OCQUETEAU Frédéric
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Dans nos sociétés post-modernes européennes, la protection contre les infortunes du sort est revenue progressivement à l'État-gendarme puis à l'État-providence, au point que la plupart des autres instances de reproduction de l'ordre social et de régulation des désordres ont été situées dans la dépendance de l'État protecteur. Cette instance joue à la fois comme instance de sanction coercitive et comme instance de prévention des risques par le biais du contrôle des fonctionnements assurantiels. Les polices publiques civiles et militaires ont historiquement réussi à s'imposer comme les seules agences de régulation des principaux désordres. Il n'en va pas de même des missions administratives de la paix publique théoriquement assurées par la police au quotidien, car cette fonction majeure de la police apparaît aujourd'hui en crise. Cette crise se mesure à deux indicateurs : - Le premier consiste à s'interroger sur les raisons pour lesquelles les ressources du secteur marchand de la protection des personnes, des biens et de l'information ont pris une emprise considérable dans nos sociétés, et à montrer comment ce processus affecte le fonctionnement des organisations policières traditionnelles obligées de composer avec une logique du Consommateur-client de protection s'imposant progressivement. - Le second consistera à réfléchir aux raisons pour lesquelles les valeurs de sécurité-protection ont aujourd'hui pris le pas sur les valeurs de liberté et à montrer comment les pouvoirs publics, après maints tâtonnements des ministères de la Justice et de la Ville, ont mis leurs espoirs dans une nouvelle pensée et une action de police de proximité. Que signifie cette volonté du ministère de l'Intérieur de rapprocher la police des besoins de sécurité des populations et des organisations ? Comment s'y prend-on pour le faire ? Quelles chances de succès peut-on espérer d'une telle entreprise réformatrice ? L'exposé s'efforcera d'apporter des éléments rétrospectifs et prospectifs de réponse à ces questions, en mobilisant des savoirs issus de l'histoire sociale, de la sociologie policière, de la sociologie des organisations et des politiques publiques. Mot(s) clés libre(s) : criminalité, délinquance, insécurité, police, protection, sécurité urbaine, vidéosurveillance
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RMJCA 2010 – Reims : La Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse
/ CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 21-05-2010
/ Canal-U - OAI Archive
MULLIEZ Damien
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Rencontres Médico-Judiciaires de Champagne-Ardenne 2010.Thème : L’enfant et la Justice – Mineur victime et Mineur violent.Titre : RMJCA 2010 – Reims : Action possible et perspectives de la Direction de la Protection Judiciaire de la JeunesseIntervenant : Damien MULLIEZ (Sous-directeur de la Protection Judiciaire de la Jeunesse - Paris)Résumé : La Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse (DPJJ) dépend du Ministère de la Justice. Elle assume deux missions, l'une politique liée à l'élaboration des textes, l’autre opérationnelle synchronise la façon dont les services interviennent. La violence chez les jeunes est considérée souvent à tort comme relevant des soins.Actuellement, la DPJJ intervient dans le cadre juridique et travaille en concertation avec les instances qui s'occupent de l'éducation des mineurs en soulignant l'importance de la pluridisciplinarité.*SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : délinquant, DPJJ, enfant, justice, loi, médecine légale, mineur, parents, pédiatrie, RMJCA 2010 Reims, violence
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MILDT 2010 - Nouvelles mesures législatives, réglementaires
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 09-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
MOUCHEL Sylvie
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Plan gouvernemental de lutte contre les drogues et les toxicomanies 2008-2011.Formation interministérielle des formateurs en matière de drogues et de toxicomanies.Session interministérielle visant la création d'une culture commune aux différents acteurs de l'Etat.Nouvelles mesures législatives, réglementairesSylvie Mouchel (Ministère de la justice)Mission Interministérielle de la Lutte contre la Drogue et les Toxicomanies.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : alcoolisme, dépendance, drogue, MILDT 2010, prévention délinquance, tabagisme, toxicomanie
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Violence et conflit
/ Mission 2000 en France
/ 03-06-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MICHAUD Yves
