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Défaire l'Empire
1ère partie : Le spectre colonial (4)
Sarah Demart : « L'impensé des sujets postcoloniaux dans une périphérie impériale: le cas
des Congolais en Belgique »
/ Thomas GUIFFARD, Malek BOUYAHIA, Franck FREITAS, Karima RAMDANI
/ 29-06-2015
/ Canal-u.fr
VERMEREN Pauline, IRRERA Orazio, DEMART Sarah, KIAN Azadeh
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Journée d’études organisée par Malek Bouyahia, Franck Freitas et Karima Ramdani (Cresppa-GTM/Gral)La pensée postcoloniale, dans son éclatement épistémique, a ceci d’unique qu’elle est une critique du décentrement. En somme elle propose de prendre le contre-pied d’un récit historique qui a fait le choix d’adopter une interprétation téléologique, en mettant de côté les ruses du pouvoir ou la capacité de son rapport à se reconfigurer malgré les prétentions du Progrès. Une des manières d’endosser et d’habiter la postcolonialité est de penser à partir justement de la marge. Il résulte de ce travail, de nouvelles perspectives heuristiques qui exhument et mettent en exergue des récits, y compris ceux des dominants, et de les relire à l’aulne d’une perspective et d’un positionnement infâme.
La journée d’études posera dans un premier temps la question de ce que peut être un objet postcolonial, sa spécificité et/ou son lien avec les traditions épistémiques avec lesquelles il dialogue et/ou est en rupture. C’est aussi poser la question de la place de ces nouvelles figures que sont l’EtrangerE, l’ImmigréE, le/la FrançaisE mal néEs, … dans les sciences sociales ? Quel rôle pour les études postcoloniales ? Comment étudier ces objets flottants et comment se positionner face à l’accusation de partialité et de non-scientificité ?
La cinquième séance du séminaire « Limites Frontières » prolongera cette réflexion en posant la question de l’entrecroisement du féminisme et du postcolonialisme. En effet, dans le contexte français, le processus de décolonisation du féminisme initié il y a plusieurs années à l’occasion de crises politiques n’a pas pour autant résolu l’inattention portée aux voix des féministes migrantes ou descendantes des colonisations modernes. Les positionnements de ces dernières, à la croisée de multiples rapports de domination, longtemps impensés et ignorés, constituent-ils la perspective d’un « féminisme postcolonial » ? Comment l’institutionnalisation du féminisme et l’instrumentalisation du genre à des fins néocoloniales ont-elles affecté, au cours du temps, la production des savoirs féministes postcoloniaux, ainsi que les liens entre études féministes et études postcoloniales, mais aussi entre espaces de la recherche et espaces militants ? Mot(s) clés libre(s) : féminisme, postcolonialisme
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Défaire l'Empire
1ère partie : Le spectre colonial (3)
Pauline Vermeren : « Interroger la critique postcoloniale face au silence
sur la race en France »
/ Thomas GUIFFARD, Malek BOUYAHIA, Franck FREITAS, Karima RAMDANI
/ 29-06-2015
/ Canal-u.fr
VERMEREN Pauline, IRRERA Orazio, DEMART Sarah, KIAN Azadeh
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Journée d’études organisée par Malek Bouyahia, Franck Freitas et Karima Ramdani (Cresppa-GTM/Gral)La pensée postcoloniale, dans son éclatement épistémique, a ceci d’unique qu’elle est une critique du décentrement. En somme elle propose de prendre le contre-pied d’un récit historique qui a fait le choix d’adopter une interprétation téléologique, en mettant de côté les ruses du pouvoir ou la capacité de son rapport à se reconfigurer malgré les prétentions du Progrès. Une des manières d’endosser et d’habiter la postcolonialité est de penser à partir justement de la marge. Il résulte de ce travail, de nouvelles perspectives heuristiques qui exhument et mettent en exergue des récits, y compris ceux des dominants, et de les relire à l’aulne d’une perspective et d’un positionnement infâme.
La journée d’études posera dans un premier temps la question de ce que peut être un objet postcolonial, sa spécificité et/ou son lien avec les traditions épistémiques avec lesquelles il dialogue et/ou est en rupture. C’est aussi poser la question de la place de ces nouvelles figures que sont l’EtrangerE, l’ImmigréE, le/la FrançaisE mal néEs, … dans les sciences sociales ? Quel rôle pour les études postcoloniales ? Comment étudier ces objets flottants et comment se positionner face à l’accusation de partialité et de non-scientificité ?
