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Mots-clefs > L > langage mathématique
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  • 6 ressources ont été trouvées. Voici les résultats 1 à 6
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Tri :   Date Editeur Auteur Titre

Quelles maths faut-il apprendre pour répondre aux questions des élèves et traiter leurs erreurs ?

/ Christian Bailly, ENS de Lyon, IFÉ - Institut Français de l'Éducation, Luc Trouche / 15-06-2011 / Canal-U - OAI Archive
Mercier Alain
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Les travaux sur les erreurs des élèves ont montré que leur forme est constante, indépendante des enseignements, et qu'elles apparaissent longtemps encore après les commencements, de manière quasi aléatoire (Bardini 2003, Abou Raad 2004). Les ingénieries didactiques permettent en revanche de les faire apparaître au fur et à mesure des problèmes auxquelles elles sont des réponses non consistantes, et donc d'identifier les manières de penser qui les produisent. Il faut que les élèves de chaque génération puissent affronter et résoudre certains des problèmes que les mathématiciens ont résolus : le professeur ou plutôt la profession des enseignants de mathématiques toute entière doit, pour se préparer à enseigner, connaître ces problèmes. Et la profession doit donc disposer d’au moins un des chemins de l’étude d’une œuvre incontournable dans toute formation scientifique : l’écriture symbolique mathématique, et ses usages en sciences, pour analyser la position des élèves sur ce chemin et les conduire sûrement.
Mot(s) clés libre(s) : algébrique, collège, dialectique action/formulation., didactique, enseignement par ostension, équations, jeux de langage, Mathématiques, systèmes sémiotiques, systèmes symboliques
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Nécessité et pièges des définitions mathématiques

/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France / 22-06-2000 / Canal-U - OAI Archive
KAHANE Jean-Pierre
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D'où viennent et à quoi servent les définitions mathématiques ? En quoi sont-elles nécessaires ? En quoi peuvent-elles être pernicieuses ? Sur des exemples liés à l'histoire, à l'enseignement, et au mouvement contemporain des mathématiques, je m'efforcerai de montrer les définitions comme aboutissements de processus, comme commencement de théories, comme merveilles et comme pièges.
Mot(s) clés libre(s) : axiome, enseignement des mathématiques, histoire des mathématiques, langage mathématique, théorie mathématique
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La nouvelle norme de vérité : science et philosophie à l’âge classique (P. Guenancia)

/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris / 30-03-2015 / Canal-u.fr
GUENANCIA Pierre
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Les mathématiques, selon la célèbre formule de Spinoza, ont apporté aux hommes une autre norme de vérité. C’est cette norme nouvelle qui a permis la révolution galiléenne suivie par Descartes et tous les savants et philosophes de l’âge classique. « La nature est écrite dans la langue mathématique ». Cette autre formule célèbre de Galilée signifie que la nouvelle science de la nature est fondée sur l’utilisation des mathématiques qui est non seulement la clé de l’explication de tous les phénomènes de la nature, mais qui est aussi le modèle de la certitude. Avant d’être définie par la correspondance avec les choses, la vérité désigne ce que l’esprit humain usant de méthode conçoit clairement et distinctement : ce que Descartes nommera dans les Méditations la règle générale de la vérité.Pierre Guenancia
Mot(s) clés libre(s) : langage mathématique, mécanique (science), Regulae ad directionem ingenii, Règles pour la direction de l'esprit, langage des proportions, chute des corps, âge classique, phusis, causalité, phénomène, physique classique
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Espoir et théorie des catastrophes. L’intelligibilité : norme d’une science de l’acceptable ?

