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EMOIS Nancy 2011 - La filière hospitalière des plus de 80 ans admis en urgence
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 17-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
VERCHERIN Paul
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Titre : La filière hospitalière des plus de 80 ans admis en urgence dans le département de la Loire : quels apports du PMSI MCO et SSR ?Résumé : L’hospitalisation non programmée des personnes de plus de 80 ans est une difficulté croissante pour les établissements de santé MCO. Ce travail a pour objectif de décrire à travers les données PMSI les trajectoires MCO et SSR de ces patients.Sujets et méthode : Les séjours des patients de plus de 80 ans résidant dans la Loire hospitalisés en urgence ont été extraits de la base PMSI régionale Rhône-Alpes de 2008. Leur trajectoire hospitalière MCO et SSR a été reconstituée à partir de la clé de chaînage anonyme.Résultats : 3 871 hospitalisations soit 30% des personnes âgés ont un mode d’entrée en urgence dont 96% sont observées dans 7 des 9 établissements du département ayant un service d’urgence. Les taux d’admission aux urgences varient de 14% à 64% selon l’établissement. La durée moyenne de séjour est 11,5 jours contre 6,2 jours pour les séjours programmés. 10% des patients décèdent, 66% rentrent à domicile et 20% partent en SSR. 93% des 765 séjours SSR se sont déroulés dans le département. La DMS est de 32 jours. Le score moyen des activités de la vie quotidienne est de 14,2. Il varie du moins dépendant 11,4 à 16,4 sur une échelle de 24. 62% des patients en SSR retournent à domicile, 13% sont admis dans une USLD, 11% retransférés en MCO et 8% décèdent en SSR.Discussion- Conclusion : La filière gériatrique dans la Loire se déroule à proximité du domicile des patients. Cette étude visualise les rôles des établissements au sein de la filière en termes de case mix, de recrutement SSR… Cependant, des éléments incohérents existent : non utilisation du mode d’entrée par les urgences par deux établissements, absence de transfert en USLD pour un autre.Si la qualité de certains indicateurs est encore insuffisante, le PMSI montre son utilité pour la description de la filière gériatrique dans un territoire.Intervenant : VERCHERIN Paul (Service de santé publique et de l’information médicale, CHU de Saint Etienne, 42055 Saint Etienne Cedex 1).Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Session : PMSI et épidémiologie. Modérateurs : V. GILLERON (CHU de Bordeaux), E. SAULEAU (CHU de Strasbourg).Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : chaînage anonyme, EMOIS Nancy 2011, gériatrie, MCO, personnes âgées, PMSI, SSR, urgences
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EMOIS Nancy 2011 - Patients pris en charge pour des troubles mentaux
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 18-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
VASSEUR Stéphanie
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Titre : Patients pris en charge pour des troubles mentaux et du comportement dans le secteur de court séjour du Centre Hospitalier Universitaire d'Angers : une réalité MCO ou RIM-P ?Résumé : Notre établissement prend en charge des pathologies psychiatriques dans des unités de court séjour : le PMSI court-séjour (MCO) est-il bien adapté pour rémunérer à sa juste valeur ce type de prise en charge ?Méthode : On sélectionne tous les résumés d'unités médicales (RUM) de 2009 et 2010 pour lesquels le diagnostic principal (DP) correspond à certaines pathologies psychiatriques : troubles mentaux d’origine non organique sauf ceux liés à l’utilisation de substances psychoactives et troubles de la personnalité. Trois quarts de ces séjours passent par la médecine interne, la pédiatrie médicale ou les urgences et tout particulièrement dans deux services: l'unité médico-psycho-sociale et la pédiatrie médicale. On s'intéresse au service de médecine interne-addictologie-pathologies professionnelles et psychosociales et à la pédiatrie médicale. On sélectionne tous les séjours de 2009 et 2010 qui ont eu au moins un RUM dans une de ces unités. On décompose cette population en deux catégories afin de comparer leur lourdeur :- les séjours relevant d'une prise en charge psychiatrique, présentant un RUM de médecine interne ou de pédiatrie médicale dont le DP est une des pathologies précédemment définies ;- les autres relevant d'une prise en charge somatique.Résultats : 1461 séjours en 2009 et 1056 en 2010 présentent une