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What’s Special About Genes? Causal Specificity, Information, and Genetic
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 27-04-2016
/ Canal-u.fr
WEBER Marcel
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Philosophers of biology have recently been debating to what extent such
nucleic acids that are said to carry genetic information (i.e., DNA or
mRNA) really play a special role in development. A recent attempt to
defend such a special role consists in arguing that nucleic acid is what
makes an actual difference (as opposed to potential differences) to the
amino acid sequence of proteins. However, this is not sufficient as
there are often other actual-difference makers involved in protein
synthesis, for example, splicing or post-translational modification
mechanisms. For this reasons, it has been suggested that what
distinguishes nucleic acid is their causal specificity. Causal
specificity has to do with the amount of control that interventions on
the cause variable can exert on the effect variable. However, a
quantitative measure of causal specificity can be used to show that in
many cases the specificity of non-genetic causes is a full match to the
genetic causes.
In this talk, Marcel Weber argue that what matters
biologically is the causal specificity that inheres in possible
interventions that are biologically normal, where biological normality
is defined both in terms of what can happen in a population of organisms
at a non-negligible probability and what is consistent with normal
biological functioning of the rest of the organism. This kind of causal
specificity is higher for genetic causes than for the (known)
non-genetic causes. Mot(s) clés libre(s) : genes, philosophy, Philosophie
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Végétaux : diversité, hybridation
/ UTLS - la suite
/ 15-07-2002
/ Canal-U - OAI Archive
MUGNIER Jacques
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En 1998, le Groupe sur la Phylogénie des Angiospermes (APG) publie une étude phylogénétique des plantes à fleurs en comparant des séquences de l'ADN chloroplastique. Ces taxonomistes moléculaires ne retiennent que les groupes strictement monophylétiques (c'est-à-dire descendant tous d'un ancêtre commun). Autant que possible, ils ont tenu à conserver les noms des ordres et des familles bien connus. Des études portant sur des gènes avec des fonctions différentes, la petite sous-unité de l'ARN ribosomique, le 18S, et les espaceurs internes transcrits, les ITS, ont abouti aux mêmes conclusions. Plus important encore, la classification moléculaire est basée sur des séquences consultables sur Internet (GenBank), accessibles à tous les chercheurs. L'ancêtre vivant des plantes à fleurs (the abominable mystery' de Darwin) est un arbuste de Nouvelle-Calédonie, Amborella. Les Welwitchia et Gnetum sont proches des Conifères et pas des Angiospermes. Les Monocots ont dérivé de plantes de type Magnolia. Les Dicots vraies comprennent les plantes dont les grains de pollen comportent trois pores. Les Dicots regroupent deux vastes ensembles naturels, les rosidées et des astéridées, et à leur base on trouve les Saxifragales et les Ranunculales. Quelquefois, les phénomènes de convergence et de simplification par retour vers un caractère primitif confèrent, à des espèces apparentées, une multiplicité d'apparences, totalement déroutante. Les études moléculaires ne sont pas une fin en soi, mais la première étape pour comprendre les processus de diversification des espèces végétales. Des phénomènes d'hybridation - on parle aussi d'introgression - peuvent survenir et avoir des implications évolutives très significatives. Les études de ces dix dernières années ont montré que l'hybridation et l'introgression, plus répandues dans le monde végétal que ce que l'on imaginait, peuvent conduire à la diversification rapide des espèces. La connaissance des relations phylogénétiques entre les espèces permettra de surveiller les risques de dissémination des transgènes. Mot(s) clés libre(s) : botanique, classification phylogénétique, coévolution, diversité végétale, évolution, gène, hybridation, phylogénie, plante à fleur, taxonomie moléculaire, transgène
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Transgenèse, mutagenèse et génomique fonctionnelle chez les mammifères
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 29-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
METZER Daniel
