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Mots-clefs > L > lecture (didactique)
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  • 7 ressources ont été trouvées. Voici les résultats 1 à 7
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Tri :   Date Editeur Auteur Titre

Enseignement de la littérature au secondaire au Burundi : l'élève lecteur / Mechior Ntahonkirye

/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM / 22-10-2008 / Canal-U - OAI Archive
NTAHONKIRIYE Melchior
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L’enseignement de la littérature au secondaire au Burundi : quelle place pour l’élève lecteur ? / Mechior Ntahonkirye. Nourris d’un imaginaire collectif plutôt raconté que graphisé, les enseignants et les élèves burundais de l’enseignement secondaire confrontés à la littérature écrite y voient davantage un apprentissage neutre, objectif et détaché plutôt qu’un espace de projection fictionnelle personnelle et intime. Dans un tel contexte, l’œuvre littéraire ne donne pas suffisamment lieu à ce que Langlade et Fourtanier (2007) appellent « l’activité fictionnalisante » du lecteur, mais à une exploration de nature référentielle de l’univers décrit par la fiction.Cette hypothèse est confortée par le fait que la tradition scolaire qui débute avec la colonisation du pays au 20ème siècle, les programmes de littérature ainsi que les méthodes d’enseignement ont toujours considéré le français comme une discipline comme les autres, la littérature apparaissant comme un simple support de l’apprentissage des formes de la langue. Chez l’élève, ce n’est pas l’univers fictionnel suscité par l’œuvre littéraire qui est sollicité, mais sa capacité à explorer passivement l’histoire racontée et à s’approprier, au meilleur des cas, les subtilités formelles induites par l’œuvre.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque.
Mot(s) clés libre(s) : écriture (méthode d'apprentissage), enseignement de la littérature (Burundi), français (langue), lecture (didactique), lecture (subjectivité)
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Le texte du lecteur : présentation du colloque / Catherine Mazauric

/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM / 22-10-2008 / Canal-U - OAI Archive
MAZAURIC Catherine
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Le texte du lecteur : présentation du colloque / Catherine Mazauric (co-organisatrice et membre du comité scientifique). Colloque organisé par l'équipe de recherche "Lettres, Langages et Arts" (LLA). Université de Toulouse II-Le Mirail, 22-24 octobre 2008.Les théories contemporaines de la lecture littéraire accordent une place déterminante à l'activité des lecteurs dans l'actualisation et la reconfiguration des œuvres. Ainsi, un texte littéraire n'adviendrait véritablement que lorsque chaque lecteur lui aurait donné sa forme ultime.Le texte lu ressortit à la trame mentale qui l'anime : seul, écrit Jean Bellemin-Noël, le « trajet de lecture qui est tissé de la combinaison fluctuante de la chaîne de ma vie avec la trame des énoncés une fois pour toutes combinés par l'auteur mériterait d'être appelé texte ».C'est ce « texte du lecteur », pour reprendre une formule souvent utilisée afin de désigner métaphoriquement cet apport du sujet lisant à la réalisation de l'œuvre lue, que nous entendons interroger, du triple point de vue de sa genèse, de sa forme et de sa portée. Dans sa genèse et son élaboration : à quelles sources psychiques, culturelles, sociales l’activité fictionalisante du lecteur sollicitée par les œuvres s’alimente-t-elle ? Quels sont les territoires mentaux du sujet lecteur -mémoire intime, affects, expériences diverses, conditionnements sociaux, savoirs sur le monde, la littérature…- qui contribuent aux reconfigurations de l’œuvre ? Le texte du lecteur s’élabore-t-il comme une interprétation singulière du texte-partition de l’œuvre ? Est-il au contraire une création significativement nouvelle, qui réduirait le texte de l’œuvre au statut de simple trame fictionnelle, support de projections fantasmatiques et idéelles ? Dans sa forme : quelle est la texture de ce qui se « textualise » dans l’entre-deux mobile et incertain qui tout à la fois sépare et relie lecteur et œuvre ? De quels matériaux et matières se nourrissent ses différents aspects : formations verbales, rythmes, musiques et sons, couleurs, formes et images, lambeaux fantasmatiques et oniriques ? Le terme même de texte ne serait-il pas impropre, dans la mesure où, ainsi que le note Julien Gracq, « il n’y a pas de discours organisé de la communication intime avec un livre » ? ("En lisant en écrivant", Paris, José Corti, 1980, p.172). Quelle relation cette notion entretient-elle avec celles, partiellement concomitantes, de trajet, de dispositif, voire d’activité lectorale ? Dans sa portée : L'écriture littéraire elle-même n'est-elle pas alimentée, au moins pour une part, par la mémoire active de multiples fictionalisations de lecteur ? Le texte singulier de chaque lecteur a-t-il de la valeur pour d’autres que lui-même ? Dans quelle mesure est-il apte à se détacher du terreau expérientiel qui l’a vu naître ? Peut-il être partagé, comment, sous quelles formes ? Existe-t-il des textes communs à une ou des communautés de lecteurs ? Quelles relations entretient-il avec les productions verbales commentant les œuvres ? Saurait-il constituer une source pour la connaissance du texte de l’œuvre, voire un point de départ nécessaire pour l’analyse littéraire ? Ou n’y aurait-il pas quelque risque à en user ? Enfin, dans la perspective de l’enseignement, on pourra s’interroger sur les compétences favorisant l’émergence et l’élaboration de textes de lecteurs, ainsi que sur les pratiques qui contribueraient à les faire reconnaître, les enrichir et les faire partager. L'enseignement de la littérature et de la lecture littéraire peut-il ignorer les textes singuliers des lecteurs -ceux des élèves et étudiants bien sûr, mais aussi des enseignants, des critiques, des auteurs...- pour en rester à la seule analyse objectivante des œuvres ?> > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger".NB : l'illustration qui sert d'iconographie à la communication du colloque (affiche et programme...) est une image de synthèse réalisée par Toviraaj Ramcharit.
Mot(s) clés libre(s) : compréhension du texte, écriture en milieu scolaire, enseignement (littérature), intertextualité, lecture (didactique), lecture (pédagogie), lecture (subjectivité), lecture littéraire, livres et lecture, réception des oeuvres
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L'enseignant lecteur : implications individuelles et didactiques / Erick Falardeau

