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Rendre l'évaluation plus accessible en machinisme, matière technique de l'enseignement agricole [st LSF] / Hervé Lipp
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 02-02-2015
/ Canal-u.fr
LIPP Hervé
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Rendre l'évaluation plus accessible en cours de mécanique dans l'enseignement agricole / Hervé Lipp, in in "Éducation inclusive, la question de l'évaluation : des représentations aux pratiques évaluatives", colloque international organisé par le Laboratoire Éducation, Formation, Travail, Savoirs (EFTS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès et l'École Nationale de Formation Agronomique (ENFA) de Toulouse-Auzeville. Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 2-3 février 2015.Atelier 6 : Adaptations au geste évaluatif, 2 février 2015.* version sous-titrée en langue des signes française.L’enseignement technique agricole accueille un public d’apprenants ayant fortement évolué au cours des dernières années. En effet, les apprenants à besoins éducatifs particuliers sont en constante augmentation comme le démontre les enquêtes du ministère de l’agriculture sur le projet d’accueil individualisé (PAI). Les demandes de PAI ne cessent de croître ainsi que, dans une moindre mesure, les projets personnalisés de scolarisation (PPS). En tant qu’enseignant, Hervé Lipp a adapté progressivement ses pratiques d’évaluation pour favoriser la réussite de chacun (cf. loi de 2005). Une grande partie du public, auprès duquel il enseigne, a des difficultés dans la rédaction, l'écriture et de compréhension des consignes. Mais malgré ces difficultés, ces apprenants ont des points forts, à savoir la motivation pour un projet professionnel et la facilité d'expression orale. L'objectif est "d’utiliser" ces points forts pour compenser au mieux les difficultés de ces apprenants. Pour certains des apprenants ayant les difficultés cités ci-dessus, des troubles d’apprentissage spécifiques ont été diagnostiqués (dyslexie, dysorthographie, ...) (INSERM, 2007). Pour d’autres, les problèmes peuvent provenir de multiples facteurs tels qu’un manque de travail, des difficultés d’adaptation lors du passage du collège au lycée... Pour mettre en évidence les adaptations réalisées dans ses pratiques d’évaluation, Hervé Lipp s’appuie sur deux exemples d’évaluation fréquente dans les disciplines techniques. La première situation d’évaluation vise à évaluer la maîtrise d’un vocabulaire technique par les apprenants. Afin de limiter les difficultés liées au stock lexical, il met en œuvre cette évaluation à l’aide d’un outil numérique. Ainsi, l’élève n’a pas besoin d’écrire le vocabulaire mais doit sélectionner les termes techniques pertinents au problème qui lui est posé. En effet, l’objectif d’évaluation se situe bien dans la capacité de l’apprenant à repérer le nom des éléments et non pas de vérifier s’il est capable de bien orthographier tel ou tel mot. Par ailleurs, l’outil numérique permet d’adapter l’ergonomie du support en fonction des besoins individuels. Le second exemple est une situation d’évaluation formative afin d’identifier le niveau de compréhension des apprenants au cours du processus d’apprentissage et d’envisager des régulations. Les élèves ont un support papier dont la mise en forme a été adaptée pour limiter les difficultés de lecture et limiter le passage d’un support à un autre lors de l’écriture. Une attention particulière est apportée à la formulation des questions afin qu’il ne puisse pas y avoir d’ambiguïté. Lors de la mise en œuvre de l’évaluation, sont utilisés à la fois le support papier et la verbalisation orale des consignes afin de s’assurer que chaque apprenant ait bien compris les attentes. Cette réflexion a été conduite par le groupe d’appui à la professionnalisation (GAP) « Dys » du ministère de l’agriculture. L’évolution de ces pratiques d’évaluation a permis de constater plusieurs effets. La plupart des élèves arrive à réaliser l’ensemble de l’évaluation dans le temps imparti. Les réponses, même si elles peuvent être incorrectes, sont en adéquation avec le sens de la question ce qui signifie qu’il y a une meilleure compréhension des consignes. De