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Guerre et paix à l'âge de la mondialisation
/ UTLS - la suite
/ 08-07-2003
/ Canal-U - OAI Archive
HASSNER Pierre
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Faut-il encore parler de l'ère de la globalisation ? Celle-ci a succédé à celle de la guerre froide, ce qui semblait indiquer que désormais la dimension économique, sociale et culturelle l'emportait sur les conflits internationaux et la violence. Certes, ceux-ci n'avaient pas disparu : la globalisation produit des réactions violentes, nationalistes, ethniques ou religieuses, et contribue, avec la chute de l'empire soviétique, à la prolifération d'Etats faibles mal assurés de leurs unités et de leurs frontières, et de zones de non-droit qui se combinent avec celle des réseaux mafieux. Mais le 11 septembre 2001 introduit une nouvelle phase caractérisée par le terrorisme apocalyptique et la montée d'un empire américain décidé à s'appuyer activement sur la force militaire. Les divisions classiques entre paix et guerre, entre régions pacifiques ou troublées, entre militaires et civils, entre la violence des Etats et celle des réseaux sont mises en question. Des civils tuent des civils, ils surgissent du sein même du centre pour l'attaquer de l'intérieur de ses frontières, mais ils viennent des quatre coins du monde, et c'est là que la riposte ira les chercher. C'est une nouvelle forme de globalisation, celle de la violence. Mot(s) clés libre(s) : globalisation, mondialisation, relations internationales, sécurité internationale, violence
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3 - Ruse et raison dans la politique internationale
/ Philippe KERGRAISSE, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 09-06-2015
/ Canal-u.fr
HASSNER Pierre, STEINMETZ JENKINS daniel, HAYEZ Philippe
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Actualités du machiavélisme
Journée d’études organisée par le CESPRA et la Société des Amis de Raymond Aron
S’interroger sur l’actualité du machiavélisme, c’est affronter les questions que l’auteur du Prince et des Discorsi continue de soulever mais aussi traiter des problèmes et des dangers que les « machiavélismes » contemporains ne cessent de faire surgir au
XXIe siècle. La mauvaise réputation de ce « Machiavel-meurtrier » (Shakespeare) est entérinée sur le plan des relations internationales et d’entrée de jeu liée au destin du machiavélisme. Comment comprendre aujourd'hui, et à la lumière de l'histoire, le machiavélisme et la politique entendue comme une technique, sinon immorale, du moins amorale ?3e table ronde : Ruse et raison dans la politique internationale
Président de séance : Pierre Hassner (Sciences Po-CERI)
Daniel Steinmetz Jenkins (Columbia University), « Raymond Aron, Hans Morgenthau et les origines théologico-politiques des relations internationales »
Philippe Hayez (Sciences Po-PSIA) « “Suivre la vérité effective de la chose” (Le Prince) : le renseignement contemporain est-il machiavélien ? » Mot(s) clés libre(s) : Machiavel, Débat scientifique et politique
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