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On comparative concepts and descriptive categories, such as they are. Johan van der Auwera (Center for Grammar, Cognition and Typology, University of Antwerp)
/ Franck Guillemain
/ Canal-u.fr
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Johan van der Auwera de l'Université d'Anvers, Professeur invité sur les chaires internationales du Labex EFL, a donné une série de 4 conférences sur la thématique de la complexité en linguistique.
Les conférences ont eu lieu les mardis 6 et 20 octobre, et 3 et 10 novembre de 10h00 à midi, à La Maison de la recherche - salle Claude Simon 4 rue des Irlandais 75005 Paris.
On comparative concepts and descriptive categories, such as they are, est la 3ème conférence du cycle. Mot(s) clés libre(s) : LLACAN, Johan van der Auwera, Labex EFL International Chair for visiting professors, Maison de la recherche de Paris III, Complexité linguistique, On comparative concepts and descriptive categories, such as they are
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NEGATION, Johan van der Auwera (Center for Grammar, Cognition and Typology, University of Antwerp) (copie)
/ Franck Guillemain
/ Canal-u.fr
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Johan van der Auwera de l'Université d'Anvers, Professeur invité sur les chaires internationales du Labex EFL, a donné une série de 4 conférences sur la thématique de la complexité en linguistique.
Les conférences ont eu lieu les mardis 6 et 20 octobre, et 3 et 10 novembre de 10h00 à midi, à La Maison de la recherche - salle Claude Simon 4 rue des Irlandais 75005 Paris. Mot(s) clés libre(s) : LLACAN, Johan van der Auwera, Labex EFL International Chair for visiting professors, Maison de la recherche de Paris III, Complexité linguistique
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Les monuments domestiques pour le plus grand nombre : une autre histoire / Daniel Pinson
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
PINSON Daniel
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Les monuments domestiques pour le plus grand nombre : une autre histoire. Daniel PINSON. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis", organisé avec la collaboration des universités Rennes 2, Paris 1 et Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II Le Mirail, 8-10 avril 2010.Dans les années 50, Rezé, banlieue sud de Nantes, a été le terrain d'une curieuse compétition entre immeuble collectif et cité-jardin. A quelques centaines de mètres l'une de l'autre et presque simultanément, deux expériences en matière de logement se concrétisèrent pour répondre à la grave crise du logement de l'immédiat après-guerre. Elles sont aussi intéressantes en elles-mêmes que par le projet dont elles étaient porteuses, en particulier la faveur que l'une accordait à l'immeuble collectif et l'autre au pavillon, comme solution au logement du plus grand nombre. L'une est la deuxième cité Castor de l'après-guerre construite en France : la cité de la Balinière ou Claire Cité, lotissement de cent une maisons réalisées en auto-construction quasi intégrale. L'autre est la seconde Maison Radieuse de Le Corbusier, érigée selon son concept de l'Unité d'habitation.- Voir le diaporama de la communication "Les monuments domestiques pour le plus grand nombre : une autre histoire…" sur le site de Daniel Pinson (cliquer sur l'image pour y accéder). Mot(s) clés libre(s) : architecture moderne, Castors (mouvement coopératif d'autoconstruction), Claire-cité (Balinière, France), immeubles d'habitation, Le Corbusier (1887-1965), Maison radieuse (Rezé), Rezé), Rezé-Lès Nantes (Loire-Atlantique
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SFAP 2011 Mourir à la maison : un rendez-vous trop souvent manqué
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 28-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
MOREAU S.
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1-8Titre : SFAP 2011 Mourir à la maison : un rendez-vous trop souvent manqué.Auteur(s) : S. MOREAU (Médecin – Limoges - France).Etablissement : Service Hématologie clinique et thérapie cellulaire, CHU Dupuytren, Limoges, France.Résumé : « C’est à la façon dont on meurt dans une société que l’on sait comment on y vit ». Selon le rapport 2009, de l’Inspection Générale des Affaires Sociales, 3/4 des patients décèdent en institution alors que 80% souhaiteraient mourir à la maison. Parallèlement, les autorités de santé tentent d’instaurer des politiques incitatives de retour à domicile. Pourtant, les retours, parfois in extremis, à l’hôpital deviennent fréquents, offrant le triste spectacle d’une fin de vie dans le couloir des urgences, avec un sentiment amer pour les soignants. Comment expliquer un tel hiatus entre une volonté exprimée de mourir à la maison et la réalité bien concrète d’une fin de vie institutionnalisée ?L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier A4 – Agonie et moment de la mort.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, mourir à la maison, SFAP 2011, soins palliatifs
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SFAP 2011 – L’alliance soignants en soins palliatifs et l’accompagnement au deuil.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 30-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
MAURO C.
