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Une expérience de la plongée sous-marine chez les patients para et tétraplégiques
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 01-01-1996
/ Canal-U - OAI Archive
WIART L.
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Résumé :
L'objectif de ce film est de présenter l'activité de plongée sous-marine pour les bléssés médullaires. Public large.
1ère partie : présentation générale de l'intérêt de cette activitée (images en piscine).
2ème partie : réapprentissage de la nage en piscine.
3ème partie : apprentissage de la plongée en bouteille en piscine (+ images sous-marines).
4ème partie : Sortie en pleine mer (+ images sous-marines).
Réf. FILMED : 98 4905 202 Mot(s) clés libre(s) : plongée sous-marine, tétraplégie paraplégie
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Taille-Vent, le pétrel des montagnes
/ Emmanuel PONS, Serge MONTAGNAN
/ Canal-u.fr
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La Réunion est la seule île au monde à abriter deux espèces de pétrels strictement endémiques. Comme dans de nombreuses îles, un grand nombre d’espèces sont en danger d’extinction, d’autres ont déjà disparu.
Le pétrel de Barau (Pterodroma baraui) est un emblème de la valeur exceptionnelle de la biodiversité réunionnaise. Cet oiseau marin est soumis à des pressions importantes d’origines humaines, principalement la prédation par les prédateurs introduits et la pollution lumineuse des villes. Il est malheureusement classé en danger d’extinction sur la liste rouge de l’UICN.
Les pétrels de Barau nichent dans les plus hautes montagnes de l’île, et c’est à plus de 2600 m d’altitude, dans des falaises presque inaccessibles, que les chercheurs du laboratoire ECOMAR de l’Université de La Réunion vont, saison après saison, étudier ce pétrel peu connu afin de comprendre sa biologie et percer le mystère de son écologie en mer.
Maintenant inscrit sur la liste des Biens du Patrimoine mondial de l’UNESCO, le Parc National de La Réunion s’engage aussi bien localement qu’internationalement pour protéger cette espèce exceptionnelle. C’est donc grâce à une étroite collaboration avec l’Université de La Réunion et la SEOR que des actions de conservation d’envergures sont menées à l’échelle de l’île, pour enrayer la disparation programmée des pétrels de Barau. Mot(s) clés libre(s) : biologie marine, Taille-vent, Grand Bénard, SEOR, espèce endémique, Observation des oiseaux, pollution lumineuse, Pétrels, île de La Réunion, espèces menacées, ECOMAR
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Sauver les pétrels de Barau
/ Serge MONTAGNAN, Emmanuel PONS
/ 03-04-2012
/ Canal-u.fr
MONTAGNAN Serge, PONS Emmanuel
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Le Pétrel de Barau, (Pterodroma baraui), oiseau marin endémique de l'île de La Réunion, est aujourd’hui en danger. Après la période de nidification, la seconde semaine d’avril, les juvéniles sont prêts à l’envole. La nuit, attirés par les reflets de lune sur la mer, ils se lancent des hauteurs de l’île pour un premier vol. Hélas, trompés par les lumières de la ville beaucoup s’écrasent pour ne plus repartir… Une chaîne de solidarité s’est crée autour du Pétrel de Barau qui tente de récupérer de soigner et de relâcher les survivants. Depuis 1996, les chercheurs de l’université de La Réunion recensent et veillent ces colonies d’oiseaux. Pour mieux comprendre leur comportement, ils ont mis au point une expérience consistant à équiper quelques oiseaux de balises Argos afin de suivre leurs déplacements en période d’alimentation. Le décodage des trajets donne des résultats saisissants ! Mot(s) clés libre(s) : biologie marine, Grand Bénard, SEOR, espèce endémique, Observation des oiseaux, pollution lumineuse, Pétrels, île de La Réunion, espèces menacées, Taille-vent
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Pour qu'Internet traverse les océans : les câbles sous-marins
/ Canal-u.fr
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Depuis deux décennies, les besoins en télécommunications croissent de façon exponentielle. Maintenant, nous pouvons échanger des informations, même en situation de mobilité, avec des personnes du monde entier 90 % du flux mondial Internet transite à travers un maillage étroit de câbles sous-marins qui relientles continents. Ces câbles à fibres optiques, qui reposent parfois à près de 8 000 m de profondeur, transmettent de très hauts débits (1012 bits/s) et sur des distances très importantes (1 000 à 10000 kilomètres). Après avoir expliqué le principe de fonctionnement d’une liaison haut débit à fibre optique, nous décrirons les technologies de fabrication des câbles optiques sous-marins. Les moyens de pose de ces câbles à travers les océans seront précisés de même que les techniques de supervision et de réparation.Nous démontrerons ainsi que sans les câbles sous-marins, l’Internet mondial n’existerait pas !Par Bruno VINOUZE, enseignant chercheur à Télécom Bretagne, département d’optique, UMR 6082 Mot(s) clés libre(s) : Internet, connection sous-marine, fibre optique
