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Mots-clefs > L > littérature espagnole
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Tri :   Date Editeur Auteur Titre

Mi nombre es doña Isabel Fajardo, no Zelima : la fausse esclave dans la novela / Maria Zerari Penin

/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM / 23-03-2010 / Canal-U - OAI Archive
ZERARI-PENIN Maria
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Mi nombre es doña Isabel Fajardo, no Zelima : la figure de la fausse esclave dans la novela et la comedia. Maria ZERARI-PENIN. In Dire, taire, masquer les origines dans la péninsule ibérique, du Moyen Age au Siècle d'Or, colloque international organisé par l'Équipe de recherche "Littérature Espagnole Médiévale et du Siècle d'Or" (LEMSO) du laboratoire France méridionale et Espagne : histoire des sociétés du moyen age à l'époque contemporaine (FRAMESPA) en collaboration avec le département d'études hispaniques et hispano-américaines. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail (UTM), Médiathèque José Cabanis, 22-24 mars 2010. Thème 3 : Les textes et les codes, partie I (23 mars 2010).Parmi les héroïnes propres à la comedia et à la nouvelle du Siècle d’Or, une figure s’avère remarquable : celle de la fausse esclave. Il s’agit-là d’un personnage de vraie dame qui, à l’occasion de quelque revers amoureux, s’approprie l’habit de l’esclave pour masquer ses origines et acquérir, par là même, une identité opposée à son rang. En s’appuyant sur la nouvelle La esclava de su amante de María de Zayas, mais aussi sur une comedia telle que La esclava de su galán de Lope de Vega, notre étude voudrait tenter de cerner ladite figure à la lumière de son parcours et de son discours.Entre las protagonistas inherentes a la comedia y a la novela del Siglo de Oro, un personaje se revela particularmente interesante : la esclava fingida. Dicha protagonista es en realidad una dama quien, por despecho amoroso, reviste la apariencia de una esclava a fin de encubrir sus verdaderos orígenes, adquiriendo por lo tanto una identidad que se opone a su calidad. Para poner de realce el trayecto y el discurso de este tipo de heroína, nuestro estudio se propone examinar la novela zayesca La esclava de su amante a la luz de una comedia como La esclava de su galán de Lope de Vega.
Mot(s) clés libre(s) : esclave (dans la littérature), littérature espagnole (17e siècle), María de Zayas (1590-1660)
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Généalogies légendaires, parentés fictives: Prosapia de Cristo de Matute de Peñafiel / Hélène Tropé

/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM / 22-03-2010 / Canal-U - OAI Archive
TROPÉ Hélène
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Généalogies légendaires et parentés fictives : Prosapia de Cristo (1616). Hélène TROPÉ. In Dire, taire, masquer les origines dans la péninsule ibérique, du Moyen Age au Siècle d'Or, colloque international organisé par l'Équipe de recherche "Littérature Espagnole Médiévale et du Siècle d'Or" (LEMSO) du laboratoire France méridionale et Espagne : histoire des sociétés du moyen age à l'époque contemporaine (FRAMESPA) en collaboration avec le département d'études hispaniques et hispano-américaines. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail (UTM), Médiathèque José Cabanis, 22-24 mars 2010.Thème 1 : Origine des mots, origine des noms (22 mars 2010).