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Aicha Belarbi : "L'évolution du statut de la femme marocaine à partir de 1956: du combat pour l’éducation et la santé au combat pour l’égalité et la parité"
/ Dimitri BASTARD, Quentin ROQUES
/ Canal-u.fr
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Dans le cadre du cycle de conférence de la fondation Institut
d'Etudes Avancées de Nantes, Aicha Belarbi, sociologue et
Professeur chercheur à l’Université Mohamed V de Rabat, Maroc, a donné une conférence intitulée : "L’évolution du statut de la femme marocaine à partir de 1956: du combat pour l’éducation et la santé au combat pour l’égalité et la parité". Mot(s) clés libre(s) : Maroc, parité, conférence, IEA NANTES, Aicha Belarbi, femme marocaine
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CAV 2011 – Implantation de la chirurgie robotique au Maroc.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 17-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
OUZAHER Hamza
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Titre : CAV 2011 – Implantation de la chirurgie robotique au Maroc.Intervenants : Hamza OUZAHER (Oujda, Maroc). Résumé : Implantation de la chirurgie robotique au Maroc : mythe ou réalité ?Il faut informer, organiser, convaincre, s’équiper et enfin assurer une formation continue.Etat des lieux, avantages, inconvénients. Grâce à l'interface informatique, elle améliore même les capacités du chirurgien en lui permettant de transférer facilement son habileté à l'approche mini-invasiveL’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors de la réunion thématique du Centre Régional Anticancéreux Alexis Vautrin de Nancy le 17 juin 2011 : 2ème journée de chirurgie robotique en gynécologie. Vendredi 17 juin 2011. Quel enseignement de la chirurgie robotique pour les jeunes chirurgiens ?Réalisation, production : Canal U/3S Mot(s) clés libre(s) : CAV 2011, chirurgie, gynécologie, Maroc, robotique
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006 - Algérie/Maroc : une mise en parallèle à l'époque coloniale
/ ENS-LSH/SCAM
/ 20-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
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par Daniel Rivet, Professeur (Université Paris 1)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne S’agit-il de deux cas de colonisation singuliers et incomparables ? Colonisation directe et paroxystique à la manière de l’Afrique du Sud labourant et dévastant la société précoloniale d’une part et colonisation oblique traitant de manière tangentielle les hommes et les richesses à la façon du Ghana ou de l’Égypte d’autre part ?Des raisons circonstancielles militent plutôt en faveur de la première hypothèse. En Algérie, la colonisation s’attarde 132 ans et au Maroc elle dure 44 ans. Les deux modes de saisie sont dissemblables : annexion et assimilation à la France d’un côté, protectorat de l’autre. Effacement du mode ottoman de domination dans un cas, maintien, renforcement, surexposition d’une monarchie arabo-andalouse dans l’autre, avec invention d’une tradition néomakhzénienne par Lyautey. Les modes d’appropriation des deux pays sont contrastés : en Algérie, un capitalisme colonial agraire, retardataire après 1914 et surprotégé par la métropole, au Maroc, la saisie de la richesse par un appareil d’État néochérifien entrepreneur et par un capitalisme financier - Paribas - ouvert sur la mondialisation - acte d’Algésiras en 1906. La décolonisation revêt une physionomie très différente dans les deux pays : non pas bien sûr divorce à l’amiable au Maroc et drame historique incommensurable en Algérie. Mais au Maroc négociation de l’indépendance avec une élite citadine et un souverain donnant le sentiment - l’illusion ? - de la restauration d’une continuité historique non pas brisée comme en Algérie, mais déviée. Et, en Algérie, livraison du pays - sous la pression d’une insurrection au ressort composite et de la conjoncture mondiale à la décolonisation - à une mince couche de néomameluks parvenus, d’essence militaire et d’origine plébéienne.Si on creuse au-delà du jeu des analogies et des dissemblances formelles, on observe des effets de symétrie et de convergence pas moins saisissants. Dans les deux cas, une