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Conférence du 3 juin 2000 par Yves Michaud. 1) Il nous faudrait toujours garder à l'esprit la différence entre les vraies images de la violence (et la violence réelle), généralement pas montrées parce qu'insoutenables et les images ritualisées, stylisées, banalisées, que donnent le cinéma et la télévision, même quand on les juge " violentes ". Ceci doit nous rendre prudents dans notre évaluation du rôle des images de la violence : elles sont si stylisées qu'elles n'ont pas grand effet et, en même temps, elles tendent à cacher la véritable sauvagerie de la violence sous leur apprêt de cellophane. 2) Le fait que nous soyons tous d'accord sur ce qui constitue un cas ou une situation de violence caractérisée ne doit pas nous faire ignorer que les appréhensions de ce qui est violent varient beaucoup selon les sociétés, les groupes, les individus. La manière de jouer au rugby en France est considérée comme violente par les joueurs néo-zélandais ou britanniques. La violence dans la rue à Paris au XVIIIe siècle n'avait pas de commune mesure avec ce que nous connaissons. Certains considèrent le harcèlement moral comme de la violence, etc. 3) La violence avec sa brutalité évidente fait l'objet de reprises intellectuelles : ainsi naissent des problématiques de la violence qui amalgament faits et évaluations. Naît alors une représentation complexe teintée d'autres préoccupations. On construit ainsi des " problèmes de la violence " qui occultent en partie l'ultraviolence humaine et intègrent d'autres hantises. Dans les années soixante-dix, la violence, c'était en Europe la violence des dictatures et celle des mouvements insurrectionnels. Dans les années quatre-vingt, ce fut plutôt la criminalité. Dans les années quatre-vingt-dix, c'est la violence des banlieues qui est passée au centre de nos préoccupations (en Europe, c'était la violence envers les étrangers). Maintenant, c'est la violence dans les écoles qui est au premier plan. Jusqu'à ce que l'on passe à autre chose. Nous nous servons de la notion de violence pour dire quelque chose sur nos sociétés et les problèmes qui nous y préoccupent. Il faudrait pouvoir toujours garder ces idées à l'esprit. Mot(s) clés libre(s) : délinquance, guerre, violence
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RMJCA 2010 – Reims : Comment un mineur devient-il violent
/ CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 21-05-2010
/ Canal-U - OAI Archive
JEAMMET Philippe
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Rencontres Médico-Judiciaires de Champagne-Ardenne 2010.Thème : L’enfant et la Justice – Mineur victime et Mineur violent.Titre : RMJCA 2010 – Reims : Comment un mineur devient-il violent, délinquant, voire criminel ?Intervenant : Philippe JEAMMET (Professeur – Psychiatre – Paris)Résumé : Pourquoi un adolescent peut-il dévier. La violence est un comportement, et aucun comportement n’est inné. L’être vivant est une construction en relation avec l’environnement et les contraintes qui s’y attachent. Le résultat dépend du contexte sensoriel et émotionnel dans lequel se trouve l’enfant. La vie est violence parce qu’elle est créativité.Le passage à l’acte est le résultat d’une rupture brutale. La réaction violente est primaire et se traduit par 3 possibilités : agressivité, fuite, offrande. La violence et l’ensemble des troubles psychiatriques sont des comportements adaptatifs de défense d’un territoire, c'est-à-dire la représentation que l’on a de soi et des autres. La destructivité est un aboutissement.On ne choisit pas un comportement violent, mais il permet d’être acteur. Les conséquences de ce comportement réflexif fait que nous sommes à la fois des êtres addictifs et des êtres de valeur et que nous pouvons dissocier l’émotionnel de la représentation.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : adolescent, délinquant, mineur, psychiatrie, RMJCA 2010 Reims, violence
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Croix Rouge - Nancy 2011 - Délinquance, violence : introduction.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 27-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
JEAMMET Philippe
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Bien qu’insuffisantes, les données épidémiologiques concernant les actes de délinquance, accompagnés ou non de violence, commis par des mineurs, demeurent inquiétantes. Ces actes peuvent traduire un appel au secours (surtout quand la violence s’exerce contre soi-même), un moyen de s’affirmer, ou de s’approprier des biens inaccessibles. Certains jeunes souffrent en outre de perturbations psychologiques et de conduites addictives. Les politiques de prévention doivent s’adresser aux parents défaillants afin de protéger l’enfant du risque de délinquance, succédant souvent à celui de maltraitance. Le milieu scolaire peut contribuer à faire évoluer les mentalités, lutter contre les discriminations, sensibiliser aux conduites dangereuses et responsabiliser les élèves. Les récidives doivent être évitées par un soutien approprié à ces mineurs en danger.Conférence enregistrée lors du congrès international de la Croix Rouge Française à Nancy sur le thème de la fragilité de l’enfant et de l’adolescent dans une société en mutation. Atelier n°5 Délinquance, violence.Philippe JEAMMET - Professeur émérite de Pédopsychiatrie, Paris.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : adolescence, Croix Rouge Nancy 2011, délinquance, enfance, pédopsychiatrie, violence
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