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Chercher une vie dans l'univers !
/ 12-01-2013
/ Canal-u.fr
VISO Michel
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L'existence d'une vie extraterrestre demeure une hypothèse. Cette interrogation s’est exprimée de façon diverse, a traversé les siècles depuis Giordano Bruno jusqu'aux scientifiques de notre 21ème siècle. Cependant l'exploration des corps du Système Solaire par des sondes, les observations précises et spectrographiques des télescopes terrestres et spatiaux ont transformé cette quête en une véritable activité de recherche scientifique.
L'observation des surfaces planétaires, la compréhension de leur mode de formation et de leur évolution conduisent à concentrer la recherche d'une vie extraterrestre (passée, latente ou active), dans le Système Solaire, sur la planète Mars. Vénus aurait peut-être pu connaitre des conditions favorables au début de son existence mais ses caractéristiques actuelles excluent les chances d'en trouver des traces et la possibilité même de les chercher. D'autres corps du Système Solaire comme quelques satellites glacés des planètes géantes pourraient posséder quelques caractéristiques de la Terre du premier milliard d'année. Dans leur atmosphère, à leur surface ou dans les océans qui gisent sous des banquises planétaires, il sera peut être possible d'identifier les conditions qui ont présidé à l'établissement des réactions chimiques qui ont conduit à la vie que nous connaissons sur Terre (chimie prébiotique). Les missions spatiales qui semblent indispensables pour répondre aux interrogations des chercheurs reposent sur la mise au point d’instruments miniaturisés aux performances uniques. Ces missions (Mars science laboratory, Exomars, Cassini Huygens, Juice) font rêver autant les scientifiques que les amateurs curieux. La prochaine étape cruciale sera probablement le retour d’échantillons martiens dans les années 2020 à 2030.
En 1995 la découverte de la première planète extrasolaire à montrer que notre Système Solaire n’était pas unique dans la galaxie. De nouvelles méthodes de recherche des planètes extrasolaires sont nées, des missions spatiales ont été organisées (COROT, KEPLER...); des télescopes au sol sont construits pour dénombrer les planètes extrasolaires de notre voisinage (environ 1000 années lumière), les caractériser et éventuellement y détecter des traces indirectes d’une activité métabolique. Les prochaines années vont multiplier les efforts d’imagination, les prouesses techniques, les découvertes scientifiques dans l’espoir de montrer que nous (êtres vivants) ne sommes pas seuls dans la voie lactée même si nous y sommes probablement uniques. Mot(s) clés libre(s) : astronomie, exobiologie, vie extraterrestre
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La vie dans des conditions extrêmes
/ UTLS LA SUITE, UTLS - la suite
/ 14-07-2002
/ Canal-U - OAI Archive
LOPEZ-GARCIA Purificacion
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Au cours des 30 dernières années, nous avons assisté à la découverte d'une extraordinaire diversité de microorganismes habitant des milieux que l'on croyait auparavant hostiles à la vie. Aujourd'hui, on sait que la vie microbienne s'étend sur Terre partout où l'on trouve l'eau à l'état liquide, des calottes polaires jusqu'aux sources hydrothermales sous-marines, dans les déserts, dans des lacs hypersalins ou de soude, dans des eaux acides, à l'intérieur de la croûte terrestre... On a baptisé comme « extrêmophiles » ces organismes limites du vivant, qui se développent optimalement dans des environnements où les conditions physico-chimiques sont insoutenables pour le reste des êtres vivants. Ces conditions mettent à l'épreuve les propriétés de stabilité et de fonctionnalité des macromolécules biologiques. Comment font-ils pour survivre ? Des études de biologie moléculaire montrent que ces microbes sont prodigieusement bien adaptés aux conditions extrêmes et que leurs molécules ne sauraient fonctionner dans des milieux plus doux. De là, l'intérêt biotechnologique que les extrêmophiles ont suscité. Mais surtout, la découverte des extrêmophiles et des nouvelles limites de la vie sur Terre a permis d'aborder la question de la vie extraterrestre de façon rigoureuse. Certains microorganismes de notre planète seraient parfaitement capables de vivre dans les conditions environnementales qui existent dans quelques régions d'autres planètes et satellites, ou d'y avoir existé dans le passé. L'étude des microorganismes des environnements extrêmes a ainsi ouvert des nouvelles perspectives pour aborder la question des origines de la vie et pour l'exploration de la vie dans l'univers. Mot(s) clés libre(s) : adaptation, bactérie, environnement extrême, évolution, exobiologie, extrêmophile, micro-organisme, microbiologie, océanographie, origines de la vie, vie sur terre
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La vie : origine et distribution possible dans l'univers
/ Mission 2000 en France
/ 02-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
BRACK André
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Il y a environ 4 milliards d'années, se développèrent dans l'eau terrestre des structures capables de se reproduire et d'évoluer. L'omniprésence de la cellule dans tous les systèmes vivants suggère un ancêtre commun de type cellulaire. Dans la mesure où la formation des ARN/ADN porteurs de la mémoire cellulaire apparaît comme peu probable dans l'eau de la Terre primitive, on peut penser que la vie primitive émergea de structures plus simples que la cellule et l'ARN. La simplicité de ces structures suggère qu'elles ont de réelles chances d'apparaître et de se développer chaque fois que sont réunies les conditions qui ont contribué à l'apparition de la vie terrestre : eau liquide, atmosphère, micrométéorites et/ou sources hydrothermales sous-marines. Ces conditions existaient vraisemblablement sur Mars il y a 4 milliards d'années et existent peut-être encore aujourd'hui sous la calotte glaciaire d'Europe, l'une des lunes de Jupiter. Les 83 molécules organiques détectées dans le milieu interstellaire par radioastronomie et la découverte d'une vingtaine de planètes extrasolaires permettent d'envisager la présence de vie au-delà du système solaire. Mot(s) clés libre(s) : archéologie moléculaire, chimie du carbone, exobiologie, Mars, molécule biologique, origines de la vie, système solaire, Univers, vie extraterrestre, vie primitive
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La vie : origine et distribution possible dans l'univers
/ Mission 2000 en France
/ 02-01-2000
/ Canal-u.fr
BRACK André
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Il y a environ 4 milliards d'années, se développèrent dans l'eau terrestre des structures capables de se reproduire et d'évoluer. L'omniprésence de la cellule dans tous les systèmes vivants suggère un ancêtre commun de type cellulaire. Dans la mesure où la formation des ARN/ADN porteurs de la mémoire cellulaire apparaît comme peu probable dans l'eau de la Terre primitive, on peut penser que la vie primitive émergea de structures plus simples que la cellule et l'ARN. La simplicité de ces structures suggère qu'elles ont de réelles chances d'apparaître et de se développer chaque fois que sont réunies les conditions qui ont contribué à l'apparition de la vie terrestre : eau liquide, atmosphère, micrométéorites et/ou sources hydrothermales sous-marines. Ces conditions existaient vraisemblablement sur Mars il y a 4 milliards d'années et existent peut-être encore aujourd'hui sous la calotte glaciaire d'Europe, l'une des lunes de Jupiter. Les 83 molécules organiques détectées dans le milieu interstellaire par radioastronomie et la découverte d'une vingtaine de planètes extrasolaires permettent d'envisager la présence de vie au-delà du système solaire. Mot(s) clés libre(s) : origines de la vie, vie extraterrestre, molécule biologique, exobiologie, chimie du carbone, archéologie moléculaire, univers, système solaire, Mars, vie primitive
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