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Séminaire Image et vérité. 3. Image et mémoire. La reconstruction de la vérité par l'image : ouverture de la journée / Pascale Peyraga, Marion Gautreau
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 07-04-2014
/ Canal-u.fr
GAUTREAU Marion, PEYRAGA Pascale
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Séminaire Image et vérité. 3. Image et mémoire. La reconstruction de la vérité par l'image : ouverture de la journée / Pascale Peyraga, Marion Gautreau. Séminaire organisé par le laboratoire France Méridionale et Espagne (FRAMESPA) et le Réseau interdisciplinaire sur les vérités de l'image hispanique contemporaines (RIVIC). Université Toulouse II-Le Mirail, 7 avril 2014.Tanto la dictadura franquista como las dictaduras latinoamericanas de los años 1960 a 1980 dieron lugar a una abundante
producción fílmica y fotográfica -documental y de ficción- que vuelven sobre estos periodos traumáticos desde diferentes puntos de vista. Comienzan a realizarse pe- lículas en los años 1980, todavía bajo la Ley de amnistía española (15 de octubre de 1977) o las Leyes de impunidad argentinas (finales de los años 1980) y siguen saliendo en pantalla hasta hoy en día, en un clima totalmente distinto. En efecto, la Ley de Memoria histórica del 31 de octubre de 2007 en
España o la declaración de inconstitucionalidad por la Corte Suprema de Argentina de los « indultos de Menem » en 2010 abre vías nuevas a la representación fílmica de estos episodios de la historia reciente. La idea de este seminario es observar cómo se reconstruye la memoria
histórica de las dictaduras a través de las imá- genes y el diálogo que entretiene estas producciones artísticas con una real o supuesta « verdad histórica ». Considerando cada una de estas obras como un « lugar de memoria », a la manera de Pierre Nora, sería interesante analizar los recursos utilizados por los artistas para ofrecer su propia memoria
de los gobiernos militares. En documentales como La maleta mexicana (Trisha Ziff, 2011, México/España/EEUU) o Los caminos de los memoria (José Luis Peñafuerte, 2009, España) se insiste en la problemática de las exhumaciones y del dilema verdad/olvido, mientras que en películas como Infancia clandestina (Benjamín Ávila, 2012, Argentina) o O ano en que meus pais saíram de férias (Cao Hamburger, 2006, Brasil) se intenta dar a ver la vida cotidiana de los niños que vivieron en tiempos de dictadura. Por otra parte, no podemos sino pensar en las producciones fotográficas de los últimos años, que no se refieren tanto a la revelación del pasado histórico (en las dictaduras o en tiempos de guerra) como a la comprobación de la ausencia de imágenes o una verdad para siempre velada (La misma Imagen a través de los días Socius II, Adrián Alemán). A través del tiempo y de la variedad de temas desarrollados en estos medios icónicos se va reconstruyendo poco a poco la memoria de las dictaduras. Nuestro propósito es confrontar los puntos de vista expuestos y los recursos iconográficos utilizados para defenderlos, con el fin de delinear los contornos de estas memorias española y latinoamericanas. Mot(s) clés libre(s) : conscience historique, cinéma et histoire, Mexique (20e siècle), Basilio Martín Patiño (1930-....), cinéma espagnol, Jorge Semprún (1923-2011), Espagne (20e siècle), film documentaire, mémoire collective, franquisme
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Jorge Semprun et le deuil de la République / Sylvain Dreyer
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 07-04-2014
/ Canal-u.fr
DREYER Sylvain
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Jorge Semprun et le deuil de la République / Sylvain Dreyer. In séminaire "Image et mémoire / Imagen y memoria. 3. La reconstruction de la vérité par l'image : l'exhumation du passé" organisé par le laboratoire France Méridionale et Espagne (FRAMESPA) et le Réseau interdisciplinaire sur les vérités de l'image hispanique contemporaines (RIVIC). Université Toulouse II-Le Mirail, 7 avril 2014. « Les anciens combattants m’emmerdent » : cette phrase apparaît dans deux films de Jorge Semprún, La Guerre est finie d’Alain Resnais (1966, scénario de Jorge Semprun) et Les deux mémoires (1972-1974). L’écrivain attend la mort de Franco en 1975 pour évoquer son expérience d’exilé et d’opposant dans un premier texte qui oscille entre roman et autobiographie (Autobiografía de Federico Sánchez (1977). D’autres suivront, en particulier Adieu, vive clarté… (1998), Veinte años y un día (2003) et De l’exil à l’oubli : Camps de réfugiés espagnols en France 1936-1939 (2006). Cependant, dès 1966, en tant que scénariste de fiction puis en tant que documentariste, Semprún s’empare de la mémoire de la guerre civile et de la lutte contre le régime franquiste. Si les deux films "La Guerre est finie" et "Les deux mémoires" partagent la même interrogation historique, le choix de la fiction pour le premier et du documentaire pour le second permet d’examiner la stratégie tant testimoniale qu’esthétique de Semprún. A travers cet examen, nous entendons interroger les choix médiatiques (cinéma et littérature) et linguistiques de l’auteur (présence de l’espagnol et du français), ainsi que ses choix génériques (fiction et documentaire mais aussi régime autobiographique permettant l’énoncé d’une vérité subjective) et les principes historico-politiques qui transparaissent dans ces œuvres et qui, paradoxalement, oscillent entre impératif de la mémoire et nécessité de l’oubli. A travers ces films et ces textes, Semprun semble tenter de dépasser la déploration des « anciens combattants » en jetant un regard neuf sur la dictature, un regard qui permette de penser l’après-Franco. Mot(s) clés libre(s) : mémoire collective, roman autobiographique, cinéma et littérature, Espagne (20e siècle), Jorge Semprún (1923-2011), Guerre civile espagnole (1936-1939), cinéma et histoire, franquisme
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