« Généalogies et parentés fabuleuses. L'exaltation du sang divin de Lerma et de sa parenté avec Philippe III dans Prosapia de Christo (1614) de Diego Matute de Peñafiel Contreras ».En lien avec la problématique du colloque "Dire / taire / masquer les origines" et en particulier avec le second point: "généalogies", énoncé dans le deuxième axe du colloque, Hélène Tropé analyse la stratégie de promotion d'une image "royale" du duc de Lerma, favori de Philippe III, mise en œuvre dans l'ouvrage de Diego Matute de Peñafiel Contreras, Prosapia de Christo, publié à Baza en 1614. Les favoris de la Maison des Habsbourg, en particulier à partir de Philippe III, aimaient à faire un large étalage de leur noblesse. Parmi les stratégies mises en place par ces derniers pour se maintenir au pouvoir et tenter d'y rester le plus longtemps possible, se trouve cette revendication d'un haut lignage, celui-ci dût-il être inventé, sinon de toutes pièces, du moins en partie. Le texte qui fait l'objet de notre proposition de communication représente une étape importante dans cette stratégie puisque, dédié à don Francisco Gómez de Sandoval, duc de Lerma, il présente le lignage humain du Christ depuis Adam en montrant que certains ancêtres communs de Philippe III et de Lerma les apparentent. Il s'agira tout d'abord de replacer ce texte dans la double perspective historique qui permet d'en éclairer la genèse: d'abord, nous le situerons dans ce moment historique très particulier qu'est la monarchie de Philippe III, laquelle voit émerger une représentation du valido comme double ou alter ego du monarque, chose impensable sous le règne de son père, le Roi Prudent. Notamment, il s'agira de montrer que ce n'est pas un hasard si ce texte, qui, de façon saugrenue, fait entrer le favori dans la lignée royale, est publié en 1614, c'est-à-dire au moment où les critiques se multiplient contre "le plus grand voleur du monde" - el mayor ladrón del mundo selon le poète gongorin Villamediana-, et où il faut dès lors coûte que coûte renforcer cette image "royale" du favori, attaquée de toutes parts. De façon plus large, j'essaierai de montrer que ce texte s'inscrit aussi dans un mouvement idéologique plus ample, que l'on peut dater de la fin du XVIe siècle et du début du suivant, où les discours sur l'origine, la genèse, la naissance, le début, les généalogies, des mots, des choses et des personnes se multiplient, en relation directe avec une interrogation identitaire sur l'essence de l'Espagne et de "l'être espagnol", et ce depuis au moins les débuts du règne de Charles Quint. De ce point de vue, nous évoquerons aussi d'autres œuvres ayant exalté la grandeur de la généalogie du duc de Lerme et assuré que ses ancêtres avaient du sang royal. Puis, entrant dans ce texte très étrange qu'est La Prosapia de Cristo, et d'abord dans le paratexte, nous nous demanderons quelle part Lerma a pu prendre dans l'initiative de la rédaction de ce livre qui lui est dédié et quels liens pouvaient exister entre son auteur et le célèbre valido. Puis nous analyserons de près les ressorts de cette généalogie fabuleuse et de ces parentés fictives qui, à l'issue des quelques 334 pages que compte le texte, aboutissent à faire de Lerma non seulement le descendant d'Adam et Ève, Mathusalem, Noé, Hercule, sans oublier Enée, lesquels auraient été aussi les ascendants du roi, mais encore à l'insérer avec le monarque, dans le lignage du Christ.Enfin, envisageant ce livre comme le fer de lance d'une stratégie de communication habile, qui loin de désacraliser l'image du monarque au profit de son favori, renforçait au contraire l'image d'un roi de droit divin et faisait un parent de son privado, il s'agira de s'interroger sur la réception de ce texte, tant dans les milieux officiels que de façon plus large. Notamment, il fit l'objet d'une légère censure inquisitoriale, et il nous faudra analyser les modifications apportées. Autre question d'importance touchant à sa réception, nous nous demanderons dans quelle mesure une telle entreprise, certes adroite idéologiquement, mais ô combien tortueuse dans sa démonstration (et pour cause), pouvait être comprise et intégrée par les récepteurs du texte et quel crédit ces derniers pouvaient ajouter à de telles allégations pseudo-historiques sur un même sang divin coulant tant dans les veines du monarque régnant sur l'Empire espagnol que dans celles de son favori, Lerma.