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Titre : SFAP 2011 – L’alliance entre soignants en soins palliatifs et chambre mortuaire dans l’accompagnement au deuil. Auteur(s) : C. MAURO (psychologue – Lomme - France).Etablissement : Unité de Soins Palliatifs, Centre Hospitalier Saint Philibert, Lomme, France.Résumé : La mort survient aujourd’hui le plus souvent en dehors de l’espace privé où l’on avait vécu, accompagnée de soignants investis pleinement auprès du patient et de sa famille. Les questions formulées et recueillies dans l’instant du mourir sont nombreuses et complexes. Certaines, au-delà des tabous, de la culpabilité, de la gêne, concernent l’après, le devenir du corps mort, les démarches à entreprendre, et dans cette continuité les modalités d’organisation des obsèques à venir.L’objectif de notre propos est de mettre en évidence les modalités d’accompagnement de ces demandes intimes et douloureuses au travers le travail de liaison nécessairement mis en place entre les soignants de l’unité de soins palliatifs et les soignants en chambre mortuaire. Nous fonderons notre développement à partir des résultats obtenus à l’issue d’une thèse de doctorat en psychologie et sur la base de rencontres cliniques.Nous tenterons de faire valoir les différentes missions de ces soignants singuliers (information auprès des équipes pour la préparation du corps, accueil et recueil des premiers souhaits de la famille, respect des croyances et des rites funéraires, réalisation de la toilette mortuaire, présentation du défunt, réalisation des démarches administratives, travail de liaison avec les pompes funèbres,préservation et respect du corps,…) afin de mettre en évidence le sens profond que recouvre cette complémentarité avec l’équipe de l’unité de soins palliatifs et les enjeux psychiques tant du point du vue du patient (réassurance, information…), que de sa famille (présence sécurisante, réappropriation du défunt, possibilité d’un recueillement, apaisement des stigmates de souffrance du patient décédé, accompagnement au deuil… ) et des soignants de cette équipe (alliance thérapeutique…).Les perspectives de ce travail sont multiples : renforcer les valeurs d’humanitude, donner une place et réinscrire le mort dans la communauté, être au plus près des besoins dans l’accompagnement du deuil, préparer l’indispensable travail de mémoire.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier F6– Deuil et rites funéraires.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, infirmier, maison de retraite, SFAP 2011, soins palliatifs
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Chronique des Pygmées baka : construction de huttes mongulu
/ 18-06-2012
/ Canal-u.fr
MAGET Laurent
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Est du Cameroun, 35 km à l'est de la ville de Lomié, département du Haut-Nyong.
Construits en forme de dôme, de surfaces très variables selon le nombre d'occupants, les huttes mongulu sont formées d'une charpente de jeunes tiges tressées (baliveaux) enfoncées dans le sol, recouvertes de feuilles de Marantacées (Maranta leuconeura), disposées comme des tuiles. L'ouverture de la hutte (parfois en forme de tunnel) est orientée dans le sens de la pente.
ACTRICES: Andenda Claire, Mimbo Marie, Ndjeno Brigitte, Sawala Catherine, Wessambo Chantal.
CAMÉRA SON MONTAGE : Steeve Calvo
RÉALISATION : Laurent Maget
Production : L. Maget, Laboratoire dynamique de l'évolution humaine UPR2147 CNRS Mot(s) clés libre(s) : pygmées, Maranta leuconeura, marantacées, habitat nomade, huttes, baka, video, Cameroun, architecture, maison
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SFAP 2011 – Perception et vécu du rôle infirmier en soins palliatifs.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 30-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
KAECH F.
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Titre : SFAP 2011 – Perception et vécu du rôle infirmier ressource en soins palliatifs (IRPS) dans les maisons de retraites médicalisées et au domicile (ARCOS).Auteur(s) : F. KAECH (assistant de recherche à Lausanne – Suisse).Etablissement : Institut des Sciences Sociales, Université de Lausanne, Suisse,Résumé : Dans le cadre du Programme Cantonal Vaudois de développement des soins palliatifs, le réseau de soins lausannois (ARCOS) avec le soutien de la santé publique a créé le statut et l’institutionnalisation du rôle d’Infirmier-ère Ressource en Soins Palliatifs (IRSP). Le but de ce dispositif est de renforcer la prise en charge des patients en situation palliative en maison de retraite médicalisée (EPHAD) et au domicile. La mise en œuvre d’une telle démarche repose sur la formation d’une partie du personnel de santé de première ligne de ces institutions, qui opère en tant que ressource pour le reste du personnel. Cette recherche analyse, à partir des points de vue croisés des IRSP et des responsables institutionnels, le rapport des infirmiers(ères) à leur rôle d’IRSP, ainsi que les freins et les facteurs favorisant l’application de ce rôle au sein de leurs contextes institutionnels respectifs..L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversitésDu 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier E6– Démarche palliative selon le lieu de prise en charge.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, infirmier, maison de retraite, SFAP 2011, soins palliatifs
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SFAP 2011 – A la rencontre de deux cultures : soins intensifs – soins palliatifs
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 29-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
GUAY D.
