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Cerveau, sexe, et préjugés
/ Eric (CICA Vidéo Aubervilliers) Garreau
/ 15-12-2014
/ Canal-u.fr
Vidal Catherine
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Avec l'avancée des connaissances en neurosciences, on serait tenté de croire que les idées reçues sur les différences cérébrales entre les femmes et les hommes ont été balayées. Or médias et magazines continuent de nous abreuver de vieux clichés qui prétendent que les femmes sont "naturellement" bavardes et incapables de lire une carte routière, alors que les hommes seraient nés bons en maths et compétitifs. Ces discours laissent croire que nos aptitudes et nos personnalités sont câblées dans des structures mentales immuables. Or les progrès des recherches montrent le contraire : le cerveau, grâce à ses formidables propriétés de plasticité, fabrique sans cesse des nouveaux circuits de neurones en fonction de l'apprentissage et de l'expérience vécue. Rien n'est jamais figé dans le cerveau quels que soient le sexe et les âges de la vie. L'objectif de cette conférence est de donner à comprendre le rôle de la biologie mais aussi l'influence de l'environnement social et culturel dans la construction de nos identités de femmes et d'hommes.Toutes les Conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : neurobiologie, étude du genre
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Pour l'histoire des femmes et du Genre / Florence Rochefort
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 05-04-2012
/ Canal-u.fr
ROCHEFORT Florence
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Pour l'histoire du des femmes et du Genre / Florence Rochefort. In journée d'études "Le genre en images. Approches historiques et lectures critiques des sources iconographiques" organisée par les laboratoires FRAMESPA et PLH-ERASME, Université Toulouse II-Le Mirail, 5 avril 2012.Dans cette communication Florence Rochefort présente le fonds photographique de la bibliothèque Marguerite Durand, constitué à la fin du XIXe siècle pour la mémoire des femmes et du féminisme, départ d'une réflexion sur la photographie considérée, depuis environ une vingtaine d'années, comme une source pour l'étude de l’histoire des femmes et du genre. Elle présente des photographies exposées ayant fait l’objet d’un catalogue [Photo, femmes, féminisme : 1860-2010, 2010] selon trois corpus :- portraits de Communardes photographiées en prison par Eugène Appert, des femmes dont l'image légendée indique le métier, parmi lesquelles Louise Michel.- portraits de femmes artistes : la Castiglione (par Pierson), l'écrivaine Colette, l'actrice Sarah Bernard, George Sand (par Nadar), la danseuse Cléo de Mérode, de femmes en habillées en homme comme Jane Dieulafoy, la peintre Rosa Bonheur ou l'écrivaine Marc de Montifaud (d'autres images ici), Sylvia Beach et Adrienne Monnier (photographiées par Gisèle Freund), etc. - portraits de militantes féministes : la fondatrice de la franc-maçonnerie mixte Maria Deraismes, Hubertine Hauclert (une des premières féministes), la première française psychiatre Madeleine Pelletier (voir un autre image ici), Nelly Roussel (avec sa fille).«L’étude de ces photographies permet d’aborder la construction de la féminité, avec ses codes, en terme de visualité : il faut analyser le visible, comprendre comment celui-ci est construit, reçu et perçu.» (Extrait de Compte-rendu de la journée d'étude par Agathe Roby, Les Cahiers de Framespa, 10, 2012). Mot(s) clés libre(s) : mouvement féministe, image de la femme (dans l'art), photographie et histoire, étude sur le genre (dans l'art)
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Dramaturgies au féminin : écritures politiques contemporaines du corps et du sexe / Muriel Plana
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 26-03-2015
/ Canal-u.fr
PLANA Muriel
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Dramaturgies au féminin : écritures politiques contemporaines du corps et du sexe / Muriel Plana, in Journées d'études "Opera contro. L’œuvre de rupture sur la scène italienne contemporaine, de 1960 à nos jours", organisées, sous la responsabilité scientifique de Margherita Orsino et Antonella Capra, par Il Laboratorio et l'Institut de Recherche Pluridisciplinaire en Arts Lettres Langues (IRPALL) de l'Université Toulouse Jean Jaurès, 26-27 mars 2015.
