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CULTURE G Num
/ Canal-u.fr
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Les ingénieurs-savants et la science en France Mot(s) clés libre(s) : savants, ingénieurs, histoire, sciences
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Comment ont-ils su que la lumière avait une vitesse ?
/ Bruno FARNIER, Romuald DROT
/ Canal-u.fr
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De l'Antiquité au XVIIIe siècle, l'Histoire de la vitesse de la lumière n'est pas un long fleuve tranquille ! Mot(s) clés libre(s) : histoire des sciences, vitesse de la lumière
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La réception de Thucydide de l'Antiquité au XIXe siècle : introduction au colloque / Valérie Fromentin, Sophie Gotteland, Pascal Payen
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail
/ Canal-u.fr
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La réception de Thucydide, de l'Antiquité au XIXe siècle (III) "Un acquis pour toujours" ? Thucydide chez les Modernes, XVe-XIXe siècles" : introduction au colloque / Valérie Fromentin, Sophie Gotteland, Pascal Payen Colloque organisé par l'équipe de recherche PLH-ERASME : (Patrimoine, Littérature, Histoire / Equipe de recherche sur la Réception de l'Antiquité : Sources, Mémoire, Enjeux) de l'université Toulouse II-Le Mirail et l'Institut Ausonius de l'université Bordeaux II. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 23-25 octobre 2008.
Le colloque de Toulouse, du 23 au 25 octobre 2008, clôt un programme de recherche international consacré à la réception de l'historien athénien Thucydide (Ve siècle avant J.-C.), de l'Antiquité jusqu'aux premières décennies du XXe siècle. Les deux premiers colloques, qui se sont tenus à Bordeaux, en 2007 et 2008, ont eu pour objectif d'analyser comment Thucydide s'est imposé dans l'Antiquité, dès les décennies qui suivent sa mort, comme l'initiateur d'une forme d'histoire caractérisée à la fois par sa matière, qualifiée de "pragmatique" (c'est-à-dire essentiellement politique et militaire), par sa démarche, centrée sur la notion de cause historique, et par son style "élevé" (c'est-à-dire difficile, admirable et digne d'imitation). Les aléas qui accompagnent la fortune de Thucydide sont ensuite difficiles à reconstituer. Nous constatons qu'il est appréhendé, au XIXe siècle, comme une source documentaire de premier plan et comme le paradigme de l'histoire "véritable". Mais qu'en est-il lorsque les Grecs réapparaissent en Occident au début du XVe siècle et au cours des périodes qui suivent, dominées par l'historiographie latine (Salluste avant tout, César, Tite-Live) ?C'est pourquoi le troisième colloque tentera de répondre au problème principal suivant : pourquoi et comment Thucydide a-t-il été considéré, en Europe, depuis la Renaissance, semble-t-il, et plus encore au cours du XIXe siècle qui érige l'histoire en discipline reine, comme le modèle de l'historien épris d'objectivité, de rigueur, d'exactitude, de fidélité aux sources ? Le problème de la réception de Thucydide, à partir du XVe siècle (la traduction de Lorenzo Valla date de 1483 et est réimprimée dans toute l'Europe au cours du XVIe), peut être ramené à deux questions principales. - Quelle a été, d'une part, son influence sur la construction des connaissances et de l'image que nous possédons d'Athènes, à côté de l'autre grande source privilégiée jusqu'à la veille de la Révolution : les Vies parallèles de Plutarque ? Quelles lectures, à ce sujet, firent de Thucydide non seulement Machiavel, Bodin, Hobbes, son traducteur (1629), mais encore Benjamin Constant, George Grote, Victor Duruy et les tenants d'une "Athènes bourgeoise" ? Comment s'élabora, dans le même temps la figure d'un nouveau Périclès ? - D'autre part, comment, par un ensemble d'emprunts, mais surtout d'écarts, de ruptures, parfois de méprises, l'épistémologie et l'écriture de l'histoire des Modernes, telles