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Chronologie chrononymies et autres figures du temps (2) : autour d'Henri Zerner
/ Serge BLERALD
/ 03-06-2016
/ Canal-u.fr
Zerner Henri, Bayard Marc, Thiébaut Philippe, Ramos Julie
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Autour de Henri Zerner, la question de l’appréhension sensible du temps, avec ses échelles diverses où se heurtent les modes de périodisation, avec ses représentations et ses matérialités, confronte l’histoire des différents arts, avec un accent particulier sur les arts du décor et du costume, où le slow made (concept créé par Marc Bayard) se confronte à l’éphémère des usages. Mot(s) clés libre(s) : enseignement de l'histoire des arts dans le secondaire, périodisation, Henri Zerner
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Chronologies, chrononymies et autres figures du temps (1) : Alain Corbin
/ Serge BLERALD
/ 03-06-2016
/ Canal-u.fr
CORBIN Alain
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Dans 1515, Alain Corbin, le père de l’histoire des sensibilités, invitait de grands historiens à revisiter « les grades dates de l’histoire de France », constatant chez les élèves et les étudiants « un dépérissement du sens de la profondeur historique ». Chronologies, chrononymies par quelles figures du temps construire les repères sans lesquels l'inappétence l'emportera sur la curiosité ? Mot(s) clés libre(s) : enseignement de l'histoire, histoire de France, enseignement de l'histoire des arts dans le secondaire, Marignan
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Comment lire un texte ? Perspectives critiques
/ Christian Bailly, IFÉ - Institut Français de l'Éducation, ENS Cachan, Martine Watrelot
/ 26-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
CHARTIER Roger
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La littérature (dès le XIXe siècle quand le roman s’approprie la réalité historique et revendique sa place comme histoire non événementielle) permet d’entrer au plus profond du tissu social et affirme pouvoir traiter le document par l’imagination. Elle s’inscrit dans une pensée sur le monde par la contextualisation des récits qu’elle opère ; elle a pour ambition de faire parler les silences de l’Histoire, sa vérité pourrait donc être plus grande que la véracité documentaire de l’Histoire. Puisque l’historien utilise les mêmes structures (le récit) que le littéraire, qu’il fonde son écriture également sur des figures de rhétorique, la vérité produite dans les deux cas est comparable. Pourtant l’Histoire serait plutôt du côté des savoirs vérifiables, des preuves, des documents, des indices : si l’on considère, comme Carlo Ginzburg que la différence existe, puisque certaines opérations sont propres à l’Histoire (vérification des sources ; critères de validation par une communauté), alors la littérature serait du côté d’une vérité existentielle (elle relativiserait la vérité) et l’Histoire du côté d’une vérité épistémologique. Il faut donc porter l’attention sur le fait que la littérature se fonde sur le sentiment au quotidien mais à partir de la capture de la culture écrite de l’époque dans laquelle un texte littéraire apparaît, ainsi, des techniques narratives peuvent rendre compte de l’historicité des œuvres. Mot(s) clés libre(s) : contextualisation, enseignement, histoire, littérature
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