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/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
ROBERTSON Lisa
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Mot(s) clés libre(s) : bruit de la ville, Eugène Atget (1857-1927), photographie des villes, ville (sons)
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L'évolution détournée: par le plaisir, puis par les humains
/ 26-09-2013
/ Canal-u.fr
LANGANEY André
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La sélection naturelle repose sur la survie des
reproducteurs et leur fécondité. Toutefois, ces deux critères sont souvent
contradictoires et la recherche du plaisir, qui favorisait au départ la
fécondité, peut conduire à des risques pour la survie ou à l’infécondité. Ce
n’est qu’un détournement mineur de l’évolution naturelle par rapport aux
multiples actions humaines…Deuxième volet du cycle de conférences "De l'Histoire à l'actualité des sciences". Pour voir les volets précédent et suivant : 1. De la création à l'évolution : l'invention de la biologie 3. Les humains : une longue histoire puis un retour à la nuit des temps Mot(s) clés libre(s) : épigénétique, mutation, eugénisme, selection naturelle, hasard
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Les enjeux éthiques de la génétique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 31-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
KAHN Axel
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Conférence du 31 janvier 2000 par Axel Kahn. Au XIXème siècle, la théorie de l'évolution, qui s'applique à l'Homme et le dépossède donc de son privilège de créature à l'image de Dieu, a constitué une onde de choc dont les effets se font encore sentir aujourd'hui. En effet, les grandes idéologies qui ont si cruellement marquées le XXème siècle, notamment l'eugénisme et le racisme ont massivement emprunté à la science de l'évolution ce qui leur semblait de nature à conforter leurs préjugés. La génétique a plus modifié l'énoncé des idéologies enracinées dans une conception pervertie de l'évolution qu'elle ne les a créées. Le gène est rapidement devenu l'élément de base matérialisé des vieilles conceptions déterministes et des projets eugénistes et racistes. Le danger est grand que tous ceux qui sont déjà persuadés que le destin humain est déterminé par sa dimension biologique se trouvent confortés dans leurs préjugés par une certaine présentation du programme "génome humain" et par l'interprétation rapide de nombre d'études génétiques, en particulier celles portant que les comportements. Le généticien a une responsabilité élective : non seulement réaliser du mieux qu'il le peut une science qui fasse honneur au génie humain, mais aussi s'impliquer pour la présenter au public, expliquer ce qu'elle signifie et ce qu'il est illégitime de lui faire dire. S'il est parfaitement illégitime de faire dire à la génétique que nous sommes tous prisonniers de nos gènes, la science ne suffit pas non plus à fonder l'exigence de liberté. Mot(s) clés libre(s) : bioéthique, eugénisme, génétique
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L'embryon humain sujet de savoir, objet de passions - René FRYDMAN
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 23-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
FRYDMAN René
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Conférence du 23 janvier 2000 par René Frydman. La maîtrise de la reproduction est centrée sur l'embryon humain. Elle est l'objet de nombreux investissements passionnels, aussi bien lorsqu'il s'agit d'espacer les naissances et d'éviter les conceptions non désirées, que lorsqu'il s'agit d'essayer d'obtenir un enfant. Dans une première partie, un rappel historique permet d'exposer les concepts aboutissant à la définition de la "personne humaine". Dans une seconde partie, il est question des techniques utilisées pour traiter l'infertilité, dont la fécondation in vitro. Mot(s) clés libre(s) : bioéthique, clonage, eugénisme, fécondation in vitro, reproduction, stérilité
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L'identité génétique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 04-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DANCHIN- Antoine