Mot(s) clés libre(s) : biographie imaginaire, Diego Matute de Peñafiel, généalogie imaginaire, littérature espagnole (17e siècle), parenté fictive, Philippe III d'Espagne (1578-1621)
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L'héritage de l'Espagne des trois cultures : musulmans, juifs et chrétiens. Présentation / I. Touton

/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM / 08-04-2010 / Canal-U - OAI Archive
TOUTON Isabelle
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L'héritage de l'Espagne des trois cultures : musulmans, juifs et chrétiens. Présentation / Isabelle Touton. Rencontre-débat organisées par l'Université Toulouse II-Le Mirail, l'Institut Cervantes de Toulouse, en partenariat avec les Presses Universitaires du Mirail et le Centre d'Initiatives artistiques du Mirail (CIAM). Toulouse : Institut Cervantès, 8 avril 2010. Cette journée fête le 25 ème anniversaire de la revue Horizons maghrébins, Le droit à la mémoire avec la sortie de son numéro 61 consacré à cette Espagne des trois cultures. Parallèlement, la bibliothèque universitaire du Mirail présentait une exposition intitulée "L'héritage de l'Espagne des trois cultures, un regard contemporain sur un temps passé" rassemblant des œuvres de l'artiste Cyril Torres créées spécialement pour l'occasion.Isabelle présente la rencontre : Juan Goytisolo évoquera la question de « l’occidentalité nuancée de l’Espagne », Bartolomé Bennassar parlera de « l’islam occidental » en se référant à des textes espagnols, quant à Eva Touboul Tardieu elle traitera de « l’Espagne et les sépharades, une relation basée sur des mythes ».Texte de présentation du n°61 de la revue Horizon maghrébinsLes sept siècles de présence musulmane en Espagne, de 711 à 1492, ont profondément marqué la réalité historique et culturelle de la Péninsule ibérique en rendant possible l'émergence d'une civilisation, celle d'al-Andalus – terme utilisé par les auteurs arabes du Moyen Âge pour désigner l'Espagne musulmane. Les grandes réalisations architecturales, comme la mosquée de Cordoue et l'Alhambra de Grenade, mais aussi l'art mudéjar et, dans le domaine intellectuel, la pensée d'Averroès et celle de Maïmonide, constituent des oeuvres essentielles de l'héritage d'al-Andalus. La Reconquête chrétienne, culminant avec la prise de Grenade par les Rois catholiques en 1492, ouvrit une période sombre placée sous le signe de l'unification politico-religieuse qui tendit à faire disparaître les témoignages et les apports de cet héritage et à soumettre, par la violence et la conversion forcée, les communautés (celle des juifs convertis et des morisques) parties intégrante de ce que l'on appelle depuis le milieu du XXème siècle l'Espagne des « trois cultures ».À la coexistence limitée entre maures, juifs et chrétiens, durant la période médiévale, marquée par des collaborations fécondes et des influences réciproques, succéda alors, dès la fin du XIVème siècle, une longue phase de persécution des minorités (expulsion des juifs dès 1492 et des morisques en 1609) et de mise à l'écart délibérée du legs culturel et identitaire de l'Espagne des trois religions. Depuis la redécouverte par les romantiques, au XIXème siècle, des vestiges et des symboles de cette Espagne médiévale souvent idéalisée, et les vifs débats historiographiques, dès le milieu de ce même siècle, chez les arabisants et les médiévistes qui mettront plus tard en avant l'«orientalisation» ou, selon leurs positions, l'«occidentalité» d'al-Andalus, la question de l'héritage des « trois cultures » en Espagne n'a cessé, à des degrés divers, d'être inscrite au sein de stratégies et d'enjeux idéologiques et politiques. Ces derniers sont présents dans les discussions suscitées par l'entreprise de restauration de l'architecture de cette époque, mais également dans les différentes utilisations des recherches archéologiques qui permettent parfois d'appuyer le travail des historiens pour établir certains faits en s'opposant à l'effacement de ce passé.La question des « trois cultures » en Espagne a ainsi occupé, ces trente dernières années, une place décisive dans les confrontations entre historiens spécialistes de ce champ d'études, mais aussi dans les pratiques culturelles liées à la commémoration de cet héritage parfois valorisé par certaines communautés autonomes (en Andalousie notamment) et, enfin, dans le domaine de la création artistique par son retour à la diversité d'une tradition culturelle dont la « modernité » est continuellement explorée. Sur ce plan artistique, les phénomènes de métissage montrent la vitalité de cet héritage sur les deux rives de la méditerranée comme en témoignent, par exemple, les formes de renouvellement de la musique arabo-andalouse. Héritage contrasté, occulté, redécouvert et réapproprié, l'Espagne des « trois cultures » est indissociable d'une histoire conflictuelle dont la meilleure compréhension peut néanmoins redéfinir les lignes de clivage pour mettre en lumière le rôle et l'influence de cet héritage pluriel, comme lieu de dialogue et d'échange socioculturel, dans l'espace euro-méditerranéen.
