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Mémoire de résistance : FTP-MOI / Rolande Trempé
/ Raphaël REQUENA, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, AMICALE DU BATAILLON CARMAGNOLE-LIBERTÉ, INSTITUT NATIONAL DE L'AUDIOVISUEL (INA)
/ 01-01-1992
/ Canal-U - OAI Archive
TREMPÉ Rolande
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Nous savons depuis peu de temps seulement qu'une partie des travailleurs immigrés, des réfugiés politiques et raciaux ont participé dans la France entière à la résistance.Ce film n'a pas la prétention de retracer leur histoire mais, à travers le cas des combattants FTP-MOI (Francs Tireurs et Partisans de la Main d'Oeuvre Immigrée) de Lyon, de répondre aux questions suivantes : Qui étaient-ils ? Pourquoi et comment ont-ils combattu ? Leur engagement, le rôle des femmes dans la résistance et quels souvenirs aujourd'hui...Liste des intervenants : Claude Urman, André Katz, Hélène Witzman (dite "Nelly"), Philippe Daudy, Léon Landini, Gilles Najman, Balthazar Sanchez, Salomon Mossovic, Jacques Szmulewicz, Etienne Raczymon, Jean Ottavi, Henri Krischer, Charles Bluwol, Nathan Chapochnik, André Fontanel, André Schmer, Jacques Victorovitch, Max Tzwangue, Dina Krischer, Roland Kamienny.Scène particulière : Discours de commémoration par Léon Landini.Inclusion graphique : le système organisationnel et politique des FTP-MOI.Utilisation d'images d'archives :- Visite du maréchal Pétain à l'hôpital de Lyon après un bombardement.- Exposition "le Juif et la France" au Palais Berlitz Mot(s) clés libre(s) : francs-tireurs et partisans français. main-d'oeuvre immigrée, Guerre mondiale (1939-1945), Lyon (Rhône), mouvements de résistance
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Camps de femmes / Rolande Trempé
/ Claude AUBACH, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 01-11-1994
/ Canal-U - OAI Archive
TREMPÉ Rolande
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Le 21 janvier 1939 fut créé, à Rieucros (près de Mende, en Lozère), le premier camp de concentration français, dénomination officielle retenue par le Préfet du Tarn, le 31 décembre 1941. D'abord peuplé par des étrangers suspects, il sera réservé, après la déclaration de guerre, aux femmes étrangères et françaises. Ce camp se déplacera à Brens (près de Gaillac, dans le Tarn) en février 1942, puis à Gurs (Pau) en juin 1944.Grâce aux témoignages des dernières rescapées, dispersées à travers l'Europe, grâce aussi au regard porté par l'écrivain Michel Del Castillo, interné avec sa mère à Rieucros, ce film retrace la vie quotidienne et les luttes de ces femmes à l'intérieur du camp, internées politiques ou de droit commun, militantes communistes ou résistantes opposées au régime de Vichy, françaises, allemandes, polonaises ou espagnoles antifascistes, juives, prostituées raflées à Toulouse, femmes accusées de marché noir, etc.Sur l'internement de ces femmes, l'historienne Rolande Trempé apporte une mise en perspective politique et historique, entrecoupée des témoignages de Fernande Valignat Cognet, Dora Schaul Davidson, Reina Melis Wessels, Michel Del Castillo, Angelita Bettini Del Rio, Camille Planque Alvarez, Raymonde David Fitoussi, Colette Sanson Lucas, Janina Socha, Steffi Spira, Ursula Katzenschein.Film produit avec le soutien du Ministère des anciens combattants et victimes de guerre.Utilisation d'archives photographiques issues du fonds documentaire de l'Association pour Perpétuer le Souvenir des Internées des Camps de Brens et Rieucros (A.P.S.I.C.B.R.) ou bien d'archives personnelles]. Mot(s) clés libre(s) : Brens (Tarn), camps de concentration (France ; sud), détenues de camp d'internement, guerre mondiale (1939-1945), militantes politiques, résistantes, Rieucros (Lozère)
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Camps de femmes / Rolande Trempé
/ Claude AUBACH, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 01-11-1994
/ Canal-u.fr
TREMPÉ Rolande
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Le 21 janvier 1939 fut créé, à Rieucros (près de Mende, en Lozère), le premier camp de concentration français, dénomination officielle retenue par le Préfet du Tarn, le 31 décembre 1941. D'abord peuplé par des étrangers suspects, il sera réservé, après la déclaration de guerre, aux femmes étrangères et françaises. Ce camp se déplacera à Brens (près de Gaillac, dans le Tarn) en février 1942, puis à Gurs (Pau) en juin 1944.
Grâce aux témoignages des dernières rescapées, dispersées à travers l'Europe, grâce aussi au regard porté par l'écrivain Michel Del Castillo, interné avec sa mère à Rieucros, ce film retrace la vie quotidienne et les luttes de ces femmes à l'intérieur du camp, internées politiques ou de droit commun, militantes communistes ou résistantes opposées au régime de Vichy, françaises, allemandes, polonaises ou espagnoles antifascistes, juives, prostituées raflées à Toulouse, femmes accusées de marché noir, etc.
