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“Perfectionism from Civil War to Civil Rights: For an Interdisciplinary Reframing of Contemporary African American History (1870s-1970s)”
/ Jean-François THOMELIN, Fondation Singer-Polignac
/ Canal-u.fr
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Nicolas Martin-Breteau, EHESS, CENA/Mondes Américains Mot(s) clés libre(s) : droits de l'homme, esclavage, guerre civile américaine, Afro-américains
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Conférence de Bertrand Badie "Pour une nouvelle approche de la conflictualité internationale"
/ Quentin ROQUES
/ Canal-u.fr
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Dans le cadre du cycle de conférence de la fondation Institut
d'Etudes Avancées de Nantes, Bertrand Badie, (Professeur Sciences Politique à Sciences Po, Paris) a donné une conférence intitulée : "Pour une nouvelle approche de la conflictualité internationale" Mot(s) clés libre(s) : actions politiques, guerre, conférence, IEA NANTES, Conflictualité, Bertrand Badie
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Le travail des praticiens de la mémoire publique - 2ème Partie: Usages publics de la mémoire
/ Michel KIMMEL
/ 08-10-2015
/ Canal-u.fr
ZIVIE David, BOUDHAR Yasmina, HEIMBERG Charles, ROUSSEAU Frédéric, DE COCK Laurence
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2ème Partie: Usages publics de la mémoire
La table ronde intitulée « Le travail des praticiens de la mémoire publique : l’impact des contraintes matérielles et de la prise en compte du public-cible » s’est tenue le 8 octobre 2015 dans le cadre du colloque interdisciplinaire La Fabrique des mémoires publiques (Université Paul-Valéry, Montpellier, 7-9 octobre 2015). Par « mémoire publique », il faut entendre un mode de rappel d’objets du passé (personnages, événements, œuvres, etc.) où le souvenir est exposé à autrui hors du cadre interindividuel ou familial. Ce partage du souvenir fonde des communautés dans lesquelles chacun est censé s’inscrire. Il y a donc, dans une société, une pluralité de mémoires publiques, dont les rapports avec la mémoire officielle sont complexes.
C’est plus précisément l’impact des impulsions institutionnelles sur la construction de mémoires publiques qui est examiné dans la table-ronde. La réflexion proposée s'appuie sur un dialogue entre diverses disciplines de SHS, mais aussi entre enseignants-chercheurs et professionnels de différents métiers.
La table ronde réunit acteurs et observateurs des acteurs de la mémoire publique : Yasmina Boudhar, muséographe, David Zivie, ancien directeur général adjoint de la mission du centenaire de la Première Guerre Mondiale, les historiens Christian Amalvi (ancien archiviste et conservateur), Laurence de Cock (membre du Comité de Vigilance face aux usages publics de l’histoire), Charles Heimberg (concepteur d’un plan d’études en Histoire pour l’enseignement secondaire en Suisse) et Frédéric Rousseau (expert scientifique pour plusieurs musées ; auteur de travaux sur la muséologie).
La table ronde s’est efforcée de conserver une approche très concrète des pratiques, en s’appuyant sur diverses études de cas (notamment, mais pas seulement : commémoration de la guerre de 14-18, Mons Memorial Museum, enseignement de la Guerre d’Algérie, production d’ouvrages scientifiques sur la mémoire).