plus, il est possible de constater une nette diminution des demandes d’explication de la part des élèves au cours de l’évaluation. Les résultats obtenus par les apprenants sont également à la hausse. Et ces derniers sollicitent les autres enseignants à faire de même. De plus, les élèves semblent moins stressés lorsqu’ils réalisent une évaluation adaptée. Enfin, le constat est que les aides apportées aux élèves ayant des troubles d’apprentissage reconnus (dyslexie, dysorthographie...) profitent à l’ensemble des élèves de la classe. Mot(s) clés libre(s) : évaluation des compétences, technologies de l'information et de la communication dans l'enseignement, intégration scolaire, enseignement agricole (France)
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Rendre l'évaluation plus accessible en machinisme, matière technique de l'enseignement agricole / Hervé Lipp
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 02-02-2015
/ Canal-u.fr
LIPP Hervé
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Rendre l'évaluation plus accessible en machinisme, matière technique de l'enseignement agricole / Hervé Lipp, iin "Éducation inclusive, la question de l'évaluation : des représentations aux pratiques évaluatives", colloque international organisé par le Laboratoire Éducation, Formation, Travail, Savoirs (EFTS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès et l'École Nationale de Formation Agronomique (ENFA) de Toulouse-Auzeville. Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 2-3 février 2015.Atelier 6 : Adaptations au geste évaluatif, 2 février 2015. L’enseignement technique agricole accueille un public d’apprenants ayant fortement évolué au cours des dernières années. En effet, les apprenants à besoins éducatifs particuliers sont en constante
augmentation comme le démontre les enquêtes du ministère de l’agriculture sur le projet d’accueil individualisé (PAI). Les demandes de PAI ne cessent de croître ainsi que, dans une moindre mesure, les projets personnalisés de scolarisation (PPS). En tant qu’enseignant,
Hervé Lipp a adapté progressivement ses pratiques d’évaluation pour favoriser la réussite de chacun (cf. loi de 2005). Une grande partie du public, auprès duquel il enseigne, a des difficultés dans la rédaction, l'écriture et de compréhension des consignes. Mais malgré ces
difficultés, ces apprenants ont des points forts à savoir la motivation pour un projet professionnel et la facilité d'expression orale.
L'objectif est « d’utiliser » ces points forts pour compenser au mieux les difficultés de ces apprenants. Pour certains des apprenants ayant les difficultés cités ci-dessus, des troubles d’apprentissage spécifiques ont été diagnostiqués (dyslexie, dysorthographie, ...)
(INSERM, 2007). Pour d’autres, les problèmes peuvent provenir de multiples facteurs tels qu’un manque de travail, des difficultés d’adaptation lors du passage du collège au lycée... Pour mettre en évidence les adaptations réalisées dans ses pratiques d’évaluation,
Hervé Lipp s’appuie sur deux exemples d’évaluation fréquente dans les disciplines techniques. La première situation d’évaluation vise à évaluer la maîtrise d’un vocabulaire technique par les apprenants. Afin de limiter les difficultés liées au stock lexical, il met en œuvre cette évaluation à l’aide d’un outil numérique. Ainsi, l’élève n’a pas besoin d’écrire le vocabulaire mais doit sélectionner les termes techniques pertinents au problème qui lui est posé. En effet, l’objectif d’évaluation se situe bien dans la capacité de l’apprenant à repérer le nom des éléments et non pas de vérifier s’il est capable de bien
orthographier tel ou tel mot. Par ailleurs, l’outil numérique permet d’adapter l’ergonomie du support en fonction des besoins individuels. Le second exemple est une situation d’évaluation formative afin d’identifier le niveau de compréhension des apprenants au cours du processus d’apprentissage et d’envisager des régulations. Les élèves ont un support papier dont la mise en forme a été adaptée pour limiter les difficultés de lecture et limiter le passage d’un support à un autre lors de l’écriture. Une attention particulière est apportée à la
formulation des questions afin qu’il ne puisse pas y avoir d’ambiguïté.
