|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Robertson le fantasmagore. Une conférence de Jérôme Prieur
/ La Cinémathèque française
/ 05-02-2010
/ Canal-U - OAI Archive
PRIEUR Jérome
Voir le résumé
Voir le résumé
Au détour du Père-Lachaise, se dresse le mausolée d'Étienne-Gaspard Robertson né à Liège le 15 juin 1763 et mort aux Batignolles le 2 juillet 1837. Physicien renommé en son temps et jusqu'à Saint-Pétersbourg pour ses ascensions aérostatiques et les séances de fantasmagories qu'il donnait à la fin du Directoire, au couvent des Capucines, Robertson avait inventé l'art de la nuit, la projection lumineuse, le cinématographe. Mot(s) clés libre(s) : fantasmagorie, lanterne magique, pré-cinéma
|
Accéder à la ressource
|
|
Les plaques de lanterne magique Life Models. Une conférence de Laurent Mannoni
/ La Cinémathèque française
/ 06-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
MANONNI Laurent
Voir le résumé
Voir le résumé
A partir des années 1870 apparaît en Angleterre un nouveau genre de plaques pour lanterne magique : les "Life Models". Ce sont des plaques photographiques sur verre transparent et rehaussées de couleurs à la main. Les prises de vues ont été réalisées dans des studios vitrés anglais, avec des acteurs et figurants. Chaque série de plaques raconte une histoire, mimée par les comédiens sur fond de toile peinte. Les vues étaient accompagnées de commentaires de musique et, parfois, de chansons. Ces plaques sont importantes pour l'histoire du cinéma, comme le souligne dès 1963 l'historien Olive Cook : il y a non seulement une "mise en scène" avec toile peinte, accessoires, acteurs, mais aussi des différences de plan, des intertitres, des effets de "montage", des flash-back, des ellipses narratives... Après une présentation historique du fonds exceptionnel conservé par la Cinémathèque (quelque 2 300 plaques), on projettera avec une double lanterne magique plusieurs séries originales ; on abordera aussi l'influence de ces plaques sur les premiers pas du cinématographe, en projetant quelques films des années 1900. Laurent Mannoni est le commissaire, avec Donata Pesenti Campagnoni, de l'exposition "Lanterne magique et film peint", et co-auteur du catalogue publié à cette occasion. Il est directeur scientifique du patrimoine de la Cinémathèque française, est l'auteur d'une quinzaine d'ouvrages sur les débuts du cinéma, et a réalisé plusieurs expositions (sur Marey, L'art trompeur, Méliès...). Mot(s) clés libre(s) : cinéma, film peint, lanterne magique, Laurent Manonni
|
Accéder à la ressource
|
|
La peinture animée depuis Emile Reynaud. Une conférence de Dominique Willoughby
/ La Cinémathèque française
/ 16-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française
Voir le résumé
Voir le résumé
En 1880 avec son Praxinoscope à projection, Emile Reynaud parvient à coupler la synthèse graphique du mouvement avec la lanterne magique, créant une nouvelle technique de peinture animée lumineuse, distincte des formes antérieures de projection et qui précède le cinéma photographique. Inventeur et artiste accompli, il crée ensuite le jeu expressif des personnages peints et animés dans ses Pantomimes Lumineuses, puis la Photo Peinture animée. De toutes ces inventions on peut retrouver des développements au fil des évolutions du cinéma, des films absolus au dessin animé narratif, en passant par les films coloriés et les hybridations graphiques et photographiques. Cependant la peinture animée en tant que technique « directe » va principalement se développer dans le cinéma expérimental, notamment avec les films de Len Lye et McLaren à partir des années 1930.Une conférence de Dominique Willoughby Mot(s) clés libre(s) : Dominique Willoughby, Emile Reynaud, lanterne magique
|
Accéder à la ressource
|
|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
|