qu'elles s'élaborent au XIXe, se sont-elles façonnées à partir des pratiques et des catégories de Thucydide : la "recherche de la vérité", l'akribeia, le concept de "grandeur", la préoccupation de "trouver" ou d'"établir" ( heurein) les faits ? -Le problème ainsi tracé concerne à la fois : - les modalités de l'intérêt porté au passé et, conjointement, de son étude ; - la nature même de la discipline historique, de sa formation, de sa propre histoire - la mise en perspective du présent et du passé, dans un double mouvement : étudier le projet et l'œuvre de Thucydide à partir des questions de la discipline historique moderne ; puis revenir de Thucydide au présent, lesté de ce que l'on aura compris de l'historien athénien. Mot(s) clés libre(s) : méthode scientifique, Thucydide (0460?-0395? av. J.-C.), réception des oeuvres, appréciation (Thucydide), histoire (science), Thucydide (historiographie)
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3 - La société de l’harmonie universelle (1)
/ Laure De Scitivaux
/ 16-10-2014
/ Canal-u.fr
ARMANDO David
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Bilan d’étape du programme
de recherche sur l’histoire du mesmérisme et de la Société de l’harmonie
universelle Mot(s) clés libre(s) : ethnologie, sociologie, histoire des sciences, histoire, anthropologie, Histoire Moderne et Contemporaine, Sciences de l’homme, sciences de la société
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5 - La société de l’harmonie universelle (3)
/ Laure De Scitivaux
/ 16-10-2014
/ Canal-u.fr
BAILLEUL Tatiana
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Tutorial de la base en
ligne Harmonia Universalis – prosopographie des membres de la Société. Mot(s) clés libre(s) : ethnologie, sociologie, histoire des sciences, histoire, anthropologie, Histoire Moderne et Contemporaine, Sciences de l’homme, sciences de la société
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EINSTEIN ET LA RELATIVITÉ GÉNÉRALE
/ Jean MOUETTE
/ 08-09-2015
/ Canal-u.fr
BALIBAR Françoise
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Après avoir parcouru les diverses étapes de l'épineux chemin suivi par
Einstein pour l'établissement de la théorie de la relativité générale,
de 1907 à la fin de l'année 1915 (en pleine guerre, donc), je me propose
de passer en revue l'histoire des trois "tests" observationnels
(courbure des rayons de lumière au voisinage du Soleil, avance du
périhélie de Mercure, décalage vers le rouge des raies spectrales),
suggérés par Einstein lui-même comme étant susceptibles de mettre sa
théorie à l'épreuve. Ce qui me conduira à réfléchir sur le rôle
apparemment "second" (de simple vérification), rôle important mais non
nécessaire, accordé par Einstein aux données "expérimentales", tout en
soulignant le rôle, absolument nécessaire mais finalement assez peu
important, accordé par lui aux développements mathématiques au sens
technique du terme. Je terminerai en essayant de caractériser ce qui,
pour Einstein en tout cas, fait que l'activité scientifique produit de
la pensée. Mot(s) clés libre(s) : relativité générale, histoire des sciences, épistémologie, théorie de la Relativité, Albert Einstein
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Dialoguer avec l'oeuvre de Claude Lévi-Strauss
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 12-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
BERTRAND Michel, ALBERT Jean-Pierre, MARIN Richard, MACARY-GARIPUY Pascale
