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Campagne OMS - UNICEF - Croix Rouge de sensibilisation pour les élèves et les APAE : Ébola est là, protégeons nous et notre famille contre cette maladie, Collège de Mankountan, Préfecture de Boffa, Guinée, 25 avril 2015
/ Alain EPELBOIN
/ Canal-u.fr
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Enregistrement des questions posées par les élèves et de l'animation interactive réalisée au collège de Mankountan, Préfecture de Boffa, Guinée, le 25 avril 2015 dans le cadre de la campagne OMS - UNICEF - Croix Rouge de sensibilisation
pour les élèves et les APAE, intitulée "Ébola est là, protégeons nous et notre
famille contre cette maladie". Mot(s) clés libre(s) : croix rouge, français, UNICEF, Boffah, Mankountan, collège, pédagogie, collégiens, élèves, maladie à virus Ebola, rumeurs, Afrique de l'Ouest, Guinée, video, sensibilisation, éducation sanitaire, OMS, soussou
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Basta de gusanos !
/ 18-10-2005
/ Canal-u.fr
PAYS Jean-François
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Basta de Gusanos ! est un film de 20 minutes, conçu, écrit et réalisé par Jean-François Pays, à la demande du Pr C.E. Borda, directeur du Centre National de Parasitologie et des Maladies Tropicales de Corrientes, Argentine, pour sensibiliser les enfants des écoles rurales de cette province et de l’ensemble du pays aux infections par les géohelminthes dont la prévalence reste encore élevée dans de nombreuses régions. Le sujet est abordé sous l’angle d’une « tragi-comédie entérique » mettant en scène, sous forme de marionnettes, un ascaris, un ankylostome, une anguillule et un trichocéphale vivant dans le ventre d’un jeune garçon et présentés comme une joyeuse bande de petits malfrats cyniques, fiers d’être des parasites, jaloux de leurs prérogatives et de leur savoir faire, rivaux prêts à s’entretuer pour leur territoire ou une goutte de sang, mais prêts aussi à s’unir pour s’empiffrer et faire les 400 coups. Basta de gusanos ! sera distribué gratuitement sous forme de CD ou de DVD dans les écoles rurales argentines, accompagné d’un petit livret permettant aux enseignants d’expliquer plus complètement aux enfants le mécanisme des infections par les géohelminthes, les moyens de les éviter et la nécessité de se traiter régulièrement. Mise à part la taille des marionnettes, le film s’est efforcé de ne prendre aucune liberté vis à vis des données parasitologiques.Basta de gusanos ! a été réalisé dans le cadre d’une convention inter-universitaire entre l’Université Paris-V René Descartes et l’Université del Nordeste, avec l’appui financier de la faculté de médecine de Corrientes,le concours d’ Alexandro Maurino dit Chaque (dessin des marionnettes) de Carlos Ramos (fabrication des marionnettes), de la Compagnie El Asunto (animation des marionnettes), des membres du Centre National de Parasitologie et des Maladies Tropicales de Corrientes (CENPETROP) (Pr CE Borda (régie générale), Pr Maria Josefa F. Rea, Cristina Mercedes Gené (dessins), Miguel Angel Sandoval, Luis Armando Mosqueda, Osvaldo David Benitez, Sara Maria Quatrocchio (commentaire), des élèves et professeurs des écoles Général Manuel Belgrano de Corrientes et Para Costa Grande de San Luis de Palma.Scénario, dialogues, images, montage et réalisation de Jean-François Pays Mot(s) clés libre(s) : chaleur, nourriture, rural, pédagogie, matières fécales, excrements, vers, ascaris, eau, geohelmynthes, toilettes, bouillir, marionettes, chaussure, pathologie exotique, mesures sanitaires, campagne de prévention, lavage de mains, médecine tropicale, épidémie, bactérie, virus, hygiène, maladie, médicament, Amérique, école, insectes, enfant, vidéo, Parasites, éducation sanitaire, assainissement, contamination, larve, oeufs, Argentine
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Connaître et corriger les facteurs de risque
/ FILMED
/ 01-01-1993
/ Canal-U - OAI Archive
GIRERD X., TUAL HUGUE C.
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L'objectif de ce film est d'apporter une information pratique sur les facteurs de risque cardio-vasculaires et sur leur prévention.
Ce film est destiné à un public non médical. Des personnages représentatifs sont décrits et leurs risques cardio-vasculaires évalués de façon quantitative.
Ce film doit aider à l'éducation sanitaire de la population.