Ces Journées d'étude se penchent sur un phénomène, voire un concept, qui a été intitulé « Opera contro » en écho au fameux film de Francesco Rosi, Les hommes contre (1970), film culte pour toute une génération engagée. Par là "l’œuvre de rupture" est entendue à la fois comme œuvre d’avant-garde (qui rompt avec l’esthétique préexistante) mais aussi comme œuvre qui a vocation à dénoncer, bannir, renverser, s’opposer à un statu quo, un aspect de la culture ou de la société voire tout un système sociopolitique. La question de la relation entre la littérature, et plus généralement "les arts", et l’engagement se pose en effet pour tout le XXe siècle (à commencer par la période des avant-gardes dites "historiques" dans le contexte de la Première Guerre mondiale par exemple) et passe ensuite par les polémiques et conflits internes à la néo-avant-garde lors des événements de mai 68. C’est aussi un sujet transversal, dont les problématiques sont complexes et nombreuses et touchent notamment la question de l'expérimentalisme et, en amont, du langage. C'est enfin une question toujours actuelle si l’on considère l’œuvre non comme un produit "fini" et détaché de toute autre entité, mais comme une « œuvre ouverte » en interaction avec le lecteur/public et plus généralement les lieux, cultures, arts, histoire : en bref ce qu’on pourrait résumer par « réalités individuelles et collectives ». Dans cet esprit, une attention particulière est réservée à l’édition et à la réception de ces œuvres à la fois "en opposition à" et "en marge de" la culture dominante. Mot(s) clés libre(s) : étude sur le genre (dans l'art), théâtre italien (20e-21e siècles), littérature italienne (21e siècle), Lina Prosa (1951-....), corps humain (dans l'art)
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Filles et garçons au collège : quels lieux pour quelles rencontres ?
/ Eric (CICA Vidéo Aubervilliers) Garreau
/ 23-03-2015
/ Canal-u.fr
Maurin Aurélie
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Aurélie Maurin, Psychologue clinicienne, maîtresse de conférences, Université Paris 13Si les institutions scolaires sont dévouées à la transmission des savoirs constitués, elles sont aussi un lieu de socialisation pour les jeunes générations. Les filles et les garçons, mais aussi les femmes et les hommes, s'y rencontrent, s'y côtoient et s'y confrontent. Ainsi des enjeux de territoires désignés, assignés, conquis, séparés, partagés etc. s'entrecroisent avec des enjeux de construction identitaires. Le partage des lignes entre l'espace interne personnel (vie psychique), les espaces de la rencontre (intersubjectivité) et les espaces symboliques (topiques institutionnelles) semble se resserrer autour de la différence des sexes comme unique marqueur, avec la différence culturelle, de l'identité des jeunes gens, au détriment des autres figures de l’altérité. Pourtant, les lieux de l'école, ainsi que ces hors-lieux (lieux informels et intersticiels tels que la cour, les parvis, les couloirs, etc.), restent investis par les jeunes eux-mêmes de manière à s'y inscrire dans la diversité de leurs appartenances (genrées, culturelles, groupales, etc.). Ce dernier point sera abordé à partir de plusieurs séries observations dans les collèges d’Île-de-France.Toutes les Conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : collège, étude sur le genre (identité)
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Les excès du genre : concept, image, nudité / Geneviève Fraisse
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 04-11-2015
/ Canal-u.fr
FRAISSE Geneviève
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Geneviève Fraisse, philosophe, directrice de recherche émérite au CNRS, a publié de nombreux ouvrages relatifs à la généalogie de la pensée
féministe ainsi qu'à la controverse sexe/genre d'un point de vue
épistémologique et politique.
Avec "Les Excès du genre" (éd. Lignes, 2014), Geneviève Fraisse offre une perspective sur la
polémique sexe/genre, la critique des stéréotypes et l'usage de la
nudité en politique. Avec l'oeil critique d'une chercheuse, elle privilégie résolument la généalogie de l'émancipation et l'examen de la
tradition philosophique, plutôt que la discussion sur les catégories et
les identités. Le concept de "genre", ni simple outil, ni théorie
radicale, est un pari philosophique. Philosophie pour distinguer
clairement ce qui relève d'un objet de pensée, d'un concept ou d'une
théorie. Et pour toutes disciplines, car l'enjeu est alors de comprendre
ses usages : comme un neutre, le genre, comme un pluriel, les genres
et, avec ou sans le mot "sexe" ? Aussi, ne l'oublions pas, ce mot est en
excès, car ce qu'il traite déborde l'ordre établi.