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Journée d'études "Dialoguer avec de l'oeuvre de Claude Lévi-Strauss", organisée par les Études Doctorales (TESC, CLESCO et ALLPH@) de l'Université Toulouse II-Le Mirail. Partie 1 : Levi-Strauss en contexte : échanges et influences. Université Toulouse II-Le Mirail, Maison de la Recherche, 5 mars 2010. [note : les interventions de l'après-midi n'ont pas été enregistrées].Interventions1. Présentation de la journée d'études / Michel BERTRAND2. Ouverture de la journée d'études : Variations sur un centenaire / Jean-Pierre ALBERT3. Roman Jackobson et Claude Lévi-Strauss : linguistique et anthropologie structurales / Jean-Pierre ALBERT (co-écrit par Jacques DURAND)La rencontre entre Roman Jakobson et Claude Lévi-Strauss à New York pendant la deuxième guerre mondiale et la collaboration entre les deux hommes est connue. Elle a été un de moments fondateurs de ce qu'on a appelé le structuralisme. Quels étaient les concepts de base du structuralisme en linguistique, une science présentée par Claude Lévi-Strauss comme la discipline pilote pour les sciences humaines et sociales ? Comment ces concepts ont-ils pu contribuer à une véritable refondation de domaines de l’anthropologie aussi centraux que les études sur la parenté et le symbolisme des mythes et des rituels ? On cherchera à évaluer les acquis de l’approche structuraliste dans les deux disciplines et aussi ses limites, à la lumière de leurs évolutions ultérieures.4. Lévi-Strauss a-t-il influencé Braudel et la Nouvelle histoire ? / Richard MARINClaude Lévi-Strauss et Fernand Braudel se sont en définitive assez peu côtoyés, exception faite de leur séjour à São Paulo, au milieu des années 1930, mais ils ont pas mal débattu, par textes interposés. Ainsi, en 1958, "Histoire et sciences sociales : la longue durée", le célèbre article rédigé par Braudel pour les Annales, se voulait-il une réponse à l’Anthropologie structurale de Lévi-Strauss, paru la même année et qui contenait de vives critiques à l’égard de l’histoire. En 1983, dans la revue fondée par Marc Bloch et Lucien Febvre, « Histoire et ethnologie », de Lévi-Strauss, revenait sur le rapport entre les deux disciplines. Après avoir présenté à grands traits la teneur de tels échanges, la communication s’efforcera de jauger l’influence de l’anthropologie structurale sur l’auteur de la Méditerranée mais aussi sur le courant de la Nouvelle histoire dominant dans les années 1970.5. La structure et le réel : Lévi-Strauss et Lacan / Pascale MACARY-GARIPUYLa psychanalyse fut une des maîtresses du jeune Lévi-Strauss et si la découverte freudienne fut une référence du début de l’œuvre, il faut bien avouer qu’il s’en éloigna de plus en plus au fur et à mesure de l’avancée de la théorie. Lévi-Strauss dit ne pas entendre le travail de Lacan, son contemporain et son aîné dans l’effervescence de la pensée française des années 60 ; ce dernier en revanche admira profondément l’anthropologue et lui fit de nombreux emprunts. Ainsi la notion de "structure" -toujours langagière- est-elle devenue un concept majeur pour rendre compte des trois façons de soutenir l’existence humaine selon les modes névrotique, psychotique ou pervers, déjà dégagés par Freud ; sans le travail de Lévi-Strauss, Lacan aurait sans doute eu plus de difficulté à produire son fameux « l’inconscient est structuré comme un langage ». Mais la psychanalyse, en gardant toujours vif le concept de structure, a troué cette dernière par le réel, que Lévi-Strauss laissait à l’extérieur, l’abandonnant à son incommensurable ou à son impossible saisie. La communication de Pascale Macary-Garipuy explique en quoi la psychanalyse a dépassé la notion de structure langagière comme prééminente dans l’expérience humaine au profit d’un nouage reliant imaginaire (corps), symbolique (langage), réel (jouissance) et tente de dégager en quoi cela fait anthropologie. Mot(s) clés libre(s) : anthropologie structurale, Claude Lévi-Strauss (1908-2009), épistémologie des sciences sociales, Fernand Braudel (1902-1985), histoire (science), Jacques Lacan (1901-1981), linguistique structurale, psychanalyse, Roman Jakobson (1896-1982)
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Le rôle historique des institutions dans le progrès des sciences / Jacques Blamont
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 03-05-1999
/ Canal-U - OAI Archive
BLAMONT Jacques Émile