/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM / 22-10-2008 / Canal-U - OAI Archive
FALARDEAU Erick
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L'enseignant lecteur : implications individuelles et didactiques, Erick Falardeau. Dans une étude sur le rapport à la culture d’enseignants de français au secondaire, Erick Falardeau tente de comprendre la relation qui se tisse entre la façon dont un enseignant vit la culture et les pratiques enseignantes auxquelles il recourt pour accompagner ses élèves dans leur développement culturel.Une portion importante des questions posées aux enseignants participant à notre étude au cours d’entretiens semi-dirigés cherchaient à comprendre l’activité du sujet lecteur sous deux angles complémentaires, individuels et pédagogiques :1) comment les enseignants, eux-mêmes lecteurs, investissent-ils leurs lectures d’œuvres littéraires et dans quelle mesure sont-ils conscients de leur apport au texte littéraire ?2) comment les enseignants accompagnent-ils leurs élèves dans cette prise de conscience du caractère créatif de la lecture littéraire et quelle place laissent-ils en classe aux lectures singulières de leurs élèves ?Les résultats que Erick Falardeau présente et l’analyse qu'il en fait amènent à étudier la relation étroite qui se tisse entre les deux plans étudiés de l’activité du sujet lecteur, soit les plans individuel et pédagogique.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque.
Mot(s) clés libre(s) : lecture (didactique), littérature (enseignement), livres et lecture, réception des oeuvres, situation pédagogique
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Du texte du lecteur élève, de celui du maître... /Jean-Louis Dumortier, Micheline Dispy

