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L'architecture à Toulouse (1945-1975) : une modernité en marge / Jean-Loup Marfaing
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
MARFAING Jean-Loup
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L'architecture à Toulouse (1945-1975) : une modernité en marge. Jean-Loup MARFAING. Colloque Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis, organisé avec la collaboration des universités Rennes 2, Paris 1 et Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II Le Mirail, 8-10 avril 2010.Jean-Loup Marfaing donne un aperçu des réalisations et des préoccupations architecturales de quelques architectes toulousains entre 1950 et 1970, dont les expérimentations furent cadrées par le "Cahier des prescriptions techniques fonctionnelles minimales unifiées" mais révèlent une singularité et une certaine distance prise avec les dogmes de la modernité :- Pierre Lafitte, qui fit partie de l'atelier AAA (avec Candilis) sur la construction de l'université du Mirail et dont on peut remarquer le souci de verticalité et de la composition de façade avec, notamment, la Cité des Combattants, l'immeuble Buzzelli, le Grand Verger et le programme de la rue Saint-Michel.- Fabien Castaing, qui travailla sur la construction de l'université du Mirail, réalisa l'immeuble Citroën, les Archives départementales, tenta une reprise de la cité radieuse avec la Cité Roguet (quartier Saint-Cyprien) et expérimenta notamment les immeubles en gradins : l'immeuble Bastiani à Saint-Agne puis la résidence Babylone de la Terrasse dont la rue traversante créé un espace extrêmement intéressant.- Maurice Zavagno et Paul Gardia, spécialistes de la "culture partagée", qui réalisèrent ensemble le centre de l'AFPA (au Palays), tandis que les villas du Chemin Michoun furent conçues par Zevagno après le décès de Gardia.- Bernard Bachelot, au savant travail des volumes et des détails sur des plans très clairs, réalisa l'immeuble Perry (du nom du commanditaire) de la place Esquirol, l'immeuble Cap Wilson ainsi que l'ensemble de logements collectifs et de villas dans le quartier du TOEC.- Paul Debeaux, co-fondateur de l'Atelier AAA, dont la formation initiale de mathématicien transparaît, par exemple, dans la singularité des structures tri-dimentionnelles du grand hall de la caserne de pompiers Jean Vion. Mot(s) clés libre(s) : France (Midi-Pyrénées), Mouvement moderne (architecture), Toulouse (1945-1975)
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L'architecture à Toulouse (1945-1975) : une modernité en marge / Jean-Loup Marfaing
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Claire SARAZIN
/ 08-04-2010
/ Canal-u.fr
MARFAING Jean-Loup
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L'architecture à Toulouse (1945-1975) : une modernité en marge. Jean-Loup MARFAING. Colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis", organisé avec la collaboration des universités Rennes 2, Paris 1 et Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II Le Mirail, 8-10 avril 2010.Jean-Loup Marfaing donne un aperçu des réalisations et des préoccupations architecturales de quelques architectes toulousains entre 1950 et 1970, dont les expérimentations furent cadrées par le "Cahier des prescriptions techniques fonctionnelles minimales unifiées" mais révèlent une singularité et une certaine distance prise avec les dogmes de la modernité :- Pierre Lafitte, qui fit partie de l'atelier AAA (avec Candilis) sur la construction de l'université du Mirail et dont on peut remarquer le souci de verticalité et de la composition de façade avec, notamment, la Cité des Combattants, l'immeuble Buzzelli, le Grand Verger et le programme de la rue Saint-Michel.- Fabien Castaing, qui travailla sur la construction de l'université du Mirail, réalisa l'immeuble Citroën, les Archives départementales, tenta une reprise de la cité radieuse avec la Cité Roguet (quartier Saint-Cyprien) et expérimenta notamment les immeubles en gradins : l'immeuble Bastiani à Saint-Agne puis la résidence Babylone de la Terrasse dont la rue traversante créé un espace extrêmement intéressant.- Maurice Zavagno et Paul Gardia, spécialistes de la "culture partagée", qui réalisèrent ensemble le centre de l'AFPA (au Palays), tandis que les villas du Chemin Michoun furent conçues par Zevagno après le décès de Gardia.- Bernard Bachelot, au savant travail des volumes et des détails sur des plans très clairs, réalisa l'immeuble Perry (du nom du commanditaire) de la place Esquirol, l'immeuble Cap Wilson ainsi que l'ensemble de logements collectifs et de villas dans le quartier du TOEC.- Paul Debeaux, co-fondateur de l'Atelier AAA, dont la formation initiale de mathématicien transparaît, par exemple, dans la singularité des structures tri-dimentionnelles du grand hall de la caserne de pompiers Jean Vion.* Photographies du diaporama d'Annie Méténier. Mot(s) clés libre(s) : Mouvement moderne (architecture), France (Midi-Pyrénées), Toulouse (1945-1975)
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