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Contexte politico-économique, social et architectural de la construction de l'UTM / Danièle Voldman
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
VOLDMAN Danièle
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Contexte politico-économique, social et architectural de la construction de l'UTM. Danièle VOLDMAN. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010.Pendant les Trente glorieuses (1945-1975), la France va connaître une période d'épanouissement social et économique, une période d'expansion démographique accompagnée d'un développement urbain sans précédent. Sur le plan de la construction, les façons de bâtir, les conditions de commandes publiques, les formes architecturales ont beaucoup évolué. C'est pendant cette période que le Mouvement moderne va s'épanouir.En 1945, la France connaît une grave crise structurelle du logement depuis plus de 50 ans dû en partie au "moratoire des loyers" décrété pendant la guerre de 14, aux destructions de la guerre et à la reprise démographique (baby boom). Certains quartiers urbains sont insalubres, les logements populaires manquent [cf Rouen en 1951]. A partir de 1945 et jusqu'en 1970, les gouvernements français successifs et le Ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme (MRU) vont mettre en place une gigantesque politique de construction, grâce notamment à une nouvelle législation (notamment la loi du 31 décembre 1958 constituant les ZUP et transférant aux préfets l'autorité pour l'acquisition des terrains), à de nouvelles procédures pour soutenir les bailleurs sociaux et les entrepreneurs pour une plus grande production de logements et l'industrialisation des techniques du secteur du bâtiment.Malgré ces efforts et la construction rapide de cités d'urgence et de grands ensembles [Cité Rotterdam à Strasbourg], la crise du logement s'aggravera à tel point que des milliers de personnes expulsées meurent dans la rue (cf. l'alerte de l'abbé Pierre en 1954) avant de commencer à obtenir des résultats dans les années 1960, Avec la loi d'éradication des bidonvilles (1964), le dernier bidonville à Nice disparaîtra en 1976. Suivant les préconisations de la Charte d'Athènes et du Mouvement moderne, "l'urbanisme aux champs", dans les proches périphéries des villes, prend son ampleur pour voir à la fin des années 70, une France couverte de quartiers neufs et de villes nouvelles : les 200 logements à Aix-en-Provence et La Tourette à Marseille de Fernand Pouillon, Le Serpentin -les Courtillières- d'Emile Alliaud à Pantin, la cité FFF à Athis-Mons, Cela se fera peut-être au détriment de la question sociale et de l'aménagement du territoire et ce, malgré la création de la DATAR en 1963 et les objectifs des huit "métropoles d'équilibre" qui, recevant les financements pour ce faire, devaient constituer de vrais quartiers de ville -pas seulement des ensembles d'habitations- avec des emplois et des équipements. C'est de cette façon que Toulouse a été désignée comme métropole d'équilibre devant recevoir une université, l'université du Mirail.[Avertissement : le conférencier n'ayant pas encore autorisé le droit de diffuser les photographies afférentes à son intervention, nous avons le regret de ne pouvoir les faire apparaître à l'image. Toutefois, certains liens inclus dans le résumé, mènent à des articles ou à des images des projets architecturaux cités.] Mot(s) clés libre(s) : grands ensembles, logement social, Mouvement moderne (architecture), politique du logement (France), programmes de construction (France), urbanisation (1945-1975), zones à urbaniser en priorité
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Les grands ensembles "au pied du mur" : l'exemple de la Seine-Saint-Denis / Benoît Pouvreau
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
POUVREAU Benoît
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Démolition ? Protection ? Les grands ensembles "au pied du mur" : l'exemple de la Seine-Saint-Denis. Benoît POUVREAU. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010. Mot(s) clés libre(s) : architecture (reconstruction), architecture moderne, grands ensembles (Seine-Saint-Denis), politique de rénovation urbaine, protection du patrimoine
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