Lors de la mise en œuvre de l’évaluation, sont utilisés à la fois le support papier et la verbalisation orale des consignes afin de s’assurer que chaque apprenant ait bien compris les attentes. Cette réflexion a été conduite par le groupe d’appui à la professionnalisation (GAP) « Dys » du ministère de l’agriculture. L’évolution de ces pratiques d’évaluation a permis de constater plusieurs effets. La plupart des élèves arrive à réaliser l’ensemble de l’évaluation dans le temps imparti. Les réponses, même si elles peuvent être incorrectes, sont en adéquation avec le sens de la question ce qui signifie qu’il y a une meilleure compréhension des consignes. De plus, il est possible de constater une nette diminution des demandes d’explication de la part des élèves au cours de l’évaluation. Les résultats obtenus par les apprenants sont également à la hausse. Et ces derniers sollicitent les autres enseignants à faire de même. De plus, les élèves semblent moins stressés lorsqu’ils réalisent une évaluation adaptée. Enfin, le constat est que les aides apportées aux élèves ayant des troubles d’apprentissage reconnus (dyslexie, dysorthographie...) profitent à
l’ensemble des élèves de la classe. Mot(s) clés libre(s) : évaluation des compétences, technologies de l'information et de la communication dans l'enseignement, intégration scolaire, enseignement agricole (France)
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Apprentis en difficulté et adaptation de l'évaluation [st LSF] / Nathalie Lefranc
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 02-02-2015
/ Canal-u.fr
LEFRANC Nathalie
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Apprentis en difficulté et adaptation de l'évaluation [st LSF] / Nathalie Lefranc, in "Éducation inclusive, la question de l'évaluation : des représentations aux pratiques évaluatives", colloque international organisé par le Laboratoire Éducation, Formation, Travail, Savoirs (EFTS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès et l'École Nationale de Formation Agronomique (ENFA) de Toulouse-Auzeville. Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 2-3 février 2015.Atelier 6 : Adaptations au geste évaluatif, 2 février 2015.[Version sous-titrée en langue des signes française].Depuis plusieurs années au sein du Centre de Formation d'Apprentis, a été mis en place un Centre de Ressources qui avant d'être un espace, se définit comme une démarche autour de la personnalisation des parcours des apprentis, avec pour mission l'élaboration de parcours et l'accompagnement d'apprentis, particulièrement au niveau V et prioritairement d'apprentis en difficulté d'apprentissage avec reconnaissance ou non des troubles DYS, isolés ou associés. Adapter des ressources est devenu rapidement une nécessité pour favoriser l'accessibilité aux supports écrits. Malheureusement, il s'est avéré que c'était nécessaire mais non suffisant au regard des résultats obtenus lors des évaluations pour plusieurs apprentis. En réponse à ces situations d'évaluation qui ne reflètent pas toujours les capacités et les connaissances de certains apprentis, il a été tenté d'adapter les conditions d'évaluations formatives en référence aux demandes d'aménagement aux examens réalisées pour les candidats en situation de handicap. Cette communication décrit les adaptations mises en place de façon empirique. Elles ne s'inscrivent pas dans le cadre d'une expérimentation mais peuvent peut-être devenir une piste de réflexion dans les pratiques pour la formation de jeunes en difficultés. C'est auprès d'apprentis préparant le Certificat d'Aptitude Professionnelle dans le domaine du paysage, qu'ont été expérimentées des adaptations, notamment : en mathématiques, aux vues de certains profils de jeunes et des premiers résultats, la démarche a été de faire travailler les apprentis dans un contexte sécurisé pour lever les blocages souvent inhérents à la non-réussite, se réconcilier parfois avec les mathématiques. Dans un premier temps,ont été mises en évidence les capacités et les compétences du référentiel à acquérir dans des situations très simples de sorte que chacun pouvait réussir une première étape en amorçant parallèlement la démarche d'autoévaluation. Pour certains, l'évaluation a été souvent réalisée à l'oral, éventuellement à travers une manipulation sur l'aire de TP