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Conférence du 4 janvier 2000 par Antoine Danchin. Deux lois fondamentales régissent la génétique. La première est la conservation de la mémoire. Elle est permise par la structure de la molécule d'ADN, support de l'information génétique. Celle-ci est constituée de deux brins en vis-à-vis utilisant la complémentarité des bases deux à deux. Il est donc possible de recopier l'information en séparant les deux brins pour leur associer à chacun un nouveau brin complémentaire. Cette réplication est indépendante de la signification de l'information recopiée. La seconde loi correspond à l'existence d'un code génétique. Il s'agit d'une règle de correspondant entre deux niveaux, les acides nucléiques et les protéines. Les mécanismes de copie de l'information génétique font des erreurs qui créent des formes non identiques sur lesquelles la sélection exerce un tri passif. Il n'y a pas survie du plus apte mais simplement élimination du moins apte. Le concept de fonction est central. Toute fonction est issue d'une évolution et contrainte par une structure. La genèse des fonctions a lieu de façon opportuniste à partir de moyens préexistants. L'évolution va donc créer de nouvelles fonctions en capturant des structures déjà utilisées pour d'autres fonctions. Le but de tout organisme est d'occuper le plus de place possible. La première solution consiste à se dupliquer. Comme des variants apparaissent il faut ensuite cohabiter avec l'autre. La première réaction est de chercher à l'éliminer. Des sondes, des capteurs ont ainsi été créés pour déterminer si l'autre est identique ou différent de soi-même. Des relais sont ensuite activés jusqu'à la fabrication et la libération dans l'environnement d'une substance ou antibiotique qui puisse tuer l'autre. D'autres interactions entre les organismes peuvent être la coopération, le parasitisme ou la création d'organismes multicellulaires. L'ordre des gènes sur les chromosomes n'est pas innocent. Ainsi, il existe pour les gènes du développement une correspondance entre l'ordre des gènes et la disposition des parties du corps de l'animal qu'ils induisent. L'ordre tête, thorax, abdomen puis queue est ainsi respecté. Mot(s) clés libre(s) : code génétique, eugénisme, génétique, oeil, OGM, réplication
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L'identité génétique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 04-01-2000
/ Canal-u.fr
DANCHIN- Antoine
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Conférence du 4 janvier 2000 par Antoine Danchin. Deux lois fondamentales régissent la génétique. La première est la conservation de la mémoire. Elle est permise par la structure de la molécule d'ADN, support de l'information génétique. Celle-ci est constituée de deux brins en vis-à-vis utilisant la complémentarité des bases deux à deux. Il est donc possible de recopier l'information en séparant les deux brins pour leur associer à chacun un nouveau brin complémentaire. Cette réplication est indépendante de la signification de l'information recopiée. La seconde loi correspond à l'existence d'un code génétique. Il s'agit d'une règle de correspondant entre deux niveaux, les acides nucléiques et les protéines. Les mécanismes de copie de l'information génétique font des erreurs qui créent des formes non identiques sur lesquelles la sélection exerce un tri passif. Il n'y a pas survie du plus apte mais simplement élimination du moins apte. Le concept de fonction est central. Toute fonction est issue d'une évolution et contrainte par une structure. La genèse des fonctions a lieu de façon opportuniste à partir de moyens préexistants. L'évolution va donc créer de nouvelles fonctions en capturant des structures déjà utilisées pour d'autres fonctions. Le but de tout organisme est d'occuper le plus de place possible. La première solution consiste à se dupliquer. Comme des variants apparaissent il faut ensuite cohabiter avec l'autre. La première réaction est de chercher à l'éliminer. Des sondes, des capteurs ont ainsi été créés pour déterminer si l'autre est identique ou différent de soi-même. Des relais sont ensuite activés jusqu'à la fabrication et la libération dans l'environnement d'une substance ou antibiotique qui puisse tuer l'autre. D'autres interactions entre les organismes peuvent être la coopération, le parasitisme ou la création d'organismes multicellulaires. L'ordre des gènes sur les chromosomes n'est pas innocent. Ainsi, il existe pour les gènes du développement une correspondance entre l'ordre des gènes et la disposition des parties du corps de l'animal qu'ils induisent. L'ordre tête, thorax, abdomen puis queue est ainsi respecté. Mot(s) clés libre(s) : génétique, OGM, code génétique, eugénisme, oeil, réplication
