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Le malaise des binationaux franco-algériens
/ Abdul Bassir HAMID
/ Canal-u.fr
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Nous souhaitons à travers cette interview concise démontrer que le malaise apparent des binationaux franco-algériens est d'origines multidimensionnelles et variées caractérisé par le lourd contentieux et le passé douleureux entre l'Algérie et la France. A ce propos s'ajoutent bien évidemment les questions largement discutées que sont les problèmes sociaux et culturels.Dans cette interview, nous avons mis en avant quelques réponses de Leila (une binationale franco-algérienne) que nous estimons être révélatrices, commentées par la suite par une chercheuse spécialiste du métissage et de la colonisation, Madame Dominique Rolland. Mot(s) clés libre(s) : immigration, métissage, interculturel, binational, Franco-algériens
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076-L'Algérie en France : histoire, mémoire et transmission
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
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par Seloua Luste Boulbina (Collège international de philosophie)Migrations, cultures et représentations : la pérennité des liensQuels savoirs transmettre ? session thématique (prés. Benoït Falaise)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne Les débats, polémiques et autres discussions actuelles montrent moins l’importance des mémoires - et de ce que l’on nomme « groupes de mémoire » sur le modèle des « groupes de parole » - que la force de la transmission. Celle-ci repose largement sur un impensé commun, notamment politique quand celle-là se fonde sur l’illusion du souvenir : l’illusion que, du passé, on se souvient. Autrement dit, la mémoire serait davantage affaire de discours - en parler ou pas ? - que de langage - comment en parler ? Les représentations, qu’elles soient visuelles, qu’elles soient langagières, qu’elles soient savantes, se transmettent à l’insu de ceux qui les transmettent. Il suffit, pour cela, de « répéter ». C’est l’impensé des représentations qui accueille les « mémoires ». On l’oublie trop souvent. Le républicanisme a sa part de naïveté, c’est-à-dire d’ignorance, y compris quand il se place du côté du colonisé ou, plus généralement, de ce que l’école indienne appelle depuis vingt ans le subalterne. Il a sa part de responsabilité quand, du subalterne, il ne veut, c’est-à-dire il ne peut, rien entendre.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Colloque pour une histoire critique et citoyenne, L'Algérie en France, le cas de l'histoire franco-algérienne
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