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Université de Franche-Comté
/ 16-12-2010
Henry-Dunand Carole
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Dans le cadre de l’utilisation du système « gène suicide » en thérapie génique, le gène de susceptibilité HSV-tk avait été utilisé dans une approche de modulation de l’alloréactivité après greffe de moelle osseuse. Ce modèle a montré ses limites et notre laboratoire s’est orienté vers l’utilisation du système CD20/Rituximab (RTX). En tant que protéine membranaire, la molécule CD20 permet un tri des cellules génétiquement modifiées ; de plus elle est la cible d’un anticorps monoclonal, le RTX, permettant la lyse des cellules exprimant cet antigène. Dans cette thématique, nous nous sommes intéressés à l’existence d’une population de lymphocytes T exprimant CD20. En effet, la molécule CD20 normalement exprimée sur les lymphocytes B, a été décrite, comme étant présente sur un petit contingent de LT. Nous avons émis l’hypothèse que cette population pouvait être un artefact observé en cytométrie en flux. Dans un deuxième temps, un épissage alternatif du gène CD20 a été mis en évidence au laboratoire, codant un ARNm tronqué (nommé ΔCD20). Cet ARNm est lié à l’activation et/ou à la transformation cellulaire. Ce travail a donc consisté en la caractérisation de cet ARNm ΔCD20 et en la mise en évidence de la protéine codée par cet ARNm. CD20 étant la cible du traitement par RTX, nous avons également mis en relation la présence de cet ARNm avec les résistances au traitement. La dernière partie des résultats concerne l’exploration d’une approche d’immunothérapie anti-tumorale ciblant cette protéine ΔCD20. Nous avons ainsi généré des LT spécifiques de ΔCD20. Le but à long terme de cette stratégie serait d’améliorer le traitement des patientsréfractaires au traitement par RTX et/ou en rechute.
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