pathologie psychiatrique en DP. On constate en médecine interne et pédiatrie que la prise en charge psychiatrique allonge significativement la durée moyenne de séjour (DMS) respectivement de 2 et 8,3 jours. En pédiatrie, la DMS est multipliée par quatre alors que la valorisation moyenne n'est multipliée que par deux. On observe donc un manque à gagner équivalent à deux hospitalisations MCO.Discussion/Conclusion : On fait ainsi entrer "de la psychiatrie" dans le MCO mais ce type de prise en charge n'est pas intégré dans ce modèle. Ne faudrait-il pas harmoniser la description de ces séjours avec une prise en charge psychiatrique en MCO et en établissement spécialisé ?Intervenant : VASSEUR Stéphanie, SIX Patrick (Département d'Information Médicale, Centre Hospitalier Universitaire d'Angers, Angers, France).Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Session : Il n’y a pas que le MCO : activité externe, HAD, SSR, Psychiatrie. Modérateurs : Sandra GOMEZ (Agence Technique Information, Hospitalisation-Lyon), Pierre METRAL (RESAMUT – Lyon).Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : court-séjour, DMS, DP, EMOIS Nancy 2011, MCO, PMSI, psychiatrie, résumés d'unités médicales, RUM
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EMOIS Nancy 2011 - PMSI SSR combiné à la SAE pour étudier la prise en charge en SSR
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 18-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
VALDELIEVRE Hélène
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Titre : Utilisation statistique du PMSI SSR combiné à la SAE pour étudier la prise en charge en SSR.Résumé : L’étude vise à faire un état des lieux de la prise en charge en Soins de Suite et Réadaptation (SSR) à partir des données du PMSI et de la Statistique Annuelle des Etablissements de santé (SAE).Méthode : Le PMSI-SSR est une base de gestion médico-économique destinée à la tarification de l’activité, et qui nécessite des opérations statistiques pour être utilisée à des fins d’études. Il convient, par exemple, de corriger les défauts d’exhaustivité des jours de présence et de reconstituer des séjours complets. L’appariement avec la SAE met en regard l’activité du PMSI et les facteurs de production associés (capacités et personnels) permettant de calculer des ratios de gestion.Résultats: En 2008, 1762 établissements ont déclaré une activité en SSR pour une activité de plus 32 millions de journées. Les densités d’offre sont plus élevées en Ile de France, en Alsace et dans le sud-est où l’implantation des cliniques est prépondérante. A l’opposé la Champagne Ardenne, les régions du centre disposent d’une offre moindre. La moitié des séjours sont motivés par des maladies du système ostéo-articulaire, des lésions traumatiques ou des affections cardio-vasculaires. Les séjours des femmes sont deux fois plus nombreux que ceux des hommes en poursuites de soins post traumatiques et rhumato-orthopédiques. Par contre, les poursuites de soins cardio-vasculaires ou respiratoires concernent plus d’hommes que de femmes. Les ressources en personnel sont plus élevées dans le secteur public et notamment dans les CHU que dans les cliniques du fait vraisemblablement de la plus grande complexité des cas traités (dans le public, 20% des séjours concernent des patients dépendants).Conclusion : Cette étude montre l’importance des retraitements statistiques lorsqu’on exploite des sources administratives non conçues pour les études. Elle propose ensuite un panorama de l’activité en hospitalisation complète en SSR.Intervenant : VALDELIEVRE Hélène (Direction de la Recherche, des Études, de l’Évaluation et des Statistiques - Ministère chargé de la santé, Paris).Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Session : Il n’y a pas que le MCO : activité externe, HAD, SSR, Psychiatrie. Modérateurs : Sandra GOMEZ (Agence Technique Information, Hospitalisation-Lyon), Pierre METRAL (RESAMUT – Lyon)Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : DMS, EMOIS Nancy 2011, HAD, hospitalisation, MCO, non-réponse, PMSI, SAE, soins de suite et de réadaptation, SSR, tarification
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EMOIS Nancy 2011 - Enquête précarité 2008 : évaluation de la précarité au CHRU de Lille
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 17-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
THEIS Didier
