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La guerre selon Clausewitz (par Martin Motte)
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 02-02-2015
/ Canal-u.fr
MOTTE Martin
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La guerre selon Clausewitz"Peu de penseurs de la guerre ont été aussi admirés et aussi attaqués que Clausewitz. Référence indépassable pour les uns, il est pour les autres le lointain responsable des guerres totales du XXe siècle, pour d'autres encore un auteur typique du système westphalien, donc anachronique à l'heure des nouvelles conflictualités. René Girard y a vu pour sa part le prophète angoissé d'une poussée de violence apocalyptique dont les horreurs du XXe siècle n'ont été qu'une pâle préfiguration, et dont l'hyperterrorisme précise aujourd'hui les contours. Seule certitude : Clausewitz continue à nourrir le débat stratégique. Comment ? Pourquoi ?"Martin Motte Mot(s) clés libre(s) : technologies de défense, théorie stratégique, montée aux extrêmes, guerre dans l'absolu, guerre absolue, guerre totale, guerres idéologiques, Métastratégie, Guerre de Sept Ans, guérillas, bataille de Rossbach
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Le 10 février 1763 — Le traité de Paris : la France peut être heureuse sans Québec
/ Yves Deling, Michel Tousignant
/ 23-02-2012
/ Canal-u.fr
Vaugeois Denis
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Ce matin du 10 février, le duc de Choiseul observe le duc de Bedford
signer le fameux traité par lequel la France cède, à la Grande-Bretagne,
le Canada et diverses autres possessions à travers le monde. Il s’y
prépare depuis trois ans. Cette guerre qui a duré sept ans a coûté trop
cher à la France. Il a bien hâte de croiser Voltaire qui lui écrivait
quelques mois plus tôt : « Je suis comme le public, j’aime mieux la paix
que le Canada et je crois que la France peut être heureuse sans
Québec ». Choiseul a convaincu le Roi de préférer le sucre et le poisson
à la fourrure. Il n’a qu’un regret : celui de ne pas avoir en face de
lui William Pitt le grand vainqueur de cette guerre. Il le sait bien
embarrassé. Tous deux se posent en effet la même question : que feront
les Treize colonies sans une menace française à leurs frontières ? En
quittant la salle, il glisse à ses conseillers : « Nous les tenons ! »Et tant pis pour cent cinquante ans d’héroïsme, tant pis pour un
prolongement de la France en Amérique, tant pis pour ses alliés indiens.
Qu’ils aillent aux Anglais ! Quant au marquis de Montcalm ? Que Dieu
ait son âme !Texte de la conférence :http://www.fondationlionelgroulx.org/Le-10-fevrier-1763-Le-traite-de.html Mot(s) clés libre(s) : Québec, Canada, Nouvelle-France, Nouvelle-Angleterre, Nouvelle-Espagne, Traité de Paris de 1763, Guerre de Sept Ans
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