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Conférence du 29 janvier 2000 par Daniel Metzer. La connaissance des génomes de l'homme et de la souris sera acquise dans moins de cinq ans. Leur comparaison révélera l'existence de dizaines de milliers de gènes, jusqu'alors inconnus, dont la fonction devra être établie. Cela nécessitera des études non seulement au niveau moléculaire et cellulaire, mais aussi à des niveaux de complexité supérieurs représentés par les tissus et organes, et finalement l'animal et l'homme dans leur globalité. La souris est un excellent modèle pour définir les fonctions des gènes humains car elle présente de grandes similitudes génétiques, immunologiques, reproductives, physiologiques et pathologiques avec l'homme. De plus, on dispose actuellement d'outils performants pour manipuler le génome de cet animal. Il est en effet possible, grâce à la transgenèse, d'insérer un gène normal ou modifié dans son génome, et de l'exprimer sélectivement à un endroit donné. On peut également modifier ou altérer un gène défini par recombinaison homologue, et induire des mutations somatiques de ce gène dans des cellules ou tissus choisis, et à un moment défini de la vie de l'animal. L'ensemble de ces techniques, récemment mises au point, permettra d'approfondir les études de la fonction des gènes chez la souris, et d'établir plus facilement des "modèles souris" de maladies humaines. De plus, les techniques de mutagenèse utilisées chez la souris auront des applications en thérapie génique. En effet, il est envisageable de remplacer des gènes mutés, ou de diriger l'expression de transgènes, dans des cellules somatiques déficientes prélevées sur des malades, et de les réinjecter, après la modification génétique, à ces patients. Ainsi, la transgenèse, la mutagenèse et la génomique fonctionnelle devraient avoir de nombreuses retombées positives en santé humaine. Mot(s) clés libre(s) : ADN, gène, génie génétique, génome, génotype, mutagénèse, mutation, phénotype, recombinaison homologue, traduction, transcription, transgénèse, vecteur
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Sciences et Technologies des Poudres
/ Ecole des Mines d'Albi-Carmaux, UNIT
/ 04-06-2007
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Gatumel Cendrine, Berthiaux Henri, Calvet Rachel, Chamayou Alain, Dodds J.A., Espitalier Fabienne, Rodier Elisabeth, De Ryck Alain, Guigon Pierre, Saleh Khashayar, Delebarre Arnaud, Maurice Jean-Jacques
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La première partie du cours est consacrée à la caractérisation des solides divisés, tant au niveau des particules qu'au niveau collectif. Elle aborde les aspects suivants : analyse granulométrique, adsorption, caractéristiques et caractérisation des lits de particules et des poudres, propriétés mécaniques, l'échantillonnage de solides divisés.
La seconde partie décrit les principales opérations unitaires mettant en oeuvre des solides divisés, des procédés d'obtention jusqu'au stockage, en passant par différents procédés de mise en forme. Elle se décompose en deux sous-parties : fluidisation des solides par un gaz et manutention et Stockage Mot(s) clés libre(s) : loi d'empilement, mélange, fluidisation, granulation, propriété mécanique des poudres, cristallisation, granulométrie, échantillonnage, broyage, adsorption, hygiène et sécurité, poudre, stockage, transport pneumatique, solide divisé, particule, génie des procédés
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Risques et intérêts des aliments issus d'OGM
/ UTLS au lycée, UTLS - la suite
/ 22-03-2007
/ Canal-U - OAI Archive
PASCAL Gérard
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Une conférence de L'UTLS au Lycéeavec Pascal GérardLycée Simone de Beauvoir Garges les Gonnesses Mot(s) clés libre(s) : biotechnologie, génie génétique, nutrition humaine, OGM, organisme génétiquement modifié, plante transgénique, risque alimentaire, sécurité alimentaire, transgénèse
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Quels textiles pour nos vêtements de demain ?
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 06-10-2000
/ Canal-U - OAI Archive
SOTTON Michel
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Au-delà de l'innovation esthétique qui est au coeur des métiers du Textile et de la Mode et qui relève du domaine des arts plastiques, l'Industrie Textile a toujours su tirer partie des progrès technologiques réalisés par des secteurs connexes (mécanique, chimie) pour accroître sa compétitivité et proposer des produits innovants et différenciateurs. Nous examinerons comment cette co-évolution scientifique et technologique peut se poursuivre au cours du siècle, au contact de nouveaux partenaires (cosmétique, santé, télécommunication, informatique) avec l'émergence de nouveaux savoirs et de nouvelles technologies (nanotechnologie, biotechnologie, N T I C). Une vague naissante de produits textiles innovants se profile, porteuse de poly-fonctionnalités, d'intelligence et qui devrait satisfaire les attentes d'un consommateur toujours plus informé, averti, conscient de sa différence et qui entretient de nouveaux rapports à son corps. Le consommateur exige de plus en plus de qualité dans cette intimité qu'il découvre et cultive entre son corps et ces fibres textiles qui constituent son premier environnement vestimentaire et sensoriel. L'enjeu majeur, dans cette ère, consistera à rencontrer le consommateur autour de réels textiles-services, au coeur desquels, il se retrouvera avec une information ayant du sens pour lui. Enjeu stratégique pour une filière de production qui doit se ponter avec les nouvelles filières de consommation, par une ingénierie plus anthropocentrée, prenant en compte dès les premiers stades de conception des produits, les facteurs humains. Mot(s) clés libre(s) : biotechnologies, échange thermique, étoffe, fibre chimique, génie des matériaux, greffage, laser, microencapsulation, textile antibactérien, textile biosensoriel, textile intelligent, vêtement
