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SFAP 2011 – Accompagnement d’une demande d’euthanasie en unité de soins palliatifs.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 29-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
VIERSET C.
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Titre : SFAP 2011 – Accompagnement d’une demande d’euthanasie en unité de soins palliatifs.Auteur(s) : C. VIERSET (Infirmière - Belgique).Etablissement : Clinique Saint Pierre, Ottignies, Belgique.Résumé : Depuis 2002, la législation belge permet à toute personne majeure ou mineure émancipée de recourir à l’euthanasie lorsque son état de santé est tel qu’aucun traitement ne peut plus soulager sa souffrance tant physique que morale (loi relative à l’euthanasie du 28 mai 2002). Cette demande doit pouvoir être entendue et reconnue par les équipes soignantes. En pratique, faire face à pareille situation n’est pas si aisé. Certaines institutions ont fait le choix de ne pas répondre à cette requête et affichent clairement leur position anti-euthanasie. Pour notre part, nous en avons décidé autrement.C’est dans ce contexte que nous souhaitons vous faire part de notre expérience de soignants. Face à une demande d’euthanasie, l’équipe pluridisciplinaire se trouve confrontée à différents enjeux : éthiques, affectifs et socioculturels. Ensemble, avec nos différences, nous faisons en sorte de comprendre et de « décoder » la demande originelle afin de savoir si celle-ci est recevable ou non.Au travers de notre témoignage, nous souhaiterions vous montrer combien une décision d’euthanasie n’est jamais prise à la légère. Celle-ci suscite toujours une réflexion longuement mûrie en équipe. Tout acte d’euthanasie remue les esprits, se vit et se partage avec l’entourage du patient, ne laissant personne indifférent.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier D5 – Mort provoquée, sédation, limitation de traitements.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, désir de mort, euthanasie, SFAP 2011, soins palliatifs
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SFAP 2011 - La légalisation des pratiques euthanasiques aux Pays-Bas.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 29-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
SAINT-ARNAUD Jocelyne
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Titre : SFAP 2011 - La légalisation des pratiques euthanasiques aux Pays-Bas : quelles réflexions en tirer ? QUESTIONAuteur(s) : Jocelyne SAINT-ARNAUD (Professeur en sciences infirmières – Canada).Etablissement : Faculté des sciences infirmières, Université de Montréal, Montréal, Canada.Résumé : Des sondages effectués auprès de la population et des médecins du Québec indiquent qu’il existe un désir à l’effet que soient levées les barrières juridiques qui interdisent l’accès aux pratiques d’euthanasie (Rioux-Soucy, 2004, 2009a, 2009b). Un des arguments majeurs des tenants du statu quo concerne les dérives possibles d’une décriminalisation et d’une institutionnalisation de ces pratiques dans le cadre des unités de soins palliatifs. Pour analyser et vérifier la validité de cet argument, la situation qui prévaut aux Pays-Bas est évaluée de manière critique à la lumière des résultats d’études empiriques gouvernementales et indépendantes publiées avant et après la décriminalisation et la légalisation des pratiques euthanasiques survenues respectivement en 2001 et 2002 (Battin et al, 2007; Buiting et al, 2010; Maessen et al 2009; Norwood et al 2009; Reuzel et al, 2008; Rietjens et al, 2009; Rietjens et al, 2008; van der Heide et al, 2007; van der Maas et al, 1996; et autres).Les résultats montrent : 1) qu’il existe des dérives dans la loi elle-même par rapport aux balises émises en 1984 en fonction desquelles un médecin pouvait invoquer la raison de force majeure lui permettant d’éviter les poursuites;2) que la loi ne rend pas les pratiques euthanasiques plus transparentes; 3) qu’il y a une baisse des pratiques euthanasiques (aides médicales au suicide et euthanasies) déclarées, mais une hausse du recours à la sédation palliative et au soulagement de la douleur; 4) que les critères invoqués qui reposaient initialement sur le caractère libre et éclairé de la demande euthanasique de la part du patient apte ont maintenant tendance à mettre l’accent sur la souffrance qui ne peut être soulagée, telle qu’évaluée médicalement et qui concernent des personnes devenues inaptes, des mineures et des personnes atteintes de souffrance morale. Cette étude confirme l’existence de dérives et la position de Henk ten Have (2005), qui considèrent que les pratiques euthanasiques actuelles aux Pays-Bas renforcent le pouvoir médical sur la fin de vie.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier C5 – Mort provoquée, sédation, limitation de traitements.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, désir de mort, SFAP 2011, soins palliatifs
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SFAP 2011 - La légalisation des pratiques euthanasiques aux Pays-Bas.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 29-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
SAINT-ARNAUD Jocelyne