Conférence présentée à l'Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, le 4 novembre 2015. Mot(s) clés libre(s) : rapports sociaux de sexe (genre), études sur le genre, recherches en sciences humaines et féminisme, sexualité et genre, études féministes (en philosophie)
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La lecture des adolescents : comment avoir "bon genre" ? / Christine Detrez
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
DETREZ Christine
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La lecture des adolescents : comment avoir « bon genre » ? / Christine Detrez Les études statistiques permettent de classer les lectures par genres, au double sens du terme, et de déterminer les « lectures de filles et lectures de garçons ». Néanmoins, la répétition de ces mêmes catégories entraîne parfois un risque d’essentialisation. La mise en perspective historique des statistiques recueillies permet déjà de montrer la construction sociale de ces « lectures genrées ». Par ailleurs, le détour par les entretiens, et l’intérêt porté aux réceptions de ces lectures complètent les recueils statistiques : les entretiens montrent ainsi qu’un relevé de titres ne dit rien de la façon dont ces livres sont lus, et interprétés par les lecteurs. Si l’influence du genre, au moment de l’adolescence, est primordiale dans la construction de son identité, elle n’en est pas moins forte comme stratégie de distinction, et se combine alors avec l’origine sociale. Nous verrons ainsi, à la fois par des recueils de titres préférés et par des entretiens menés avec des adolescent-es, comment le genre façonne de façon complexe les lectures.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : adolescents (livres et lecture), choix de lecture, étude sur le genre (identité), lecture (appréciation), littérature pour la jeunesse, réception des oeuvres
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Les pratiques culturelles des enfants et des adolescents à l’épreuve du genre
/ 21-06-2015
/ Canal-u.fr
Buscatto Marie
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Marie Buscatto, Sociologue, professeure des universités, Université Paris 1 Panthéon-SorbonneLes recherches quantitatives et qualitatives menées auprès des enfants et des adolescent-e-s révèlent des pratiques culturelles éminemment « genrées ». Non seulement les filles et les garçons tendent à ne pas choisir les mêmes pratiques pour se distraire, mais même quand ils et elles pratiquent une même activité, elle est mise en œuvre de manière « genrée »… Cette conférence sera l’occasion de décrire ces pratiques selon les différenciations « genrées » qu’elles révèlent et de tenter d’en expliquer les logiques sociales de construction et de légitimation dans les sociétés contemporaines. Seront également abordés ces moments où garçons et filles transgressent le genre en adoptant des pratiques culturelles non conformes aux attentes « genrées ». Quels en sont les ressorts ainsi que leurs modalités de mise en œuvre dans des contextes sociaux a priori contraires ? Mot(s) clés libre(s) : étude sur le genre (identité), pratiques culturelles
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Corps, âge et genre
/ Canal-u.fr
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Des enseignants-chercheurs et jeunes chercheurs de l'Université de Strasbourg présentent en 500 secondes leur passion et l'essentiel de leur activité de recherche.Nicoletta Diasio Professeur de sociologie à la Faculté des sciences sociales, responsable du centre "Corps, conflits, créativité" UMR 7367 "Dynamiques européennes" Domaine de recherche : Sociologie/anthropologie
Mot(s) clés libre(s) : corps, étude du genre, âge
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Atelier 6. Érotisme - Quatrièmes Rencontres de la galerie Colbert
/ Canal-u.fr
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6. Erotisme
– Salle Vasari –
Responsable : Emmanuel Ussel (INHA)
Charlotte Chrétien
(université Paris-Sorbonne)
La représentation
du travestissement et de l’ambiguïté sexuelle du héros à travers le mythe de la
découverte d’Achille sur l’île de Skyros dans l’art romain aux époques des Julio-Claudiens,
des Flaviens et de l’Antiquité tardive
Dans son épopée, l’Achilléide, le poète latin Stace s’est employé à retracer cet épisode mythique dans
une narration attrayante et dynamique, combinant à la fois la finesse
psychologique des personnages, l’ironie, la légèreté et l’humour. Tous ces
éléments sont perceptibles dans le domaine littéraire et iconographique grâce à
la représentation de l’ethos, de la ruse, du travestissement et de l’ambiguïté
sexuelle du futur héros de Troie.
Hélène Leroy (Institut
national du patrimoine)
Thibault Boulvain
(Institut national d’histoire de l’art)
Mapplethorpe, « the
boy who loved Michelangelo »
Dans les photographies de Robert Mapplethorpe, l’hommage
à Michel-Ange résonne avec une esthétique du corps contraint influencée par les
pratiques underground des milieux homosexuels new-yorkais. Mot(s) clés libre(s) : photographie, histoire de l'art, étude du genre, Michel-Ange
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Antonioni, ou l'érosion d'Éros. Conférence de Céline Scemama
/ Canal-u.fr
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Dès Chronique d'un amour, les hommes ne savent plus quoi faire en face des femmes. Quelque chose a disparu, quelque chose est perdu, il y a un malaise. Les hommes sont érotiques parce qu'ils sont « malades d'Éros », nous dit Antonioni. Les femmes les regardent peinées, voire avec pitié. L'érosion d'Éros les conduit dans une quête érotique nouvelle. Les corps s'éclipsent, s'envolent, disparaissent dans le brouillard, mais les choses s'animent d'une intensité nouvelle et portent une charge érotique et existentielle insolite, inquiétante peut-être, mais aussi vertigineuse, euphorique. Mot(s) clés libre(s) : Eros, cinéma italien, études sur le genre (au cinéma), Michelangelo Antonioni
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