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Réussir son apprentissage en FOAD : poids de l’intuition / Jean Frayssinhes
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 26-05-2015
/ Canal-u.fr
FRAYSSINHES Jean
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Réussir son apprentissage en FOAD : poids de l’intuition / Jean Frayssinhes, conférence organisée par le service Formation Continue (secteur Education-Formation) de l'Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 21 Mai 2015.
Dans un contexte professionnel en perpétuelle
mutation, les salariés ont la nécessité de se former régulièrement, et ce quel
que soit leur niveau de formation initial. A l’ère du numérique, de nombreuses
possibilités de formation en ligne coexistent : E-learning ;
FOAD ; MOOC ; SPOC ; COOC etc. Réussir à suivre une formation
en ligne n’est pas chose aisée. La difficulté d’apprentissage tient au fait que
l’on ne lit pas un texte sur un écran d’ordinateur comme nous le ferions sur un
support papier, ce qui explique le pourcentage d’abandon ou d’échec enregistré.
Si nous maitrisons la lecture de l’écriture manuscrite ou typographique dans
ses aspects les plus traditionnels (en classe présentielle), nous devons encore
apprendre à domestiquer le cyber-apprentissage dans ses aspects distanciels.
L’intuition fait-elle partie des compétences et habiletés intrinsèques de ceux
qui ont réussi à suivre avec succès une formation ouverte et à distance ? Mot(s) clés libre(s) : e-learning, formation des adultes, intuition et apprentissage, aptitude à l'apprentissage, apprentissage cognitif, intelligences multiples, mathétique
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Les modes d'apprentissage : anciens et nouveaux médias de l'enseignement
/ Mission 2000 en France
/ 28-08-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CASPAR Pierre
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De tout temps les modes et les conditions d'accès au savoir ont constitué un enjeu majeur pour le développement des personnes et des groupes sociaux. Ainsi, les " lieux de savoir " (temples, monastères, universités, musées
) ont-ils joué des fonctions centrales pour la création, la conservation, la protection, et la transmission des savoirs. Ces fonctions se trouvent profondément bouleversées aujourd'hui par l'entrée dans ce que l'on appelle désormais une " société de la connaissance ". Le développement des réseaux dont, bien sûr, Internet, l'apparition de formes de mondialisation, de mutualisation mais aussi de commercialisation des savoirs, la dématérialisation des économies et le développement quasi-exponentiel des investissements immatériels rendent les processus d'actualisation ou de renouvellement des compétences plus indispensables que jamais. Ils obligent aussi à les intégrer dans des architectures éducatives, plus proches de l'acte de travail et de la vie quotidienne, mais beaucoup plus complexes que dans les années 1980. L'Union Européenne a dans cet esprit mis en exergue le concept de " formation tout au long de la vie ". C'est dans ce cadre que se dessinent aujourd'hui les nouveaux territoires de la formation des adultes, dont l'évolution dépasse de loin la simple appropriation des médias offerts par les technologies de traitement de l'information et de télécommunication. Les "métiers du savoir" et les activités de celles et ceux qui s'y engagent, ou qui y font appel, s'en trouvent considérablement bouleversés en retour. Mot(s) clés libre(s) : apprentissage, formation adultes, nouvelles technologies de l'information et de la communication, savoir
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