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Les séries TV et le soap opera
/ UTLS - la suite
/ 12-07-2004
/ Canal-U - OAI Archive
WINCKLER Martin
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En France, la télévision est considérée comme un support « impur », inapte à véhiculer des productions artistiques conçues spécifiquement pour elle. Il n'en va pas de même partout. Aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, où spectacle populaire et production artistique vont toujours de pair (et ont toujours été indépendants du pouvoir), les productions télévisées sont infiniment plus audacieuses et plus inventives qu'en France. Le mépris habituellement réservé aux « séries » et aux « soaps » par les intellectuels français repose sur une seule chose : leur ignorance profonde de ce genre, certes populaire, mais aussi créatif que la bande dessinée, les « mauvais » genres littéraires que sont le roman policier et la science-fiction et le théâtre expérimental. Infiniment plus proches de la réalité que ne l'est le cinéma, les téléfictions établissent avec leur public une relation particulière - liée aux conditions de diffusion et de réception - et portent sur le monde un regard incisif, critique et extrêmement anti-conformiste. Cette conférence visera d'une part à définir ce que sont les séries télévisées et les « soap operas », à en brosser un panorama thématique et analytique avec quelques extraits de séries récentes en guise d'illustration visuelle, et de montrer qu'il s'agit aussi de fictions accomplies. Il sera en particulier question de séries telles que « Friends », « Les Soprano », « Urgences », « Oz » « New York District », « Homicide », « Buffy contre les vampires » ou « A la Maison Blanche ». Mot(s) clés libre(s) : art d'écrire, censure, états-unis, feuilletons télévisés, france, genres télévisés, intellectuels français (influence), séries télévisées, soap opéras (télévision), télévision, télévision (aspect social)
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Cerveau, sexe, et préjugés
/ Eric (CICA Vidéo Aubervilliers) Garreau
/ 15-12-2014
/ Canal-u.fr
Vidal Catherine
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Avec l'avancée des connaissances en neurosciences, on serait tenté de croire que les idées reçues sur les différences cérébrales entre les femmes et les hommes ont été balayées. Or médias et magazines continuent de nous abreuver de vieux clichés qui prétendent que les femmes sont "naturellement" bavardes et incapables de lire une carte routière, alors que les hommes seraient nés bons en maths et compétitifs. Ces discours laissent croire que nos aptitudes et nos personnalités sont câblées dans des structures mentales immuables. Or les progrès des recherches montrent le contraire : le cerveau, grâce à ses formidables propriétés de plasticité, fabrique sans cesse des nouveaux circuits de neurones en fonction de l'apprentissage et de l'expérience vécue. Rien n'est jamais figé dans le cerveau quels que soient le sexe et les âges de la vie. L'objectif de cette conférence est de donner à comprendre le rôle de la biologie mais aussi l'influence de l'environnement social et culturel dans la construction de nos identités de femmes et d'hommes.Toutes les Conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : neurobiologie, étude du genre
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Le roman - Jean Bessière
/ UTLS au lycée
/ 07-01-2010
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée
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Une conférence de l'UTLS au LycéeLe roman par Jean Bessière (Professeur de littérature comparée à la Sorbonne Nouvelle)Lycée FJ Talma (91 Brunoy) Mot(s) clés libre(s) : genre littéraire, littérature, livre
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Filles et garçons, l’égalité. Pour qui ? Pour quoi ?
/ 29-09-2014
/ Canal-u.fr
Sebillotte Violaine, Blidon Marianne
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En janvier 2014, l'affaire de la « Journée Du Retrait de l'École » crée l'émoi dans l'opinion. Promouvoir l'égalité entre filles et garçons, tel est le but du gouvernement lorsqu'il diffuse « l'ABCD de l'Égalité », sans mesurer que l'objectif ne fait pas consensus et réveille bien des malentendus : garçons et filles peuvent-ils être égaux ? La différence de sexe constitue-t-elle un obstacle naturel à l’égalité ? Serait-il plus juste de parler de complémentarité ? Pour permettre à chacun-e de s’emparer de ces questions parfois existentielles tout en les dépassionnant, la conférence commencera par une « foire aux mots » où chacun donnera sa propre définition de « l'égalité fille-garçon », du « genre », de la « théorie du genre », de « l’identité de sexe », de « l’orientation sexuelle » etc. Les deux spécialistes invitées fourniront des éléments de réponse qui permettront à chacun d’en savoir plus sur les études de genre et les ressources fournies par ce courant de la recherche et d’acquérir des outils d’analyse pour se faire sa propre idée de l’égalité fille-garçon. Toutes les Conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : histoire du genre, égalité des sexes, theorie du genre