La cinquième séance du séminaire « Limites Frontières » prolongera cette réflexion en posant la question de l’entrecroisement du féminisme et du postcolonialisme. En effet, dans le contexte français, le processus de décolonisation du féminisme initié il y a plusieurs années à l’occasion de crises politiques n’a pas pour autant résolu l’inattention portée aux voix des féministes migrantes ou descendantes des colonisations modernes. Les positionnements de ces dernières, à la croisée de multiples rapports de domination, longtemps impensés et ignorés, constituent-ils la perspective d’un « féminisme postcolonial » ? Comment l’institutionnalisation du féminisme et l’instrumentalisation du genre à des fins néocoloniales ont-elles affecté, au cours du temps, la production des savoirs féministes postcoloniaux, ainsi que les liens entre études féministes et études postcoloniales, mais aussi entre espaces de la recherche et espaces militants ? Mot(s) clés libre(s) : féminisme, postcolonialisme
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Défaire l'Empire
1ère partie : Le spectre colonial (2)
Orazio Irrera : « L'alèthurgie orientaliste: discours et subjectivation
dans L'Orientalisme de Said »
/ Thomas GUIFFARD, Malek BOUYAHIA, Franck FREITAS, Karima RAMDANI
/ 29-06-2015
/ Canal-u.fr
VERMEREN Pauline, IRRERA Orazio, DEMART Sarah, KIAN Azadeh
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Journée d’études organisée par Malek Bouyahia, Franck Freitas et Karima Ramdani (Cresppa-GTM/Gral)La pensée postcoloniale, dans son éclatement épistémique, a ceci d’unique qu’elle est une critique du décentrement. En somme elle propose de prendre le contre-pied d’un récit historique qui a fait le choix d’adopter une interprétation téléologique, en mettant de côté les ruses du pouvoir ou la capacité de son rapport à se reconfigurer malgré les prétentions du Progrès. Une des manières d’endosser et d’habiter la postcolonialité est de penser à partir justement de la marge. Il résulte de ce travail, de nouvelles perspectives heuristiques qui exhument et mettent en exergue des récits, y compris ceux des dominants, et de les relire à l’aulne d’une perspective et d’un positionnement infâme.
La journée d’études posera dans un premier temps la question de ce que peut être un objet postcolonial, sa spécificité et/ou son lien avec les traditions épistémiques avec lesquelles il dialogue et/ou est en rupture. C’est aussi poser la question de la place de ces nouvelles figures que sont l’EtrangerE, l’ImmigréE, le/la FrançaisE mal néEs, … dans les sciences sociales ? Quel rôle pour les études postcoloniales ? Comment étudier ces objets flottants et comment se positionner face à l’accusation de partialité et de non-scientificité ?
La cinquième séance du séminaire « Limites Frontières » prolongera cette réflexion en posant la question de l’entrecroisement du féminisme et du postcolonialisme. En effet, dans le contexte français, le processus de décolonisation du féminisme initié il y a plusieurs années à l’occasion de crises politiques n’a pas pour autant résolu l’inattention portée aux voix des féministes migrantes ou descendantes des colonisations modernes. Les positionnements de ces dernières, à la croisée de multiples rapports de domination, longtemps impensés et ignorés, constituent-ils la perspective d’un « féminisme postcolonial » ? Comment l’institutionnalisation du féminisme et l’instrumentalisation du genre à des fins néocoloniales ont-elles affecté, au cours du temps, la production des savoirs féministes postcoloniaux, ainsi que les liens entre études féministes et études postcoloniales, mais aussi entre espaces de la recherche et espaces militants ? Mot(s) clés libre(s) : féminisme, postcolonialisme
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Défaire l'Empire
1ère partie : Le spectre colonial (1)
Présentation par Azadeh Kian
/ Thomas GUIFFARD, Malek BOUYAHIA, Franck FREITAS, Karima RAMDANI
/ 29-06-2015
/ Canal-u.fr
VERMEREN Pauline, IRRERA Orazio, DEMART Sarah, KIAN Azadeh
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Journée d’études organisée par Malek Bouyahia, Franck Freitas et Karima Ramdani (Cresppa-GTM/Gral)La pensée postcoloniale, dans son éclatement épistémique, a ceci d’unique qu’elle est une critique du décentrement. En somme elle propose de prendre le contre-pied d’un récit historique qui a fait le choix d’adopter une interprétation téléologique, en mettant de côté les ruses du pouvoir ou la capacité de son rapport à se reconfigurer malgré les prétentions du Progrès. Une des manières d’endosser et d’habiter la postcolonialité est de penser à partir justement de la marge. Il résulte de ce travail, de nouvelles perspectives heuristiques qui exhument et mettent en exergue des récits, y compris ceux des dominants, et de les relire à l’aulne d’une perspective et d’un positionnement infâme.
La journée d’études posera dans un premier temps la question de ce que peut être un objet postcolonial, sa spécificité et/ou son lien avec les traditions épistémiques avec lesquelles il dialogue et/ou est en rupture. C’est aussi poser la question de la place de ces nouvelles figures que sont l’EtrangerE, l’ImmigréE, le/la FrançaisE mal néEs, … dans les sciences sociales ? Quel rôle pour les études postcoloniales ? Comment étudier ces objets flottants et comment se positionner face à l’accusation de partialité et de non-scientificité ?
La cinquième séance du séminaire « Limites Frontières » prolongera cette réflexion en posant la question de l’entrecroisement du féminisme et du postcolonialisme. En effet, dans le contexte français, le processus de décolonisation du féminisme initié il y a plusieurs années à l’occasion de crises politiques n’a pas pour autant résolu l’inattention portée aux voix des féministes migrantes ou descendantes des colonisations modernes. Les positionnements de ces dernières, à la croisée de multiples rapports de domination, longtemps impensés et ignorés, constituent-ils la perspective d’un « féminisme postcolonial » ? Comment l’institutionnalisation du féminisme et l’instrumentalisation du genre à des fins néocoloniales ont-elles affecté, au cours du temps, la production des savoirs féministes postcoloniaux, ainsi que les liens entre études féministes et études postcoloniales, mais aussi entre espaces de la recherche et espaces militants ? Mot(s) clés libre(s) : féminisme, postcolonialisme
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