Modératrice : Isabelle David (MCF, Université Paul-Valéry Montpellier 3) Mot(s) clés libre(s) : guerre d'algérie, musées, Première Guerre Mondiale, historien, Mons Memorial Museum, commémoration, histoire, mémoire collective, mémoire officielle
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Machiavel, les armes propres et la question de la guerre -partie 2
/ ENS-LSH/SCAM, ENS- LSH/UOH
/ 10-09-2008
/ Canal-U - OAI Archive
ZANCARINI Jean-Claude
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Il s'agit, en plus de l'initiation à la pensée de Machiavel, de mettre en évidence une approche des textes dans une conjoncture (ce que Machiavel nomme la qualità dei tempi, la qualité des temps. Il s'agit donc d'initier les auditeurs à une lecture des textes liée aux enjeux historiques qui déterminent et donnent sens à leur écriture : philologie et historicisation sont donc au cœur de cette démarche. Une telle approche peut selon nous fournir des éléments de connaissance sur Machiavel et son époque et permettre une initiation à la méthodologie de l'approche critique des textes nécessaires aux étudiants qui terminent leur licence en études italiennes, en philosophie ou en science politique. Les fondements théoriques de cette approche s'appuient sur les travaux de « traduction critique » de Fournel et Zancarini et du groupe des italianistes de l'UMR Triangle, CNRS, ENS LSH, IEP de Lyon, université Lumière Lyon 2 (Savonarole, Francesco Guicciardini, Machiavel), sur l'ouvrage de Fournel et Zancarini.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation: Pascal Grzywacz, Cadre: Sébastien Boudin, Mathias Chassagneux, Son: Xavier Comméat, Réalisation multimédia : Patrick Sarselli, Pascal Duchanaud, Diffusion Web: Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : guerre, Machiavel
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Machiavel, les armes propres et la question de la guerre - partie 1
/ ENS-LSH/SCAM, ENS- LSH/UOH
/ 09-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
ZANCARINI Jean-Claude
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Il s’agit, en plus de l’initiation à la pensée de Machiavel, de mettre en évidence une approche des textes dans une conjoncture (ce que Machiavel nomme la qualità dei tempi, la qualité des temps. Il s’agira donc d’initier les auditeurs à une lecture des textes liée aux enjeux historiques qui déterminent et donnent sens à leur écriture : philologie et historicisation seront donc au cœur de cette démarche. Une telle approche peut selon nous fournir des éléments de connaissance sur Machiavel et son époque et permettre une initiation à la méthodologie de l’approche critique des textes nécessaires aux étudiants qui terminent leur licence en études italiennes, en philosophie ou en science politique.Les fondements théoriques de cette approche s’appuient sur les travaux de « traduction critique » de Fournel et Zancarini et du groupe des italianistes de l’UMR Triangle, CNRS, ENS LSH, IEP de Lyon, université Lumière Lyon 2 (Savonarole, Francesco Guicciardini, Machiavel), sur l’ouvrage de Fournel et Zancarini, La politique de l’expérience, Alessandria, edizioni dell’Orso et sur celui de Michel Senellart, Les arts de gouverner, Paris, Le Seuil. Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation: Pascal Grzywacz, cadre: Sébastien Boudin, Mathias Chassagneux, Son: Xavier Comméat, Réalisation multimédia : Patrick Sarselli, Pascal Duchanaud, Diffusion Web: Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : armes propres, la question de la guerre, machiavel
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Le discours de la guerre
/ ENS-LSH/SCAM
/ 12-11-2001
/ Canal-U - OAI Archive
ZANCARINI Jean-Claude
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Les discours du politique : Ecole thématique Violence, consensus, sécuritéJean-Claude Zancarini présente ici sa méthode d'approche des textes de Machiavel et s'interroge sur le sens de l'histoire : "Si l'histoire n'a pas de sens, elle n'en est pas moins intelligible". S'appuyant sur Michel Foucault et Fernand Braudel, il propose une vision de l'histoire qui se comprend en termes de rapports de force, de dominants et de dominés. Il s'intéresse ensuite au discours de la guerre dans l'oeuvre de Machiavel, et notamment à la présence des armes et du vocabulaire guerrier dans le Prince. Il revient sur l'histoire de la république florentine, de ses guerres et de ses conquêtes, et sur les stratégies militaires dans l'oeuvre de Machiavel. Il s'interroge enfin sur le rôle de l'église catholique dans les guerres intérieures. La conférence est suivie d'une discussion.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Captation vidéo : Sebastien Boudin, Julien Lopez, Mathias Chassagneux, Son: Samuel Bazin, Montage-Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : guerre, Le prince, Machiavel, philosophie
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Mobilité des populations en situation de guerre et structures de santé au Congo / Martin Yaba Mambou
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 16-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
YABA MAMBOU Martin