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POMME, la mission
/ Didier BOCLET, C.N.R.S Images
/ 01-01-2002
/ Canal-U - OAI Archive
DELHAYE Claude (CNRS Images), BOCLET Didier
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Le programme POMME (Programme océan multidisciplinaire à méso échelle) a pour principal objectif de mieux comprendre le rôle de l'océan sur le climat en tant que réservoir de carbone, de chaleur et de transformation de la matière vivante. Du 16 avril au 7 mai 2001, le navire océanographique Atalante a effectué une des quatre campagnes de mesures de ce programme de recherche dans l'Atlantique Nord-Est à mi-chemin entre le Portugal et les Açores. Les eaux océaniques de surface hivernales s'enfouissent à des profondeurs intermédiaires au début du printemps (processus de subduction). C'est à peu près durant la même période que s'accroît de façon spectaculaire la biomasse marine sous forme de phytoplancton. Le gaz carbonique de l'atmosphère est alors fixé par ces petites algues (photosynthèse) dans la couche éclairée de l'océan. Les nombreux appareils de mesures et de prélèvements d'échantillons embarqués à bord de l'Atalante vont permettre d'étudier les propriétés de la colonne d'eau jusqu'à des profondeurs de moins 2000 m., les données obtenues serviront à quantifier les échanges de flux de matière organique et minérale, de chaleur, d'eau et de gaz. Le travail des chercheurs alterne entre la préparation et la mise à l'eau des appareillages et les premières analyses des échantillons dans les laboratoires de l'Atalante. Isolés en haute mer pendant trois semaines, scientifiques et équipage doivent apprendre à cohabiter.GénériqueAuteurs : Claude Delhaye (CNRS Images) et Didier Boclet (CNRS Images) Réalisateur : Claude Delhaye Production : CNRS Diffuseur : CNRS Images. www.cnrs.fr/cnrs-images/ Mot(s) clés libre(s) : atmosphère, bathysonde, biogéochimie de l'océan, biologie marine, bioparticules, climatologie, écosystème marin, migration des eaux, océanographie, phytoplancton, zooplancton
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Phytoplanctons et polluants métalliques...
/ Philippe ISIDORI, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 06-06-1998
/ Canal-U - OAI Archive
CREPPY Edmond, BONINI M., TRAORE A., ISIDORI Philippe
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...un mélange inquiétant pour la santé CollectionScience Infuse / Recherche et environnement RésuméL'acide okadaïque est une toxine marine produite par 2 types de microorganismes (dinoflagélés et éponges) qui s'accumulent dans l'hépatopancréas des moules. Cette accumulation entraîne des intoxications diarrhéïques chez les consommateurs de moules lorsqu'elles contiennent un taux d'acide okadaïque supérieur à 2µ/g de chair fraîche. Cependant à ces concentrations infradiarrhéiques cette toxine est douée de propriétés cytotoxiques et génotoxiques. Par ailleurs, nous avons montré que la présence dans l'environnement d'autres polluants comme les métaux lourds et l'aluminium augmente la cytotoxicité de l'acide okadaïque.--------------------[Programme mis en ligne dans le cadre du partenariat UMVF / Médiathèque centrale de la CIDMEF]Origine[n° catalogue DCAM : V234][n° catalogue CIDMEF : V421] Mot(s) clés libre(s) : acide okadaïque, aluminium, dinoflagélé, écologie, efflorescence, milieu marin, problème écotoxicologique
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Phare 2002, la campagne océanographique
/ Jean-François TERNAY, CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique, IFREMER
/ 01-01-2002
/ Canal-U - OAI Archive
TERNAY Jean-François, GAILL Françoise, LE BRIS Nadine
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La campagne PHARE (Peuplements hydrothermaux, leurs associations et relations avec l'environnement) s'est déroulée du 30 avril au 3 juin 2002 dans le Pacifique au large des côtes mexicaines à bord de l'Atalante, navire océanographique de l'Ifremer. L'objectif des chercheurs du CNRS et de l'Ifremer est d'étudier les communautés animales vivant au voisinage des sources hydrothermales qui se forment dans les grands fonds du fait de l'activité volcanique liée aux dorsales. La faune de ces écosystèmes très singuliers supporte des conditions de température extrêmes et les plus fortes concentrations en sulfure et en métaux de notre planète. Coupés de la lumière solaire, ces écosystèmes sont basés sur la chimiosynthèse : des bactéries utilisent l'énergie d'oxydation des minéraux dissous, émis par les fumeurs, pour fabriquer de la