FILMED_94-5301-255
1993 Mot(s) clés libre(s) : éducation sanitaire, FILMED, prévention, risque cardio-vasculaire
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Ebola en 2012, R.D. du Congo, Province orientale, Haut Uélé : entre compréhensif et coercitif, réponse adaptée à des menaces
/ 29-09-2012
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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Acteurs- Maurice Tongolo, membre de la commission mobilisation sociale du Comité international de lutte contre la fièvre hémorragique Ebola (CILE).- Eugénie Baganda, infirmière graduée en santé publique, membre de la commission surveillance du CILE- Jacques Akonangana, infirmier superviseu, membre de la commission surveillance du CILE- Lobia Maximilien, ingénieur, locuteur yogo, médiateur de crises du CILECaméra/réalisation : Alain Epelboin CNRS-MNHN Paris et OMSMontage : Alain Epelboin & Mireille GruskaMaquette du 26 octobre 2012, version sous-titrée en françaisRésumé :Malgré les efforts d'humanisation (hospitalité des structures d'isolement, enterrements sécurisés confiés à la famille, sensibilisation, mobilisation et communication sociale multimédias, présence active d’épidémiologistes,de psychologues et d'anthropologues...), le déni du virus persiste et les recherches de coupables réels et métaphoriques des morts se multiplient, sur un fond de misère et d'intérêts politico-économiques antagonistes.Des boucs-émissaires sont nommés (belle-famille, équipes et les malades survivants sont stigmatisés.Les équipes sont aussi régulièrement l'objet de menaces, amplifiées par les dysfonctionnements institutionnels.Description :Le film débute sur une séance de mobilisation sociale nocturne dans un quartier d’Isiro, basée sur la projection de vidéos enregistrées lors d’épidémies précédentes, commentées par un membre de la commission mobilisation sociale.0 mn 44. Une femme et un homme, infirmiers congolais d’Isiro, chargés du suivi quotidien des « contacts » et du repérage de malades, racontent le dénis du virus, les accusations d’enrichissement illicite des équipes de réponse à l’épidémie, de détournement du sang et de consommation des cadavres à des fins de sorcellerie et de recherche de pouvoir.Deux situations de menaces contre les équipes sont rapportées, ainsi que la médiation appropriée qui eul lieu pour apaiser la situation : 2 mn 27. Une a été provoquée par un taximan moto, "contact" d'une personne décédée, de fait au chomage en raison de la stigmatisation dont il était devenu l’objet. Lui et sa mère ont menacé avec une machette les membres des équipes de surveillance venus le visiter, en leur enjoignant de ne plus mettre les pieds chez lui. Puis, il excita ses voisins, ce qui fait qu’au retour d’une ambulance transportant un enfant fièvreux et son oncle, garde malade en TPI, la route fut barrée et le véhicule immobilisé. Des violences furent exercées sur le chauffeur et l’oncle par une foule armée de machettes, d’arcs et de flêches jusqu’à la médiation compréhensive et autoritaire de l’ingénieur Obia, médiateur appartenant à la même ethnie, mandaté par le CILE (4 mn 42).5 mn 17. L’autre situation de crise rapportée avec menaces sur les équipes est celle provoquée par un autre jeune homme, absent lors de la levée de corps de sa sœur à l’hôpital et à qui on avait refusé d’ouvrir de nouveau le cercueil et le sac mortuaire au moment de l’enterrement afin qu’il puisse voir une dernière fois son visage. Il écrivit une lettre de menace au CILE, enjoignant aux équipes de ne plus passer devant chez lui, ce qui était innaceptable et impossible puisque sa maison est installée sur le bord du seul axe menant à Bédé, le lieu d’émergence d’une chaîne épidémiologique en provenance d’Isiro. L’ingénieur Obia raconte comment, de façon empathique, humble et autoritaire, une équipe de notables et de membres du Comité se déplaça sur place, négocia avec le protestataire et le retourna en le transformant en agent sensibilisateur. Mot(s) clés libre(s) : afrique, compréhensif, réactions de la population, fièvres hémorragiques virales, Ébola, boucs-émissaires, enterrement, mobilisation sociale, Isiro, République démocratique du Congo, stigmatisation, film ethnographique, éducation sanitaire, vidéo, mort, violence, coercitif
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Ebola au Congo en décembre 2003 à Mbomo : virus, braconnier et fétiche
/ 23-12-2003
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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Ce troisième film de la série "Ebola au Congo", "virus, braconnier et fétiche, Mbomo décembre 2003" décrit l'épidémie de Mbandza et Mbomo des mois de novembre et décembre 2003. Il souligne la stigmatisation dont sont victimes les individus convalescents et les individus ex-contacts. This third film of the series “Ebola in Congo”, “virus, poacher and fetish, Mbomo December 2003”describes the epidemic in Mbanza and Mbomo in November and December 2003. It underlines the stigmatisation towards convalescents and former- contact subjects.Ces films à caractère ethnographique ont été réalisés dans le cadre de missions de réponse de l'OMS aux épidémies de fièvre hémorragiques à virus Ebola au Congo en 2003 (février, juin et décembre), en collaboration avec Pierre Formenty, virologue, épidémiologiste (OMS/CDS/CSR/ARO)Certains acteurs ne suivent pas les protocoles recommandés par l'OMS pour les précautions et la prise en charge des patients. Mot(s) clés libre(s) : afrique, Cuvette Ouest, enterrement sécurisé, Ébola, tenues individuelles de protection, boucs-émissaires, fièvre hémorragique virale, Mbomo, mobilisation sociale, épidémie, stigmatisation, film ethnographique, Congo (République), éducation sanitaire, vidéo, mort, hôpital, pavillon d'isolement
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