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Quatre questions sur la thermodynamique posées à Bernard Diu
/ Samia SERRI
/ 01-01-2001
/ Canal-U - OAI Archive
DIU Bernard
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Bernard Diu, professeur de physique à l'université Paris 7 - Denis Diderot, chercheur au Laboratoire de Physique Théorique et Hautes Energies enseigne régulièrement la thermodynamique à Paris 7. Il répond à quatre questions sur cette discipline:quelle est sa place au sein de la physique, comment l'enseigne-t-on, quels débats entre physiciens a-t-elle sucitée au XIXe siècle et quelles perspectives offre t-elle actuellement. Bernard Diu nous propose enfin quelques ouvrages qui peuvent figurer dans la bibliothèque du thermodynamicien.GénériqueBernard Diu est professeur de physique à Paris 7 - Denis Diderot Image : Jean-Paul Flourat Son : François Chantereau Réalisation et montage : Samia Serri Remerciements à la Bibliothèque Inter Universitaire Scientifique de Jussieu (c) Université Paris 7 - Denis Diderot Mot(s) clés libre(s) : chaleur, énergie, entropie, génie thermique, mécanique statistique, physique, principe, température, thermodynamique
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Quand les solides imitent les liquides
/ Paris Tech ESPCI
/ 13-04-2015
/ Canal-u.fr
ESPCI Paris Tech
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Avec Serge Mora Laboratoire de mécanique et de génie civil, Université de Montpellier et CNRS
La matière peut se déformer de façons bien différentes. Le liquide s’écoule et n’a pas de forme particulière alors que le solide élastique peut se tordre et s’étirer mais retrouvera, après, sa forme initiale (sauf si on le casse !).Des expériences montreront, au cours de cette conférence, que les déformations d’un liquide et d’un solide élastique se ressemblent bien souvent : une corde qu’on laisse filer sur le sol fait un mouvement de va-et-vient, un peu comme le filet de miel qu’on laisse couler sur une tartine.D’où viennent ces ressemblances ? Pourquoi la Nature a-t-elle choisi des déformations si proches pour des matériaux a priori si différents ?* Nouveau *Suivez les conférences en live, sur notre site !Et aussi : en direct sur le site d’Universcience et de Futura-Sciences
Plus d'infos sur www.espgg.org Mot(s) clés libre(s) : viscosité, génie des matériaux
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Qu'est ce que l'ingénierie industrielle ?
/ UTLS - la suite
/ 09-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
POUILLOT Julien
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Le monde de l'ingénieur n'a pas toujours été industriel. Jadis disposition naturelle, talent au service de l'art et de sa création, l'ingénierie se manifeste dans de grands édifices monumentaux, puis dans l'architecture et l'art militaire. Elle est déjà la synthèse de la quasi-totalité des savoirs contemporains au service de projets de grande ampleur. Elle connaît donc un essor tout particulier lors de la révolution industrielle au 19ème siècle, en particulier aux Etats-Unis avec les débuts de l'industrie pétrolière. Pour la première fois peut-on parler explicitement d'ingénierie industrielle. D'une part le métier d'ingénieur accède à un certain statut, d'autre part, l'émergence de compagnies pétrolières multinationales très axées vers les résultats et la productivité favorise le développement d'une maîtrise de la conception et de la construction d'installation industrielles de plus en plus performantes et répondant à des cahiers des charges de plus en plus précis. La notion d'ingénierie industrielle recouvre aujourd'hui des disciplines très diverses, associées à des outils de conception et de gestion très performants. On parle vraiment de « chaîne de l'ingénierie » et de gestion pluridisciplinaire. Elle trouve son application commerciale directe au travers du métier de gestion de projet et de toutes les techniques « managériales » associées D'un point de vue scientifique, un très large panel des paramètres de la physique et de la chimie sont embrassés ; d'un point de vue géographique et culturel, toutes les régions du monde sont concernées ; d'un point de vue temporel, même si très adulte, l'ingénierie industrielle est toujours en perpétuelle évolution. Mot(s) clés libre(s) : chaine de l'ingénierie, formation scientifique, génie industriel, gestion de projet, management, métier de l'ingénieur, problème technologique, production
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Projet IBIS
/ Science en Cours
/ 01-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
Science en Cours
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Biopuces Sol-Gel de haute sensibilitéGénériqueP. Pegon Thalès - Angénieux USTL TV SEMM Mot(s) clés libre(s) : biopuce, capteur, gène, sensibilité
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