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Titre : Enquête précarité 2008 - Evaluation de la précarité au regard de l’ENCc au CHRU de Lille.Résumé : A partir des données du CHRU de Lille de l’enquête précarité 2008 de la DRESS et de la mission T2A, il s’agit d’analyser le lien entre le coût complet des séjours de patients précaires et des données disponibles dans le PMSI.Méthodes: En l’absence de consensus sur la définition de la précarité, une analyse multifactorielle des correspondances multiples associées à une classification hiérarchique a été effectuée afin de caractériser des groupes de précarité. Pour ce faire, l’ensemble des items "précarité" retenus dans l’enquête (hors situation familiale compte-tenu de l’incertitude sur la qualité du codage) ont été considérés. Les séjours relatifs aux séances et aux nouveau-nés non admis en soins intensifs ou en réanimation ont été exclus. Les écarts de coût entre les populations non-précaire et précaire ont été analysés par des décompositions d’Oaxaca, prenant en compte les variables retenues (sexe, âge, mode d’entrée, mode de sortie, nombre de diagnostics associés de niveau 2, 3 et 4, diagnostic principal et durée de séjour).Résultats: 21 631 séjours ont été considérés : quatre groupes de séjours précaires ont été mis en évidence: (1) Précarité financière et d’accès aux droits (n=608, 2.8%); (2) CMUc exclusive (n=1637, 7.6%); (3) Précarité dépendance (n=451, 2.1%); (4) Précarité multiple (n=426, 1.9%). Le coût moyen des séjours des non-précaires s’élève à 3 339€, et respectivement à 4 212€, 2 823€, 6586€ et 5 527€ pour les groupes 1, 2, 3 et 4. Par rapport au groupe de référence non-précaire, l’application des techniques de décomposition révèle que 78% des écarts de coût s’expliquent par des différences moyennes entre les variables retenues pour le groupe 1 (26%, 79% et 60% pour le groupe 2, 3 et 4).Conclusion: Cette évaluation montre qu’au moins 20% de l’écart entre le coût hospitalier des précaires et des non-précaires pourraient s’expliquer par des spécificités de prise en charge liés à la précarité.Intervenant : THEIS Didier (Département d’Information Médicale, Clinique de Santé Publique, CHRU de Lille).Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Session : utilisation de l’information médicale pour la prévision d’activités (nouveaux SROS, EPRD, CPOM) ; analyse de l’activité. Modérateurs : Michel NAIDITCH (IRDES – Paris), Philippe OBERLIN (chargé de recherche, ministère de la santé et des sports - Paris).Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : CHRU de Lille, coût hospitalier, décomposition d'Oaxaca, Echelle Nationale des Coûts Commune, EMOIS Nancy 2011, ENCc, PMSI, précarité
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EMOIS Nancy 2011 - Importance de la qualité des données
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 18-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
SEROUSSI Brigitte
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Titre : Importance de la qualité des données patient dans la pertinence de la production des recommandations de pratiques cliniques : une étude de cas en médecine générale avec le système d'aide à la décision ASTI mode guidéRésumé : Expérimentation effectuée auprès de médecins généralistes et qui vise à tester dans quelle mesure un système d'aide à la mise en oeuvre des recommandations professionnelles peut avoir un rôle dans la conformité des décisions à ces référentiels.Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Session : La médecine de ville et les aspects médico-sociaux. Modérateurs : François-André ALLAERT (CHRU de Dijon), Rémi UNVOIS (URPS médecins lorraine).Intervenant : SEROUSSI Brigitte (Maître de conférence - Praticien hospitalier à Paris XI)Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : Aide au Suivi et à la Thérapeutique Informatisée, ASTI, EMOIS Nancy 2011, médecine générale, pratique clinique, référentiel de prescription, système d'aide à la décision
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EMOIS Nancy 2011 - Codage des mort-nés : comment le PMSI devient un outil d’épidémiologie
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 17-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
SERFATY Annie
