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Auteurs > L > LAVASTROU MARC
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La thèse à l'heure du numérique : retour d'une expérience sur le doctorat / Marc Lavastrou

/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail / 28-05-2013 / Canal-u.fr
LAVASTROU Marc
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La thèse à l'heure du numérique : retour d'une expérience sur le doctorat / Marc Lavastrou. In journée d'étude "Les Digital Humanities : un renouvellement des questionnements et des pratiques scientifiques en SHS-ALL ?", organisée par les doctorants élus de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 28 mai 2013. Au sein des disciplines des Sciences Humaines et Sociales (SHS) et des Arts, Lettres, Langues (ALL), on distingue principalement trois types de pratiques liés aux Digital Humanities. La première conception consiste à voir le numérique comme un objet d’étude singulier. Dans ce cas, les domaines de la sociologie ou des sciences de l’information et de la communication peuvent, par exemple, chercher à comprendre et à analyser les caractéristiques et les aspects novateurs du développement des réseaux sociaux. La psychologie peut également user de ce terrain d’investigation en relevant, notamment, les différentes pathologies liées aux pratiques numériques et informatiques. Mais les Digital Humanities ne se limitent pas seulement au numérique comme objet de recherche. L’utilisation des technologies de l’informatique sont aujourd’hui indispensable à la réalisation d’un travail de recherche tel que le doctorat. Ces pratiques concernent l’ensemble des disciplines des SHS-ALL. Au-delà des logiciels de traitement de texte, les doctorants doivent désormais acquérir une expertise dans la pratique de logiciels informatiques à haute technicité afin de répondre aux exigences de la recherche et du développement. Dans un avenir proche, un travail comme celui du doctorat devrait être réalisé en étroite collaboration avec de multiples acteurs -archivistes, informaticiens, juristes, etc.- et mettre en place des interactions encore inédites à ce jour. Enfin, le champ des Digital Humanities concerne également l’évolution et les changements des modes de diffusion et de valorisation de la recherche induits par ces développements numériques. La présente communication s’attache essentiellement à définir, à travers de nombreux exemples, ces trois facettes des Digital Humanities à travers l’expérience du doctorat.
Mot(s) clés libre(s) : recherche documentaire, doctorants (lettres et sciences humaines), pratiques de recherche, archives ouvertes, outils numériques, données numériques (conservation)
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Réflexions théoriques sur l'application de la notion de bien commun à l'activité scientifique / Pierre-Carl Langlais, Marc Lavastrou

/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail / 13-10-2014 / Canal-u.fr
LANGLAIS Pierre-Carl, LAVASTROU Marc
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Réflexions théoriques sur l'application de la notion de bien commun à l'activité scientifique / Pierre-Carl Langlais et Marc Lavastrou. In Journée d'études "Generation Open : Open Science", organisée dans le cadre de l'Open Access Week par Françoise Gouzi (Direction en Appui à la Recherche-DAR) et Marc Lavastrou (Centre de Recherches et d'Études Germaniques-CREG), avec le soutien de Foster (Facilitate Open Science Training for European Research) et le consortium Couperin. Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 13 octobre 2014.Tour à tour, Marc Lavastrou et Pierre Carl Langlais retracent les notions de bien commun et d’activité scientifique et éditoriale à travers les époques. Au milieu du XVIIe siècle, deux communautés scientifiques -française et anglaise- se constituent autour de revues créées par des sociétés savantes (Royal Society notamment), les auteurs ne sont pas rémunérés et il existe une grande liberté de pensée, une incitation forte à publier et à partager la production intellectuelle sans souci du droit d’auteur. La diffusion du savoir est alors prioritaire sur les logiques propriétaires et marchandes. Nous sommes alors clairement en dehors de toute logique de marché mais aussi en dehors de toute logique d’évaluation de la recherche. Ce n’est qu’à partir du XIXe siècle que les grandes maisons d’éditions telles que Elsevier et Springer, spécialisées dans la littérature scientifique, vont parvenir à imposer peu à peu leurs conditions à la communauté des chercheurs en rachetant progressivement des petits éditeurs français. Depuis les années 1970, quatre gros éditeurs commerciaux ont le monopole et les inégalités entre les pays en voie de développement s’accentuent. Marc Lavastrou définit la notion de bien commun comme étant associé à une ressource, une communauté et un ensemble de règles sociales (Internet est une ressource immatérielle, les logiciels libres reposent sur des pratiques collaboratives), puis propose un éclairage sur les travaux d’Elinor Ostrom (première femme à recevoir le prix Nobel d’économie en 2009) et David Bollier (auteur de La renaissance des communs et cofondateur de https://www.publicknowledge.org/), qui réaffirment que les biens communs doivent être gérés de manière raisonnée comme des ressources naturelles et finies (eau, forêt), mais également immatérielles comme Internet ou la connaissance. Grâce à l’ouvrage dirigé par Elinor Ostrom et Charlotte Hess, Understanding Knowledge as a Commons (The MIT Press, 2011), la recherche scientifique est alors étudiée sous l’angle d’un commun pour lequel il est nécessaire d’établir des règles sociales afin de la société puisse se réapproprier ce bien qui est actuellement accaparé et contrôlé par des intérêts privés. Ce phénomène d’enclosure est néfaste tant pour la recherche que pour la société en générale.
Mot(s) clés libre(s) : archives ouvertes, libre accès à l'information scientifique et technique, biens communs informationnels, archives institutionnelles, open access, diffusion des résultats de la recherche
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