Mot(s) clés libre(s) : christianisme et civilisation (Espagne), culture arabo-andalouse (Espagne), islam (Espagne), Islam et civilisation (Espagne), judaïsme et civilisation (Espagne), littérature espagnole (XIIIe-XVe siècle), littérature judéo-espagnole, multiculturalisme (Esp
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La transmission de savoirs licites ou illicites (2/3)

/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM / 20-05-2008 / Canal-u.fr
SCPAM Université Toulouse II-Le Mirail
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La transmission de savoirs licites ou illicites dans le monde hispanique péninsulaire (XIIe au XVIIe siècles), partie 2/3. Colloque international organisé par l'équipe "Littérature espagnole médiévale et du siècle d'or" (LEMSO) rattachée au laboratoire FRAMESPA, sous la direction scientifique de Françoise Cazal, Amaia Arizaleta et Luis González Fernández, Université Toulouse II-Le Mirail, 19-21 mai 2008.Communications - Lola González : De la Passio al texto dramático. La transmisión de la hagiografía en España durante el Siglo de Oro. El caso de los santos y mártires Justo y Pastor. - Claude Chauchadis : La Philosophia de la destreza de las armas de Jerónimo de Carranza, del buen modo de transmitir la ciencia de las armas. - Eva Galar : « Cómo han de ser las esposas », o la educación de la mujer casada en el teatro de Tirso de Molina. - Françoise Maurizi : El Doctrinal de Hernando de Ludueña : lo lícito y lo ilícito en la Corte. - Miguel Zugasti : Santidad bajo sospecha : la vida de Sor Juana de la Cruz (1481-1534) en florilegios de santos, crónicas y escenarios del Siglo de Oro. - Anny Cánovas : Une transmission corporelle illicite du savoir religieux : la place du corps dans certains procès de femmes « hétérodoxes ». - Fabrice Quero : Les emprunts du De divino nomine Iesus per nomen tetragrammaton significato (1550) de Juan Martínez Silíceo au kabbalisme, et ses ambiguïtés. - Florence Raynié : Exemplarité et savoir religieux : les récits brefs dans Pastores de Belén de Lope de Vega. - Mónica Güell : Transmisión de saberes y valores en los romanceros de finales del siglo XVI.