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« Mobilité des populations en situation de guerre et conséquences des conflits armés sur les infrastructures de santé, les recours thérapeutiques et la santé des populations : cas du Congo Brazzaville », Martin YABA (Union Pour l’étude et la Recherche sur la Population et le Développement (UERPOD, Congo Brazzaville). Colloque international "Santé et mobilités au Nord et au Sud : circulations des acteurs, évolutions des pratiques". Toulouse : 'Université de Toulouse II-Le Mirail, Institut d'Etudes Politiques (IEP), AMADES : 16-18 septembre 2009. [Intervention suivie d'un échange avec l'auditoire].Session A : Ajustements des systèmes, des politiques de santé et des pratiques de soins aux migrants malades et/ou vulnérables. Atelier A1 : Dynamiques des systèmes de santé face aux mobilités.La plupart des pays qui sortent des conflits armés sont confrontés à des nombreux défis, parmi lesquels, l’assistance humanitaire, la sécurisation, la consolidation de la paix, la reconstruction, la prise en charge médicale (en termes d'offre et de demande), la relance duprocessus du développement socio-économique, l’assistance aux groupes vulnérables et la prise en charge des populations victimes de guerre. Au Congo Brazzaville, alors que les guerres de 1993 et 1997 n’ont touché principalement que les quartiers de Brazzaville, celle de 1998-1999 s’est étendue dans les quatre régions sud-ouest du pays : Pool, Bouenza, Niari et Lékoumou. De plus, le Congo a été particulièrement meurtri par un conflit socio-politique à plusieurs rebondissements, d’abord en 1993, ensuite en 1997 et enfin en 1998/1999. Ce conflit socio-politique a non seulement généré des combats militaires, mais également conduit à la destruction du tissu socio-économiquenational. Ont été affectés, aussi bien les rapports communautaires et sociaux, que les services de bases (éducation et santé) avec pour conséquence la détérioration des conditions sociales et l’émergence des pathologies au sein des populations déjà meurtries par les effets de la crise socioéconomique que traversait le pays depuis la deuxième moitié des années 80.La présente communication s’appuie sur les résultats de l’étude sur le bilan social au Congo réalisée dans les quatre régions du 29 mars au 30 avril 2001. Cette étude porte sur l’Etude du bilan social au Congo réalisée par l’UERPOD à la demande du gouvernement, appuyée financièrement par la Banque Mondiale et l’Agence Française de Développement. L’objectif assigné à cette communication vise à « fournir une base d’informations sur la mobilité des populations en situation de conflits armés, d’évaluer les conséquences sociales des conflits armés sur la santé des populations. Cette communication doit permettre de : (i) décrire les infrastructures sanitaires ; (ii) les recours thérapeutiques utilisés par ces dernières ; (iii) les types de pathologies ; (ix) les causes de morbidité des populations victimes de conflits socio politiques, les attentes de ces dernières et les stratégies adaptées au contexte de conflits ».Combinant des techniques de la recherche documentaire (registres médicaux, fiches de soins), d’entretien semi-directif avec l’aide d’un questionnaire et de l’observation directe, l’étude s’est focalisée sur les structures de santé, les responsables ou gestionnaires desdites structures, les populations victimes de conflits armés, les femmes, les hommes adultes, des chefs de ménage et des chefs de quartier ou de village. Au total, vingt (20) localités reparties dans les quatre régions ont été couvertes. Le choix de ces localités a été fait de façon raisonnée en tenant compte des critères d’accessibilité géographique et de sécurité. Mot(s) clés libre(s) : anthropologie de la santé, Congo (République), guerre (aspect médical), personnel médical, politique sanitaire, services de santé
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Mobilité des populations en situation de guerre et structures de santé au Congo / Martin Yaba Mambou
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 16-09-2009
/ Canal-u.fr
YABA MAMBOU Martin
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« Mobilité des populations en situation de guerre et conséquences des conflits armés sur les infrastructures de santé, les recours thérapeutiques et la santé des populations : cas du Congo Brazzaville », Martin YABA (Union Pour l’étude et la Recherche sur la Population et le Développement (UERPOD, Congo Brazzaville). Colloque international "Santé et mobilités au Nord et au Sud : circulations des acteurs, évolutions des pratiques". Toulouse : 'Université de Toulouse II-Le Mirail, Institut d'Etudes Politiques (IEP), AMADES : 16-18 septembre 2009. [Intervention suivie d'un échange avec l'auditoire].Session A : Ajustements des systèmes, des politiques de santé et des pratiques de soins aux migrants malades et/ou vulnérables. Atelier A1 : Dynamiques des systèmes de santé face aux mobilités.La plupart des pays qui sortent des conflits armés sont confrontés à des nombreux défis, parmi lesquels, l’assistance humanitaire, la sécurisation, la consolidation de la paix, la reconstruction, la prise en charge médicale (en termes d'offre et de demande), la relance duprocessus du développement