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Titre : SFAP 2011 – A la rencontre de deux cultures : soins intensifs – soins palliatifsAuteur(s) : D. GUAY (infirmière – Québec – Canada).Etablissement : Université de Sherbrooke, Longueuil, CanadaRésumé : Accompagner les patients en fin de vie fait partie du quotidien des infirmières œuvrant à l’unité de soins intensifs (USI). Pour plusieurs, la transition du soin curatif vers le soin palliatif est vécue comme une période ambiguë et angoissante. Elles se disent insuffisamment préparées et peu impliquées dans le processus décisionnel formel et cette situation affecte considérablement la qualité des soins aux patients et à leur famille. La plupart des études portant sur l’expérience des infirmières sont rétrospectives et les comportements pouvant correspondre aux «bons soins» ainsi que les conditions les facilitant sont souvent peu décrits, présentés sous forme de suggestions ou intégrés aux résultats.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversités.Du 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier E6– Démarche palliative selon le lieu de prise en charge.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, infirmier, maison de retraite, SFAP 2011, soins palliatifs
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Le "chant du cygne" : de la prostitution réglementée durant l'entre-deux-guerres / Hélène Duffuler-Vialle
/ Franck DELPECH, SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 19-11-2014
/ Canal-u.fr
DUFFULER-VIALLE Hélène
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Le "chant du cygne" : de la prostitution réglementée durant l'entre-deux-guerres / Hélène Duffuler-Vialle. In journée d'étude "La prostitution urbaine en Europe du Moyen Âge à nos jours" organisée par le laboratoire France Méridionale et Espagne (FRAMESPA) à l'Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, 19 novembre 2014.A partir notamment des archives départementales du Nord et du
Pas-de-Calais, des archives municipales de Lille, Douai, Boulogne, Dunkerque,
Roubaix et des thèses juridiques d’époque, Hélène Duffuler-Vialle étudie
l'évolution des maisons de tolérance durant l'Entre-deux-guerres entre abolitionnisme
et réglementarisme, un régime juridique spécial qui encadre la prostitution et
dont la mise en œuvre et l'application ont été déléguées -du Consulat jusqu’en
1946- à l’autorité municipale. Au cours du XIXe siècle la plupart des maires
adoptent des logiques réglementaristes communes sur l’ensemble du territoire,
il s’agit de l’ « âge d’or » des maisons de tolérance. A la fin du XIXe siècle, le nombre de maisons décline en raison, notamment, de l’extension de la
prostitution clandestine qui s’exerce dans les bars à femmes, de nouvelles
conduites prostitutionnelles et de la critique abolitionniste contre la
prostitution réglementée. Après la Première Guerre mondiale, les maisons de
tolérance semblent trouver un nouveau souffle sur l’ensemble du territoire, du fait de l'afflux d’hommes dans les zones à
reconstruire ou dans les zones militarisées. Le Nord-Pas-de-Calais fait figure
de bastion du réglementarisme. Dans le département du Nord, en 1921, Dunkerque
est, après Paris, la deuxième ville par le nombre de maisons closes. Dans le
Pas-de-Calais, le recours à de la main d'œuvre étrangère dans les usines et les
mines explique la réorganisation et la multiplication des maisons de tolérance. Au niveau national, face
aux critiques abolitionnistes et aux positions du Comité de la traite des
femmes et des enfants de la Société des Nations, une remise en question du
réglementarisme se dégage et une tendance prohibitionniste semble poindre. Les
projets et propositions de loi, soit abolitionnistes, soit réglementaristes, tentent
d'instaurer le délit de contamination, le délit de racolage et des mesures
sanitaires coercitives, sans prévoir toutefois le délit de prostitution des
femmes majeures consentantes. Ne parvenant pas à se positionner entre
abolitionnisme et réglementarisme, le législateur reste silencieux. Les
circulaires ministérielles sont également ambivalentes car certaines créent des
standards afin que les règlements municipaux puissent parer les critiques
abolitionnistes et d’autres interdisent l’ouverture de nouvelles maisons. Mot(s) clés libre(s) : France (1919-1939), prostitution (droit), maison de tolérance
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/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 28-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
CHAZOT I.
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Mot(s) clés libre(s) : accompagnement, mourir à la maison, SFAP 2011, soins palliatifs
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