Nouveautés
Recherche simple :
Accueil
Documents
Pédagogie
Thèses
Publications Scientifiques
Multi-formats
Pédagogie > Recherche par auteurs en fr
  • Nouveautés
  • Recherche avancée
  • Recherche thématique UNIT
  • Recherche thématique
  • Recherche par établissements
  • Recherche par auteurs
  • Recherche par mots-clefs
Auteurs > L > LANGLAIS PIERRE-CARL
Niveau supérieur
  • 3 ressources ont été trouvées. Voici les résultats 1 à 3
  |< << Page précédente 1 Page suivante >> >| documents par page
Tri :   Date Editeur Auteur Titre

Projet Jourdain : Journalisme, Data et Information. La base de données du journalisme de données. Les questions de la salle.

/ Jacques LE CANN / 11-10-2013 / Canal-u.fr
WRONA Adeline, JEANNE-PERRIER Valérie, LANGLAIS Pierre-Carl
Voir le résumé
Voir le résumé
Le projet Jourdain articule d’une double signification. « Jourdain » est d’abord un acronyme de JOURnalisme, DAta et INformation. Ces trois notions sont situées au cœur du datajournalisme, dans sa définition canonique introduite par Adrian Holovaty. M. Jourdain c’est aussi ce personnage d’une pièce de Molière, se surprenant lui-même à déclamer de la prose. Parce que les journalistes font, de longue date, du « datajournalisme » sans le savoir, les analyses du projet Jourdain visent à cerner, par-delà la virtualité des concepts, la réalité de pratiques remobilisées.Le projet Jourdain a organisé une journée d’étude le 11 octobre 2013 au CELSA.  Elle est revenue sur les principaux axes de recherche du projet : les liens entre journalisme de données et journalisme d’investigation, les rapports complexes entre les professions informatiques et les milieux du journalisme et les enjeux démocratiques de la « libération » des données. Elle a invité une dizaine d’intervenants universitaires et professionnels à faire le point sur la pratique ainsi mise en exergue. Le programme Jourdain s’achève sur la mise en lumière de la place du journalisme de données dans le système médiatique contemporain, afin d’en cerner les figures et les usages pour l’avenir.http://projetjourdain.org/
Mot(s) clés libre(s) : journalisme, big data, journalisme d'information
 |  Accéder à la ressource

Projet Jourdain : Journalisme, Data et Information. La base de données du journalisme de données.

/ Jacques LE CANN / 11-10-2013 / Canal-u.fr
WRONA Adeline, JEANNE-PERRIER Valérie, LANGLAIS Pierre-Carl
Voir le résumé
Voir le résumé
Le projet Jourdain articule d’une double signification. « Jourdain » est d’abord un acronyme de JOURnalisme, DAta et INformation. Ces trois notions sont situées au cœur du datajournalisme, dans sa définition canonique introduite par Adrian Holovaty. M. Jourdain c’est aussi ce personnage d’une pièce de Molière, se surprenant lui-même à déclamer de la prose. Parce que les journalistes font, de longue date, du « datajournalisme » sans le savoir, les analyses du projet Jourdain visent à cerner, par-delà la virtualité des concepts, la réalité de pratiques remobilisées.Le projet Jourdain a organisé une journée d’étude le 11 octobre 2013 au CELSA.  Elle est revenue sur les principaux axes de recherche du projet : les liens entre journalisme de données et journalisme d’investigation, les rapports complexes entre les professions informatiques et les milieux du journalisme et les enjeux démocratiques de la « libération » des données. Elle a invité une dizaine d’intervenants universitaires et professionnels à faire le point sur la pratique ainsi mise en exergue. Le programme Jourdain s’achève sur la mise en lumière de la place du journalisme de données dans le système médiatique contemporain, afin d’en cerner les figures et les usages pour l’avenir.http://projetjourdain.org/
Mot(s) clés libre(s) : journalisme, big data, journalisme d'information
 |  Accéder à la ressource

Réflexions théoriques sur l'application de la notion de bien commun à l'activité scientifique / Pierre-Carl Langlais, Marc Lavastrou

/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail / 13-10-2014 / Canal-u.fr
LANGLAIS Pierre-Carl, LAVASTROU Marc
Voir le résumé
Voir le résumé
Réflexions théoriques sur l'application de la notion de bien commun à l'activité scientifique / Pierre-Carl Langlais et Marc Lavastrou. In Journée d'études "Generation Open : Open Science", organisée dans le cadre de l'Open Access Week par Françoise Gouzi (Direction en Appui à la Recherche-DAR) et Marc Lavastrou (Centre de Recherches et d'Études Germaniques-CREG), avec le soutien de Foster (Facilitate Open Science Training for European Research) et le consortium Couperin. Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 13 octobre 2014.Tour à tour, Marc Lavastrou et Pierre Carl Langlais retracent les notions de bien commun et d’activité scientifique et éditoriale à travers les époques. Au milieu du XVIIe siècle, deux communautés scientifiques -française et anglaise- se constituent autour de revues créées par des sociétés savantes (Royal Society notamment), les auteurs ne sont pas rémunérés et il existe une grande liberté de pensée, une incitation forte à publier et à partager la production intellectuelle sans souci du droit d’auteur. La diffusion du savoir est alors prioritaire sur les logiques propriétaires et marchandes. Nous sommes alors clairement en dehors de toute logique de marché mais aussi en dehors de toute logique d’évaluation de la recherche. Ce n’est qu’à partir du XIXe siècle que les grandes maisons d’éditions telles que Elsevier et Springer, spécialisées dans la littérature scientifique, vont parvenir à imposer peu à peu leurs conditions à la communauté des chercheurs en rachetant progressivement des petits éditeurs français. Depuis les années 1970, quatre gros éditeurs commerciaux ont le monopole et les inégalités entre les pays en voie de développement s’accentuent. Marc Lavastrou définit la notion de bien commun comme étant associé à une ressource, une communauté et un ensemble de règles sociales (Internet est une ressource immatérielle, les logiciels libres reposent sur des pratiques collaboratives), puis propose un éclairage sur les travaux d’Elinor Ostrom (première femme à recevoir le prix Nobel d’économie en 2009) et David Bollier (auteur de La renaissance des communs et cofondateur de https://www.publicknowledge.org/), qui réaffirment que les biens communs doivent être gérés de manière raisonnée comme des ressources naturelles et finies (eau, forêt), mais également immatérielles comme Internet ou la connaissance. Grâce à l’ouvrage dirigé par Elinor Ostrom et Charlotte Hess, Understanding Knowledge as a Commons (The MIT Press, 2011), la recherche scientifique est alors étudiée sous l’angle d’un commun pour lequel il est nécessaire d’établir des règles sociales afin de la société puisse se réapproprier ce bien qui est actuellement accaparé et contrôlé par des intérêts privés. Ce phénomène d’enclosure est néfaste tant pour la recherche que pour la société en générale.
Mot(s) clés libre(s) : archives ouvertes, libre accès à l'information scientifique et technique, biens communs informationnels, archives institutionnelles, open access, diffusion des résultats de la recherche
 |  Accéder à la ressource

rss |< << Page précédente 1 Page suivante >> >| documents par page
© 2006-2010 ORI-OAI