Mot(s) clés libre(s) : littérature hagiographique, littérature espagnole (17e siècle), littérature espagnole (16e siècle), Félix Lope de Vega (1562-1635), transmission des connaissances, littérature espagnole médiévale, Tirso de Molina (1584?-1648), théâtre espagnol (17e siècle), savoir et érudition
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"Pastores de Belén" de Lope de Vega : un roman des origines / Florence Raynié Eustache

/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM / 23-03-2010 / Canal-U - OAI Archive
RAYNIÉ-EUSTACHE Florence
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Pastores de Belén de Lope de Vega : un roman des origines. Florence RAYNIÉ-EUSTACHE. In Dire, taire, masquer les origines dans la péninsule ibérique, du Moyen Age au Siècle d'Or, colloque international organisé par l'Équipe de recherche "Littérature Espagnole Médiévale et du Siècle d'Or" (LEMSO) du laboratoire France méridionale et Espagne : histoire des sociétés du moyen age à l'époque contemporaine (FRAMESPA) en collaboration avec le département d'études hispaniques et hispano-américaines. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail (UTM), Médiathèque José Cabanis, 22-24 mars 2010.Thème 3 : Les textes et les codes, partie I (23 mars 2010).Pastores de Belén est un roman pastoral a lo divino de Lope de Vega, publié en 1612. Dans cette œuvre, centrée sur la naissance du Christ et l’Adoration des bergers, l’auteur traite le sujet de l’origine sous plusieurs aspects que je m’attacherai à analyser dans ce travail : origine de l’œuvre elle-même, naissance du Christ, création du monde, onomastique, généalogies...Pastores de Belén es una novela pastoril a lo divino de Lope de Vega, publicada en 1612. En esta obra, centrada en el nacimiento de Cristo y en la Adoración de los pastores, el autor trata el tema del origen bajo varios aspectos que voy a intentar analizar en este trabajo : origen de la misma obra, nacimiento de Cristo, creación del mundo, onomástica, genealogías...
Mot(s) clés libre(s) : Félix Lope de Vega (1562-1635), littérature espagnole (17e siècle)
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/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM / 22-03-2010 / Canal-U - OAI Archive
PONCE CARDENAS Jesús
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Mot(s) clés libre(s) : littérature espagnole (17e siècle), Luis de Gongora y Argote (1561-1627), poésie espagnole (17e siècle), vocabulaire (pêche)
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La question des origines dans "Don Quichotte" / Michel Moner

/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail / 23-03-2010 / Canal-u.fr
MONER Michel
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La question des origines dans Don Quichotte. Michel MONER. In "Dire, taire, masquer les origines dans la péninsule ibérique, du Moyen Age au Siècle d'Or", colloque international organisé par l'Équipe de recherche Littérature Espagnole Médiévale et du Siècle d'Or (LEMSO) du laboratoire France méridionale et Espagne : histoire des sociétés du moyen age à l'époque contemporaine (FRAMESPA) en collaboration avec le département d'études hispaniques et hispano-américaines. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail (UTM), Médiathèque José Cabanis, 22-24 mars 2010. Thème 3 : Les textes et les codes, partie I (23 mars 2010). La question des origines se pose, dans Don Quichotte, depuis le prologue à la première partie, où l’on met en question la « paternité » de l’auteur, et les premiers chapitres où l’on développe un long excursus sur les « origines » du livre et l’identification de ses sources. Le propos de cette communication est d’étudier les variations du traitement de cette thématique qui affleure de manière récurrente, aussi bien dans la première, que dans la seconde partie de Don Quichotte. La cuestión de los orígenes se plantea, en El Quijote, desde el prólogo de la Primera parte, en la que se cuestiona la misma « paternidad » del autor, y los primeros capítulos donde se desarrolla un largo excursus acerca de los « principios » del libro y de la identificación de sus fuentes. El propósito de esta comunicación consiste en estudiar las variaciones del tratamiento de este tema que aflora de manera recurrente, tanto en la Primera como en la Segunda parte del Quijote.