par exemple tels l'estimation de distance, calcul de périmètre. Une grille d'évaluation était adaptée.La Reconnaissance des végétaux est un apprentissage passionnant mais difficile. L'évaluation en classe est souvent réalisée à l'écrit devant un vidéo-projecteur. Avec deux formatrices, nous avons organisé l’évaluation en passation individuelle, en questionnant sur des végétaux, fraîchement cueillis ou mieux sur pied, interpellant ainsi les différents sens. Les résultats sont souvent encourageants et invitent à renouveler de telles pratiques. Elles sont en cohérence avec les conditions d'examen et d'exploitation des compétences dans leur vie professionnelle. Les résultats ont souvent été positifs pour les deux modules. Cependant certaines questions ont été soulevées : valeur de la note en comparaison au groupe classe? Ces adaptations vont-elles permettre au final d'atteindre les objectifs académiques en terme de contenus et conditions de passation ? Pour les formateurs, l'évaluation reste une question complexe. La question d'équité prend ainsi toute sa valeur. Il est certain qu'évaluer savoirs et/ou savoirs-faire requiert une profonde réflexion sur le sens, les objectifs visés et les moyens mis en œuvre pour chaque apprenant. L'issue de cette démarche expérimentale encourage à réfléchir sur les modalités d'évaluation au sein de la classe et à plus long terme, probablement, pour un plus grand nombre d'apprenants. Mot(s) clés libre(s) : évaluation des compétences, apprentissage professionnel, enfants handicapés (éducation)
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Apprentis en difficulté et adaptation de l'évaluation / Nathalie Lefranc
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 02-02-2015
/ Canal-u.fr
LEFRANC Nathalie
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Apprentis en difficulté et adaptation de l'évaluation / Nathalie Lefranc, in "Éducation inclusive, la question de l'évaluation : des représentations aux pratiques évaluatives", colloque international organisé par le Laboratoire Éducation, Formation, Travail, Savoirs (EFTS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès et l'École Nationale de Formation Agronomique (ENFA) de Toulouse-Auzeville. Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 2-3 février 2015.Atelier 6 : Adaptations au geste évaluatif, 2 février 2015.Depuis plusieurs années au sein du Centre de Formation d'Apprentis, a été mis en place un Centre de Ressources qui avant d'être un espace, se définit comme une démarche autour de la personnalisation des parcours des apprentis, avec pour mission l'élaboration de parcours et l'accompagnement d'apprentis, particulièrement au niveau V et prioritairement d'apprentis en difficulté d'apprentissage avec reconnaissance ou non des troubles DYS, isolés ou associés. Adapter des ressources est devenu rapidement une nécessité pour favoriser l'accessibilité aux supports écrits. Malheureusement, il s'est avéré que c'était nécessaire mais non suffisant au regard des résultats obtenus lors des évaluations pour plusieurs apprentis. En réponse à ces situations d'évaluation qui ne reflètent pas toujours les capacités et les connaissances de certains apprentis, il a été tenté d'adapter les conditions d'évaluations formatives en référence aux demandes d'aménagement aux examens réalisées pour les candidats en situation de handicap. Cette communication décrit les adaptations mises en place de façon empirique. Elles ne s'inscrivent pas dans le cadre d'une expérimentation mais peuvent peut-être devenir une piste de réflexion dans les pratiques pour la formation de jeunes en difficultés. C'est auprès d'apprentis préparant le Certificat d'Aptitude Professionnelle dans le domaine du paysage, qu'ont été expérimentées des adaptations, notamment : en mathématiques, aux vues de certains profils de jeunes et des premiers résultats, la démarche a été de faire travailler les apprentis dans un contexte sécurisé pour lever les blocages souvent inhérents à la non-réussite, se réconcilier parfois avec les mathématiques. Dans un premier temps,ont été mises en évidence les capacités et les compétences du référentiel à acquérir dans des situations très simples de sorte que chacun pouvait réussir une première étape en amorçant parallèlement la démarche d'autoévaluation. Pour certains, l'évaluation