matière organique. Pour explorer ces fosses océaniques, les scientifiques utilisent Victor, un robot multi-instruments capable de travailler à plus de 6000 m de profondeur, entièrement télécommandé depuis la surface. Victor est équipé de deux bras manipulateurs qui lui permettent de positionner des instruments de mesure et d'effectuer des prélèvements d'échantillons. Il est également pourvu de sept caméras et de puissants éclairages. Chacune des plongées de Victor est minutieusement préparée. De retour sur le pont, il est pris en charge par les ingénieurs qui assurent sa maintenance tandis que les scientifiques se partagent les échantillons selon leur discipline : biologistes, microbiologistes, écophysiologistes, chimistes ou géologues. Ils tentent de comprendre par quels mécanismes des organismes vivants ont pu s'adapter à des environnements aussi hostiles : comment des bactéries peuvent pièger des métaux lourds, comment des crabes peuvent respirer dans un milieu très riche en dioxyde de carbone, comment sont exprimées les protéines de stress thermique... Divers équipements innovants ont été mis au point par les équipes de recherche et en particulier des enceintes pressurisées permettent de reconstituer les conditions de pression et de température du milieu naturel des organismes extrêmophiles.GénériqueAuteur - réalisateur : TERNAY Jean-François (CNRS Images media, Ivry-sur-Seine) Conseillers scientifiques : GAILL Françoise (Biologie du développement, UMR CNRS, Paris) et LE BRIS Nadine (Ifremer, Brest) Production : CNRS et Ifremer Mot(s) clés libre(s) : bactérie thermophile, biologie marine, chimiosynthèse, dorsale océanique, écosystème hydrothermal, environnement extrême, grands fonds marins, microbiologie, océanographie, PHARE, ver marin, vie animale, volcanisme
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Nicolas Puillandre avant l'expédition en Papouasie
/ Canal-u.fr
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Nicolas explique concrètement ce qu'il va faire durant l'expédition en Papouasie-Nouvelle-Guinée dans le cadre du programme "La Planète Revisitée". Mot(s) clés libre(s) : biodiversité, marin, papouasie, planète revisitée, expédition scientifique, gasteropode, mollusque, mollusques, expédition, puillandre
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Naviguer comme les Polynésiens
/ Inria / Interstices
/ 20-12-2019
/
Jaulin Luc
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Dans l’Océan Pacifique, les Polynésiens savaient naviguer entre des îles distantes sans GPS, ni boussole, ni horloge. Ils pouvaient rester plusieurs jours sans voir un morceau de terre. Pourtant, ils ne se perdaient pas grâce à une technique de navigation utilisant une connaissance partielle de leur environnement et la vision stellaire. De nos jours, avec l’apparition du GPS, ces techniques peuvent nous paraître désuètes. Cependant, dans un environnement sous-marin, le GPS ne fonctionne pas. Pour naviguer sans refaire surface, les robots sous-marins cherchent à reproduire les méthodes de navigation ancestrales afin d’explorer de grands environnements sans jamais se perdre. Mot(s) clés libre(s) : robotique sous-marine, robotique mobile, intelligence artificielle, navigation topologique, navigation métrique, exploration, environnement non structuré
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Mégafaune marine de l’océan Indien
/ Serge MONTAGNAN, Emmanuel PONS, Richard TOPCZYNSKI
/ Canal-u.fr
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- Etude - Protection - Valorisation -La mégafaune marine regroupe des espèces telles que les mammifères marins, les tortues et les oiseaux marins. Composantes spectaculaires de la biodiversité de l’océan Indien tropical, ces espèces sont cependant menacées.Face à ce constat des scientifiques de La Réunion ont décidé de collaborer avec des partenaires de la région sur l’étude, la conservation et la valeur socio-économique de la mégafaune marine tropicale.Prospections scientifiques, actions de formation et de sensibilisation, se succèdent en différents lieux de la zone : des îles Nosy Ve et Sainte-Marie à Madagascar, en passant par Mohéli aux Comores et à La Réunion.
En mutualisant les données recueillies par les différents partenaires le « programme mégafaune » aura permis de déterminer, dans l’océan Indien, les hots spots de migration indispensables à la survie et la reproduction de ces animaux emblématiques. Ces résultats, croisés aux pressions environnementales liées aux activités humaines, permettront de mieux les protéger. Mot(s) clés libre(s) : biologie marine, baleine à bosse, Mohéli, Nosy Ve, puffin, tortue marine, paille-en-queue, baleine, biodiversité des espèces, île de La Réunion, migration, espèces menacées, whale watching
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