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Titre : Codage des mort-nés : comment le PMSI devient un outil d’épidémiologie ?Résumé : Les modifications juridiques intervenues en 2008 ne permettent plus d’organiser le recueil nécessaire à l’établissement du taux de mortinatalité (nombre d’enfants sans vie rapporté à l’ensemble des enfants nés vivants et sans vie) et du taux de mortalité périnatale (nombre d’enfants naissant sans vie ou nés vivants et décédés à moins de 7 jours de vie pour 1000 naissances totales). Ce taux continue à être calculé par l’INSEE, mais n’a plus de signification étant donné l’absence de règles relatives à l’exhaustivité. Notre objectif est de tester un dispositif de recueil, de codage et de contrôle de l’exhaustivité et de la qualité du codage pour les Résumés d’Unité Médicale (RUM) des mort-nés en 2010 à l’hôpital Trousseau.Méthode : Elaboration d’une procédure partagée avec l’ensemble des acteurs concernés : professionnels de la salle de naissance, maternité, admissions, chambre mortuaire, état civil, DIM… Mise en place du recueil et du codage des RUM le 22/11/2010. Rattrapage des RUM mort-nés depuis le 01/01/2010 à partir des séjours des mères en «maternité, grossesse pathologique, gynécologie », ayant un code Z37_ (naissance unique, gémellaire ou multiple, d’enfant mort-né), dont l’âge gestationnel (AG)>=22semaines d’aménorrhée(SA). Contrôle de l’exhaustivité et de la qualité des données recueillies par le PMSI, avec celles enregistrées par la chambre mortuaire, par l’état civil et la statistique d’activité des établissements(SAE).Résultats : Un consensus est établi pour coder les RUM mort-nés d’au moins 22 SA ou d’au moins 500 grammes, en lien avec les données administratives de la mère, afin de calculer le taux mortinatalité à Trousseau en 2010 et puis sur le réseau est parisien. Des résultats seront disponibles au printemps 2011.Conclusion : La difficulté générée par les changements juridiques vient donner au PMSI une place nouvelle en épidémiologique périnatale. La procédure validée et testée pourra être étendue aux maternités du réseau périnatal de l’est parisien.Intervenant : SERFATY Annie (Département d’Information Médicale, Groupe Hospitalier Armand Trousseau-La Roche Guyon, Paris, France).Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Session : PMSI et épidémiologie. Modérateurs : V. GILLERON (CHU de Bordeaux), E. SAULEAU (CHU de Strasbourg).Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : codage PMSI, EMOIS Nancy 2011, épidémiologie, mortalité périnatale, mortinatalité, RUM
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EMOIS Nancy 2011 - Table ronde : Positionnement et missions des DIM (4)
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 17-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
SEGOUIN Christophe, ROUX Michel
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Titre : Table ronde : Positionnement et missions des DIM (4)Résumé : Rôle et positionnement des DIM dans les établissements de santé. Résultats d'une enquête menée en février 2011 auprès des médecins DIM de la collégiale Bourgogne/Franche-Comté.Intervenants : Bernard SEGOUIN, Michel ROUX.Avec la participation de : Le CNIM, Le collège des DIM de CHU, La conférence des Présidents de CME de CHU, La conférence des Présidents de CME de CH.Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Modérateurs : Bernard GARRIGUES (Président du CNIM, anesthésiste-réanimateur – Aix-en-Provence) et Christophe SEGOUIN (Paris – CHU Lariboisière-St Louis)Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : DIM, dossier patient, EMOIS Nancy 2011, établissement de santé, gestion des risques, PMSI, tableaux de bord
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EMOIS Nancy 2011 - Table ronde : Positionnement et missions des DIM (1)
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 17-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
SEGOUIN Christophe, GIRARD Claude, NISAND Gabriel, GARRIGUES Bernard, CHARIOT Marie-Paule, THUET Francis
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Titre : Table ronde : Positionnement et missions des DIM (1)Résumé : Questions soulevées :- Qu'en est-il de l'indépendance des DIM ?- Quelles sont les compétences attendues d'un médecin DIM et quel est le rapport avec la Santé Publique ?- Par rapport à toutes les tâches et missions remplies par le médecin DIM ( domaine de la qualité, du dossier patient, du SIH...), sont-elles toutes légitimes ? lesquelles rentrent vraiment dans le cadre de ses fonctions ?Intervenants :Christophe SEGOUIN (Paris – Lariboisière-St Louis), Claude GIRARD (Président de la CME du CHU de Dijon, Gabriel NISAND (DIM – Strasbourg), Bernard GARRIGUES (Président du CNIM, anesthésiste-réanimateur – Aix-en-Provence), Marie Paule CHARIOT (conseillère médicale de la FHP MCO), Francis THUET (Président de la CME de Sélestat).Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Modérateurs : Bernard GARRIGUES (Président du CNIM, anesthésiste-réanimateur – Aix-en-Provence) et Christophe SEGOUIN (Paris – CHU Lariboisière-St Louis).Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : CHU, CME, codage, Département d'Information Médicale, DIM, dossier patient, EMOIS Nancy 2011, SIH, système d'information hospitalier