a été souvent réalisée à l'oral, éventuellement à travers une manipulation sur l'aire de TP par exemple tels l'estimation de distance, calcul de périmètre. Une grille d'évaluation était adaptée. La Reconnaissance des végétaux est un apprentissage passionnant mais difficile. L'évaluation en classe est souvent réalisée à l'écrit devant un vidéo-projecteur. Avec deux formatrices, nous avons organisé l’évaluation en passation individuelle, en questionnant sur des végétaux, fraîchement cueillis ou mieux sur pied, interpellant ainsi les différents sens. Les résultats sont souvent encourageants et invitent à renouveler de telles pratiques. Elles sont en cohérence avec les conditions d'examen et d'exploitation des compétences dans leur vie professionnelle. Les résultats ont souvent été positifs pour les deux modules. Cependant certaines questions ont été soulevées : valeur de la note en comparaison au groupe classe? Ces adaptations vont-elles permettre au final d'atteindre les objectifs académiques en terme de contenus et conditions de passation ? Pour les formateurs, l'évaluation reste une question complexe. La question d'équité prend ainsi toute sa valeur. Il est certain qu'évaluer savoirs et/ou savoirs-faire requiert une profonde réflexion sur le sens, les objectifs visés et les moyens mis en œuvre pour chaque apprenant. L'issue de cette démarche expérimentale encourage à réfléchir sur les modalités d'évaluation au sein de la classe et à plus long terme, probablement, pour un plus grand nombre d'apprenants. Mot(s) clés libre(s) : évaluation des compétences, apprentissage professionnel, enfants handicapés (éducation)
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Le programme Ethik et compétences / Anne-Sarah Kertudo
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 02-02-2015
/ Canal-u.fr
KERTUDO Anne-Sarah
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Le programme Ethik et compétences / Anne-Sarah Kertudo, in "Éducation inclusive, la question de l'évaluation : des représentations aux pratiques évaluatives", colloque international organisé par le Laboratoire Éducation, Formation, Travail, Savoirs (EFTS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès et l'École Nationale de Formation Agronomique (ENFA) de Toulouse-Auzeville. Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 2-3 février 2015.Atelier 3 : Évaluations et compétences, 2 février 2015.L'entreprise Ethik Connection (qui fait partie du groupe Ethik
Investment, notamment connu pour le développement des restaurants et spas « Dans le noir ?"), mène depuis 4 ans une expérience tout à fait innovante en matière de formation des personnes handicapées. Elle a pour objectif d'intégrer les personnes concernées au sein d'écoles reconnues en rendant accessible la formation délivrée par rapport aux besoins de chacun. La réussite de cette opération est étroitement liée aux techniques d'évaluation et de suivi originales appliquées aux participants. Les candidats, depuis leur sélection et jusqu'à
l'obtention de leur diplôme, sont suivis par des "Experts Handicap", professionnel(le)s concerné(e)s par le même handicap. Anne-Sarah Kertudo est l'une de ces expertes. Ethik Management, département en charge de ce projet, est la clé de voûte entre une entreprise cherchant à pourvoir des postes, une école dispensant une formation en adéquation avec le
besoin en recrutement et les futurs alternants, en situation de handicap, rejoignant les deux structures précédentes. La mission de notre équipe consiste dès lors à : - définir avec l'entreprise les postes à pourvoir, - réaliser une pré-selection des personnes handicapées intéressées,- préparer ces candidats à l'entretien avec l'employeur,- rendre accessible au candidat la formation dans l'école partenaire, - donner au candidat les moyens de réussir: remise à niveau, soutien, écoute,- former/sensibiliser les parties prenantes du programme à l’intégration du handicap,- assurer un suivi psychopédagogique dans l'emploi et dans la formation jusqu’à l’obtention du diplôme. Cette expérience a déjà été réalisée dans plusieurs secteurs : management, assurance, informatique, parfumerie... Elle est rendue possible par une approche et un suivi personnalisés comprenant l'implication des experts, professionnels et concernés par le handicap, à chaque étape du projet.