/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM / 20-10-2008 / Canal-U - OAI Archive
DUMORTIER Jean-Louis, DISPY Micheline
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Du texte du lecteur élève, de celui du lecteur maître et de quelques problèmes qu’ils posent au didacticien /Jean-Louis Dumortier, Micheline Dispy. Soit une œuvre littéraire, un maître et des élèves. Le « texte du lecteur maître », c’est le modèle mental que le professeur a élaboré, à partir du texte de cette œuvre, en vue d’enseigner quelque chose, ou, plus fréquemment, c’est le modèle mental qu’il a élaboré à partir du texte en question et de divers discours (du commentaire savant au questionnaire pédagogique) s’y rapportant. Le « texte du lecteur élève » est un modèle mental moins lourd de sédiment métatexuel que le « texte du lecteur maître ». S’ouvre alors, pour l’enseignant, une alternative. Soit il prend des initiatives visant à réduire l’écart entre l’œuvre telle qu’il la comprend et l’œuvre telle qu’il pense que peuvent la comprendre la plupart de ses élèves : dans ce cas, il s’expose au danger de coucher la compréhension des élèves sur le lit de Procuste de sa propre production de sens. Soit, conscient de ce danger-là, doutant que, dans l’entreprise d’imposer d’entrée de jeu une démarche de lecteur expert, les chances de gain soient supérieures aux risques de perte, il s’accommode du fait que les élèves et lui-même n’ont pas lu (tout à fait) la même œuvre. Dans ce cas, il prête attention au « texte du lecteur élève » -de chaque lecteur élève- et il s’expose au danger du babélisme ou à celui de l’enfermement dans un discours « premier » qui limite les occasions de progrès et laisse sceptique quant aux bénéfices de la scolarisation. L’alternative est donc un dilemme : ce que l’on peut gagner d’un côté est indissociable de ce que l’on s’expose à perdre de l’autre. Envisageons cette branche du dilemme où le maître met sous le boisseau son « texte » personnel pour prêter attention au « texte du lecteur élève ». Surgit un double problème. Comment faire pour rendre communicable le modèle mental élaboré par chaque individu à partir de la chaîne des mots forgée par l’auteur. Comment faire pour organiser des échanges fructueux autour des « textes des lecteurs élèves » ? Nous émettons l’hypothèse que toutes les procédures ne se valent pas. Nous en expérimenterons donc plusieurs et feront part des résultats. Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'équipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008.>> Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque.> Accéder au site dédié au colloque.
Mot(s) clés libre(s) : lecture (didactique), lecture (méthode pédagogique), lecture littéraire, littérature (appréciation), littérature et enseignement, livres et lecture, réception des oeuvres
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Les textes du lecteur en situation scolaire / Jean-Louis Dufays

/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM / 20-10-2008 / Canal-U - OAI Archive
DUFAYS Jean-Louis
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Les textes du lecteur en situation scolaire / Jean-Louis Dufays. Notes critiques, fiche de lecture, journaux de lecture, parodies, pastiches… Quand on considère les supports et les modalités d’écriture dont dispose aujourd’hui un élève lecteur, on ne peut manquer d’être saisi par la multiplicité des "textes du lecteur" qui en résulte. Cette inflation des formes de production scolaire, qui témoigne de l’importance accordée depuis deux décennies à l’activité effective du récepteur, mérite d’être examinée en tant que telle. Le propos de Jean-Louis Dufays esquissent une typologie des textualisations de la lecture pratiquées en contexte scolaire, en s’interrogeant sur les enjeux et les limites de ces différentes productions, et en commentant brièvement quelques cas retenus comme emblématiques au sein d’un corpus recueilli dans cinq classes du secondaire. Jean-Louis Dufays s'appuie pour ce faire sur les propositions théoriques de Michel Otten (1987) et d’Alain Trouvé (2004) ainsi que sur les travaux déjà réalisés par son équipe (Dufays, Gemenne, Ledur, 2005).Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'équipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque.
Mot(s) clés libre(s) : écrits de jeunes, écriture (contexte pédagogique), lecture (didactique), lecture littéraire, réception des oeuvres
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Paramètres de la lecture affectivo-identitaire dans le discours pédagogique / Mouna Chemli