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Expérimentation et thérapeutique : le cas Doyen (1859-1916) / Anne Carol
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 21-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
CAROL Anne
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Expérimentation et thérapeutique : le cas Doyen (1859-1916) / Anne Carol. Dans "Histoire du cancer (1750-1950)", colloque international organisé par le laboratoire FRAMESPA (université Toulouse II-Le Mirail), l'Institut Claudius Regaud et le Centre d'Études d'Histoire de la Médecine. Toulouse : Institut Claudius Regaud, 20-22 janvier 2011. Thématique 2 : Pour une meilleure prise en charge thérapeutique (1890-1914), 21 janvier 2011.Au cours de l’été 1891, un scandale éclate dans la presse. Un membre de l’Académie de médecine révèle qu’un médecin, vite identifié comme le chirurgien rémois Eugène Doyen, aurait pratiqué quelques années auparavant une greffe de tumeur cancéreuse sur des patients pour vérifier l’inoculabilité du cancer. La presse locale, nationale et professionnelle s’emparent de la nouvelle et la transforment en un feuilleton qui dure tout l’été. Ces sources servent de base à cette communication. L’affaire de « la greffe cancéreuse », par son caractère transgressif, offre un observatoire privilégié à l’historien de la médecine et de ses rapports avec la société : Anne Carol s’efforce dans cette communication, d’une part de comprendre la genèse possible de cette pratique expérimentale, d’autre part, de démêler les enjeux et les représentations à l'œuvre dans les interprétations du cas Doyen. Mot(s) clés libre(s) : cancer (chirurgie), cancer (thérapeutique), Eugène Doyen (1859-1916), histoire de la médecine (France), Victor Cornil (1837-1908)
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Le Paris de Haussmann
/ UTLS - la suite
/ 26-10-2003
/ Canal-U - OAI Archive
CARMONA Michel
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C'est en 1853 que Napoléon III nomme à l'Hôtel de Ville un administrateur qui a déjà prouvé son efficacité dans plusieurs préfectures, à Bordeaux en particulier, et dont le nom va devenir le symbole de la modernisation de Paris. En seize ans à peine, Haussmann mène à bien la gigantesque mission que lui a confiée l'empereur : transformer une capitale trop indocile et en faire une métropole prestigieuse. Paris restait une ville d'aspect médiéval, où la circulation se faisait difficilement dans des rues étroites, mal pavées, transformées en cloaques à la moindre pluie ; l'eau potable comme les égouts sont rares. L'opinion publique réclame des grands travaux. Le nouveau préfet de la Seine se révèle vite l'homme de la situation. Alors que commence la grande fête impériale, des dizaines de chantiers s'ouvrent dans la capitale. On détruit des milliers de maisons, on perce de larges boulevards rectilignes le long desquels s'élèvent des immeubles bourgeois, et l'on construit des mairies, des théâtres, des églises, mais aussi des jardins publics, des conduites d'eau et de gaz. Les moyens ? D'abord, une grande science administrative chez Haussmann, travailleur infatigable, sachant stimuler ses collaborateurs, architectes, ingénieurs, techniciens, employés, tous de grande valeur et dévoués à leur tâche. Ensuite, des moyens financiers à la hauteur des ambitions, grâce à un large recours à l'emprunt, une pratique nouvelle à l'époque pour financer les travaux de transformation urbaine. Enfin, l'appui jamais démenti de Napoléon III, qui est l'âme et l'inspirateur premier des grands travaux. Energique, autoritaire, cynique, pas toujours très regardant sur les moyens, Haussmann, qui réalise en 1860 l'extension de Paris jusqu'à ses limites d'aujourd'hui (la capitale passe de 12 à 20 arrondissements, qui reçoivent leurs délimitations actuelles), fait bientôt l'unanimité contre lui. Le climat de spéculation et d'affairisme qui entoure ses