Le projet fixe en objectif une montée en compétences des étudiants. Sa philosophie se veut inclusive : le programme pédagogique est le même pour tous les étudiants, handicapés ou valides ; les cours sont suivis ensemble. La préformation organisée en amont de la rentrée scolaire permet de donner toutes les chances aux étudiants intégrant le programme. Elle comprend une remise à niveau sur des modules techniques (anglais, français, mathématiques...), sur les bases du savoir-être en entreprise (codes vestimentaires, communication non-verbale...) et sur la gestion de son handicap (présentation et gestion de son handicap, maîtrise des outils de compensation....). Ethik Management se charge de
rendre le contenu de la formation accessible à chacun selon son
handicap. Au cours du suivi, si le besoin s’en fait sentir, pourront
être mis en place des modules de coaching ou de soutien pour permettre à
l’étudiant de dépasser ses difficultés et ainsi obtenir son diplôme. Mot(s) clés libre(s) : évaluation des compétences, handicapés (formation), évaluation en éducation, handicapés (travail)
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IPM 2007. L'évaluation en ligne des compétences cliniques dans les milieux de stage
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 30-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
CHARBONNEAU Anne
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Anne Charbonneau, de la Faculté de Médecine Dentaire de Montréal (Canada), parle de l'expérience menée à l'université de Montréal : une évaluation en ligne de l'enseignement clinique en médecine dentaire. Il est difficile d'évaluer un stage et de suivre les étudiants. Cet enseignement clinique se fait en premier cycle dentaire . Les enseignants voulaient évaluer l'ensemble des compétences. La création de cet outil se fit par consensus. Un référentiel fut créé aussi.
SCD médecine Nancy 1 Mot(s) clés libre(s) : dentaire, enseignement clinique, évaluation des compétences, IPM 2007, Montréal, stage
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L'évaluation des compétences professionnelles liées aux attestations pour les élèves qui bénéficient de l'appui des ULIS en lycée professionnel / Nathalie Bepmale
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 02-02-2015
/ Canal-u.fr
BEPMALE Nathalie
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L'évaluation des compétences professionnelles liées aux attestations pour les élèves qui bénéficient de l'appui des ULIS en lycée professionnel / Nathalie Bepmale,in "Éducation inclusive, la question de l'évaluation : des représentations aux pratiques évaluatives", colloque international organisé par le Laboratoire Éducation, Formation, Travail, Savoirs (EFTS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès et l'École Nationale de Formation Agronomique (ENFA) de Toulouse-Auzeville. Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 2-3 février 2015.Atelier 3 : Évaluations et compétences, 2 février 2015.Nathalie Bepmale relate les questions qui se sont posées à partir de 2005 à la suite de la création des Unités pédagogiques d'intégration (UPI), puis en 2010 avec la mise en place des Unités localisées pour l'inclusion scolaire (ULIS), à propos de l'évaluation des compétences professionnelles des adolescents souffrant d'un handicap et arrivant dans les lycées professionnels avec un profil scolaire inhabituel jusqu'alors pour les enseignants de l'Académie de Toulouse. Elle expose notamment la nécessaire adaptation des référentiels d'examen existants, l'individualisation des outils et des supports pédagogiques habituels, l'ajustement des modes d'accompagnement au parcours de formation des élèves. Nathalie Bepmale signale aussi les interrogations -encore en cours- sur le lien entre les savoirs-faire professionnels et les connaissances générales, sur les préoccupations d'adéquation entre l'attestation de compétences délivrées par l'Inspection académique (en cas de non validation du CAP) et les exigences sur le marché de l'emploi. Mot(s) clés libre(s) : évaluation des compétences, intégration scolaire, apprentissage professionnel, enfants handicapés (éducation), Unité localisée pour l'inclusion scolaire (ULIS)
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