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Le rôle historique des institutions dans le progrès des sciences / Jacques Émile Blamont. Conférence donnée dans le cadre de L'Institut des Études Doctorales (IED) et présentée par Michel Eliard, directeur de l'URF de Sociologie de l'université du Mirail. Université Toulouse II-Le Mirail, 3 mai 1999. Mot(s) clés libre(s) : bibliothèque d'Alexandrie, centres publics de recherche, compétitivité (économie politique), histoire des sciences et techniques (20e siècle), politique scientifique (Etats-Unis), politique scientifique (France), politique scientifique (URSS), progrès sci
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LE CALENDRIER MAYA ET LE MYTHE DE LA FIN DU MONDE
/ Jean MOUETTE
/ 01-06-2015
/ Canal-u.fr
BRAVO-ALFARO Hector
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Cette conférence est proposée comme un voyage dans le monde ancien des
Mayas, en visitant principalement leur façon - très intéressante -
d'approcher le concept du temps. Le temps et les différents calendriers
chez les Mayas étaient au centre de leur idée philosophique de la vie
qui se renouvelait en permanence. Dans la période dite Classique, les
Mayas avaient réussi à développer un calendrier plus précis que ceux qui
étaient utilisés en Europe à la même époque, une réussite due aux
observations astronomiques effectuées de manière très systématique.
Ce calendrier et ses différentes "Roues", qui comportent des périodes de
plus en plus longues, a été à la base d'un mythe apocalyptique très
répandu dans le monde, tout au long de l'année 2012. Mot(s) clés libre(s) : histoire des sciences, Calendriers, Mayas, astronomie, mythes
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Physique et mathématiques
/ UTLS - la suite
/ 16-06-2005
/ Canal-U - OAI Archive
BRéZIN Edouard
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La physique et les mathématiques sont étroitement mêlées depuis toujours. Tantôt c'est la première qui conduit à développer les mathématiques impliquées par les lois de la nature, tantôt des structures mathématiques élaborées sans référence au monde extérieur se trouvent être précisément adaptées à la description de phénomènes découverts pourtant postérieurement. C'est là l'efficacité déraisonnable des mathématiques dans les sciences de la nature dont parlait Eugène Wigner. Jamais les interactions entre physique et mathématiques n'ont été plus intenses qu'à notre époque, jamais la description des phénomènes naturels n'a requis des mathématiques aussi savantes qu'aujourd'hui. Pourtant il est important de comprendre la différence de nature entre ces deux disciplines. La physique n'établit pas de théorèmes ; jusqu'à présent elle se contente de modèles dont les capacités à prédire, et la comparaison avec l'expérience établissent la validité, avec une économie dans la description et une précision parfois confondantes. Néanmoins nous savons que tous les modèles dont nous disposons actuellement, toutes les lois, ne sont que des descriptions "effectives" comme l'on dit aujourd'hui, c'est-à-dire adaptées aux échelles de temps, de distance, d'énergie avec lesquelles nous observons, mais dont nous savons de manière interne, avant même que des phénomènes nouveaux les aient invalidées, qu'elles sont inaptes à aller beaucoup plus loin. Y aura t-il une description définitive qui, tel un théorème, s'appliquerait sans limitations? Ce rêve d'une théorie ultime, où la physique rejoindrait les mathématiques, caressé par certains, laisse beaucoup d'autres sceptiques ; quoiqu'il en soit la question ne sera certainement pas tranchée rapidement. Mot(s) clés libre(s) : chaos, électromagnétisme, force nucléaire, gravitation, histoire des sciences, mécanique quantique, modèle d'Ising, physique statistique, physique théorique, relativité générale, représentation du réel, système dynamique, théorie des cordes
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