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EMOIS Nancy 2011 - Table ronde : Positionnement et missions des DIM (2)
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 17-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
SEGOUIN Christophe, CHARIOT Marie-Paule
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Titre : Table ronde : Positionnement et missions des DIM (2)Résumé : Le médecin DIM en établissement de santé privé. Comparaisons de ses fonctions et activités dans le secteur public vs secteur privé.Intervenants : Marie-Paule CHARIOT et Christophe SEGOUIN.Avec la participation de : Le CNIM, Le collège des DIM de CHU, La conférence des Présidents de CME de CHU, La conférence des Présidents de CME de CH.Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Modérateurs : Bernard GARRIGUES (Président du CNIM, anesthésiste-réanimateur – Aix-en-Provence) et Christophe SEGOUIN (Paris – CHU Lariboisière-St Louis).Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : CME, codage CIM 10, DIM, DMI, dossiers médicaux archivés, EMOIS Nancy 2011, établissement de santé privé, système d'information
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EMOIS Nancy 2011 - Comment identifier et valoriser un transfert d’activité en cardiologie.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 17-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
SEGOUIN Christophe
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Titre : Comment identifier et valoriser un transfert d’activité ? Application à une activité de cardiologie.Résumé : Le regroupement des activités médicales engendre des transferts de moyens. Il est nécessaire d’évaluer et de caractériser l’activité transférée et la part résiduelle après transfert. Le groupe hospitalier a évalué l’impact du transfert pour raisons réglementaires de la rythmologie spécialisée. L’objectif était de déterminer la part d’activité susceptible de « quitter » l’établissement.Matériels et méthodes : L’activité de rythmologie a été identifiée à partir des GHM de rythmologie selon la segmentation OAP et par le passage dans l’unité spécialisée (données PMSI 2009). Elle a été segmentée en 4 groupes de séjours permettant de discriminer trois types de situations cliniques : les situations « captives » (les patients initialement hospitalisés pour un problème non cardiologique ou entrant par les urgences), les situations transférées avec certitude, les situations dont le transfert dépendra soit de choix politiques (conservation ou non de l’activité d’implantation de stimulateurs), soit de la décision des « clients » que sont les patients et leurs médecins de ville. Pour les séjours de patients rythmologiques non entrés par les urgences et sans acte, deux hypothèses de transfert d’activité ont été émises (50% et 75%) pour prendre en compte l’incertitude liée aux comportements des patients (préférence pour le site ou pour l’équipe de rythmologues). En l’absence de référence dans la littérature, elles reposent sur des hypothèses de cardiologues. Le montant des recettes perdues a été estimé à partir des GHS.Résultats : Selon les hypothèses faites sur la proportion d’activité transférée et la conservation ou non de l’activité de pose de simulateur, le nombre de séjours transférés variait de 401 (14% de l’activité de cardiologie) à 522 (18%). Le montant des recettes perdues variait de 1.5 à 1,9 million d’euros.Discussion : La segmentation a permis de limiter la marge d’incertitude concernant le transfert d’activité à moins de 5% du total de l’activité et des recettes du service de cardiologie.Intervenant : SEGOUIN Christophe (Service de Santé Publique et Economie de la Santé, groupe hospitalier Lariboisière-Fernand Widal, Assistance Publique- Hôpitaux de Paris).Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Session : utilisation de l’information médicale pour la prévision d’activités (nouveaux SROS, EPRD, CPOM) ; analyse de l’activitéModérateurs : Michel NAIDITCH (IRDES - Paris), Philippe OBERLIN (chargé de recherche, ministère de la santé et des sports - Paris).Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : cardiologie, EMOIS Nancy 2011, PMSI, rythmologie, segmentation, transfert d'activité
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