/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM / 22-10-2008 / Canal-U - OAI Archive
CHEMLI Mouna
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Les paramètres de la lecture affectivo-identitaire dans le discours pédagogique / Mouna Chemli. Les préoccupations actuelles reliées à l’enseignement de la littérature tentent de tenir compte des différents aspects cognitifs, métacognitifs, sociaux et surtout affectifs du développement de l’apprenant. D’ailleurs, tous ceux qui sont concernés par la pratique du texte littéraire peuvent convenir de l’influence des attitudes et des émotions dans ce domaine. C’est dans ce sens que nous proposons une réflexion sur la lecture affective qui s’avère un tournant important dans les nouvelles orientations didactiques qui s’intéressent à la reconfiguration du texte par le lecteur réel. Un premier constat s’impose : le plus souvent le sujet lecteur placé à l’intérieur du monde de fiction « pendant la durée du jeu, tient ce monde et ses habitants pour vrai » et il adopte une position plutôt affectivo-identitaire car le discours pédagogique qui accompagne le texte littéraire fait écho aux représentations et aux émotions des jeunes lecteurs. Ceux-ci se retrouvent dans l’univers fictif à travers les personnages qui se réfèrent à leur vie et à leur système de pensée. Le lecteur adopte ainsi une position affective quand il focalise sur les émotions, les sentiments suscités par les expériences des personnages. D’ailleurs, parmi les habiletés mises en jeu durant la lecture littéraire, on distingue bien le processus d’élaboration qui permet à l’apprenti lecteur de dépasser « la lecture expliquée » pour « la lecture impliquée » (Jean-Louis Dumortier et Marlène Lebrun) et d’aller plus loin que les attentes pédagogiques, ce qui lui permet de réagir d’une façon émotive et de développer sa sensibilité littéraire. Rosenblatt, lui, parle de moments de fusions ou de conflits avec le personnage et ce que ces moments peuvent alimenter dans la conscience du lecteur. Et parce que notre pensée s’est nourrie de cette dernière, nous nous interrogerons sur les pratiques effectives qui favorisent ce rapport particulier au texte en classe de FLS.- Quelles seraient les stratégies mises en œuvre par le discours pédagogique pour déclencher ce type d’attachement au texte littéraire ? Convient-il au plan didactique d’encourager la lecture subjective dite « impressionniste » ?- Quelles seraient les risques de cette lecture fusionnelle ? Comment initier les jeunes lecteurs à ne pas aller à l’encontre des donnés objectifs du texte et à brider le subjectivisme inhérent à ce type de lecture ?Ces premières considérations qui ouvrent au problème de la subjectivité dans l ‘interprétation du texte littéraire à l’école s’inspirent d’une recherche que nous menons actuellement sur le rapport au personnage dans le milieu scolaire tunisien.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque.
Mot(s) clés libre(s) : lecture (aspect cognitif), lecture (aspect psychologique), lecture (didactique), lecture (subjectivité), lecture littérature, méthode pédagogique (Tunisie), réception des oeuvres
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L'infratexte sensible du lecteur / Louis-Philippe Carrier

/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM / 20-10-2008 / Canal-U - OAI Archive
CARRIER Louis-Philippe
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L'infratexte sensible du lecteur / Louis-Philippe Carrier. La communication que propose Louis-Philippe Carrier s’intéresse moins au texte du lecteur en lui-même qu’à ce que nous nommons, en empruntant librement une expression à Bellemin-Noël (2001, p. 21), l’infratexte sensible du lecteur. Par analogie avec les rayons infrarouges, l’infratexte sensible désignerait ce produit de la lecture, cette émanation du lecteur, qui se situe en dehors du spectre visible (intelligible), mais contribue néanmoins à donner sa chaleur à un texte, à le rendre vivant pour un lecteur singulier. Cet infratexte sensible correspondrait, selon le point de vue que nous développerons, à la signifiance telle que Barthes l’a définie, c’est-à-dire au « sens en ce qu’il est produit sensuellement » (1973, p. 82). Afin d’approfondir cette idée, nous nous intéresserons à la façon dont un lecteur recourt, consciemment ou non, à sa mémoire affective pour s’approprier et comprendre un texte. En se questionnant sur le fonctionnement de cette mémoire du corps, en prenant notamment en exemple le travail des acteurs, Louis-Philippe Carrier espère aider les enseignants à former des sujets lecteurs qui sauront répondre avec sensibilité aux textes littéraires -condition essentielle d’une lecture littéraire authentique- et développer leur sensibilité au contact de ces œuvres. Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'équipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque.
Mot(s) clés libre(s) : goût de la lecture, lecture (aspect psychologique), lecture (didactique), livres et lecture, réception des oeuvres, travail de l'acteur
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