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Pour l'histoire des femmes et du Genre / Florence Rochefort
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 05-04-2012
/ Canal-u.fr
ROCHEFORT Florence
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Pour l'histoire du des femmes et du Genre / Florence Rochefort. In journée d'études "Le genre en images. Approches historiques et lectures critiques des sources iconographiques" organisée par les laboratoires FRAMESPA et PLH-ERASME, Université Toulouse II-Le Mirail, 5 avril 2012.Dans cette communication Florence Rochefort présente le fonds photographique de la bibliothèque Marguerite Durand, constitué à la fin du XIXe siècle pour la mémoire des femmes et du féminisme, départ d'une réflexion sur la photographie considérée, depuis environ une vingtaine d'années, comme une source pour l'étude de l’histoire des femmes et du genre. Elle présente des photographies exposées ayant fait l’objet d’un catalogue [Photo, femmes, féminisme : 1860-2010, 2010] selon trois corpus :- portraits de Communardes photographiées en prison par Eugène Appert, des femmes dont l'image légendée indique le métier, parmi lesquelles Louise Michel.- portraits de femmes artistes : la Castiglione (par Pierson), l'écrivaine Colette, l'actrice Sarah Bernard, George Sand (par Nadar), la danseuse Cléo de Mérode, de femmes en habillées en homme comme Jane Dieulafoy, la peintre Rosa Bonheur ou l'écrivaine Marc de Montifaud (d'autres images ici), Sylvia Beach et Adrienne Monnier (photographiées par Gisèle Freund), etc. - portraits de militantes féministes : la fondatrice de la franc-maçonnerie mixte Maria Deraismes, Hubertine Hauclert (une des premières féministes), la première française psychiatre Madeleine Pelletier (voir un autre image ici), Nelly Roussel (avec sa fille).«L’étude de ces photographies permet d’aborder la construction de la féminité, avec ses codes, en terme de visualité : il faut analyser le visible, comprendre comment celui-ci est construit, reçu et perçu.» (Extrait de Compte-rendu de la journée d'étude par Agathe Roby, Les Cahiers de Framespa, 10, 2012). Mot(s) clés libre(s) : mouvement féministe, image de la femme (dans l'art), photographie et histoire, étude sur le genre (dans l'art)
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"Corps, Travail et Genre"
1ère partie
/ Thomas GUIFFARD
/ 16-12-2015
/ Canal-u.fr
RIVOAL Haude, JACQUELIN Anne, MORENO PESTANA José Luis
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Qu’il soit biologique ou social, physique ou politique, réel ou fantasmé, le mot de « corps » est polysémique. Il renvoie à de nombreux domaines de recherches comme la science, l’histoire, la sociologie ou encore la philosophie.
Corps sublimés, corps blessés, corps niés ou corps remaniés, nous ne pouvons réfuter l’importance des pratiques corporelles dans l’analyse du travail. Le corps utilisé comme « outil » n’échappe pas à une construction symbolique ou culturelle conduisant et dirigeant l’action. Les discours biologisants ont relayé une certaine idée des corps masculins et féminin qui n’est pas sans lien avec la construction des rapports sociaux de sexe, allant à l’encontre d’une illusion de libération des contraintes à l’oeuvre. Aujourd’hui encore, on questionne la libération du corps des femmes à travers le voile ou l’IVG alors que le corps des hommes n’en est pas moins soumis à un idéal de masculinité virile.
Mais au-delà de leur matérialité, les corps féminins et masculins ont une histoire : ils sont liés à des enjeux politiques, économiques et sociaux qui nous obligent à penser la dimension du genre dans l’analyse du corps au travail et du travail du corps. Celui-ci n’échappe pas à des formes d’intériorisation des normes sociales liées, entre autres, au genre.
Quel est le traitement réservé au corps par le travail ? Comment celui-ci s’adapte-t-il aux contraintes sociales ou aux contraintes de genre qui lui sont associées ?
Lors de cette journée d’étude, les intervenants sont invités à enrichir le débat en croisant à la fois la question des corps, du genre et du travail.
Si beaucoup de travaux ont pu se pencher sur le corps féminin au travail (la manière dont il est façonné, utilisé, abîmé), il est également intéressant de s’interroger sur le corps masculin au prisme des injonctions à la virilité : conduite de dépense, importance de la force, etc. seront autant de pistes de réflexions développées. Les interventions seront étendues aux croisements classe, race et genre.
Accueil par Anne Jacquelin & Haude Rivoal, doctorantes en sociologie (CRESPPA-GTM)
Introduction par Jose Luis Moreno Pestaña, professeur de philosphie (Université de Cadiz)
La valorisation du corps sur le marché de travail -morphologie, allure...- a été théorisée comme une
forme de capital, en l’occurence comme un capital érotique. Ces exigences de transformation du corps
selon les formes de beauté “légitimes” dominantes, sont plus présentes dans les métiers féminisés.