guerre de conquête cruelle et destructrice des vieux archaïsmes tribaux, avec l’appel aux mêmes ressources d’un patriotisme confessionnel aiguisé par la lutte contre la reconquista. Le même surgissement d’un islam-refuge des identités blessées, puis rénové et « jacobin » sur fond de lutte acharnée contre l’islam des gens et d’érosion précipitée des cultures de terroirs. Et puis surtout, le même processus de destruction/reconstruction des sociétés introduit par la généralisation de l’économie de marché, le salariat, l’émigration vers les villes, la paupérisation de larges fractions des paysanneries et la « clochardisation » d’une partie conséquente de la population. Et encore la même confrontation des détenteurs d’un savoir, d’une expérience des gens d’en face à la colonisation virant au colonialisme. Aussi s’esquisse un synchronisme pan-maghrébin à l’orée des années 1930 qui culmine vers 1955-1956 : les forces d’émancipation de la sujétion coloniale jouent transversalement de Gabès à Agadir et brouillent de façon éphémère la frontière entre les peuples.Il n’en reste pas moins que deux styles de colonisation particuliers ont façonné deux paysages historiques singuliers. Le fait n’échappe pas aux praticiens de la colonisation nord-africaine venus de France que nous avons pu interroger. En Algérie, ils avaient le sentiment d’évoluer dans une province franco-musulmane anachronique maintenue sous perfusion par la République comme en culture de serre. Au Maroc, ils ressentaient immédiatement l’altérité : la sensation d’être à l’étranger dans un pays indéchiffrable au Français sans immersion dans les profondeurs du pays et apprentissage de son code culturel.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux, Julien Lopez, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : afrique du nord, algérie, annexion (droit international), assimilation politique, colonisation, colonisation directe, histoire, maroc
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IPM 2005 : Formation continue hybride des médecins généralistes-lutte contre la tuberculose
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 06-01-2006
/ Canal-U - OAI Archive
CAILLEAU Isabelle, MAJADA Manuel
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La tuberculose est un sujet prioritaire de santé publique dans ces pays, et l'accès à la formation continue y reste difficile. Le public cible est essentiellement les généralistes. Les supports numériques utilisés sont sous XML ou sous version papier. Les perspectives sont de créer une plate-forme de formation et de publier des contenus de cours.
Origine
IPM 2005. Internet et Pédagogie Médicale, 6è Congrès international. Rennes : décembre 2005
Générique
Auteur: Cailleau I. Majada M. Réalisation : SFRS-CERIMES, CUTMS. SCD médecine Nancy 1 Mot(s) clés libre(s) : Algérie, contenu pédagogique, FOAD, formation à distance, IPM, Maroc, tuberculose, Tunisie
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Patrimoine traditionnel et pérennité de la musique Gnawa
/ Canal-u.fr
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Patrimoine traditionnel et pérennité de la musique gnawaRéalisé par Leïla IzrarLe
guembri est un instrument de musique à cordes pincées, très
présent dans le répertoire musical traditionnel gnawa. Cette
musique, implantée au Maroc par les descendants d'esclaves arrivés
d'Afrique noire il y a plusieurs siècles, est à l'origine une
pratique rituelle et confrérique. Elle occupe aujourd'hui une place
majeure dans le patrimoine d'Afrique du nord, et influence depuis
toujours les artistes de tous bords, dont Jimmy Page et Robert Plant,
mais aussi toute la nouvelle scène musicale marocaine.
Dans
cet entretien, Boujemaa Izrar revient sur le
rapport entre le gnawa et la société, les origines profondes de ce patrimoine musical, son influence sur le reste du monde, et les nouveaux genres auxquels il a donné naissance. Il raconte pour cela ses émois d'enfant ayant grandi au Maroc au contact de cette musique, et en partage ses expériences de jeune musicien marocain arrivé en Europe dans les années 1970.
Mot(s) clés libre(s) : Maroc, temoignage, guembri, 1970, Naïdha, Gnawa, Nass El Ghiwane, Banjo
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