travaux lui vaut le surnom de Haussmann Pacha. Certains lui reprochent de chasser les ouvriers et les pauvres, d'autres de ne pas se soucier du patrimoine architectural. Tous s'accordent à critiquer le coût pharaonique des grands travaux, qui, en s'amplifiant et en s'éternisant, donnent l'impression que Paris court à l'abîme. Aux premiers jours de janvier 1870, Napoléon III finit par sacrifier son préfet de la Seine. Mais l'oeuvre de Haussmann se poursuit après lui. Ses collaborateurs, restés aux commandes, continuent d'haussmanniser Paris. Et les nouveaux chefs de la Troisième République, qui l'ont durement attaqué sous l'Empire, lui rendent désormais hommage, tel Jules Simon, hier son ennemi, qui déclare à présent : « Peu nous importe aujourd'hui que les comptes de M. Haussmann aient été fantastiques. Il avait entrepris de faire de Paris une ville magnifique et il y a complètement réussi
Son oeuvre était au moins aussi fantastique que ses comptes. » Mot(s) clés libre(s) : Georges Eugène Haussmann (1809-1891), Paris (administration), Paris (grands travaux), urbanisme (france)
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L'ancien et le nouvel eugénisme : les leçons de l'Histoire
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 17-11-2004
/ Canal-U - OAI Archive
BATTIN Jacques
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Très longtemps associé au nazisme, l’eugénisme est encore aujourd’hui un sujet polémique voire tabou. Science des biens nés et des bons gênes, il désigne une sélection de la race humaine afin d’assurer le développement et la prédominance des êtres jugés supérieurs.
Les manifestations de l’idéologie eugéniste sont nombreuses dans le monde, de l’Antiquité jusqu’à la moitié du XXe siècle : extermination à Sparte des enfants faibles ou malades et des handicapés, promulgation de la loi sur la stérilisation des déficients mentaux et des épileptiques en 1907 aux Etats-Unis, création en 1905 de la Ligue allemande pour la régénération nationale…La France elle-même ne fut pas épargnée et compte parmi ses hommes de lois et de lettres de fervents partisans de l’eugénisme : le Comte de Gobineau, Eugène Viollet-le-Duc ou encore Charles Richet.
Depuis l’Allemagne nazie et les camps d’extermination, l’eugénisme s’était éclipsé de la scène mondiale. Mais ces dernières années, les progrès de la médecine et de la génétique et l’émergence d’un « nouvel eugénisme » ont relancé le débat.
La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2004-2005 sur le thème "La mort : Regards croisés". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : bioéthique, clonage, clonage humain, dépistage, épuration, éthique médicale, eugénisme, euthanasie, génétique humaine, humanité, politique démographique, stérilisation eugénique, théories des dégénérescences
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Conférences inaugurales des Quatrièmes Rencontres de la galerie Colbert
/ Canal-u.fr
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Pour cette quatrième édition, la
Galerie Colbert ouvre à nouveau ses portes au grand public. Lieu historique
conservant la mémoire du xixe
siècle et de ses fameux « passages », elle héberge depuis 2001 la plupart des
établissements d’enseignement et de recherche d’Île-de-France en histoire de
l’art, ainsi que l’Institut national du patrimoine.
Selon le principe de cette
manifestation, une œuvre a été choisie pour fédérer les réflexions et nourrir
les débats : les Esclaves de Michel-Ange, un chef-d'œuvre de l’art européen,
qui a durablement marqué l’imaginaire des artistes et des créateurs.
Si, par l’histoire même de leur conception et de leur devenir, ces deux œuvres
représentent une matière fort riche à explorer, elles permettent également de
couvrir de nombreux enjeux qui ne se limitent ni au contexte de leur création,
ni au seul médium de la sculpture.
Mot d'introduction
et conférences inaugurales
– Auditorium –
Antoinette
Le Normand-Romain, Directeur
général de l’INHA
Genevieve
Bresc-Bautier, Conservateur générale du patrimoine
honoraire, musée du Louvre
Barthelemy
Jobert, Président de l'Université Paris-Sorbonne Mot(s) clés libre(s) : Sculpture, histoire de l'art, architecture, Musée du Louvre (Paris), Michel-Ange, Eugène Delacroix
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