Sur l'internement de ces femmes, l'historienne Rolande Trempé apporte une mise en perspective politique et historique, entrecoupée des témoignages de Fernande Valignat Cognet, Dora Schaul Davidson, Reina Melis Wessels, Michel Del Castillo, Angelita Bettini Del Rio, Camille Planque Alvarez, Raymonde David Fitoussi, Colette Sanson Lucas, Janina Socha, Steffi Spira, Ursula Katzenschein.
* Film produit avec le soutien du Ministère des anciens combattants et victimes de guerre.Utilisation d'archives photographiques issues du fonds documentaire de l'Association pour Perpétuer le Souvenir des Internées des Camps de Brens et Rieucros (A.P.S.I.C.B.R.) ou bien d'archives personnelles]. Mot(s) clés libre(s) : guerre mondiale (1939-1945), Brens (Tarn), camps de concentration (France ; sud), détenues de camp d'internement, militantes politiques, résistantes, Rieucros (Lozère)
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Albert Messiah à l'École polytechnique
/ Alexandre MOATTI
/ 14-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
MESSIAH Albert
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Intervention d'Albert Messiah devant les promotions de l'Ecole polytechnique le mercredi 14 janvier 2009 (organisé par l'association X-Résistance www.xresistance.org ) Albert Messiah (polytechnicien de la promotion 1940) parle de son départ de Saint-Jean de Luz vers Londres en juin 1940, de sa participation à l'opération de Dakar avec De Gaulle, de son action dans la 2° DB jusqu'à Berchtesgaden en Allemagne en mai 1945, de sa vision du régime de Vichy. Après la guerre, Albert Messiah a été physicien de haut niveau, introduisant un des premiers enseignements de physique quantique dans l'Université française. Dans la suite de la vidéo, Rose de Beaufort, fille d'Honoré d'Estiennes d'Orves (polytechnicien, Compagnon de la Libération, m.p.F en 1941, premier officier fusillé) et Vianney Bollier, fils d'André Bollier (polytechnicien, Compagnon de la Libération, m.p.F en 1944, imprimeur de la presse clandestine, assassiné par la milice) témoignent en tant qu'enfants de résistants. Mot(s) clés libre(s) : albert messiah (1921-....), école polytechnique (paris), guerre mondiale (1939-1945), honoré d'estienne d'orves (1901-1941), mouvements de résistance (france), résistants
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010 - Les militaires nord-africains dans l'armée française pendant la seconde guerre mondiale
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
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par Belkacem Recham (Université de Strasbourg 2)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne La participation de soldats venus de l’empire colonial français à la Seconde Guerre mondiale est aujourd’hui un véritable enjeu de mémoire. Divers mouvements et associations initiés par les petits-enfants des anciens tirailleurs demandent à la France plus de reconnaissance.Troupes destinées initialement aux conquêtes coloniales et à leur protection, la France les utilisa, non sans hésitation, pour la défense de la métropole, d’abord lors de la guerre franco-allemande de 1870 puis lors de la Grande Guerre et enfin lors de la Seconde Guerre mondiale. Pour cette dernière, présentée aux populations du Maghreb comme le combat de la justice contre la barbarie, la France mobilisa plus 350 000 Nord-Africains en 1939-1940 dont plus de deux tiers de musulmans qui se retrouvèrent en partie prisonniers dans les Fronstalags de France.La défaite de la France eut pour conséquence la démobilisation et la remise à la vie civile de la majorité des militaires nord-africains dans un contexte social très difficile. Ceux de confession juive furent chassés de l’armée et déchus de la nationalité française après l’abrogation du décret Crémieux qui la leur avait accordée en 1870. Après le débarquement allié en Afrique du Nord en novembre 1942, les trois colonies du Maghreb furent de nouveau mises fortement à contribution pour reconstituer l’armée française et participer aux combats pour la libération de la métropole. Les Européens fortement mobilisés fournirent la majorité des cadres et les musulmans la majorité des fantassins des 500 000 hommes et femmes que comptait cette armée régulière reconstituée.Écrasés et méprisés par le régime colonial, les musulmans se retrouvèrent dans cette armée, à l’occasion de cette guerre, choyés et entourés de toutes les sollicitations. Encadrés en permanence par des Français une véritable fraternité d’arme s’établit entre soldats de toute confession. Cependant, l’encadrement paternaliste, poussé parfois au ridicule, masquait mal les discriminations dont les musulmans souffraient au sein de l’armée, et la méfiance du commandement à l’égard des cadres d’entre eux est à l’origine d’un malaise grandissant parmi les officiers et sous officiers musulmans.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie, armée française, forces armées coloniales, france, guerre mondiale (1939-1945), histoire, militaires nord-africains, participation coloniale
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