Dans notre approche, nous établissons des liens entre ces exigences de valorisation du corps et les troubles
alimentaires : ceux-ci permettent d’analyser certains traits structurels du capital érotique au travail. Mot(s) clés libre(s) : rapports sociaux de sexe (genre), corps et travail
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Ouverture du colloque : Présentation de la problématique
/ Christian Bailly, École Normale Supérieure de Lyon, IFÉ - Institut Français de l'Éducation, Martine Watrelot
/ 26-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
QUET François
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Conférence introductive, par Corinne Bonafoux et François QUET. Mot(s) clés libre(s) : Carlo Ginzburg, enseignement et épistémologie, genre, genre littéraire, histoire, littérature, réalité historique, récit historique, sources documentaires
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CNIPsy 2010 Marseille - De la psychiatrie à la sexologie. Débat.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 28-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
PRINGUEY Dominique, DYE Sandrine
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CNIPsy 2010 Marseille : 7ème Congrès National des Internes en Psychiatrie (CNIPsy). Thème : «Mauvais genre»Session : Sexualité et psychiatrie : un mélange des genres.Titre : CNIPsy 2010 Marseille - De la psychiatrie à la sexologie : un parcours atypique.Résumé : Le sexe est un sujet dont tout le monde parle. Comment aborder ce sujet en tant que psychiatre face à un patient est un problème autrement plus complexe. Pour un prescripteur, le sujet pourra être abordé en recherchant des effets indésirables des traitements psychotropes.La sexologie est pourtant un champ très vaste qui ne fait pas toujours partie des programmes de formation des internes. On a donc invité des professionnels qui se sont pencher sur ce sujet qui peut paraitre si délicat à aborder pour les internes et pourtant si essentiel dans la vie.L'idée de cette demi-journée est de proposer des pistes de réflexion et une ouverture sur ce domaine.Modérateur : Pr Dominique PRINGUEY, Sandrine DYESCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : CNIPsy 2010 Marseille, dysphorie de genre, éthique, psychiatrie, psychotropes, sexologie
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Dramaturgies au féminin : écritures politiques contemporaines du corps et du sexe / Muriel Plana
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 26-03-2015
/ Canal-u.fr
PLANA Muriel
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Dramaturgies au féminin : écritures politiques contemporaines du corps et du sexe / Muriel Plana, in Journées d'études "Opera contro. L’œuvre de rupture sur la scène italienne contemporaine, de 1960 à nos jours", organisées, sous la responsabilité scientifique de Margherita Orsino et Antonella Capra, par Il Laboratorio et l'Institut de Recherche Pluridisciplinaire en Arts Lettres Langues (IRPALL) de l'Université Toulouse Jean Jaurès, 26-27 mars 2015.
Ces Journées d'étude se penchent sur un phénomène, voire un concept, qui a été intitulé « Opera contro » en écho au fameux film de Francesco Rosi, Les hommes contre (1970), film culte pour toute une génération engagée. Par là "l’œuvre de rupture" est entendue à la fois comme œuvre d’avant-garde (qui rompt avec l’esthétique préexistante) mais aussi comme œuvre qui a vocation à dénoncer, bannir, renverser, s’opposer à un statu quo, un aspect de la culture ou de la société voire tout un système sociopolitique. La question de la relation entre la littérature, et plus généralement "les arts", et l’engagement se pose en effet pour tout le XXe siècle (à commencer par la période des avant-gardes dites "historiques" dans le contexte de la Première Guerre mondiale par exemple) et passe ensuite par les polémiques et conflits internes à la néo-avant-garde lors des événements de mai 68. C’est aussi un sujet transversal, dont les problématiques sont complexes et nombreuses et touchent notamment la question de l'expérimentalisme et, en amont, du langage. C'est enfin une question toujours actuelle si l’on considère l’œuvre non comme un produit "fini" et détaché de toute autre entité, mais comme une « œuvre ouverte » en interaction avec le lecteur/public et plus généralement les lieux, cultures, arts, histoire : en bref ce qu’on pourrait résumer par « réalités individuelles et collectives ». Dans cet esprit, une attention particulière est réservée à l’édition et à la réception de ces œuvres à la fois "en opposition à" et "en marge de" la culture dominante. Mot(s) clés libre(s) : étude sur le genre (dans l'art), théâtre italien (20e-21e siècles), littérature italienne (21e siècle), Lina Prosa (1951-....), corps humain (dans l'art)
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L'histoire saisie par le genre et la différence des sexes
/ Mission 2000 en France
/ 22-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
PERROT Michelle
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"Longtemps, l'histoire a ignoré la différence des sexes ; pas seulement les femmes en général, mais les hommes dans leur virilité, les êtres humains dans leur dimension privée, sexuée et sexuelle. Depuis vingt-cinq ans, d'abord aux États-Unis, puis ailleurs et notamment en France, où dès 1949, Simone de Beauvoir avait posé la question du Deuxième Sexe, les choses ont changé. L'histoire des femmes a ouvert la voie, et d'elle surtout on évoquera les principaux développements. Mais aujourd'hui, le"premier sexe" s'interroge sur lui-même. Les gays et lesbiennes revendiquent leur droit à l'histoire. Les uns et les autres remettent en cause un récit dont ils sont absents, une conception de l'histoire où l'universel ne recouvre en fait que le masculin, voire une certaine définition du masculin. Pourquoi et comment ces changements ? Quelle signification ont-ils ? Et quels effets ?" Mot(s) clés libre(s) : droit à l'histoire, femmes dans l'histoire, histoire du genre, historiographie, homosexuels dans l'histoire
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