Mot(s) clés libre(s) : littérature espagnole (17e siècle), Miguel de Cervantes Saavedra (1547-1616), littératures (sources), Miguel de Cervantes (Don Quichotte), Miguel de Cervantes (Don Quijote de la Mancha), paternité littéraire
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La question des origines dans "Don Quichotte" / Michel Moner

/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM / 23-03-2010 / Canal-U - OAI Archive
MONER Michel
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La question des origines dans Don Quichotte. Michel MONER. In Dire, taire, masquer les origines dans la péninsule ibérique, du Moyen Age au Siècle d'Or, colloque international organisé par l'Équipe de recherche "Littérature Espagnole Médiévale et du Siècle d'Or" (LEMSO) du laboratoire France méridionale et Espagne : histoire des sociétés du moyen age à l'époque contemporaine (FRAMESPA) en collaboration avec le département d'études hispaniques et hispano-américaines. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail (UTM), Médiathèque José Cabanis, 22-24 mars 2010.Thème 3 : Les textes et les codes, partie I (23 mars 2010).La question des origines se pose, dans Don Quichotte, depuis le prologue à la première partie, où l’on met en question la « paternité » de l’auteur, et les premiers chapitres où l’on développe un long excursus sur les « origines » du livre et l’identification de ses sources. Le propos de cette communication est d’étudier les variations du traitement de cette thématique qui affleure de manière récurrente, aussi bien dans la première, que dans la seconde partie de Don Quichotte.La cuestión de los orígenes se plantea, en El Quijote, desde el prólogo de la Primera parte, en la que se cuestiona la misma « paternidad » del autor, y los primeros capítulos donde se desarrolla un largo excursus acerca de los « principios » del libro y de la identificación de sus fuentes. El propósito de esta comunicación consiste en estudiar las variaciones del tratamiento de este tema que aflora de manera recurrente, tanto en la Primera como en la Segunda parte del Quijote.
Mot(s) clés libre(s) : littérature espagnole (17e siècle), littératures (sources), Miguel de Cervantes (Don Quichotte), Miguel de Cervantes (Don Quijote de la Mancha), Miguel de Cervantes Saavedra (1547-1616), paternité littéraire
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/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM / 23-03-2010 / Canal-U - OAI Archive
MESSINA FAJARDO Trinis Antonietta, MESSINA FAJARDO Luisa Allesita
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Mot(s) clés libre(s) : Félix Lope de Vega (1562-1635), La Dorothea (onomastique), littérature espagnole (17e siècle)
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La Farsa del Santissimo Sacramento, pièce anonyme, source possible de Sanchez de Badajoz/ C. Mérique

/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM / 22-03-2010 / Canal-U - OAI Archive
MÉRIQUE Cyril
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La Farsa del Santissimo Sacramento de 1521 : une pièce anonyme à la genèse de l'auto sacramental et une source possible de Diego Sanchez de Badajoz. Cyril MÉRIQUE. In Dire, taire, masquer les origines dans la péninsule ibérique, du Moyen Age au Siècle d'Or, colloque international organisé par l'Équipe de recherche "Littérature Espagnole Médiévale et du Siècle d'Or" (LEMSO) du laboratoire France méridionale et Espagne : histoire des sociétés du moyen age à l'époque contemporaine (FRAMESPA) en collaboration avec le département d'études hispaniques et hispano-américaines. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail (UTM), Médiathèque José Cabanis, 22-24 mars 2010.Thème 1 : Origine des mots, origine des noms (22 mars 2010).La Farsa del Santísimo Sacramento de 1521 constitue un terminus a quo dans l’histoire du théâtre religieux eucharistique dans la mesure où c’est la première pièce datée qui fasse explicitement allusion au Saint Sacrement. Mais le texte de la Farsa est d’autant plus intéressant qu’il précède de très peu les premières pièces religieuses du célèbre curé de Talavera la Real, Diego Sánchez de Badajoz. Or, on ne peut manquer de remarquer les similitudes entre la Farsa de 1521 et plusieurs pièces eucharistiques de Diego Sánchez de Badajoz. L’auteur anonyme de la Farsa de 1521 a- t-il été l’une des sources du curé d’Estrémadure ? La Farsa en question se situe-t-elle vraiment à la genèse de l’auto sacramental ? Cette étude essaye d’analyser différents éléments théâtraux constitutifs de la Farsa anonyme, qui seront, peut-être, à l’origine de l’auto sacramental, et seront donc repris par les auteurs de drames eucharistiques immédiatement postérieurs, comme Diego Sánchez de Badajoz.
Mot(s) clés libre(s) : littérature espagnole, théâtre espagnol
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