/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2 / 25-01-2006 / Canal-U - OAI Archive
GOOTJES Luc
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Fondée dans les années 70 par le mathématicien René Thom, la théorie des catastrophes devient rapidement, malgré l’engouement qu’elle suscite, sujet de controverse et de critique. Visant à décrire les phénomènes discontinus à l'aide de modèles mathématiques continus, elle se définit comme un langage mathématique, un outil d’intelligibilité du monde mais son manque de rigueur et sa nature qualitative laissent sceptique positivistes et mathématiciens purs. Bien que ces critiques n’aient que partiellement entamé son expansion puisque ses domaines d’application s’étendent au fil du temps de la biologie aux disciplines de sciences humaines telles que l’éthologie et la psychologie (théorie de Harry Blum), elles sont à l’origine du désintérêt des chercheurs pour ce langage mathématique apte selon Luc Gootjes à relever de nouveaux défis scientifiques.La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2005-2006 sur le thème "L'espoir". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM /
Mot(s) clés libre(s) : caractéristique d'Euler-Poincaré, espace, espace multidimensionnel, langage mathématique, modèle dynamique continu, phénomènes discontinus, René Thom, théorie des catastrophes, topologie différentielle
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Mathématiques et réalité

/ UTLS au lycée, Mission 2000 en France / 14-01-2000 / Canal-U - OAI Archive
CARTIER Pierre
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Conférence du 14 janvier 2000 par Pierre Cartier. Nous voulons insister sur le cycle de rétroaction des mathématiques et de la réalité, prise dans son sens social et technologique. Les caractéristiques principales des mathématiques nous semblent les suivantes : a) Dégager et organiser un savoir-faire de nature combinatoire : numérations de plus en plus performantes pour traiter de nombres de plus en plus grands, description de formes géométriques et d'agencements. b) Créer des formes nouvelles qui serviront à modeler le monde (architecture, paysages, instruments techniques). c) Inventer et imposer un ordre : les nombres dans l'ordre économique (ou monétaire), les règles d'organisation. d) Garantir le fonctionnement et l'efficacité des procédures mathématiques : démonstrations, algorithmes, non-contradictoires. Le monde régulé par les mathématiques veut minimiser la part des aléas. De larges pans des mathématiques (calcul des probabilités, fractales, ondelettes) sont consacrés à la découverte d'un ordre sous-jacent au désordre apparent. Dans cette perspective, le développement historique des mathématiques, leur validité théorique ou publique, le degré de certitude qu'elles procurent, leurs fondements et leur unité (plus organique que logique), tous ces problèmes se présentent sous un jour nouveau.
Mot(s) clés libre(s) : combinatoire, formalisation, forme géométrique, histoire des sciences, intersubjectivité, langage mathématique, nombre, philosophie des mathématiques, représentation du réel, théorie mathématique
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Mathématiques et réalité

/ UTLS au lycée, Mission 2000 en France / 14-01-2000 / Canal-u.fr
CARTIER Pierre
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Conférence du 14 janvier 2000 par Pierre Cartier. Nous voulons insister sur le cycle de rétroaction des mathématiques et de la réalité, prise dans son sens social et technologique. Les caractéristiques principales des mathématiques nous semblent les suivantes : a) Dégager et organiser un savoir-faire de nature combinatoire : numérations de plus en plus performantes pour traiter de nombres de plus en plus grands, description de formes géométriques et d'agencements. b) Créer des formes nouvelles qui serviront à modeler le monde (architecture, paysages, instruments techniques). c) Inventer et imposer un ordre : les nombres dans l'ordre économique (ou monétaire), les règles d'organisation. d) Garantir le fonctionnement et l'efficacité des procédures mathématiques : démonstrations, algorithmes, non-contradictoires. Le monde régulé par les mathématiques veut minimiser la part des aléas. De larges pans des mathématiques (calcul des probabilités, fractales, ondelettes) sont consacrés à la découverte d'un ordre sous-jacent au désordre apparent. Dans cette perspective, le développement historique des mathématiques, leur validité théorique ou publique, le degré de certitude qu'elles procurent, leurs fondements et leur unité (plus organique que logique), tous ces problèmes se présentent sous un jour nouveau.
Mot(s) clés libre(s) : combinatoire, représentation du réel, philosophie des mathématiques, nombre, langage mathématique, intersubjectivité, histoire des sciences, forme géométrique, formalisation, théorie mathématique
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