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Titre : SFAP 2011 - La légalisation des pratiques euthanasiques aux Pays-Bas : quelles réflexions en tirer ?Auteur(s) : Jocelyne SAINT-ARNAUD (Professeur en sciences infirmières – Canada).Etablissement : Faculté des sciences infirmières, Université de Montréal, Montréal, Canada.Résumé : Des sondages effectués auprès de la population et des médecins du Québec indiquent qu’il existe un désir à l’effet que soient levées les barrières juridiques qui interdisent l’accès aux pratiques d’euthanasie (Rioux-Soucy, 2004, 2009a, 2009b). Un des arguments majeurs des tenants du statu quo concerne les dérives possibles d’une décriminalisation et d’une institutionnalisation de ces pratiques dans le cadre des unités de soins palliatifs. Pour analyser et vérifier la validité de cet argument, la situation qui prévaut aux Pays-Bas est évaluée de manière critique à la lumière des résultats d’études empiriques gouvernementales et indépendantes publiées avant et après la décriminalisation et la légalisation des pratiques euthanasiques survenues respectivement en 2001 et 2002 (Battin et al, 2007; Buiting et al, 2010; Maessen et al 2009; Norwood et al 2009; Reuzel et al, 2008; Rietjens et al, 2009; Rietjens et al, 2008; van der Heide et al, 2007; van der Maas et al, 1996; et autres).Les résultats montrent : 1) qu’il existe des dérives dans la loi elle-même par rapport aux balises émises en 1984 en fonction desquelles un médecin pouvait invoquer la raison de force majeure lui permettant d’éviter les poursuites;2) que la loi ne rend pas les pratiques euthanasiques plus transparentes; 3) qu’il y a une baisse des pratiques euthanasiques (aides médicales au suicide et euthanasies) déclarées, mais une hausse du recours à la sédation palliative et au soulagement de la douleur; 4) que les critères invoqués qui reposaient initialement sur le caractère libre et éclairé de la demande euthanasique de la part du patient apte ont maintenant tendance à mettre l’accent sur la souffrance qui ne peut être soulagée, telle qu’évaluée médicalement et qui concernent des personnes devenues inaptes, des mineures et des personnes atteintes de souffrance morale. Cette étude confirme l’existence de dérives et la position de Henk ten Have (2005), qui considèrent que les pratiques euthanasiques actuelles aux Pays-Bas renforcent le pouvoir médical sur la fin de vie.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier C5 – Mort provoquée, sédation, limitation de traitements.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, désir de mort, SFAP 2011, soins palliatifs
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SFAP 2011 - Prévalence du désir de mort et facteurs associés: une revue de la littérature
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 29-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
MONOD Stéfanie
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Titre : SFAP 2011 - Prévalence du désir de mort et facteurs associés: une revue de la littératureAuteur(s) : Stéfanie MONOD (Médecin – Suisse).Etablissement : Service de gériatrie et Réadaptation Gériatrique, Centre hospitalierUniversitaire vaudois, Lausanne, Suisse.Résumé : Le désir d’hâter la survenue de sa mort (DM) exprimé par certains patients est souvent vécu difficilement par les soignants. Le débat actuel sur le suicide assisté et l’euthanasie met en lumière cette problématique encore peu explorée. Le but de cette revue est d’identifier la prévalence du DM et les facteurs associés à ce désir.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier C5 – Mort provoquée, sédation, limitation de traitements.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, désir de mort, SFAP 2011, soins palliatifs
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SFAP 2011 – Demander de mettre fin à sa vie.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 29-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
GUEIBE R.
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Titre : SFAP 2011 – Demander de mettre fin à sa vie.Auteur(s) : R. GUEIBE (Médecin psychiatre– Belgique).Résumé : Demander de mettre fin à sa vieL’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier C5 – Mort provoquée, sédation, limitation de traitements.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, désir de mort, SFAP 2011, soins palliatifs
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SFAP 2011 - L’euthanasie et l’ordinaire.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 29-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
FOURNERET E.
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Titre : SFAP 2011 - L’euthanasie et l’ordinaire.Auteur(s) : E. FOURNERET (Philosophe - France).Etablissement : Centre Universitaire de Recherche sur l’Action Publique et Politique, Seyssins, France.Résumé : Le fait même de prononcer le mot « euthanasie » suffit à diviser. D’un côté, ceux qui souhaitent élargir l’action humaine jusqu’à la pratique de l’euthanasie ; de l’autre, ceux pour qui la permission d’un tel acte conduirait à des dérives moralement inacceptables.Face à ce modèle binaire pour/contre, certains philosophes ont proposé une troisième voie à travers l’éthique de la vertu. Ils soulignent que faire preuve de compassion, dans certaines circonstances exceptionnelles, peut justifier le recours à l’euthanasie.Ces différentes positions se trouvent en grande partie dominée par l’affirmation du triomphe théorique, par la prégnance des principes éthiques. Or, si se soucier du malheur d’autrui est primordialement une affaire d’intelligence sensitive dans l’appréciation des situations, une réflexion qui en resterait exclusivement sur les théories et les principes paraît insuffisante.Pour cette raison, il peut être intéressant de saisir ce sujet avec une autre façon de penser en morale. C’était proprement l’objectif de ma thèse de doctorat de philosophie soutenue le 1er octobre 2010 à l’Université de Picardie Jules Verne (sous la direction de S. Laugier et la codirection d’A. Leplège).L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier C5 – Mort provoquée, sédation, limitation de traitements.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, désir de mort, SFAP 2011, soins palliatifs
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