socio-économique, l’assistance aux groupes vulnérables et la prise en charge des populations victimes de guerre. Au Congo Brazzaville, alors que les guerres de 1993 et 1997 n’ont touché principalement que les quartiers de Brazzaville, celle de 1998-1999 s’est étendue dans les quatre régions sud-ouest du pays : Pool, Bouenza, Niari et Lékoumou. De plus, le Congo a été particulièrement meurtri par un conflit socio-politique à plusieurs rebondissements, d’abord en 1993, ensuite en 1997 et enfin en 1998/1999. Ce conflit socio-politique a non seulement généré des combats militaires, mais également conduit à la destruction du tissu socio-économiquenational. Ont été affectés, aussi bien les rapports communautaires et sociaux, que les services de bases (éducation et santé) avec pour conséquence la détérioration des conditions sociales et l’émergence des pathologies au sein des populations déjà meurtries par les effets de la crise socioéconomique que traversait le pays depuis la deuxième moitié des années 80.La présente communication s’appuie sur les résultats de l’étude sur le bilan social au Congo réalisée dans les quatre régions du 29 mars au 30 avril 2001. Cette étude porte sur l’Etude du bilan social au Congo réalisée par l’UERPOD à la demande du gouvernement, appuyée financièrement par la Banque Mondiale et l’Agence Française de Développement. L’objectif assigné à cette communication vise à « fournir une base d’informations sur la mobilité des populations en situation de conflits armés, d’évaluer les conséquences sociales des conflits armés sur la santé des populations. Cette communication doit permettre de : (i) décrire les infrastructures sanitaires ; (ii) les recours thérapeutiques utilisés par ces dernières ; (iii) les types de pathologies ; (ix) les causes de morbidité des populations victimes de conflits socio politiques, les attentes de ces dernières et les stratégies adaptées au contexte de conflits ».Combinant des techniques de la recherche documentaire (registres médicaux, fiches de soins), d’entretien semi-directif avec l’aide d’un questionnaire et de l’observation directe, l’étude s’est focalisée sur les structures de santé, les responsables ou gestionnaires desdites structures, les populations victimes de conflits armés, les femmes, les hommes adultes, des chefs de ménage et des chefs de quartier ou de village. Au total, vingt (20) localités reparties dans les quatre régions ont été couvertes. Le choix de ces localités a été fait de façon raisonnée en tenant compte des critères d’accessibilité géographique et de sécurité. Mot(s) clés libre(s) : politique sanitaire, services de santé, anthropologie de la santé, personnel médical, Congo (République), guerre (aspect médical)
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La France et l'Algérie : 130 ans d'aveuglement
/ UTLS - la suite
/ 07-02-2002
/ Canal-U - OAI Archive
WINOCK Michel
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La guerre d'Algérie a durée de 1830 à 1962. Un raccourci provocateur si l'on considère qu'entre la conquête d'Alger en 1830 et les accords d'Evian en 1962, il y eut des périodes de paix et de stabilité. Mais on peut employer une telle formule dans le but de mettre en évidence la durée du conflit. Un conflit qu'il ne faut pas réduire aux dernières années. Il a fallu une longue période à la France pour coloniser la totalité de l'Algérie. Une longue guerre inexpiable et très violente de part et d'autres. Violence fondatrice des rapports entre les deux communautés. Il faut aussi évoquer la violence de la confiscation des terres, la France voulant faire de l'Algérie une colonie de peuplement. Il en est résulté une paupérisation importante de la population musulmane. A cause de ces violences l'Algérie n'a jamais trouvé son statut, « pendant 130 ans d'aveuglement »
Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962), algérie 1830-1871 (Conquête française), colonies françaises, guerre d'algérie, guerre d'indépendance, relations france-algérie
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1914-2014, bilan d'un centenaire
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 04-11-2014
/ Canal-u.fr
WEINRICH Arndt, AUDOIN-ROUZEAU Stéphane, OFFENSTADT Nicolas, HORNE John, SAINT-FUSCIEN Emmanuel
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Cycle de conférences "Les Agendas du politique" organisé par les Éditions de l’EHESS et le Labex TEPSIS L’EHESS poursuit son cycle de débats Les Agendas du Politique sous l’égide du laboratoire d’excellence Tepsis et des Éditions de l’EHESS.L'année 2014 a marqué le début du cycle
commémoratif du Centenaire de la Première Guerre Mondiale. Des
spécialistes analyseront les manières dans lesquelles, à cent ans de
distance, cet événement majeur de l'histoire européenne et mondiale a
été inscrit dans les enjeux mémoriels nationaux et internationaux.
Intervenants :
Stéphane Audoin-Rouzeau (EHESS, Paris)
John Horne (Trinity College, Dublin)
Arndt Weinrich (IHA, Paris)
Nicolas Offenstadt (Université Paris I)
Séance présidée par Emmanuel Saint-Fuscien (EHESS, Paris) Mot(s) clés libre(s) : mémoire, Première Guerre Mondiale, nations, commémoration
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